Matthieu Auzanneau, auteur et blogueur spécialiste d'écologie et d'économie, directeur du Think Tank de la transition énergétique The Shift Project et ancien journaliste au micro d'André Bercoff.
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Confinement pour covid 19 : pas d'inquiétude, l'avortement est toujours aussi facile !
Un communiqué du MNR :
Un décret publié au Journal Officiel le 15 avril 2020 stipule que : « Eu égard à la situation sanitaire (…), les interruptions volontaires de grossesse pratiquées par voie médicamenteuse par un médecin ou une sage-femme peuvent être réalisées jusqu'à la fin de la septième semaine de grossesse (ou neuf semaines d'aménorrhée, date des dernières règles).» Ce décret fait suite à l'avis de la Haute Autorité de Santé, saisie en urgence par Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé. Ainsi, le délai pour l'IVG médicamenteuse en ville est allongé de deux semaines.
Faut-il donc que nos autorités (y compris celle de la santé) soient obsédées par l'idée de tuer des embryons (présentée comme un « droit fondamental » des femmes), pour prendre une telle décision !
Réaffirmons que l'avortement ne peut être, au mieux, qu'un pis-aller face à une situation de détresse (Simone Veil l'avait d'ailleurs précisé en 1975, mais ses « successeurs » l'ont bien oublié).La dernière livraison du Chêne cliquez là
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LES SACRIFIÉS DU CONFINEMENT (salariés, auto-entrepreneurs, etc)
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La guerre bactériologique n’aura pas lieu ?
De Marion Duvauchel, Professeur de lettres et de philosophie :
Depuis deux mois bientôt, les contradictions extravagantes dans les communications gouvernementales ne laissent aucun doute : on nous débite mensonge sur mensonge.
S’agit-il d’une guerre bactériologique ? Il est tout aussi difficile de le déterminer que de déterminer si on s’attendait à des milliers de morts. La rapidité avec laquelle la Chine a construit des hôpitaux peut laisser penser qu’au moins là-bas, on était préparé. « On », ce sont les responsables. Les Chinois, ce n’est pas si sûr. En Europe, il est clair que la guerre bactériologique apparaît à nos gouvernants comme un fantasme de complotistes. Mais la presse française n’est pas libre : si elle l’était, une presse parallèle, de résistance, ne se serait pas constituée. Or cette presse fait l’objet d’une surveillance étroite : à peine a t-elle lancé une information nouvelle que cette information est dénoncée au JT comme une fake news (en français une fausse rumeur).
Mais si ce n’est une guerre bactériologique cela ressemble bel et bien à un test : il s’agirait de vérifier comme un virus artificiel se propage et peut–être d’apprécier aussi le temps de réaction de ceux auxquels il est destiné. La Chine aurait-elle déclaré la guerre au monde, puisqu’il est acquis que le virus vient de chez elle ?
A cet égard, elle peut être tranquille : en Europe, il est évident qu’on n’est prêt ni sur le plan politique, ni sur le plan de l’union des nations.
Mais si cela est un test bactériologique, il est juteux. La Chine s’en met encore une fois plein les poches. Certes, on lui a délégué toutes les capacités de production dont nous manquons cruellement, mais enfin, une telle capacité à répondre aux besoins du monde entier en masques (parfois contaminés), cela devrait nous alerter. Or, personne n’en parle ni n’en a parlé, pas plus au JT que sur les différents plateaux télévisés, spécialisés dans le bavardage professionnel.
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Tandis que les banlieues s’embrasent sous l’œil bienveillant de Castaner, des Français inoffensifs sont verbalisés
Alors que le confinement emprisonne les honnêtes citoyens chez eux, détruit leur outil de travail lorsqu’ils sont commerçants, artisans, petits entrepreneurs, dans les banlieues, le confinement, la racaille s’en balance.
Pire, ces no-go-zones s’embrasent, les violences ne cessent de croître, notamment depuis l’accident d’un motard de 30 ans, multi-récidiviste, qui s’est blessé après avoir percuté un véhicule de Police à Villeneuve-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine.
Depuis, ceux que peu de journalistes ose dénommer selon leur comportement, des « racailles », narguent et agressent chaque nuit les forces de police et les pompiers, avec des tirs de cocktails Molotov et de projectiles par des lance-roquettes.
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N’acceptons plus l’inacceptable !
Notre pays naufrage. La crise sanitaire actuelle pourrait bien le couler par le fond, tant la gestion de cette épreuve par le pouvoir actuel est catastrophique.
Il est inacceptable qu’à peu de temps de la date à laquelle les Français sont censés recouvrer une partie de leur liberté, et plusieurs mois après le début de la crise, les autorités sanitaires demeurent incapables de leur assurer les équipements de protection indispensables, dont les masques et les tests nécessaires.
Il est inacceptable qu’il soit interdit aux pharmacies de proposer des masques sanitaires au public ; et que l’on interdise, par décret, aux médecins libéraux d’exercer leur art par les prescriptions qu’ils jugent les plus appropriées aux cas de Covid-19 qu’ils sont amenés à traiter.
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Xavier Raufer sur les émeutes dans les banlieues : « Il y a une grande lâcheté de l’appareil d’État » (Vidéo)
Les banlieues françaises sont-elles en train de s’embraser ? Quelle est la réalité du terrain dans les banlieues ? Ces quartiers « sensibles » vivent-ils un nouveau 2005 ? Xavier Raufer, criminologue, enseignant au CNAM (Conservatoire national des arts & métiers) au pôle sécurité-défense/criminologie a répondu à toutes les questions de Sputnik France
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Mutation du mondialisme et réaction de Gaïa
Nous publions aujourd’hui le septième volet de notre enquête. Co-fondateur et rédacteur en chef du site Europe Maxima, rédacteur à Synthèse nationale et chroniqueur habdomadaire du « Village planétaire » sur la web-radio de TVLibertés, auteur de plusieurs essais de géopolitique et d’histoire des idées dont Pour la Troisième Voie solidariste (Bouquins de Synthèse nationale), Georges Feltin-Tracol vient de diriger un travail collectif à paraître, une fois le confinement fini, chez le même éditeur, Réflexions pour un nouveau corporatisme.
S.N.
Georges Feltin-Tracol
L’idéologie mondialiste peut-elle vraiment détester le coronavirus ? Quelle étrange question : un ensemble d’idées, de concepts et de théories qui supposent une unité du genre humain n’éprouve aucun sentiment pour une souche virale et réciproquement. Et pourtant ! Avec le rétablissement des frontières, y compris intra-régionales, l’assignation à résidence pour tous, l’insistance à respecter la « distanciation sociale », la valorisation des « gestes-barrières » qui auraient pu aussi s’appeler « gestes-frontières », la volonté manifeste de « fliquer » malades et porteurs asymptomatiques ainsi que la petite musique lancinante en faveur de la « renationalisation » et de la « relocalisation » des économies, il serait facile d’imaginer que le cosmopolitisme vient de subir une lourde défaite.
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LE VRAI PROBLÈME DES RELATIONS HOMMES FEMMES (DEPUIS LE FÉMINISME)
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Édouard Philippe sur la voie de la démission ? Et l’autre ?
Les rumeurs fleurissent. Le Figaro, d’abord, vendredi, puis le JDD, ce dimanche, et même Gala, le journal le mieux informé sur les dessous de ce quinquennat (Mimi Marchand oblige ?). La relation entre les deux têtes de l’exécutif serait au plus mal, la crise aurait révélé des « tensions », des « failles » même, entre Édouard Philippe et Emmanuel Macron. « C’est plus tendu qu’on ne le pense entre les deux hommes », selon un proche cité par ces journaux.
Les annonces précipitées d’Emmanuel Macron sur la date du déconfinement, la rentrée à l’école « facultative », sa visioconférence avec les maires auraient exaspéré le Premier ministre, chargé d’organiser la chose avec des injonctions contradictoires. Toujours selon Gala, « d’autres tensions sont apparues entre Édouard Philippe et Jean-Michel Blanquer, qui a lui aussi fait des annonces inopinées autour de la réouverture des écoles. “C’est comme avant un accouchement, plus on a de contractions, plus on se dit que que ça fait mal, ça fait désordre et on transpire”, analysait un ministre.” Sale boulot, mais ça fait partie du contrat.