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  • Splendeurs et misères de la gouvernance

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    La crise du coronavirus marquera, à plus d'un titre, l'histoire du monde. Peut-être moins en raison du nombre de morts que la pandémie aura provoqué qu'en raison de ce qu'elle aura révélé sur l'aveuglement des gouvernants et la docilité des gouvernés. Que sait-on au juste de ce virus ? Malgré des médias mainstream abreuvant d'informations, le péquin moyen ne dispose de quasiment rien de précis et de fiable. Il est, par exemple, impossible de calculer le taux de létalité du virus puisque, faute de tests, on ignore le nombre de personnes infectées. Et pourtant, les tenants de la gouvernance ne cessent de justifier leurs décisions en brandissant l'argument d'autorité scientifique (la consultation d'un comité d'experts). Si cela a permis, un temps, d'étouffer le débat et d'essayer de Étire passer les esprits critiques pour des irresponsables, la cohérence du discours s'est assez rapidement fissurée quand sont apparues au grand jour les concurrences entre équipes de chercheurs laissant entrevoir des intérêts plus financiers que médicaux. S'il existe un traitement (qui n'est certes pas une panacée) à base de chloroquine associée à d'autres médicaments pour soigner les seuls malades, pourquoi certains veulent-ils (à tout prix...) un vaccin susceptible d'être imposé à toute l'humanité ?

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  • Hongrie et immigration : Viktor Orban serre la vis au droit d’asile

    Après la récente décision de la Cour de justice de l’UE qui a défini illégale la détention d’environ 300 immigrants illégaux effectuée par la Hongrie à travers des structures situées le long de la frontière avec la Serbie, le gouvernement Orban a annoncé un resserrement radical précisément dans le domaine des migrations.

    En fait, Budapest a récemment annoncé, en même temps que la libération des aspirants réfugiés en question, une réforme dans un sens encore plus restrictif de la législation nationale sur le droit d’asile. Le changement promu par l’exécutif dirigé par le Fidesz permettra, dans l’intention du Premier ministre magyar, de décourager définitivement les migrants de se blottir aux frontières hongroises pour présenter des demandes de protection internationale aux autorités du pays de l’Europe de l’Est.

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  • Technocratie et risque d’expertocratie, par Germain Philippe.

    La technocrature, maladie sénile de la démocratie : (11/14)

    Stratégie de substitution

    Notre analyse de physique sociale du XXI° siècle nous à amené à un tournant clé de la république française. Devant l’énorme niveau de discrédit atteint par de l’élite politique sous Sarkozy et Hollande, l’Etablissement n’a pas d’autre choix que de la «  dégager  ». Décision majeure qui rompt la vieille harmonie oligarchique du Pays légal.

    Pour réussir ce «  dégagisme  », l’Etablissement a élaboré une stratégie de substitution au profit de l’élite technocratique. Une fois le pouvoir politique entre ses mains, celle-ci pourra préserver l’Etat providence républicain permettant de juteux profits pour l’élite financière, ces «  très riches  », ces «  dynasties républicaines  » de la nouvelle classe mise en place par Bonaparte. Le scénario stratégique repose sur un clivage idéologique novateur opposant progressistes et conservateurs. Le terme conservateurs étant un mot valise englobant, en fonction des circonstances, les populistes et les réactionnaires. Le véritable but est de positionner Marine Le Pen comme ennemi unique, vu son incapacité à fédérer les extrêmes, malgré sa rhétorique de la «  démocratie directe  » face à la «  démocratie apaisée  » regroupant centre-gauche et centre-droit.

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  • La popularité d’Emmanuel Macron baisse de trois points en un mois et repasse sous la barre des 40%, selon un sondage

    Selon le baromètre Ifop qui paraît dans le Journal du Dimanche (JDD), Emmanuel Macron voit sa popularité chuter de trois points en un mois, avec 39% de satisfaits (34% « plutôt satisfaits« , 5% « très satisfaits« ) et 60% de mécontents (31% « plutôt mécontents », 29% « très mécontents« ), son Premier ministre Edouard Philippe, lui, en gagne deux, pour atteindre 46% de bonnes opinions.

    Si les Français saluent la gestion de la crise du coronavirus par le chef du gouvernement et apprécient ses discours clairs et son ton juste, Emmanuel Macron voit son socle s’éroder. S’il reste plus populaire que Nicolas Sarkozy et François Hollande au même stade de leur mandat (respectivement 33% et 21% de satisfaits), sa popularité est en baisse de sept points dans son électorat de 2017. Sur sa gestion de la crise, les jugements sont sévères, avec un « leitmotiv » selon le directeur général adjoint de l’Ifop Frédéric Dabi : l’accusation de « mensonge », sur les masques en particulier.

    Le JDD / La Provence

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-popularite-demmanuel-macron-baisse-de-trois-points-en-un-mois-et-repasse-sous-la-barre-des-40-selon-un-sondage

  • Les entrepreneurs face à la crise du coronavirus – LA PAROLE AU PEUPLE, ÉPISODE 4

  • La Révolution en circuit fermé

    Redécouvert en 1978 par François Furet, Augustin Cochin avait décrypté le mécanisme qui avait permis aux petits cercles des sociétés de pensée imbus des Lumières d’imposer leurs aspirations en les faisant passer pour la volonté du grand nombre. Son oeuvre est heureusement rééditée.

    En 1978, François Furet publiait Penser la Révolution française, essai qui a marqué un véritable tournant historiographique. Ancien membre du parti communiste, l’auteur y exprimait le vœu de rompre avec la version officielle de la Révolution dès lors que celle-ci ne pouvait plus être un moteur politique, le socialisme réel ayant montré son vrai visage, celui du goulag. « La Révolution française est terminée », écrivait Furet, estimant que les historiens avaient désormais à penser la Révolution non plus en termes idéologiques mais en termes scientifiques, notamment pour comprendre comment les aspirations libérales de 1789 avait débouché sur la Terreur de 1793. Furet expliquait encore comment deux historiens, « les seuls à proposer une conceptualisation rigoureuse de la Révolution française », avaient contribué à sa réflexion : Alexis de Tocqueville, qui aide à comprendre la part de continuité de la Révolution dans l’histoire de France, et Augustin Cochin, pour sa théorie du jacobinisme.

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  • Ecole, commerce, la marelle idiote du déconfinement balisé vous décourage d'apprendre et d'acheter

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    La France de Campagnol, chronique  de Christian Combaz sur TV Libertés cliquez ici


  • L'Europe doit soutenir Taïwan

    6a00d8341c715453ef0263e94b1311200b-320wiL'observation du passé de l'humanité ne relève pas de la zoologie. Les événements ne s'y reproduisent jamais à l'identique. Le libre choix permanent des fragiles fils d'Adam déjoue l'instinct de l'animal. Et pourtant l'histoire, cette "science des faits qui ne se reproduisent pas" [Paul Valéry]  nous livre d'inépuisables enseignements, sous des masques à peine renouvelés.

    Ainsi l'expérience du XXe siècle, avec sa chaîne d'horreurs brutalement totalitaires, et après les condamnations plus ou moins sincères, du Procès de Nuremberg clos en 1946 au rapport Khrouchtchev de 1956, pourrait nous permettre de mieux comprendre la mise en place rampante des dictatures cybernétiques actuelles.

    Désormais en effet, ceux qui ont aimé Hitler et Staline adoreront, en Xi Jinping, le stalinien assumé, et le national-socialiste d'un genre nouveau. On peut regretter qu'à Paris au moins, cet enchaînement, objectivement évident, ne s'impose guère dans les esprits qui formatent l'opinion.

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