Le 20 mai, s’est tenu le procès en appel des militants de Génération identitaire qui avaient réalisé, en 2012, une action sur le toit du chantier de la mosquée de Poitiers. C’est ainsi que l’avocat général comme les parties civiles ont été contraints d’admettre que le délit de provocation à la haine raciale était prescrit et qu’il ne pouvait donc plus être sanctionné.
Voici la réaction du mouvement identitaire.
Le 20 octobre 2012, 70 jeunes identitaires avaient occupé le chantier de la mosquée de Poitiers. Cette action avait connu un retentissement considérable dans toute l’Europe.
Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault l’avait dénoncée dans un communiqué et Manuel Valls avait réclamé la dissolution (déjà) de notre mouvement.
Poursuivis en correctionnelle pour incitation à la haine raciale et dégradations, 5 militants avaient été condamnés en première instance à un an de prison avec sursis, cinq ans de privation des droits civiques et familiaux et 40 000 euros d’amende et de dommages et intérêts.
Ce mercredi, devant la cour d’appel de Poitiers, l’avocat général comme les parties civiles ont été contraints d’admettre que le délit de provocation à la haine raciale était prescrit et qu’il ne pouvait donc plus être sanctionné.
Les islamistes de l’UOIF et du CCIF n’ont pas caché leur mécontentement. Il ne reste donc que les poursuites pour “dégradations” (c’est-à-dire des tapis de prières…mouillés par la pluie). La cour se prononcera le 19 juin.
Cette bonne nouvelle nous confirme qu’il ne faut jamais rien lâcher, dans la rue comme dans les tribunaux !
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