Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 22

  • julien sous les feux d’héliosphère roi

    Julien sous les feux d'helios roi.jpeg

    Avant d'accéder au pouvoir, Julien hésite, conscient de la rude tâche qui l'attend. La défense de l'Empire, mais aussi la restauration du culte païen que ses prédécesseurs ont peu à peu démantelé.

    L'épisode de l'histoire romaine qu'il écrira sera déterminant pour l'empire d'Occident. Malgré la brièveté de son règne, Julien retarda probablement sa chute(1).

    La profession de foi de cet esprit venu au monde dans un empire décadent, il mettra du temps à la mûrir mais il y viendra peu à peu, jusqu'à écrire : « Je pense qu'il faut s'en tenir aux lois que nos pères ont eues dès l'origine et qui, manifestement, sont un don des dieux. »(2) Bien que son grand-père, Constance Chlore, fût un adepte reconnu du culte solaire, Julien reçut une éducation chrétienne. Mais ce qui, assurément, contribua à lui faire prendre ses distances avec cette religion « de paix et d'amour », c'est de voir sa famille massacrée par ses adeptes mêmes lors d'une de ces nombreuses crises de succession dont l'Empire était désormais familier.

    Lire la suite

  • Belgique : Des policiers finissent au sol agressés par une foule haineuse à Anderlecht

    Dans les colonnes de Het Nieuwsblad, le vice-président national du Syndicat Libre de la Fonction publique (SLFP) Police, Vincent Houssin, explique qu’il s’agissait d’une arrestation d’un suspect pour faits graves. « Nous partageons ces images pour attirer l’attention : cela ne peut pas continuer de la sorte », met-il en garde.

    Dans la vidéo en question, des policiers, en train de procéder à l’arrestation, sont pris à parti par des passants, insultés et violentés. « Comment nos collègues font leur travail à Anderlecht (Chaussée de Mons).

    Fin et video ici

  • Irak 2003-2008 : un déni d'holocauste

    Le bilan « excède même le million de victimes, un chiffre bien supérieur aux 800 000 victimes du Ruanda voici treize ans et cinq fois celui du Darfour. Un autre déni d'holocauste a lieu sans qu'on y prête attention : l'holocauste de l'Irak » (Docteur Mark Weisbrot, de l'université du Michigan).

    Certains l'apprennent à leur dépens nier l'Holocauste ou simplement douter est source d'interminables et pénibles poursuites. En revanche d'autres génocides ne semblent incommoder personne. Conditionné par le silence des média et une politique gouvernementale des plus opaques, l'Américain moyen estime que 10 000 Irakiens seulement auraient été tués depuis mars 2003, date de l'invasion états-unienne. Pourtant, comme l'indique une étude réalisée il y a plus d'un an par des médecins irakiens et des épidémiologistes américains de la John Hopkins University of Public Health, la réalité est tout autre. Publiée dans le prestigieux journal médical anglais The Lancet, cette étude faisait mention de 655 000 victimes (certificats de décès à l'appui) en date de juillet 2006 601 000 de mort violente, le reste en raison d'épidémies, pénurie de médicaments, coupures d'électricité, etc. Les enfants en particulier paient un lourd tribut plus de 260 000 décès.

    Lire la suite

  • Le trou de la Sécu repoussé aux calendes grecques

    Le trou de la Sécu repoussé aux calendes grecques

    Le gouvernement envisage d’ajouter plus de 130 milliards de dette au “trou de la Sécu”, dont le remboursement serait repoussé de 2024 à 2033 -autant dire jamais- en raison du coronavirus.

    Un projet de loi prévoyant “une défaisance massive de dette sociale” doit être envoyé “très prochainement aux partenaires sociaux”.

    Le gouvernement entend transférer le passif de l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss) à la Caisse d’amortissement de la dette sociale (Cades), soit les 31 milliards accumulés fin 2019, auxquels s’ajouteraient au moins 92 milliards pour 2020, 2021, 2022 ainsi que les 10 milliards de dette des hôpitaux dont la reprise avait été annoncée en novembre. L’exécutif avait évoqué ce transfert de dette fin mars, constatant la dérive des comptes sociaux, écartelés entre dépenses nouvelles (masques, hôpitaux, arrêts de travail) et recettes évaporées (reports de cotisations, baisse d’activité). Un transfert qui va passer comme une lettre à la poste (et même plus facilement, vu le fonctionnement actuel de la Poste).

    Pour assurer le paiement des soins, des allocations et des pensions, le plafond d’emprunt de l’Acoss, qui gère la trésorerie de la Sécu, a été relevé deux fois, à 70 puis 95 milliards d’euros. Le déficit de la Sécu devrait pulvériser tous les records cette année . Le 22 avril, le ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin, évoquait le montant de 41 milliards d’euros.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-trou-de-la-secu-repousse-aux-calendes-grecques/

  • Bernanos l'écologie face au modernisme, par Frédéric Poretti.

    1517084911.jpegNous n’assistons pas à la fin naturelle d’une grande civilisation humaine, mais à la naissance d’une civilisation inhumaine qui ne saurait s’établir que grâce d’une vaste, à une immense, à une universelle stérilisation valeurs de la vie. Car, on dépit de ce que j’écrivais tout à l’heure, il s’agit beaucoup moins de corruption que de pétrification. » (Georges Bernanos, La France contre les robots)

    Bernanos est aussi un apôtre de l’écologie dans son combat contre la société mécanique, à l’image de Léon Bloy, Simone Weil, Gabriel Marcel, Nicolas Berdiaëff. Il s’insurge contre cette société déclinant vers un monde de « robots » : « dévorée par ses mécaniques comme une bête malade par ses poux ». Cette marche en avant de la technique mène la société vers la catastrophe. Il se retrouve ainsi comme d’autres écrivains comme Jean Giono, Genevoix, Jules Romains, Charles Peguy… La densité comme le nombre des machines, comme les techniques toujours plus sophistiquées ne sont pas sans conséquences sur la vie en société. Une certaine standardisation de celle-ci tend à discipliner de plus en plus l’individu à son rythme mécanique. La rapidité de l’évolution technologique amène des questionnements quant à l’assujettissement de l’homme à la machine. Est-ce que la fin de l’homme sera imposée par les machines ?

    Lire la suite

  • Après le confinement, la submersion migratoire ?

    Le rétablissement progressif des déplacements internationaux risque d’entraîner un afflux massif de clandestins. Cette prévision n’émane pas de dangereux conspirationnistes mais d’organisations internationales « respectables ». Face à ce péril, le gouvernement français semble désarmé. Pire, son inaction rend possible la submersion migratoire du pays.

    Dans la période de l’après-confinement qui s’ouvre, le rétablissement progressif des transports aériens, maritimes et terrestres en Europe devrait être accueilli comme une bonne nouvelle. Pour au moins une raison, cela n’est pas le cas. Le retour à la normale risque en effet d’entraîner un afflux de clandestins en France. De nombreuses conditions sont réunies pour le rendre possible.

    Lire la suite

  • La droite nationale doit sortir de la confusion intellectuelle.

    Front Populaire.jpg

    L'avis de Jean-François Touzé
    Le lancement par Michel Onfray d'une revue intitulée "Front populaire" agite depuis quelques jours le Landerneau de l'intelligentsia droitiste.
    Objectif affiché par le philosophe : "Fédérer les souverainistes de droite, de gauche et, surtout, d’ailleurs – à savoir ceux qui ne se reconnaissent pas dans le jeu politique bipolarisé, donc manichéen. Nous voulons contribuer au débat d’idées qui n’existe plus depuis des années. Nous souhaitons faire de telle sorte que des notions comme peuple, populaire, nation, souverainisme, protectionnisme ne soient pas des insultes mais des prétextes à débattre".
    Air connu... Vieille lune... Brocanterie intellectuelle au "décrochez moi ça". Chevènement s'y est essayé avec le succès que l'on sait tandis que mille cénacles souverainistes ou anti Système ont tenté d'explorer les ultimes remises de ces rêveries poussiéreuses.

    Lire la suite

  • Chronique Alimentaire/Santé : Le Pain Blanc (le bannir ou le remplacer), par Bayard

    Le Pain Blanc (le bannir ou le remplacer)

    C'est un monument de nos cuisines, le monstre sacré des tables à manger, le meilleur ami des goûters (pour les grands, comme les petits).

    La baguette de pain blanc, la plus populaire des boulangeries, est la plus vendue en France ! Avec plus de 10 milliards de baguettes dévorées par an, les français raffolent de ce trésor national ! Toutes les secondes, ce ne sont pas moins de 320 baguettes qui sont consommées.

    Incontournable lors des repas, le pain blanc est utilisé comme accompagnement classique, pour saucer la fin d’une assiette, ou même pour faire un petit sandwich d’appoint.

    Idéal lors des sorties en mer, des ballades en montagne ou des repas improvisés, le pain blanc est l’ami n°1 des pique-niques, des snacks, et même des chaînes de restauration.

    Ce pain blanc est tellement répandu dans nos maisons, qu’il est présent chez au moins 98% des ménages français. Le pain blanc, c’est une institution surpuissante.

    49191249_231581914404070_1306378826372087808_n.png

    Mais est-il « blanc » de tout soupçon ? Malheureusement, le pain blanc est bien souvent attaqué par les nutritionnistes, et les diététiciens indépendants des industries céréalières… à juste titre.

    Lire la suite

  • Non seulement il n’y a pas tant de morts, mais en plus certains ne sont pas vraiment morts

    Non seulement il n’y a pas tant de morts, mais en plus certains ne sont pas vraiment morts

    En ce temps pascal, les résurrections s’accumulent…

    Dans son bilan quotidien mardi, la Direction générale de la Santé (DGS) a fait état de nouveaux chiffres de décès dus au coronavirus en France, avec une importante correction : la veille, 342 décès avaient été comptés en trop dans les Ehpad et autres établissements médico-sociaux.

    Tout le monde peut faire une erreur. Le problème, c’est l’accumulation.

    La semaine dernière, les chiffres avaient également été surestimés deux fois : le 12 mai, 15 décès en trop avaient été dénombrés. Le 14 mai, c’était 14 décès qui étaient indûment comptabilisés.

    L’ajustement se fait donc à la baisse, et non à la hausse, contrairement à ce que répètent certains depuis des semaines. Sans parler de la distinction entre les vrais décès du coronavirus et des personnes décédées morts de leur maladie (ou de vieillesse) tout en étant porteurs du virus.

    Comme le relève Mediapart, certaines mairies comptent comme « décès à domicile » des décès qui sont en fait survenus en maison de retraite. Avec, pour conséquence, des oublis ou des mauvais calculs de taux de surmortalité.

    L’hystérie se nourrit elle-même…

    https://www.lesalonbeige.fr/non-seulement-il-ny-a-pas-tant-de-morts-mais-en-plus-certains-ne-sont-pas-vraiment-morts/