Ils sont nombreux dans les sommets de l’oligarchie internationale à exploiter les classes pauvres des pays africains. Comme ces enfants de la République Démocratique du Congo qui extraient à mains nues le cobalt.
D’autres extraient de la même manière le coltan avec lequel est produit le niobium, tous produits indispensables à l’électronique moderne, notamment les smartphones. Les enfants gagnent environ 1 € par mois, les adultes de 10 à 30 €. Des bandes armées volent le bétail des fermiers africains pour les contraindre à aller travailler dans les mines et toutes sortes de formes d’oppression leur sont infligées.
C’est le nouvel esclavage africain, organisé par des africains avec la complicité de l’état congolais au profit des multinationales comme on le voit ICI
DEPUIS DEUX MILLE ANS, LES AFRICAINS METTENT LEURS FRÈRES EN ESCLAVAGE
Ils n’ont jamais cessé de mettre leurs « frères et sœurs » en esclavage depuis des siècles avec autrefois plus encore de brutalité et de violence, comme lorsqu’en 1890 le roi Buhanzin, pour fêter le premier anniversaire de son accession au trône du Dahomey, fit égorger mille esclaves pris dans les pays voisins, dont les douze premiers de sa propre main.
Mais aujourd’hui, au bout de la chaîne, ce sont Microsoft, Apple, Huawei, Tesla, etc. qui paient pour l’exploitation des esclaves.
Aux Etats-Unis et en France, on voit des Noirs manifester pour se plaindre de ce que leurs ancêtres furent esclaves et de ce que la police les brutalise parfois quand ils commettent un délit, qui n’est que le nième d’une longue série.
Ils s’appellent Black Lives Matter, et sont financés par dizaines de millions de dollars par les mêmes qui s’enrichissent à milliards en Afrique : Microsoft, Apple, Huawei… auxquels se joignent Facebook, Amazon, Open society, Fondation Clinton, etc.