Virologiste et Prix Nobel, le Professeur Luc Montagnier revient sur les folies de notre temps concernant le Covid 19, création humaine répète-t-il. Et il assène : “Même les scientifiques sont achetés”…
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De la gestion liquide à la société liquidée (quand tout est privatisé)
L’État français privatise. Il privatise la Française des jeux, ENGIE et ADP, les barrages et bientôt les routes, après les autoroutes. La question que pose notre temps est celle de la vraie définition des fonctions régaliennes : qu’est-ce qui doit relever de l’État ?
Ce que l'État nous dit c'est qu'il n'a pas vocation à gérer l'énergie, les jeux, les transports. Il le dit pour plusieurs raisons. D'une part, et de la manière la plus plate, la plus simple et la plus désagréable, il y est contraint par l'Union européenne qui exige qu'on dérégule l'énergie et les transports.
Sans être farouchement libéral, on peut considérer que la doctrine des monopoles naturels a vécu, en effet. On pouvait trouver légitime que ces monopoles naturels soient des monopoles d'État à cause de l'ampleur pharaonique des investissements nécessaires pour créer telles sortes d'infrastructures par exemple, établir ex nihilo un réseau de voies ferrées, équiper tout un pays en centrales nucléaires ou même, plus modestement, équiper des communes montagnardes en remontées mécaniques, comme la Caisse des dépôts le fit à travers la Compagnie des Alpes. L'État se substitue légitimement à l'initiative privée si le bien commun exige qu'un équipement onéreux soit accessible à tous (de manière gratuite ou faiblement prisée). On a vu, au moment où le transport aérien fut libéralisé en Europe, que tous les discours sur l'impossible rentabilité des compagnies intérieures privées étaient faux les opérateurs privés réussirent aussi bien et mieux que les opérateurs publics en vendant des prestations à des prix inférieurs. Certains monopoles d'État n'ont d'autres justifications que la préservation d'une économie de rente.
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Collection Longue Mémoire de l'Institut Iliade aux Éditions de La Nouvelle Librairie
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Séparatisme ? Pour ne pas écrire conquête islamique ?
Le terme « séparatisme » est revenu tout récemment dans le vocabulaire politique. Dans les années 1950, il désignait les velléités de groupuscules, terroristes ou non, de séparer de la mère patrie les départements français situés en Algérie. Ces terres étaient françaises depuis 1830, mais une partie des habitants s’étaient progressivement engagés dans un processus de séparation. On connaît la suite, la montée en puissance du terrorisme, et finalement le ralliement au FLN, par la peur, la violence, le racisme …et l’islamisme.
Mais voici qu’on nous parle de séparatisme du Val-d’Oise, de séparatisme de départements de la petite couronne. Le phénomène n’est pas exactement identique, bien que l’on y retrouve la recette qui a conduit à la perte des départements d’Algérie : la peur, la violence, le racisme… et l’islamisme, également.
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Italie : vague de migrants à la frontière, le nombre de personnes refoulées par jour repart à la hausse depuis le mois de mai
Selon la préfecture des Alpes-Maritimes, le nombre de personnes refoulées par jour repart à la hausse depuis le mois de mai. En provenance de Tunisie ou des Balkans, ils tentent par tous les moyens de tromper la vigilance policière. Côté italien, les associations apportent nourriture et eau à ceux qui se font arrêter. Après avoir franchi la frontière, des migrants se sont installés près du port à Nice.La mairie, accusée d’immobilisme par l’opposition Rassemblement National, en appele à l’Etat. Aujourd’hui entre 80 et 180 migrants sont interpellés par la police aux frontières entre l’Italie et la France.
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Un maître de liberté appelé Gabriel Matzneff
« La voie que j'ai choisie est, je vous le répète, un choix périlleux » et, pour être couronné de succès, ce choix suppose une confiance absolue en son propre destin, un courage sans faille, une énergie vitale de chat-tigre, une santé d'airain, une indifférence royale à l'opinion publique et au qu'en dira-t-on, un très fort amour de la solitude. » Cette voie, qui est celle de la liberté, de l'indépendance, de l'autonomie et de l'honneur, Gabriel Matzneff en fournit un nouvel et magnifique exemple avec Les émiles de Gab la Rafale, son « roman électronique » paru l'automne dernier. Mais nous, qui le lisons depuis bientôt un demi-siècle, nous qui avons fait de ses livres le fanal quasi quotidien de notre existence, nous qui gardons grâce à eux tout notre amour à la langue française, nous ne nous accommodons pas de cette indifférence. Nous considérons ainsi comme un absolu scandale que le prix Goncourt ne lui ait jamais été donné. Et lorsque nous disons «donné», nous devrions plutôt dire «rendu», car c'est lui, Gabriel Matzneff, qui a beaucoup donné - cette pluie d'or et de lumière qu'est son œuvre.
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Jean Messiha : « Il faut que l’Église catholique ouvre vraiment les yeux sur les réalités profondes de l’immigration ! »
Dans le cadre du débat sur l’immigration, Boulevard Voltaire donne la parole à Jean Messiha (RN), lui-même chrétien et d’origine égyptienne, qui expose sa vision critique du positionnement de l’Eglise catholique sur ce sujet :
Vous accusez l’Église catholique d’avoir protégé un migrant en situation irrégulière. N’êtes-vous pas en contradiction avec l’esprit de bienveillance prôné par l’évangile ?
Oui et non. L’Église a toujours été dans son rôle pour accueillir les opprimés. Il ne s’agit pas du tout de cela. La question n’est pas que l’Église catholique abrite des pauvres, mais plutôt le rôle joué par l’Église catholique en tant qu’institution et notamment par le pape pour favoriser l’immigration sous toutes ses formes. Le pape François et un pape qui pour la première fois vient d’un pays du tiers monde où on retrouve les communautés catholiques les plus nombreuses. Le pape doit bien sûr avoir un discours à l’égard de ces communautés catholiques là alors même que la pratique du catholicisme s’effondre en France et en particulier en Occident de manière générale.
Un biais sert au pape pour orienter son opinion ou ses déclarations sur la question migratoire. -
5 et 6 septembre prochains, 50e Journées chouannes de Chiré-en-Montreuil
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Le virus féministe poursuit sa contagion.
La disparition programmée des hôtesses du tour de France peut paraître anecdotique. Elle est pourtant révélatrice de l'involution des esprits et de la progression des forces érosives.L'hystérie féministe qui étend son emprise vient, en effet, en complément de toutes les autres offensives auxquelles nous sommes confrontés : destruction des valeurs, submersion migratoire, contagion islamique.L'apartheid homme/femme est, au demeurant, un projet commun de l'islamisme et de l'extrémisme féministe. La différence est que le premier veut l'asservissement des femmes, le second celui des hommes.Mais les deux se retrouvent dans une volonté de destruction des principes et des moeurs qui ont fait l'Occident et participent de l'ordre naturel des choses de ce monde.Et les deux créent petit à petit les conditions de la mort de tout ce qui fait notre civilisation. -
Le masque obligatoire en l’absence d’épidémie est une apparence de talisman pour vous protéger d’un danger mythique, mais avant tout une muselière pour nous faire taire
Tribune courageuse de Nicole Delépine, ancien Chef de Clinique des Hôpitaux spécialisée en pédiatrie puis en cancérologie :
Chacun à travers les multiples articles sur des supports variés vidéos ou tribunes aura compris que le masque obligatoire en l’absence d’épidémie, alors que les hospitalisations et décès sont de quelques unités dans un pays de 67 millions d’habitants est une apparence de talisman pour vous protéger d’un danger mythique, mais avant tout une muselière pour nous faire taire. Vous n’aurez pas manqué la terrible loi dite de bioéthique votée à 3 H du matin le 1 août en deuxième lecture et autorisant deux horreurs terrifiantes, l’avortement jusqu’au terme, pudiquement qualifié d’interruption médicale de grossesse et l’autorisation de créer au laboratoire des chimères homme-animal à partir d’embryons sacrifiés. Tuer un fœtus de 9 mois n’est-ce pas commettre un crime pour lequel de nombreuses femmes ont été condamnées par les tribunaux ? Créer des Frankenstein mélangeant homme chauve-souris, homme porc ou tout ce que vous voudrez, n’est-ce pas défier la nature, et se diriger dans des sphères inconnues, tout cela en espérant vendre des organes de rechange aux milliardaires et en sacrifiant les bébés et embryons des autres. Business is business, on avait compris mais là ça dépasse l’imaginable.
Le masque de la soumission à l’autorité