Hier, dans un premier temps (c'est-à-dire à partir de 1875), le Système a peu à peu "changé" le Peuple français, en lui distillant une Histoire fausse et tronquée par le biais du Ministère de l'Instruction publique, devenu celui de la des-Éducation nationale. En le coupant de ses Racines Historiques et Spirituelles, dans le but avoué de construire des enfants "sans Roi et sans Dieu" (le mot est de Jules Ferry), ce Ministère n'a pas eu en vue, prioritairement, l'éducation des enfants, mais d'abord et avant tout le militantisme pur et dur, ultra sectaire de l'anti-christianisme, visant à "changer" le Peuple, dans son mental, dans son Esprit...
Aujourd'hui, cette sale besogne achevée - et, hélas, en très grande partie réussie... - le Système passe à une seconde étape, celle du "physique" à proprement parler (après le "mental") : avec l'immigration massive ininterrompue depuis 1975, imposée à un Peuple Français jamais consulté
LE SYSTEME CHANGE LE PEUPLE !
Pour éviter l'effacement/dissolution de la France traditionnelle
CHANGEONS DE SYSTEME !
Par les accords de Munich de 1938, l’Allemagne de Hitler a négocié avec les puissances occidentales mais a exclu l’URSS de ces négociations. Pour les Allemands de l’époque, en pleine guerre d’Espagne, la question tchécoslovaque est une affaire ouest-européenne. Elle semble ne pas percevoir les intérêts traditionnels russes dans la région. Certes, Munich est une victoire diplomatique allemande, car elle élimine un État hostile à sa frontière orientale, bien armé et bien protégé par les chaînes des Monts Métallifères et dont le territoire s’enfonce comme un coin dans la masse territoriale compacte du Reich, permettant à une éventuelle action conjointe des troupes françaises, massées en Alsace et en Lorraine sur un ancien glacis du Reich, et des troupes tchèques, de neutraliser rapidement l’Allemagne, en tirant profit d’une profondeur territoriale assez réduite. De Wissembourg en Alsace à Karlsbad (Karlovy Vary), le Reich était le plus faible. À Munich, Hitler et Ribbentrop éliminent cette faiblesse. Résumons clairement, en six points, les atouts gagnés par les Allemands à Munich.


