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Trump : le dernier round face à l’Etat profond – JT du lundi 11 janvier 2021
Au programme ce soir, la charge des réseaux sociaux contre le président Trump. Régulièrement censuré, le président américain a vu ses comptes littéralement supprimés de certaines plateformes. Un phénomène qui pose le problème de la toute-puissance de ces firmes des Big Tech.
Egalement dans cette édition, retour sur le Covid. Un an après le premier décès officiellement lié à l’épidémie en Chine, le monde est plongé dans de multiples crises. Un bouleversement global où la liberté individuelle sera à compter parmi les premières victimes.
Et puis nous irons du côté des conséquences économiques. Après une année 2020 marquée par les perfusions de l’Etat pour sauver le monde du travail, Pôle Emploi se prépare à une déferlante de nouveaux chômeurs en 2021.
https://www.tvlibertes.com/trump-le-dernier-round-face-a-letat-profond-jt-du-lundi-11-janvier-2021
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Les seuls héros qu’on admire aujourd’hui sont ceux qui se font tuer…
Entretien avec Alain de Benoist
Naguère, le héros, le combattant, le sage et le saint étaient admirés et donnés en exemple. Aujourd’hui, les victimes semblent avoir pris leur place. Comme expliquer une telle mutation symbolique ?
Deux causes fondamentales : le discrédit des valeurs héroïques, la montée de l’idéologie victimaire, lacrymale et exhibitionniste.
Il est clair que les valeurs héroïques sont aujourd’hui perçues comme des valeurs d’une époque que l’idéologie dominante, avant tout hédoniste, individualiste et utilitariste, s’emploie à présenter de façon répulsive. Comme tout ce qui touche à la patrie, elles sont décrétées « ringardes », c’est-à-dire à la fois vieillottes et obsolètes. On admire à la rigueur les héros qui se sont fait tuer (le colonel Beltrame, les soldats français tombés au Sahel), car leur mort a fait d’eux des victimes, mais on se méfie des héros vainqueurs. Trop guerriers dans une époque qui rêve de paix universelle, trop virils à l’époque de la « masculinité toxique » (le « repos du guerrier » ayant déjà été mis hors-la-loi par les pétroleuses du mitou).
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Le temps des dictateurs
À l’heure ou les bien-pensants s’inquiètent de l’émergence de « démocraties illibérales » on réédite un Ouvrage majeur de Jacques Bainville, talentueux analyste d’Action française, sur les pouvoirs autoritaires.
À la différence du juriste allemand Carl Schmitt, l’historien royaliste Jacques Bainville (1879-1936) n’a pas écrit un traité de la dictature mais bien une série de portraits de dictateurs. Comme toujours chez Bainville, on ne trouvera ici nul jugement moral a priori mais le simple examen des faits et la conviction que la dictature est un phénomène protéiforme. Ce sera son dernier ouvrage, publié en 1935 chez Denoêl et en partie écrit par Robert Brasillach et Lucien Rebatet alors chroniqueurs à L’Action Française.
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« Compétitivité » : des usines énergivores débranchées du réseau français
« Electricité : des usines énergivores débranchées du réseau françaisVendredi, aux alentours de 14 heures, RTE a activé le mécanisme dit « d’interruptibilité ». Autrement dit, il a débranché des sites industriels énergivores pour réduire leur consommation à cause d’un incident. RTE explique que ce phénomène n’est pas lié à la tension sur le réseau électrique français. Des sites comme celui du groupe Liberty, qui produit de l’aluminium à Dunkerque, ou ceux du chimiste KEM ONE dans le sud de la France peuvent se voir couper le courant pour libérer des centaines de mégawatts »
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GAFA: La toile se resserre – Une dérive qui inquiète jusqu’à la gauche (Présent)
Prenant honteusement prétexte des incidents ayant émaillé mercredi dernier la juste manifestation de colère des partisans de Donald Trump devant le Capitole à Washington (voir Présent daté du 8 janvier), les milliardaires mondialistes à la tête des tout-puissants réseaux sociaux que sont Twitter, Facebook ou encore Instagram ont brutalement fermé ou suspendu vendredi les comptes du président américain, et entamé une impitoyable chasse aux sorcières contre ses sympathisants. Une atteinte à la liberté d’expression tellement énorme que certains grands médias français et autres personnalités, pourtant très hostiles au chef de la Maison-Blanche, en viennent aujourd’hui à s’interroger, et même à s’inquiéter d’une telle dérive totalitaire.
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Affaire Duhamel, dérive racialiste et décolonialiste: Science Po dans la tourmente
Science Po toujours dans la tourmente. Après la mise en cause d’une de ses figures emblématiques, Olivier Duhamel, pour des faits d’inceste pédocriminels, la fabrique à petites élites de la république est à présent sous le feu des projecteurs pour l’idéologie racialiste qui prospère en son sein. Racialiste, décolonialiste et indigéniste se seraient ainsi fait leur place dans l’école rue Saint Guillaume… C’est en tout cas ce qu’explique une enquête publiée dans le Figaro dimanche.
Inspirés des dérives universitaires américaines, des petits groupes feraient ainsi pression pour imposer leur vision du monde, faisant la chasse à celui qui serait dominant ou dominé. Un groupe d’étudiants noirs demande par exemple de rendre obligatoire des cours « à propos de l’intersectionnalité raciale, la théorie critique de la race et la pensée décoloniale » et d’obliger aux blancs de se rendre compte qu’ils sont racistes… Une partie des élèves, mais aussi des enseignants, s’inquièteraient de ces dérives… Avec les récents évènements, l’organisation de l’IEP pourrait bien être grandement chamboulée d’autant que certains parlementaires se sont publiquement inquiétés de ces dérives.
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Les Réprouvés d’Ernst Von Salomon : Grandeurs et limites de l’activisme
Bréviaire de plusieurs générations d’aventuriers et de militants (de « gauche » comme de « droite »), « Les Réprouvés » est l’analyse la plus fine des grandeurs et des limites de l’activisme. A travers le récit d’Ernst Von Salomon, on découvre une époque troublée où les explosifs les plus violents étaient les esprits embrasés et où les hommes pouvaient encore jouer à avoir un destin. « Nous croyons aux instants où toute une vie se trouve ramassée, nous croyons au bonheur d’une prompte décision ».
« Peu importe ce qu’on pense. Ce qui compte c’est la manière de le penser »
L’épopée romantique, ne doit pas faire oublier que ce récit est surtout un témoignage sur une expérience personnelle à laquelle l’Histoire a donné une dimension tragique. Von Salomon se garde de tomber dans le manichéisme, sachant par expérience que les idéologies ne sont que des masques pudiques pour les passions humaines. Reconnaissant la valeur de l’adversaire, que ce soit les insurgés communistes poursuivant sous d’autres drapeaux un combat comparable au sien ou bien Walter Rathenau, à qui il rend un hommage riche d’enseignement, il tire de son époque une morale de l’action qui transcende les clivages : « Agir, agir n’importe comment, tête baissée, se révolter par principe, tendre ses énergies par tous les moyens, avec toutes les audaces, le sang ne coule jamais en vain ! ». Les seuls être qui ne trouvent nulle grâce à ses yeux sont les bourgeois, leur lâcheté les lui rend à jamais méprisables.
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Les vaccins peuvent faire disparaître le virus, mais pas la crise
Marc Rousset
La Bourse de Paris a fini au-dessus des 5.700 points, ce vendredi, portée par les perspectives optimistes de reprise économique, suite à la vaccination. Wall Street a également clôturé sur des records, ignorant les mauvais chiffres de l’emploi américain. En décembre, 140.000 emplois ont été perdus, alors que les analystes tablaient sur 112.000 emplois créés. Quant à la folie Tesla, elle continue puisque l’action s’est approchée des 900 dollars, faisant d’Elon Musk l’homme le plus riche du monde, la capitalisation boursière de Tesla (834 milliards de dollars) représentant 80 fois celle de Renault et dépassant celle de Facebook.
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Une réponse nationaliste au mondialisme par Julien DARVANT
C’est devenu une vérité de La Palisse que de dire que la pandémie du covid a permis au mondialisme d’étendre encore plus son emprise. Gestion par l’OMS, sacrifice de l’économie locale au profit des GAFAM, perte de cohésion sociale et atomisation de la société… Le mondialisme a su profiter de la crise qui aurait au contraire pu et dû accoucher d’une réaction nationaliste. Mais, par manque de réactivité et, aussi on le sent, par peur d’enfreindre les Diktat sanitaires, les nationalistes ne surent profiter de l’opportunité qui se présentait.
Cette réaction salutaire était dictée d’abord par un sentiment de rejet. Le mondialisme avait failli, ses promesses ne s’étaient pas concrétisées, on nous avait menti. Mais comme l’adage le stipule, les sentiments, tout comme la colère, sont de bien piètres conseillers. Pourquoi s’opposer au mondialisme?
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