Ainsi que vous l’avez appris des médias (qui ne sont pas parvenu à nous le cacher – si l’on veut bien se souvenir que France Inter, radio d’Etat, a passé sous silence les récentes émeutes de Blois *), le département est confronté à une recrudescence et une aggravation des affrontements entre bandes rivales, que les élus locaux et les acteurs de la prévention ne parviennent pas à endiguer. Les raisons de cet échec sont évidemment diverses mais reposent essentiellement sur les deux piliers habituels de l’abandon des territoires : l’idéologie immigrationniste et droit-de-l’hommiste ainsi que les flagorneries des édiles à l’égard de l’islamisme :
Si cette augmentation concerne toute l’Ile-de-France, le département de l’Essonne totalise à lui seul la moitié des bagarres de ce type en grande couronne en 2020 : 91 sur 186, selon le ministère de l’Intérieur (sachez que vous pouvez doubler les chiffres sans risquer de vous tromper !). Et dénombre quatre morts en moins d’un an : deux à Massy et Draveil à l’été 2020 et deux pendant les vacances de février, à Boussy-Saint-Antoine et Saint-Chéron (heureuse époque révolue où les saints laissaient leur nom à nos villages…). Trois des victimes avaient entre 14 et 15 ans.
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