Communiqué de Marine Le Pen :
Ce mercredi 5 janvier, un homme présenté comme « un marginal » a pénétré dans la Basilique de Saint-Denis, nécropole royale de l’Ancien Régime, pour saccager plusieurs statues et vitrines à la barre de fer.
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Communiqué de Marine Le Pen :
Ce mercredi 5 janvier, un homme présenté comme « un marginal » a pénétré dans la Basilique de Saint-Denis, nécropole royale de l’Ancien Régime, pour saccager plusieurs statues et vitrines à la barre de fer.
Et sur la scène internationale, comme ils disent ? Sur ce théâtre où, forcément, il est le seul à savoir jouer, et où un Éric Zemmour ou une Marine Le Pen donnerait de la France une image évidemment détestable. Comment nos voisins et partenaires européens ont-ils reçu la phrase désormais historique d’Emmanuel Macron : « Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et, donc, on va continuer de le faire, jusqu’au bout. C’est ça, la stratégie. » Bien sûr, c’est le em… qui a concentré les efforts des traducteurs.
Virginie Subias Konofal, agrégée de lettres classiques, ayant enseigné en classes préparatoires et dans le secondaire, est membre du bureau de la Fondation pour l’école.
Ce livre parcourt l’histoire de l’institution scolaire en France et des pédagogies qui ont fleuri, ou fané, en son sein. D’emblée, Virginie Subias Konofal démontre que, lorsque Jules Ferry entra sur la scène scolaire, l’école était, en France, depuis plusieurs siècles à la fois gratuite et obligatoire. La vraie nouveauté introduite par Jules Ferry, et dont la bien-pensance ne cesse de le féliciter aujourd’hui, est la laïcité, qui était à l’époque une laïcité de combat contre la prépondérance éducative des œuvres ecclésiastiques.
Il est de grandes questions que les programmes électoraux des candidats à la présidentielle abordent sans susciter de grandes réactions, comme si une forme de consensus les entourait et que les réponses apportées par les uns ou les autres se rejoignaient peu ou prou, ce qui n’est, à bien y regarder, pas exactement le cas. Ainsi en va-t-il de la question des retraites : la plupart des candidats en lice évoquent un allongement de la vie au travail et un recul de l’âge minimal du départ en retraite, comme la seule solution globale aux perspectives démographiques et sociales futures. La Droite évoque, en général, 65 ans quand M. Macron, « pas encore candidat » (sic !), parle de 64 ans et que son ancien commis Édouard Philippe avance…
Juin 1627. Quatre navires corsaires ottomans venus d’Afrique du Nord attaquent les fjords de l’est de l’Islande, les îles Vestmann au sud, et Grindavik au sud-ouest, et s’emparent de 400 personnes, hommes, femmes, et enfants, pour les réduire en esclavage dans la région d’Alger.
En 1627, l’Islande vit en paix. Pauvre, mais en paix. À l’inverse, une grande partie du reste de l’Europe, en cette époque de Guerre de Trente Ans, est à feu et à sang.
Message de Marion Maréchal diffusé hier 8 janvier lors de la manifestation à Paris contre le passeport vaccinal et la politique du gouvernement Macron.
Un message de Steve Bannon a également été diffusé :
La Pologne va lancer un plan pour relancer sa natalité, “fondé sur une politique pro-famille et pas sur l’immigration”.
Le gouvernement polonais prépare une nouvelle stratégie démographique destinée à lutter contre l’un des taux de fécondité les plus bas d’Europe. Le programme sera basé sur le “soutien aux familles” et “non sur la migration”, selon la ministre du travail, des familles et de la politique sociale, Marlena Maląg.
Ce vitalisme social n’est pas un désengagement, mais un engagement. Dans un monde où tout ce qui se veut légitime et institué en appelle au narcissisme de masse, au travail aliéné, au présentisme, au machinisme, au déracinement, de nouvelles énergies apparaissent spontanément et, malgré les pressions des pouvoirs et des pédagogies, osent « faire de la musique sans solfège ». Fils de la décadence, les néo-européens, nouveaux barbares, ne connaissent même plus la vulgate du moralisme humanitaire occidental.