Emmanuel Macron avait annoncé qu’il ne participerait pas à un débat avec les autres candidats avant le premier tour. Trop pris par sa charge et la guerre. Trop au-dessus de la mêlée. Et puis, quand on trône à 30 %, pourquoi s’abaisser à un exercice démocratique au milieu de challengers qui peinent à atteindre et à se maintenir à 15 % ?
Nous sommes donc dans la stratégie de « l’enjambement » de l’élection. Ce que n’a pas manqué de lui reprocher Éric Zemmour, samedi, à Agen. Et voilà que, ce même samedi, le candidat Macron publie une vidéo expliquant qu’il souhaite « un grand débat », comme celui qui lui avait permis de s’extirper de la crise des gilets jaunes en 2019, mais « permanent ». Un grand débat permanent mais « au lendemain de l’élection » !
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