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  • La science du XXe siècle – Mythologies ou Bible du Démon (Pierre Dequènes)

    Pierre Dequènes, ingénieur en Génie atomique, a fait sa carrière dans de grandes sociétés d’ingénierie nucléaire. Il s’est ensuite consacré à la critique scientifique.

    Cet ouvrage est paru pour la première fois en 1996. Laurent Glauzy, qui a choisi de le rééditer en y ajoutant une préface et un cahier photos, nous explique que c’est le regretté Serge de Beketch qui lui avait fait découvrir ce livre. Pierre Dequènes, lui-même scientifique, rappelle qu’en matière de préhistoire et d’évolution, des « spécialistes » ont souvent extrapolé les découvertes de rares ossements pour en tirer des reconstitutions absurdes ou même falsifiées.

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  • L’État islamique appelle ses partisans à reprendre leurs attaques en Europe en saisissant “l’occasion” du “combat entre croisés”, en allusion à l’invasion de l’Ukraine par la Russie

    Le groupe terroriste a également appelé ses partisans à reprendre leurs attaques en Europe en saisissant «l’occasion» du «combat entre croisés».

    L’organisation djihadiste État islamique (EI) a promis dimanche de «venger» son précédent chef, mort en février, et appelé ses partisans à profiter de la guerre en Ukraine pour reprendre leurs attaques en Europe.

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  • Frontex débordé : pourquoi la mise en place de frontières extérieures à l’Union européenne est vouée à l’échec

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    Frontex, officiellement « Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes », est régulièrement sous les feux de l’actualité. Rarement pour de flatteuses raisons. Accusée soit d’inefficacité soit de brutalité, cette agence est présentée comme la solution aux problèmes migratoires auxquels sont confrontés les États européens. Car il faut bien rassurer les citoyens inquiets des vagues migratoires successives et de la croissance des trafics illégaux. Or, qu’en est-il ?

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  • [Tribune] Électeurs LR, il faut battre Emmanuel Macron et donc voter Marine Le Pen !

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    Bravo aux patriotes pour la forte mobilisation au premier tour de l'élection présidentielle 2022 ! En effet, la somme des résultats obtenus par chacun des candidats du camp patriote, national, conservateur et souverainiste confirme la tendance du basculement idéologique vers la droite dite « forte » ou « dure ». On peut le dire aujourd'hui : plus que jamais, le camp patriote est installé dans le paysage politique en France. D'ailleurs, comment aurions-nous pu en douter, puisque depuis des années, toutes les enquêtes d'opinion ne font que confirmer le phénomène de droitisation de la société.

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  • Le précédent Trump : « Le peuple n’écoute plus ses élites »

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    Le Système, cette caste qui contrôle les pouvoirs, ne maîtrise plus ses coups. Contre le peuple qui se réveille, les « élites » tiennent des propos de guerre civile. Elles usent de l’assommoir pour faire taire les protestataires, à quelques jours de l’échéance présidentielle. La haine, qui déborde des accusations portées par ces « humanistes », dit le mépris dans lequel ils tiennent près de la moitié du corps électoral, assimilé à des sous-citoyens. Samedi, lors du meeting clairsemé du président-candidat à Marseille, Mourad Boudjellah, soutien du macronisme, a déclaré : « A tous ceux qui votent Front National (sic), regardez vous, vous êtes racistes ». Ce lundi, dans Libération, la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, assure que Marine Le Pen veut « mettre au pas les artistes, les journalistes et les responsables d’institutions culturelles ». Vendredi, dans Le Parisien, 500 personnalités du monde de la culture ont appelé à voter contre « la xénophobie et le repli sur soi », en assurant : « Nous ne mettons pas sur le même plan la démocratie et le populisme ».

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  • Abel Bonnard ou l’exemple de la cohérence 1/3

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    [Ci-dessus : couverture de la première édition de 1936. Abel Bonnard analyse la lâcheté des modérés, autre nom des conservateurs, paralysés par leurs adversaires parce qu'ils ignorent que “le premier réalisme, en politique, est de connaître les démons qui se sont cachés dans les mots” et dont la faiblesse “vient beaucoup de ce qu'ils n'ont pas la moindre doctrine”. Égoïstes troublés et opportunistes, les modérés sont incapables de défendre la société]

    « Croyez-moi, les hommes qui par leurs sentiments appartiennent au passé, et par leurs pensées à l’avenir, trouvent difficilement leur place dans le présent » (Louis de Bonald à Joseph de Maistre, 22 mars 1817)

    « Nous n’aimons que les choses rares, les pierres, le cristal pareil à du soleil gelé, le corail, sceptre de l’aurore, les perles, larmes de la lune » (Abel Bonnard)

    « L’homme considère les actes, mais Dieu pèse les intentions » (Imitation de Jésus-Christ, II, 6, 2)

    Les Modérés sont l’ouvrage le plus célèbre d’Abel Bonnard (1883-1968), le meilleur aussi et le plus important, de l’avis unanime de ceux qui s’intéressent à son œuvre. Sa parution chez Grasset en 1936 marque un tournant décisif dans la vie et l’œuvre de Bonnard.

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  • LE DANGER N’EST PAS LE POPULISME, MAIS L’OLIGARCHIE QUE NOUS SUBISSONS !

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    Le Nouvel Observateur, l’OBS, pour faire “chébran” offre toujours le spectacle d’une prétention sans mesure : la gauche caviar aime à se parer de références culturelles et à s’enorgueillir de l’autorité des spécialistes reconnus. C’est ainsi que récemment Marc Lazar, professeur d’histoire et de sociologie politique qui dirige le Centre d’histoire de Sciences-Po et préside la School of Government de la Luiss (Libre Université internationale des Etudes sociales, Rome), a été brandi comme un étendard dans la guerre sainte contre Marine Le Pen. Il est l’auteur, avec Ilvo Diamanti, d’un ouvrage au titre barbare : “Peuplecratie”. En bon français, et avec l’équilibre de ses deux racines grecques, le mot est “démocratie”, mais ce néologisme moche entend justement souligner la dérive de la démocratie en France et en Europe.

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