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À la différence des politiciens de la gamelle qui hantaient les palais de la Ve République déjà agonisante, les populistes des années 1970 apportèrent un brin de fraîcheur : ils ne cherchaient pas à décrocher une sinécure et se fermaient volontairement l’accès aux « honneurs », en défendant des idées simples – Honneur, Travail, Famille, Patrie.
L’annonce n’a pas eu l’effet prévisible, pris en étau entre le rachat de Twitter par Elon Musk et l’annulation annoncée de Roe v. Wade par la Cour suprême. Pourtant, mercredi 27 avril dernier, le Département de la sécurité intérieure des États-Unis annonçait la formation du Conseil de gouvernance de la désinformation, ou Disinformation Governance Board (DGB), en prévision des élections de mi-mandat en novembre prochain.
Pour un pays indiscipliné, les Français ont fait preuve d’une belle discipline électorale en reconduisant le mandat d’Emmanuel Macron. Les Insoumis ont beau rêver d’une cohabitation, le RN d’un groupe parlementaire, c’est Macron qui a la main, lui, Bruxelles et l’hégémonie libérale. Alors, que faire dans ces conditions ? Travailler, réfléchir, se projeter. L’opposition doit se transformer en propositions.
La presse internationale glose depuis longtemps sur la France prétendument révolutionnaire, ingouvernable, capricieuse et incapable de suivre la marche libérale et anglo-saxonne du monde. Les Gaulois réfractaires, selon l’expression consacrée de notre Président, viennent pourtant de montrer au monde leur légitimisme en lui renouvelant leur confiance. Peuple régicide, rétif à être conduit, les Français ont réélu leur chef de l’État, chose inédite dans ces circonstances (hors cohabitation) sous la Ve République.
«Le G7 tout entier s’est engagé aujourd’hui à interdire ou supprimer progressivement les importations de pétrole russe», a annoncé dimanche la Maison Blanche dans un communiqué.
La troisième réunion du G7 cette année se tenait ce dimanche en présence du président ukrainien Zelensky. Les États-Unis ont annoncé en parallèle de nouvelles sanctions contre les médias russes et l’accès aux services de conseil et comptabilité américains.
Eglise universelle : Histoire des traditionalistes
L’historien Yves Chiron vient de publier un ouvrage monumental au titre parfaitement explicite : « Histoire des traditionalistes ». Il nous présente ici les origines du traditionalisme et ce qui en constitue les fondements intellectuels et doctrinaux. Il explique les raisons du développement de ce courant et de sa permanence, en particulier en France et aux Etats-Unis.
Eglise en France : Pèlerinage aux Lucs-sur-Boulogne le 7 mai
Le 28 février 1794, plusieurs centaines de femmes et d’enfants étaient massacrés aux Lucs-sur-Boulogne par les colonnes infernales du général Cordellier. En mémoire de ces martyrs de la foi, le père Argouarc’h, de la Sainte croix de Riaumont, organise un pèlerinage de la Chabotterie, manoir de Charrette, aux Lucs-sur-Boulogne le samedi 7 mai.
Eglise en Marche : Histoire du MJCF. Une jeunesse missionnaire au service du Christ
Le MJCF (Mouvement de la Jeunesse Catholique de France) a fêté il y a peu l’anniversaire des 50 ans de sa fondation. A cette occasion, un album abondamment illustré, a été publié, contenant de nombreux documents et témoignages. Dominique Vannini, un des auteurs de ce travail collectif, et ancien de l’équipe de fondation du MJCF présente les intuitions originelles et le fonctionnement de ce mouvement d’apostolat de jeunes par d’autres jeunes.
En ce jour de commémoration de la victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie, un coup d’oeil sur le rétroviseur de l’histoire est nécessaire. En 1940, une des grandes puissances mondiales dotée, paraît-il, de la meilleure armée du monde s’effondre. La France est submergée, envahie, humiliée, occupée partiellement puis entièrement, livrée à la honte de la collaboration active ou passive, mais sauvée d’abord par un homme, puis par une poignée d’hommes et de femmes qui n’acceptent pas le déshonneur et refusent la défaite. Commence alors l’épopée de la Résistance qui grossira avec le temps, lorsque “l’espoir changea de camp et le combat, d’âme” !
Charles d’Orléans, le prince charmant, le prisonnier d’Azincourt qui resta de si longues années captif en Angleterre, parlait de la France de la même manière :
En regardant vers le pays de France Un jour m’advint à Douvres sur la mer...
Qui ne se souvient de cette poésie ? et qu’y demandait-il ?
De voir France que mon cœur aimer doit.
Charles d’Orléans représentait le parti d’Orléans : c’était le parti national.
Et Christine de Pisan ? Elle parlait de la France pareillement ! Et voilà comment elle en vint à écrire son “Dittié en l’honneur de la Pucelle” ! Comme Alain Chartier écrivit lui aussi sa “Lettre sur Jeanne”.
La guerre que mène aujourd’hui l’Occident contre la Russie inquiète profondément les pays non occidentaux, et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle si peu d’entre eux s’enrôlent sous la bannière occidentale.