Malgré les refus du Grand Rex puis du théâtre du Gymnase, la soirée de lancement de l’Omerta a bien eu lieu, à la Palmeraie. Devant plusieurs centaines de personnes, Régis Le Sommier a présenté ce nouveau média qui propose essentiellement des documentaires. Les trois premiers concernent :
- « Front russe : l’Ukraine de Poutine face à la contre-attaque »,
- « Arménie, la guerre oubliée »,
- « Trans : confusion des genres ». Ce documentaire, réalisé par Amélie Menu, s’attaque à la transidentité. Amélie Menu a souffert de dysphorie de genre à l’aube de sa vingtaine. La réalisatrice ne se reconnaissait pas dans les standards de la féminité et ce décalage créait en elle une grande souffrance.