Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 28

  • Un prisonnier sur quatre est de nationalité étrangère en France

    thumb_21266_article_sliderBig.jpg

    Leur nombre dans les prisons françaises correspond peu ou prou à celui de la surpopulation carcérale. Au 1er juillet, sur 72020 détenus, l'administration pénitentiaire comptait 53952 Français et donc 18068 détenus étrangers. Le tout pour 60 709 places de prison opérationnelles.

    En tête des nationalités les plus représentées en détention, on retrouve celles d'Afrique du nord, avec 3974 Algériens, 2093 Marocains et 1254 Tunisiens.

    [...]

    Le Figaro 

    https://tvl.fr/actus/un-prisonnier-sur-quatre-est-de-nationalite-etrangere-en-france

  • Après l'abandon du gaz russe, les pays industrialisés mettent en péril leurs objectifs climatiques en développant le GNL

    gas-natural-y-gnl-10-predicciones-para-2022-14229.jpg

    Source: https://zuerst.de/2022/11/14/nach-abschied-vom-russengas-...

    Charm el-Cheikh. Après avoir réussi à se détacher de l'approvisionnement en gaz russe, de nombreux pays occidentaux se précipitent pour utiliser le gaz de fracturation (GNL) comme substitut. Le principal exportateur de ce type de gaz serait actuellement les États-Unis, mais d'autres pays pourraient également en fournir aux Européens. Mais ces derniers sont loin de disposer de l'infrastructure nécessaire, soit pour transporter le gaz vers l'Europe avec leurs propres navires-citernes GNL, soit pour injecter les livraisons de gaz dans le réseau européen des gazoducs au départ de terminaux spéciaux. Le développement de l'infrastructure GNL doit maintenant être poursuivi à un rythme soutenu.

    Lire la suite

  • « La Banque de France force Carrefour et Casino à accepter les espèces ! ». L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    C’est une dépêche de l’AFP qui nous fait part du courroux de la banque de France à l’égard de Carrefour et de Casino. (Source BFM TV ici

    « Cette demande à l’encontre des deux enseignes de la grande distribution fait suite au constat que l’absence de personnel dans certains magasins ouverts le dimanche contraignait les clients à régler leurs courses à des caisses automatiques.

    Lire la suite

  • NOTRE ÉLITE EST-ELLE SEULEMENT INCOMPÉTENTE OU TRAHIT-ELLE ? (4- OCEAN VIKING)

    Un député élu au nom d’un parti qui proclame son opposition à l’immigration massive que subit la France depuis de longues années est sanctionné pour avoir exprimé cette opinion dans l’hémicycle, le gouvernement italien qui vient d’être porté au pouvoir, notamment sur un programme qui s’oppose lui-aussi à l’immigration, est critiqué avec une violence peu diplomatique par l’exécutif français : il y a dans ce parallèle une évidence qui réside dans le mépris de plus en plus affiché par le pouvoir dans notre pays à l’encontre de la volonté populaire.

    Lire la suite

  • L’énigme de Kherson n’en est pas une – par François Martin

    Pourquoi les Russes sont-ils partis de Kherson ? Pour François Martin, on en a fait une énigme, alors que les explications sont très simples.

    Il existe plusieurs raisons qui expliquent facilement le retrait des troupes russes de Kherson. Elles tiennent soit à la géographie locale, soit au moment de la guerre, soit à la nature même de celle-ci.

    La géographie

    J’avais dit dans un article précédent (1) que le retrait des russes de Kherson était un piège, parce que l’idée qui devait les titiller, dans ce « jeu d’échecs de la guerre », que nous voyons se déployer depuis huit mois, était de faire aux ukrainiens une « variante Moscou » (ce qu’ils ont fait à Napoléon), ou une « variante  Stalingrad » (ce qu’ils ont fait à Hitler). Je m’étais trompé, ou plutôt, il convient d’adapter et de mieux préciser les choses.

    Lire la suite

  • La pression migratoire « à son niveau maximum » : les terrifiantes révélations de Patrick Stefanini

     
     
     Arnaud Florac 16 novembre 2022

    Vous vous souvenez peut-être de Patrick Stefanini en directeur de campagne de Valérie Pécresse. 

    On peut lui reconnaître une certaine fidélité politique, à défaut d'une grande familiarité avec le succès. 

    On oublie très souvent qu'il fut également secrétaire général du ministère de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Développement solidaire sous Nicolas Sarkozy. Lui, en revanche, on s'en souvient : président du Kärcher™, après une carrière de fier-à-bras au ministère de l'Intérieur, il fut le Président de l'ouverture à gauche, du traité de Lisbonne et de tant d'autres belles choses. Sur l'immigration, après des discours clivants dus à la sagacité sociologique de Patrick Buisson, qui avait senti ce que pensait le peuple, Sarkozy n'avait rien fait.

    Lire la suite

  • Charles Péguy, le croisé antimoderne

    Charles Peguy dans éléments
     

    Charles Péguy (1873-1914) est un homme à part dans l’histoire des lettres françaises. Poète de l’incarnation, polémiste redoutable, il avait une âme religieuse, chargée d’humanité. De l’affaire Dreyfus à la Grande Guerre, il a cherché à faire prévaloir une conception héroïque de l’existence. Jusqu’à sa mort, au champ d’honneur, d’une balle en plein front.

    L’œuvre de Péguy, c’est un peu le mémorial de la Grande Guerre. En mourant aux premiers jours de septembre 14, celui qui était alors lieutenant est devenu l’un de ces soldats aux mille visages, dont les noms sont inscrits sur les monuments aux morts qui jalonnent notre pays. La propriété de tous, sans exclusive. Vichy a bien cherché à l’annexer, mais en vain. Il était trop inclassable, lui qui prévenait : « Je suis toujours sur deux plans. » Nationaliste chez les dreyfusards, monarchiste chez les républicains, charnel chez les mystiques. Jean Guéhenno l’a résumé d’une formule sans appel : Péguy était un républicain qui ne votait pas et un chrétien qui ne communiait pas.

    Lire la suite

  • À cause de mon article sur Laure-Line, le maire de Callac a éclaté en sanglots

    jean-yves-rolland-maire-de-callac-le-17-septembre-dernier_6958877_676x441p.jpeg

    Martine Chapouton Riposte laïque cliquez là

    Ce 15 novembre, c’est soir de conseil municipal à Callac.

    18 h 20. Cela commence mal. La porte de la mairie est fermée à clé. Ceux qui veulent assister au conseil doivent attendre dehors dans le froid et sous une fine pluie désagréable.

    Pourquoi cette porte verrouillée ? Le maire et ses services ont reçu plein de coups de téléphone demandant à quelle heure est le conseil. Alors, vous comprenez. Cela inquiète le pauvre homme.

    Il redoute une manifestation, donc il a fait prendre des précautions. 18 h 30, les portes s’ouvrent. Les citoyens peuvent accéder à la salle du conseil où siègent déjà les élus.

    Enfin, pas tous. Il manque trois élus, qui ont d’ailleurs donné procuration.

    C’est pas de veine, notre chère Laure-Line Inderbitzin est portée manquante. On ne saura pas pourquoi.

    Lire l'article cliquez ici

    Notons que dans cette salle il fait vraiment bon. On doit être à 22 ou 23 degrés. Très au-dessus des 19 degrés que le maire indique être la norme pour toutes les autres réunions. C’est bien connu, « charité bien ordonnée commence par soi-même ». Mais on ne va pas s’en plaindre, dehors il fait vraiment frisquet.

    Lire la suite