Vous ne le connaissiez pas ? Moi non plus, du moins il y a quelques heures ! Et j’avoue avoir découvert un nouveau cas journalistique, presque une importation de l’Ukraine de Mirovorets, haineux à souhait ! Nous sommes à des niveaux stratosphériques dans la désinformation. Si nous avions connu les reportages truqués (Elena Volochine), l’aide humanitaire à envoyer à l’armée ukrainienne et le journaliste pro-nazi ukrainien médaillé d’une médaille locale décernée la dernière fois à un résistant français (Paul Gogo deux fois nominé !), nous n’avions pas atteint, et depuis fort longtemps un tel niveau de… malfaisance, nous retrouvant quelque part entre un marécage nauséabond (de Volhynie), et les couloirs étroits des égouts de Paris (de Kiev ?). C’est au départ rien qu’un des très nombreux journalistes grenouillant dans les coulisses des médias du système. C’est qu’il devient très dur de faire carrière, les braves gens étant de moins en moins crédules, comme il le déplore lui-même dans un article du média public français FranceInfo, piloté par le gouvernement français : « La défiance que l’on observe envers l’État et les médias traditionnels s’est généralisée, donc ces pages [pro-russes] séduisent », regrettait-il amèrement. C’est sans doute la raison, pour laquelle il se déclare partout « journaliste indépendant », un comble lorsque l’on est mis en avant par une officine des médias de la propagande française, et certainement l’une des plus caustiques et nocives dans la désinformation. Frais moulu d’une école de journalisme (au mieux depuis 2018), ou autre faculté, ou pire de Science Po, la difficulté pour lui bien sûr, c’est de montrer son allégeance la plus dégoulinante possible au système. Serge Hallimi en parlait de longue date dans son Les Nouveaux Chiens de Garde, faire carrière dans la partie demande des talents de courtisanes, tout en ayant le petit doigt sur la couture du pantalon… A l’époque où Hallimi écrivait son livre, l’ami Nicolas devait être encore en culotte courte, voire au sein. Pas facile donc, de se faire remarquer, et pour se faire, autant choisir des spécialités, devenir une référence, le top des références. Alors qu’avait-il choisi pour faire rentrer les piges et un maximum de ce doux argent sonnant et trébuchant si cher à ce genre de personnages ? Le terrorisme islamique de l’Asie du Sud-Est…