par Al Manar
Alors que l’aide coule à flots vers la Turquie où se trouve l’épicentre du séisme meurtrier et destructeur qui a frappé le lundi 6 février des zones situées entre le sud de la Turquie et le nord de la Syrie, cette dernière est abandonnée à son destin par crainte des sanctions occidentales décrétée par les États-Unis dans le cadre du Ceasar Act.
Mais quelques pays ont bravé le Ceasar Act promulgué par les États-Unis et qui entravent l’envoi de de l’aide et des secours nécessaires a ce pays , sachant que le séisme y a causé la mort de 2300 personnes, selon un bilan livré au milieu de la journée de ce mardi 7 février, a blessé plus de 3500 personnes et détruit ou endommagé 3000 maisons. Plusieurs centaines de syriens sont portés disparus.