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[L’été BV] Martyre de Lola : les dix questions graves toujours sans réponses
Ils vous avaient peut-être échappé. Cet été, nous vous proposons de lire ou relire les meilleurs articles publiés cette année par BV.
Cet article a été publié le 18/10/2023.Le 14 octobre dernier, la petite Lola était retrouvée morte à Paris. L'horrible meurtre et le profil de la présumée coupable, une Algérienne sous OQTF, avaient révolté les Français. Cette dernière a été mise en examen en octobre 2022 pour « meurtre et viol avec actes de torture et de barbarie sur mineure de moins de 15 ans ». Mais aujourd'hui, on apprend que la principale suspecte, Dahbia Benkired est désormais hospitalisée en psychiatrie. Pour le moment, selon une première expertise psychiatrique, la suspecte ne souffre « d'aucun trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli ou alterné son discernement », ce qui la rendrait accessible à une sanction pénale. Quelques jours après le drame, Marc Baudriller interpellait solennellement le gouvernement. Plus que jamais d'actualité.
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Trois livres sur les relations germano-soviétiques de 1918 à 1944 1/5
Ci-dessus : Deux personnages importants de la République de Weimar : von Papen et Kurt von Schleicher, ici en 1932, respectivement alors Reichskanzler et Reichswehminister, lors d’une commémoration militaire à Berlin. Von Schleicher constatera que son armée ne pouvait contenir les éléments communistes et nazis si ceux-ci unissaient leurs forces. Son objectif : maintenir le statu quo (réparations incluses) en demandant aux Alliés de pouvoir disposer de 300.000 hommes. Cette éventualité inquiétait les Soviétiques, car elle aurait pu déboucher sur une alliance franco-germano-polonaise. Le conflit entre von Schleicher voulant temporiser la situation socio-politique et l’ultraconservateur von Papen décrétant la loi martiale ne fera que rendre plus instable le gouvernement de Hindenburg.
La problématique complexe des relations germano-soviétiques revient sur le tapis en Allemagne Fédérale depuis quelque temps. Trois livres se sont penchés sur la question récemment, illustrant leurs propos de textes officiels ou émanant de personnalités politiques. Pour connaître l’arrière-plan de l’accord Ribbentrop-Molotov, l’historien britannique Gordon Lang, dans le premier volume de son ouvrage,
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Nice : en plein centre-ville, des toxicomanes font régner le chaos depuis plusieurs années
Insultes, menaces et même agression à la seringue : la rue Tiranty, située à deux pas de la très touristique avenue Jean Médecin, est occupée depuis plusieurs années par une bande de toxicomanes indélogeables. «Les associations vont à l’encontre de nos actions. Elles les maintiennent ici», déclare un riverain. Et son épouse d’ajouter : «Ces mecs-là résistent à tout, on ne peut rien faire. Ils sont intouchables et insolvables et nous, on prend.»
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A la découverte des rebelles irlandais exécutés lors de l’insurrection de Pâques 1916 : Éamonn Ceannt
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Nouvelles du front
Zelensky : portrait à charge
Scott Ritter, l’ancien agent spécial de la CIA et inspecteur de l’ONU , connu pour sa dénonciation du mythe des armes de destruction massives en Irak, est aussi l’un des commentateurs les plus assidus de la guerre en Ukraine. Depuis le début de l’opération spéciale, il affirme que la Russie avait des raisons légitimes d’intervenir en Ukraine, que l’Ukraine elle-même n’était qu’un outil de l’OTAN — et, d’autre part, que l’OTAN n’avait aucune chance de l’emporter dans cette confrontation. Ritter vient de publier un intéressant documentaire en deux volets intitulé «Agent Zelensky».
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Le terme "consensus scientifique" est une arnaque politique | Idriss Aberkane
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Eve Vaguerlant : « L’École fabrique des masses de jeunes violents et incultes »
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Gilles de Rais (1405-1440), au service du Paradis et de l’Enfer
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Canicule et Climat : le grand mensonge des «fact-checkers»
par Pauline Mille
Les religionnaires du réchauffement du climat par l’homme sont les premiers à dire, quand l’Amérique du Nord gèle, qu’il ne faut pas confondre météo et climat. Mais dès que le soleil paraît, ils s’en rendent coupables. Et sous prétexte qu’il a fait un peu chaud sur la côte d’Azur et en Corse, nos médias crient à la canicule exceptionnelle. Mais deux événements ont mis à mal ce pharaonique travail de propagande : la reprise virale du tweet d’un architecte italien signalant un record de chaleur à Rome en 1841 (qui contredit évidemment les jérémiades sur le faux record actuel), et une bévue de Mathilde Panot. L’élue de la France insoumise a en effet assuré à la télévision que le 7 juillet avait été la journée la plus chaude «depuis cent mille ans». Aussitôt la presse a fait donner ce qu’on nomme ses «fact-checkers», ses vérificateurs de faits. La lecture de leur littérature édifiante : sous prétexte de rectifier la vérité, elle renforce le mensonge.