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  • Une athlète espagnole exclue des Jeux paralympiques au profit d’un transsexuel italien père de deux enfants

    Sport féminin et transgenres : l'injustice dont sont victimes les athlètes féminins  
    Sport féminin et transgenres : l’injustice dont sont victimes les athlètes féminins

    — par Pierre-Alain Depauw — 26 juillet 2023 

    Voici encore une nouvelle affaire d’aberration sportive, conséquence de l’absurde participation d’hommes biologiques qui se prétendent femmes dans les compétitions sportives féminines.
     
     Une athlète espagnole est exclue des Jeux paralympiques au profit d’un transsexuel italien, père de deux enfants qui lui a ravi sa sélection.

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  • Saint-André-lez-Lille (59) : perquisition chez Emmaüs, la présidente départementale accusée de violences psychologique et d’exploitation sur des migrants ; grève des clandestins depuis bientôt un mois (Màj : La CGT pointée du doigt)

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    23/07/2023

    « On est prêt à crever ici » : la CGT pointée du doigt

    Voilà bientôt un mois que vingt et un compagnons d’Emmaüs ont arrêté le travail à Saint-André-lez-Lille pour dénoncer leurs conditions de travail. Un mouvement qui prend de l’ampleur alors que l’ensemble des grévistes ont annoncé leur volonté de porter plainte contre la direction.

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  • Retour sur les élections générales espagnoles : la gauche et la révolution.

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    Michel Festivi 

    Quelles ont été les raisons profondes qui ont fait que le parti de centre-droit espagnol, le Parti Populaire, (PP), n’a pas obtenu avec Vox, la majorité absolue qui lui tendait les bras face aux socialistes et ses alliés ?

    De très nombreux commentateurs expliquent à longueur de colonnes, que Pedro Sanchez a su remobiliser son camp, à la suite de son insuccès aux élections régionales et municipales du 28 mai, en reprenant le thème « le fascisme ne passera pas », no pasaran, face à la victoire annoncée du PP allié à Vox.

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  • L’euthanasie comme levier d’économie budgétaire : le cas canadien

    L’euthanasie comme levier d’économie budgétaire : le cas canadien

    Lu sur Alliance Vita :

    Une récente étude publiée sur le site des Presses universitaires de Cambridge s’est penchée sur le dispositif d’euthanasie au Canada, et alerte sur ses impasses.

    Intitulée “Les réalités de l’assistance médicale à mourir (AMM) au Canada“, cette étude avait pour objet d’examiner les impacts du programme canadien d’euthanasie et d’analyser les “sauvegardes” permettant d’éviter les dérives. Sa conclusion est inquiétante :

    “Le régime canadien d’aide médicale à mourir ne dispose pas des mesures de protection, de la collecte de données et de la surveillance nécessaires pour protéger les Canadiens contre les décès prématurés. Les auteurs ont cerné ces lacunes dans les politiques et ont utilisé des cas d’AMM pour illustrer ces constatations“.

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  • Nul n’est au-dessus des lois, ni la police, ni le ministre de la justice

    Nul n’est au-dessus des lois, ni la police, ni le ministre de la justice

    Mais contrairement aux policiers, Éric Dupond-Moretti n’a pas été incarcéré dans l’attente de son procès…

    Malgré ses huit pourvois, le ministre de la Justice, mis en cause pour prise illégale d’intérêts, sera jugé par la Cour de justice de la République.

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  • L'ordre, mais quel ordre ?

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    Dans son intervention télévisée de lundi dernier, le président Macron a évoqué les soucis actuels, comme le rappelle Rémi Godeau dans les colonnes du quotidien L’Opinion, mardi 25 juillet : « Interrogé lundi sur les leçons qu’il tirait des émeutes urbaines, Emmanuel Macron ne s’est pas perdu en explications sociologiques et a répondu d’un seul mot, répété trois fois : l’ordre. Pour atténuer les accents autoritaires de l’injonction, il a précisé : « Notre pays a besoin d’un retour de l’autorité. » ». En somme, il n’a fait que reprendre le sentiment profond et le vocabulaire de ce que l’on peut nommer, sans emphase et sans risque de malentendu le pays réel, ce pays qui n’est pas celui des officines politiques ni des grandes entreprises mondialisées, des groupes idéologiques ni des replis communautaristes ; ce pays réel qui est celui des Français enracinés ou intégrés, travaillant, vivant et aimant en France, dans une pluralité qui se reconnaît une unité supérieure, ce « plus vaste des cercles communautaires qui soient (au temporel) solides et complets) » qu’est la nation, « famille des familles » et cité historique…

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  • La maman d’Enzo dénonce le silence des stars et des politiciens

    C'est l'honneur de Boulevard Voltaire, par la voix d'Iris Bridier, d'avoir dénoncé la chape de silence médiatique et politique qui s'est abattue sur l'horrible meurtre d'Enzo, cet adolescent de 15 ans tué à l'arme blanche dans un petit village de l'Eure, il y a une semaine. Le contraste avec l'émotion bruyante pour Nahel, le deux poids, deux mesures rendent ce silence des autorités encore plus douloureux pour la famille et encore plus suspect pour le simple citoyen soucieux de cohérence, de sécurité et de justice. Iris Bridier avait déjà fait le tour des rares personnalités ayant apporté leur soutien à la famile d'Enzo : Marine Le Pen, maître Goldnadel, Samuel Lafont, de Reconquête!, Pierre Gentillet. À notre connaissance, ni Emmanuel Macron, ni Élisabeth Borne, pourtant députée du Calvados voisin, ni aucun ministre n'ont réagi. Ils pourraient rétorquer qu'ils ont déjà fort à faire avec ce qu'il est désormais convenu d'appeler la crise de la police. Ils auraient tort car la tragédie d'Enzo, après celles de Lola et de centaines d'autres victimes innocentes, est une nouvelle preuve de leur faillite.

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  • Un mensonge technoscientifique à 65 milliards de dollars d’argent public : Le projet ITER

    1ère partie «Fusion nucléaire : ITER et sa communication trompeuse» (enquête 1/2)

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  • 20 ans après l’affaire Cantat : retour sur l’angélisation de l’extrême gauche

    20 ans après l’affaire Cantat : retour sur l’angélisation de l’extrême gauche
     
    Il y a 20 ans, dans la nuit du 16 au 17 juillet 2003, Marie Trintignant tombait sous les coups de son compagnon, le chanteur Bertrand Cantat. Mais l’émoi face à ce que les médias et les militants de gauche appelleraient aujourd’hui un féminicide n’était pas total. Car Bertrand Cantat était un « artiste engagé ». C’est-à-dire qu’il militait publiquement contre le capitalisme – en apostrophant par exemple régulièrement Jean-Marie Messier – et luttait contre « l’extrême droite » – en fustigeant régulièrement le Front national. En plus de cela, c’était un artiste tout court, dont la musique était appréciée par toute la scène culturelle du moment. Autant d’éléments qui ont amené l’ensemble de ses proches à mentir lors du procès afin de cacher la violence du chanteur. Autant d’éléments qui ont amené les médias à se montrer particulièrement magnanimes. Autant d’éléments qui ont fait que le monde politique de gauche a eu beaucoup de mal à attaquer le chanteur. Quelques années plus tard, en 2010, sa compagne Kristina Rady se suicidera après avoir laissé un message glaçant à ses parents sur les violences de Bertrand Cantat. Et là encore, le monde politico-médiatique restera très discret.

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  • Macron ou l'ère du vide

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    Il y a mille manières d’analyser la dernière intervention du chef de l’Etat. Mais, Natacha Polony résume bien ce qu’il faut penser du discours macronien, c’est-à-dire le discours du vide. Macron navigue à vue, au gré des vagues, passant sous le tapis tout ce qui le dérange. Et ce pour une bonne raison, Macron n’a aucune vue du monde, aucune conscience politique basée sur un substrat idéologique solide. A l’exception d’un seul : le créneau libéral. Ce créneau permet tout et n’importe quoi. Mais ne soutenir que le grand capital ne suffit pas. Car le plus grave dans cette affaire, c’est bien que Macron n’a aucune conscience de ce qu’est un peuple et de son devoir de le protéger. On pouvait ne pas aimer De Gaulle, mais il incarnait le pouvoir dans la conscience qu’il avait de défendre les intérêts de la France. Ce fut notre dernier réel chef d’Etat…depuis Napoléon III.

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    Source : Marianne