Le billet de Patrick Parment
La presse frémit, nos politiques s’indignent, le président s’interroge et demande à ses ministres de lui offrir des solutions. Les flics, contraints et ficelés par des lois encadrant leurs actions n’osent même plus se défendre au risque de passer pour des tueurs. Et la justice aux mains de certains magistrats « politiques » prend la défense des agresseurs plus sûrement que celle des policiers. La lâcheté de nos politiques gangrène depuis des décennies la société française, tant ceux-ci se refusent de voir la réalité en face. De gauche comme de droite. Le seul à avoir dénoncer cette atmosphère délétère, c’est Jean-Marie Le Pen. Mais que vaut la parole d’un soi-disant « facho » ? L’autre raison que l’on cache soigneusement sous le tapis, c’est l’école.