Le maréchal Ferdinand Foch, polytechnicien, artilleur – ce qu’on appelait, alors, une arme savante -, était un « grand cartésien » qui « avait foi dans la raison humaine », comme l’écrivit André Tardieu (1876-1945), son collaborateur pendant la guerre et futur président du Conseil. Raymond Recouly (1876-1950), un autre de ses biographes d’avant-guerre, rapportait les propos de Foch au sujet d’un homme politique que l’on disait appelé à un bel avenir : « C’est un sceptique. Il ne croit à rien. Ainsi, n’arrivera-t-il à rien. » Foch était donc aussi un homme de foi : « Une foi de simple, de charbonnier » qui lui donnait « une assiette fixe, inébranlable, pour y bâtir et y organiser son existence tout entière », poursuivait Recouly. Toujours dans son Mémorial de Foch, Recouly raconte que le maréchal évoquait souvent ce légionnaire romain prévoyant qui emportait toujours avec lui un pieu pour étayer sa tente lorsqu’il arrivait le soir à l’étape. Foi et raison.
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Énergie : même la Suède de Greta Thunberg se remet au nucléaire !
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La macronie "exemplaire"
Brèves de presse@BrevesdepresseRÉCAP - Depuis l'arrivée d'Emmanuel #Macron à l’Élysée, les affaires se multiplient dans son entourage.40 affaires ont été dénombrées par la presse.En voilà 5 qui touchent au sommet de la macronie, très loin de la promesse d'une "République exemplaire".Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, lobby 0 commentaire -
«Chair à canon», «guerre par procuration» : Un ancien officier français analyse le conflit ukrainien
L’Ukraine a été jetée dans un conflit par procuration qui la dépasse et qui sert avant tout les intérêts d’une élite américaine, a affirmé à Sputnik Afrique Pierre Plas, ancien officier de renseignement de l’armée française. Une oligarchie qui craint par ailleurs le processus de dédollarisation à l’œuvre.
Bien plus qu’un conflit régional. Le conflit ukrainien cache en réalité une opposition plus profonde entre une oligarchie mondialisée et des peuples voulant défendre leur souveraineté, a déclaré à Sputnik Afrique Pierre Plas, ancien officier de renseignement de l’armée française.
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Le virus « woke », une nouvelle épidémie mortelle ?
Après la prolifération du virus chinois, voici désormais qu’un vent mauvais venu d’Amérique nous amène une autre épidémie, d’ordre culturel cette fois : le woke. Des auteurs de sensibilités diverses ont entrepris de comprendre l’origine et le développement de cette contagion, comme la journaliste franco-américaine Anne Toulouse, auteur de deux livres sur Donald Trump, et le jeune philosophe marxiste Loïc Chaigneau. Ce dernier est ouvert au dialogue, comme l’attestent des débats de qualité (visibles sur Internet) menés notamment avec Pierre-Yves Rougeyron, le président du think tank souverainiste Cercle Aristote.
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Dissolution de CIVITAS. HYPOCRISIE à tous les étages
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Editorial du Monde : « Ecologie et extrême droite : un dangereux mélange »
Selon l’éditorial du Monde du 14 août, la préoccupation environnementale selon Marine Le Pen procède d’abord de la volonté d’exploiter le désarroi provoqué par la crise climatique et ses conséquences sur l’économie, l’emploi et les modes de vie. Des idées qui «risquent d’être repeintes en brun ».
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Numéro spécial de France catholique
Le numéro spécial de l’été 2023 du magazine France catholique est accessible en ligne. Il est consacré à la sainte Vierge, notre mère et notre reine. Éditorial d’Aymeric Pourbaix :
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Cette gauche nationaliste corse qui n’a rien à voir avec le gaucho-nationalisme breton
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La Gaule et les Gaulois avant César (rediif)
Avant notre ère, le territoire compris entre les Pyrénées, les Alpes et le Rhin (France, Bénélux, Suisse et Rhénanie actuels) a une unité toute fictive et ce n'est en rien un pays de sauvages selon l'idée cultivée par les historiens du XIXe siècle…Appelé Gallia (Gaule) par Jules César dans son célèbre compte-rendu de la guerre des Gaules, ce territoire appartient à l'immense domaine de peuplement celte qui s'étend des îles britanniques jusqu'au bassin du Danube et même jusqu'au détroit du Bosphore (le quartier de Galatasarai, à Istamboul, rappelle encore aujourd'hui la présence de Galates, cousins des Gaulois, dans la région).