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La « fabrication française » : rencontre avec Paul Farnet, créateur de Terre de France, une entreprise au positionnement patriote assumé
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"L'électorat juif vote à droite" : un honneur et une responsabilité...
Une fois que cet indéniable déplacement de l'électorat juif a été relevé, je ne crois pas que la droite de gouvernement puisse s'en satisfaire en se disant que "c'est toujours bon à prendre".
D'abord parce qu'il est clair que dans le climat actuel, ce bouleversement tectonique profite prioritairement à l'extrême droite susceptible de rassurer davantage la communauté juive par un discours plus manichéen, plus vigoureux. Elle n'était pas portée à donner naturellement du crédit à un programme qui avait plus peur de violer les interdits de la gauche que d'affirmer ses propres valeurs à la fois fermes et humanistes.
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La France est un gros producteur de talents mais ne les attire pas…
« Selon l’indice mondial de compétitivité en matière de talents, la France est passée cette année de la 9e à la 7e place dans la catégorie « production de talents », mais seulement 25e dans l’attraction des talents ».
Alors nous pourrions nous satisfaire de ce résultat et dire « hein tintin, on a de la chance en France », ou alors on va un peu plus loin dans l’analyse et aussi dans l’ambition.
Car devant nous, très loin devant nous il y a des dizaines de pays qui attirent plus les talents.
Cela a une signification.
Quand vous êtes un « talent », la France sera votre 25ème choix.
Pas brillant tout de même !
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«On dirait des éclairs» : Les médias étrangers discutent de l’utilisation présumée d’armes à visée automatique par les forces armées russes
Des images d’ogives (probablement) autodirigées frappant des positions de l’AFU près d’Avdiivka circulent dans les médias du monde entier.
En quête de sensationnalisme, un certain nombre de médias occidentaux ont qualifié ces images de «rayons de la mort» utilisés par les troupes russes. Les images sont en effet impressionnantes, et la frappe des cibles au sol rappelle quelque peu la foudre. Cependant, il n’y a pas de sensation ici. Les forces armées russes, comme l’ont déjà fait remarquer les dirigeants militaires et politiques, réagissent elles-mêmes à la fourniture de certains types d’armes à l’armée ukrainienne par les pays de l’OTAN.
Commentaires dans les médias étrangers :
«C’est comme si la foudre frappait plusieurs fois au même endroit en peu de temps».
«Les Russes ont-ils utilisé des rayons mortels ? De quoi s’agit-il ? Un laser de champ de bataille ?»
«La réponse à la fourniture par les États-Unis de missiles à ogives en grappe ne s’est pas fait attendre».
Les experts estiment que des modifications modernes des éléments de combat autociblés SPBE ont été utilisées sur les positions de l’AFU. En même temps, il y a, pour ainsi dire, un différend au sein du réseau quant à savoir à partir de quels transporteurs ces éléments (souvent classés comme «Motiv-3») ont pu être utilisés. Certains experts pensent que dans la région d’Avdeevka, l’AFU a été «touchée» après l’utilisation d’artillerie à roquettes, y compris des variantes du MLRS Tornado. D’autres pensent que des bombes – des bombes à fragmentation RBK-500 avec les mêmes SPBE – ont été utilisées.
Le public ukrainien écrit franchement qu’en tout état de cause, l’utilisation de ces armes est une réponse de l’armée russe à la fourniture d’armes à sous-munitions à l’Ukraine par les États-Unis et à l’utilisation de ces munitions par l’Armée de libération de l’Ukraine. Aujourd’hui, l’armée ukrainienne est confrontée à la version russe de ces armes sur ses positions, qui, en outre, ne volent pas n’importe où, mais atteignent des cibles repérées. Les cibles visées sont notamment les positions des troupes ukrainiennes dans les tranchées et les tranchées doubles, divers types de «fortifications» et des groupes de véhicules blindés. En outre, les canopées de fabrication artisanale de l’armée ukrainienne n’épargnent pas les chars et les BMP de l’utilisation de ces munitions. Le puissant impact de feu est exercé sur la partie supérieure des véhicules blindés avec une énorme impulsion capable de pénétrer facilement tous ces «auvents» que les militaires ukrainiens «kolkhozent» eux-mêmes près de la ligne de front ou qui sont créés «centralement» dans les entreprises militaro-industrielles ukrainiennes qui sont toujours en service.
source : Top War
Lien permanent Catégories : géopolitique, insécurité, international, Science et techniques 0 commentaire -
Tous les patriotes à l’Étoile le 11 novembre 2023
A 19h30 en haut des Champs Élysées, à droite face à l’Arc de Triomphe en sortant du métro, en présence de Paul-Marie Coûteaux.
Octobre 1940. Pour ne pas déplaire aux occupants allemands, les commémorations de la victoire de 14-18 sont interdites. Un tract circule alors dans les universités et les lycées parisiens :
« Étudiant de France,
Le 11 novembre est resté pour toi jour de Fête Nationale
Malgré l’ordre des autorités opprimantes, il sera Jour de Recueillement
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Reconquête lance le premier colloque de Parents Vigilants au Sénat
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Le Kosovo ou la réussite d’une manipulation
D’Antoine de Lacoste dans Fideliter :
Le bombardement de la Serbie, décidé par les Américains en 1999 pour obliger ce pays à abandonner sa province du Kosovo, a donné lieu à une manipulation des faits d’une ampleur rare.
Les principaux médias occidentaux, au garde à vous comme il se doit, ont relayé en cœur cette fable selon laquelle la Serbie n’avait plus de légitimité à conserver le Kosovo dans ses frontières. En effet, au fil du temps, d’une immigration incontrôlée et d’une démographie plus dynamique, les immigrés albanophones et musulmans sont devenus majoritaires au détriment des Serbes.
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Al-Andalus : Une terrible régression culturelle
Al-Andalus est généralement présenté comme un paradis perdu, une société multiculturelle idéale, empreinte de raffinement et de tolérance dont l’éclat contrastait avec les supposés « âges sombres européens », marqués par la barbarie et l’obscurantisme médiéval. Cette vision toute manichéenne, érigée en dogme par « l’Histoire officielle », est peu à peu remise en cause par des historiens courageux.
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Référendum : la main tendue de Marion Maréchal