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Italie. Quand les «indigènes » de l’armée française violaient femmes et enfants (1943-1944)
En 2006, sortit sur les écrans « Indigènes » de Rachid Bouchared. Le parcours de quatre soldats de la Première armée française en 1943-1944. Un sous-officier « pied-noir » et trois nord-africains. La critique fut louangeuse. Du JDD à L’Humanité en passant par Le Figaro, Le Monde, Télérama ou Ouest-France. Il y eut quelques réserves et lorsque les quatre acteurs (dont Djamel Debouzz) reçurent le prix d’interprétation à Cannes, le critique des Inrocks fit du mauvais esprit :
« On ne peut s’empêcher d’y voir une repentance du jury, la vague honte obligeant à se débarrasser promptement d’un fardeau, à faire un prix de gros. »
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CHANGEMENT CLIMATIQUE POUR LES NULS...
Certains sont mignons. Beaucoup de gens qui sont "un peu simple", sont fort sympathiques.
Mais d'autres ont beau l'air d'être simplets, avec un langage qu'ils veulent construit, sont simplement cons, tellement cons qu'ils sont à gerber.
"Le changement climatique aurait commencé plus tôt qu’on ne le pensait". Cela porte aussi un nom, l'instabilité fondamentale du climat sur terre. Il leur a échappé qu'il a existé des variations, minimes, à tous les âges, mais que ces variations changeaient fondamentalement les conditions de vie sur terre.
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Écoles de production : l’avenir de l’enseignement pro ?
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Allemagne : Après avoir été agressé par un « groupe de 15 personnes d’origine arabe » Filipp S. (16 ans) meurt des suites de ses blessures
09/02/2024
Les dommages physiques subis par le garçon suite à l’agression étaient trop graves. Tous les espoirs et les craintes de sa famille étaient vains.
Parce que l’élève du secondaire a reçu un diagnostic de mort cérébrale à l’hôpital , les médecins ont ordonné à la famille de se rendre au service de soins intensifs jeudi à 10 heures. Les parents, la sœur et les frères se sont précipités à l’hôpital pour accompagner le jeune de 16 ans dans son dernier voyage. Frère Wilhelm S. à BILD : « Nous lui avons dit au revoir. »
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Libération de la femme, féminisme et viols d’actrices…
Catherine Blein
Il ne se passe pas de trimestre sans que les médias n’abordent le sujet du « féminisme » et de la « libération de la femme ». Pas un trimestre non plus sans qu’on nous annonce que telle actrice porte plainte pour « viol », la plupart du temps trente ou quarante ans après les faits.
Arrêtons-nous quelques instants sur le mot « féminisme ». Il n’a pas toujours eu le même sens selon les époques. Jadis, au début du vingtième siècle, le féminisme se traduisait par de justes revendications, celle du droit de vote et celle de l’ouverture aux femmes de l’enseignement supérieur et des grandes écoles notamment. N’oublions pas que ce n’est qu’en 1944 que les Françaises ont obtenu le droit de vote, grâce au Général qui voulait les remercier ainsi de leur engagement durant la Seconde Guerre.
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Robert Badinter, la déconstruction au nom du Bien
Robert Badinter est décédé ce vendredi 9 février 2024. Vous trouverez ci-dessous un texte d’Éric Delcroix qui revient sur le vrai et le faux de ce que l’on dit aujourd’hui sur Robert Badinter. Mais je voulais écrire quelques mots sur cette figure de l’histoire judiciaire et politique récente. Robert Badinter a joué un rôle éminent dans la déconstruction de la France. Comme garde des Sceaux, de 1981 à 1986, en inspirant une politique pénale fondée sur la culture de l’excuse. Comme président du Conseil constitutionnel de 1985 à 1996, en bloquant tous les dispositifs restrictifs sur l’immigration, il a développé les bases d’un droit à l’immigration, même pour les clandestins. Pour l’identité et la sécurité des Français, le bilan est amer. On entend déjà des appels à le faire entrer au Panthéon. Quoi de plus logique finalement ? Le Panthéon pour Robert Badinter, le cimetière pour les victimes de sa politique pénale.
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Décadanse, de Patrick Buisson
Considéré comme l’une des grandes figures intellectuelles de la droite conservatrice française, Patrick Buisson nous a quittés au lendemain de la Noël 2023. Outre ses livres d’histoire remarquables (sur l’Occupation, la guerre d’Algérie ou encore la Vendée), on lui doit quelques essais fulgurants sur l’état de la France contemporaine, notamment La cause du peuple (2016), un diagnostic socio-politique sans concession qui résonne comme un aveu de faiblesse vécu depuis les loges de la Présidence Sarkozy. Dans son dernier ouvrage, il décrit la « décandanse » française comme une sorte de déchéance de dancing, orchestrée en même temps que l’américanisation culturelle des Trente glorieuses à travers le « piège » d’une libération sexuelle programmée pour enterrer définitivement les valeurs traditionnelles sur lesquelles la morale et le mode de vie des familles françaises s’étaient construits. C’est, pour reprendre sa conclusion, le legs d’une « génération maudite », celle des boomers, la sienne.
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Arrogance, diabole et bonneteau
Louis Albert SERRUT a écrit un long article « La dialectique macronienne ». On y trouve cet extrait : « Pour Macron, dont la dialectique est la forme de sa pensée, celle-ci est non dialogique, fermée et sans l’issue de la synthèse. Son hypothèse première d’une dialectique ouverte avec sa formule « en même temps » s’est refermée sur le silence, c’est-à-dire l’impuissance. Le faire, qui est le propre de gouverner, ne serait alors que le faire croire, comme le professait Machiavel. Car les contradictions entre le dire et le faire sont nombreuses (essentielles ?) dans la pratique du pouvoir par Macron ». Pour le dire, c’est arrogance et le pédantisme. Pour le faire c’est le bonneteau et le diabole.
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Au carrefour des croyances : Peut-on encore parler des religions ? - Mise à jour 2.0