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C’est une histoire à peine croyable, où l’on brade encore une fois la technologie française et le président actuel est un Mozart non pas de la finance mais du démantèlement de notre pays et de nos grands fleurons industriels.
Vendre des machins à un pays en lui filant le mode d’emploi et la technologie pour qu’il fasse la même chose pour moins cher 10 ans après ce n’est pas franchement une bonne affaire.
Il a choisi de casser les codes à l’occasion du traditionnel raout hivernal des “Amis du Maire”. Lundi 29 janvier depuis le Palais de la Méditerranée, l’édile a ainsi rapidement interrompu son discours pour proposer à la salle de lui poser des questions au débotté. Dans l’assistance, deux niçoises ont pu prendre le micro, et dénoncer la situation des Moulins.
Lundi 11 novembre 1918, 11 heures : dans toute la France, les cloches sonnent à la volée. Au front, les clairons bondissent sur les parapets et sonnent le «Cessez-le-Feu». La «Marseillaise» jaillit à pleins poumons des tranchées. Même soulagement en face, dans le camp allemand.
« Guerre civile » en vue : les craintes se multiplient que les États-Unis soient sur le point d’exploser alors que la patrouille frontalière des États-Unis et la garde nationale de l’État du Texas se font face au Texas.
Le face à face entre le gouverneur du Texas Greg Abbott et Joe Biden pourrait provoquer une guerre civile
La patrouille frontalière des États-Unis (USBP) et la Garde nationale du Texas se livrent un bras de fer : l’enjeu est la protection des frontières que le gouverneur du Texas, Greg Abbott, du parti Republicain, ne veut pas laisser entre les mains du laxiste et immigrationniste Joe Biden. Cette lutte entre le Texas et le gouvernement fédéral pour le contrôle de la frontière entre les États-Unis et le Mexique s’est encore intensifiée après que le gouverneur de l’État, Greg Abbott, a annoncé qu’il défierait l’administration Biden et la Cour suprême américaine en ordonnant l’installation d’encore plus de barbelés pour dissuader l’immigration.
Le discours de politique générale de Gabriel Attal a repris les annonces déjà connues sur l'école : réforme du collège, avec l'instauration de groupes de niveau, réforme de la formation initiale des professeurs, expérimentation du port de l'uniforme, révision de l'échelle des sanctions... De quoi satisfaire, apparemment, une opinion publique qui s'inquiète du déclin de l'enseignement français. Mais au-delà de propos consensuels, si on gratte un peu pour voir ce que cache le vernis oratoire du nouveau Premier ministre, on s'aperçoit que rien ne va changer, sinon en pire.
Une pétition a été lancée ce 24 janvier afin de décerner la Légion d’honneur à Loïc Liber, le militaire guadeloupéen, seul survivant de l’attentat de Toulouse qui avait fait 7 morts. (…)
Plus la vie publique a tendance à se bureaucratiser et plus s’accroît la tentation du recours à la violence. Dans un régime totalement bureaucratisé, on ne trouve plus personne avec qui il soit possible de discuter, à qui on puisse soumettre des revendications, ou sur qui la pression du pouvoir puisse avoir prise. La bureaucratie est une forme de gouvernement où chacun est entièrement privé de la liberté politique et du pouvoir d’agir ». (« Sur la violence »). Hannah Arendt montre comment les révoltes naissent du sentiment des peuples d’avoir perdu la maîtrise de leur destin.