
Selon Mediapart, des notes déclassifiées de l’Élysée et de la DST confirment qu’un « pacte secret » a été noué dans les années 1980 entre François Mitterrand et le groupe terroriste Abou Nidal, auteur de l’attentat du restaurant Jo Goldenberg rue des Rosiers à Paris (6 morts, 22 blessés le 9 août 1982). Ce marché prévoyait l’arrêt des attaques en France en échange d’avantages : libération anticipée de deux assassins de l’OLP (Hatem et Assad), ouverture d’un bureau clandestin pour le groupe, protection sur le territoire français.