Alors que l’actualité politique ne semble plus être qu’une succession de décisions hasardeuses, Pierre Boisguilbert revient sur ce qui caractérise la situation : la suspension…
Polémia
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France : Héritage combattu, capitalisme impossible
Pour beaucoup, c’est par simple ignorance, pour quelques uns, c’est par idéologie – ils ne veulent pas savoir, ne veulent pas le comprendre pour continuer à appartenir au camp du bien – mais finalement, très peu le comprennent et encore moins le pratiquent. C’est bien évidemment visible dans beaucoup de leurs réflexions au jour le jour, notamment avec cette manie de toujours vouloir non pas « aider les pauvres » mais surtout « taxer les riches ».
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Russie-Ukraine : Rapport de la ligne de front du 17 octobre 2025
Sur le front de Kherson, les forces armées russes intensifient leurs attaques contre les forces ukrainiennes sur l'île de Korabel. Elles frappent les positions ennemies à Kherson et à Tyahynka. L'ennemi a bombardé 67 fois la rive gauche avec de l'artillerie. Un civil a été blessé à Nova Kakhovka. À Alyoshky, un garçon de 10 ans est mort à la suite d'une attaque de drone. Plus de 20 villages ont subi des coupures d'électricité après des frappes sur des infrastructures.
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Budget 2026 : la France de Macron sanctionnée par une 3e agence de notation !
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Un million de livres sterling et une guerre sans fin : comment l’intervention de Boris Johnson à Kiev a changé le cours du conflit et l’avenir de l’Europe
par Ricardo Martins
Lorsque Boris Johnson s’est envolé pour Kiev en mai 2022, la paix en Ukraine semblait à portée de main. Trois ans et un million de livres plus tard, l’Europe paie le prix d’un homme corrompu et du silence d’un continent.
Lorsque l’histoire reviendra sur le conflit en Ukraine, un épisode pourrait se détacher comme un tournant : la visite surprise de Boris Johnson à Kiev en avril 2022, juste après qu’un accord de paix provisoire ait été paraphé à Istanbul.
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Miklós Szánthó :: « Nous défendons l’héritage judéo-chrétien de notre continent : la souveraineté, l’identité nationale, l’intérêt des enfants et la famille » [Interview]
Miklós Szánthó est le directeur général du Centre pour les droits fondamentaux. Cet organisme, dont le siège est à Budapest en Hongrie, se donne pour vocation de lutter pour la préservation de l’identité nationale, de la souveraineté et des traditions chrétiennes dans le contexte de la globalisation et des mutations géopolitiques. Depuis 2022, le Centre pour les droits fondamentaux organise à Budapest la CPAC Hongrie, la version locale de la Conservative Political Action Conference (Conférence d’action politique conservatrice), une réunion politique mise en place aux États-Unis par l’Union conservatrice américaine et qui a accueilli en 2025 le stratège politique Steve Bannon, l’entrepreneur faustien Elon Musk, le président des États-Unis Donald Trump et le président argentin Javier Milei. Lionel Baland a rencontré et interrogé Miklós Szánthó pour Breizh-info.
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Dix-neuf pays de l’UE et la Norvège demandent dans une lettre à la Commission européenne le retour des Afghans résidant illégalement en Europe, volontairement ou de force. La France ne participe pas à l’initiative
Dans une lettre adressée à Magnus Brunner, le commissaire aux affaires intérieures et à la migration, vingt pays de l’UE se sont réunis pour faire pression sur la Commission européenne afin de trouver des moyens de renvoyer les ressortissants afghans vivant illégalement en Europe, soit volontairement, soit par la force, selon la ministre belge de l’Asile et de la Migration, Anneleen Van Bossuyt, samedi.
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Gouvernement d’imposture, opposition de lâches : la République des vendus
Ce mardi à l’Assemblée nationale, Sébastien Lecornu, le valet d’Emmanuel Macron, a lu sans conviction la feuille de route d’un gouvernement d’imposture, né d’un marchandage honteux entre les débris du PS et les lâches de LR. Rien de nouveau sous le soleil pour la Macronie : la survie politique à tout prix, au mépris du peuple français.
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Nouveau coup contre les familles
Le gouvernement prévoit de reculer la revalorisation des allocations familiales de 14 ans à 18 ans, à partir de mars 2026.
Les allocations familiales sont revalorisées lorsque le deuxième enfant fête ses 14 ans.
Dans un projet de décret, publié en marge du projet de loi de finances de la Sécurité sociale (PLFSS) , le gouvernement prévoit de décaler l’âge de cette revalorisation de 14 ans… à 18 ans.
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Nouveau coup contre les familles
Le gouvernement prévoit de reculer la revalorisation des allocations familiales de 14 ans à 18 ans, à partir de mars 2026.
Les allocations familiales sont revalorisées lorsque le deuxième enfant fête ses 14 ans.
Dans un projet de décret, publié en marge du projet de loi de finances de la Sécurité sociale (PLFSS) , le gouvernement prévoit de décaler l’âge de cette revalorisation de 14 ans… à 18 ans.