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Ce dimanche 14 décembre 2025, avait lieu le deuxième tour de l'élection présidentielle chilienne. Le pays est actuellement dirigé par la gauche, en la personne de Gabriel Boric, qui laisse un pays en proie à la violence, et à l’immigration massive. Les homicides y ont progressé de 140% en dix ans, les enlèvements de 76% entre 2021 et 2024.
Sur le front de Kherson, les drones et les forces aériennes russes sont à l'œuvre : des cibles ennemies ont été touchées dans plusieurs villages. Kherson a été privée d'électricité pendant la nuit, et une installation militaire a été détruite près de la gare ferroviaire. L'ennemi a lancé 56 attaques contre notre rive gauche. À Aleshki, un civil a été tué et deux autres blessés. À Kakhovka, il y a eu des dégâts.
Au moment où j’écris ces lignes, j’ai sous les yeux une coupure du Nouvel Obs (possédé par Xavier Niel à travers trois structures) qui affirme que « sur le front intérieur [sic], le chef de l’État a identifié ce que l’Élysée désigne désormais comme ses ‘trois conquêtes’ pour sa fin de quinquennat : l’interdiction des réseaux sociaux pour les moins de 15 ans, le rétablissement du service militaire et la loi sur la fin de vie ».
Nous sommes en Nouvelle Calédonie, et là bas on paye toujours en franc. Du franc pacifique… et on peut pas dire que l’île a été très pacifique ces derniers temps.
Vous vous souvenez des émeutes terribles qui ont secoué cette grande île à l’autre bout de notre planète.
Les dégâts ont été considérables, l’économie complètement détruite et ravagée.
Un an après sa nomination, à deux reprises, au ministère de l’Agriculture, Annie Genevard, qui a passé sans dommages le cap de l’éviction de Matignon de Michel Barnier et de François Bayrou par le Parlement, a déclaré, dans un long discours devant le monde agricole en crise, qu’elle est en guerre. Contre qui ? On ne sait pas. Contre l’effondrement de l’agriculture auquel elle a participé avant et pendant sa responsabilité ministérielle ? Sans doute. Mais qu’importe le passé ; elle se déclare décidée à faire « la guerre des champs », se fait lyrique lorsqu’elle ambitionne de « réenchanter » l’agriculture (sic) et redevient réaliste (en intention) en appelant au « Grand Réveil alimentaire » (le terme « Reconquête » eût été préférable, mais c’est un mot tabou pour la fausse droite).
À la barre du tribunal correctionnel de Niort, cet Algérien âgé de 43 ans assure n’avoir jamais levé la main sur sa femme. Et conteste avoir cherché à endoctriner l’une de ses filles. En situation irrégulière sur le territoire français, traînant un casier judiciaire chargé, il n’a pas convaincu le juge et vient de tout perdre.
La « Marche pour la paix« , organisée par Les patriotes de Florian Philippot n’a pas déçu, avec ses quelques 3000 participants. Une remontée significative par rapport aux manifs précédentes. De la place de Barcelone à la place Pierre Laroque, en arpentant quelques artères commerçantes du XVe arrondissement, le cortège n’a pas été avare de slogans : le non à la guerre, l’appel à la destitution de Macron, le soutien aux agriculteurs, la sortie de l’OTAN et bien sûr le Frexit. La crise sanitaire bovine et surtout son traitement de choc par la répression, n’avaient pas laissé indifférents les organisateurs, bien au contraire. De ci, de là, quelques drapeaux bleu blanc rouge aux fenêtres, en soutien à la manif, mais aussi un drapeau européen, arboré dans un souci de provocation et qui a mis très en colère Charbel, le fondateur du mouvement Les Frères dissidents.
Alastair Crooke est un ancien diplomate britannique et le fondateur de « Conflicts Forum », basé à Beyrouth. Il a auparavant été conseiller sur les questions du Moyen-Orient auprès de Javier Solana, alors Haut Représentant de l’Union européenne pour la politique étrangère.
Les faisceaux de culpabilité se multiplient et prouvent que la mission de nos politiciens est de liquider l’agriculture française, sans que les parlementaires ne lèvent le petit doigt. Il y a d’abord un vaccin qui est imposé, mais qui ne permet pas aux bêtes l’ayant reçu et ne présentant pas de signe de cette affection, qui guérit seule dans 95% des cas, d’éviter la mort. Il y a les dernières modalités des accords du Mercosur signé et en même temps cette épidémie qui apparaît comme par enchantement ou devrait-on dire, comme un maléfice. Il y a ces animaux qui sans se croiser et après ce vaccin déclenchent des cas, alors que théoriquement ce sont les mouches qui peuvent véhiculer la maladie, ce qui en cette saison est quand même plus compliqué vu que leur activité est très réduite.