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anti-national - Page 1078

  • Le pays est au bord de la crise de nerfs

    Même les socialistes le reconnaissent en plus d'admettre que les partis ne sont désormais plus une solution. Extrait d'un entretien accordé au Figaro par Jean-Christophe Cambadélis :

    "Beaucoup regrettent que le dispositif (gouvernement, Parlement, parti) ne soit pas en ordre de marche. Qu'en pensez-vous?

    C'est vrai, notre dispositif ne fonctionne pas. Il faut resserrer les liens entre le président, le premier ministre, le parti et les différents leaders du parti de façon que le dispositif soit plus réactif et plus combatif. La cote d'alerte est atteinte pour le PS. Son leadership est contesté. Il n'est pas en capacité d'impulser malgré toutes les bonnes volontés. Il doit prendre à bras-le-corps la situation. J'appelle au rassemblement de tous, modernes du PS, gauche du parti, les différents clubs… Nul ne doit être ignoré. Nous avons besoin de tous pour affronter la bourrasque. J'appelle aussi tous les républicains à prendre conscience de la montée du courant anti-républicain dans les urnes et dans la rue. Nul ne peut ignorer que le pays est au bord de la crise de nerfs".

    Lahire   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • [Vidéo] "Expliquez-moi cette violence" : Les mensonges de Manuel Gaz : la preuve par l'image

    Un jeune père de famille, militant opposé à la dénaturation du mariage vient, ce samedi midi, d’être mis en examen pour rébellion, après avoir passé 48 heures en garde à vue. Malheureusement pour Manuel Gaz et la Taubira, nous présentons une vidéo prouvant les mensonges de la police. Hollande ou le maître d’œuvre d’un Etat policier.

    (À PARTIR DE 11’53") Le jeune père de famille n’oppose aucune résistance : violemment embarqué comme un paquet de linge sale par les forces du désordre institutionnalisé, il demande simplement : "Expliquez-moi cette violence !" Manuel Gaz et la Taubira-qui-ne-téléphone-aucune-consigne-aux-magistrats lui ont répondu par une mise en examen !

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=O8AxaEqUYqI

    A partir de 12’31", remarquez le CRS qui essaye de dissimuler la scène avec son bouclier. Sans commentaire.

    http://www.actionfrancaise.net

  • Hier soir, vendredi, aux Invalides : clercs gazés et l’un d’eux embarqués

    Un lecteur de Contre-info raconte :
    « Du gaz , de la matraque , des charges , des blessés, des [flics en] civils planqués dans la foule qui interviennent violemment sans mettre le brassard ; la routine des soirées aux invalides… nouveauté hier , après le départ du service d’ordre de « la manif gnan gnan », les chants et les slogans étaient lancés par les prêtres de St Nicolas ! l’un deux a été arrêté, et tout le public s’est solidarisé réclamant leur libération jusqu’après minuit »

    « tout le monde a été gazé ! même les » veilleurs » ,un groupe de 500 personnes qui priait pacifiquement assis sur la pelouse ; une dizaine de jeunes ont été arrêté et les prêtres ont été arrêté et gazés quand ils ont voulu protéger une jeune fille matraquée à terre par des flics en civil ! »

    Les clercs en question sont de Saint Nicolas du Chardonnet.
    Arrivés à la fin de la manif officielle, ils ont animé le rassemblement qui s’en est suivi, jusqu’à ce que la police disperse tout le monde, plus ou moins violemment, comme d’habitude.

    Dans cette video on voit un frère, de Saint Nicolas, se faire embarquer :

    Un spectacle qui a du réjouir Frigide Barjot, qui crache volontiers sur les « intégristes » et qui déclarait ces jours-ci, dans une bouffé délirante « Je demande à Manuel Valls, ministre de l’intérieur, que tous les groupuscules identitaires et nationaux soient préventivement mis hors d’état de nuire à notre mouvement. »

    http://www.contre-info.com/

  • La preuve est faite : l’UMP n’est pas de droite…

    En fait, il faudrait lire ce texte avec l’accent de Gaudin puisqu’on va parler du cocktail de Pagnol, celui à quatre tiers.

    Alors, vous prenez un petit tiers d’opposition au mariage unisexe.

    C’est fou ce qu’ils sont mobilisés, à l’UMP, contre la loi Taubira ! Tellement mobilisés que deux députés, dont un ancien ministre, ont voté pour à titre très personnel ! Et deux anciens ministres, dont la future candidate investie à Paris, se sont abstenus. L’hypocrisie de l’UMP sur ce texte atteint des records. Certains ont rejoint l’UDI pour être plus à l’aise pour voter la loi ; d’autres demeurent à l’UMP et approuvent la loi ou s’abstiennent, sans problème ; d’autres, enfin, qui ont témoigné leur sympathie à « GayLib », le mouvement gay de l’UMP, prennent maintenant la tête d’une croisade purement, si j’ose dire, politicienne et électorale contre la loi. Parmi ces derniers, certains réclament un référendum. Mais, comme c’est curieux, ils n’ont pas voté une loi d’application de la réforme constitutionnelle de 2008 le permettant clairement… [...]

    Christian Vanneste - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net

  • Diffamé par le Mouvement des jeunes socialistes, le Bloc identitaire en demande la dissolution et porte plainte

    PARIS (NOVOpress) – A croire que la plainte déposée par le Bloc identitaire contre Yann Galut, député PS du Cher, pour diffamation n’est pas une information importante pour Thierry Marchal-Beck. Toujours est-il que l’inconnu et dispensable président du Mouvement des jeunes socialistes (MJS) s’est permis lui aussi de diffamer le mouvement identitaire.

     

    Ainsi, dans une pétition demandant , excusez du peu, la dissolution du GUD, des Jeunesses nationalistes et du Bloc identitaire, le chef du MJS a affirmé : « le Bloc identitaire qui poursuit la journaliste Caroline Fourest pendant une journée entière de Paris à Nantes à coup de saluts nazis ».

    Face à de tels propos mensongers (même Caroline Fourest n’affirme pas ça, elle qui pourtant prend régulièrement quelques légèretés avec la réalité…), Le Bloc identitaire va donc porter plainte contre le MJS. Mais surtout le Bloc identitaire demande la dissolution du MJS pour « incitation à la haine nationale ».

    En effet, comme le précise le communiqué du Bloc identitaire, « ce dérapage du MJS n’est pas le premier. Ainsi, ce groupuscule(1) traitait-il, il y a quelques mois, Jean-François Copé “d’homophobe”. En 2011, c’était Nicolas Sarkozy qui était présenté sur une affiche faisant un prétendu salut nazi. »

    Enfin, le Bloc identitaire recommande à Thierry Marchal-Beck de « lire deux ou trois livres avec des images sur la Seconde Guerre mondiale. Histoire de ne plus confondre les Français de 2013 avec les Allemands de 1941. »

    (1) Le MJS compte 1.000 contacts de moins sur Facebook que Génération Identitaire. Selon ses propres critères, le MJS est donc un groupuscule. Qualificatif dont il a usé pour définir le Bloc identitaire…

    http://fr.novopress.info/

  • Le journaliste n’a que peu d’influence sur le résultat final de son sujet

     Une journaliste, qui manifeste contre la loi Taubira, témoigne pour les lecteurs du Salon Beige :

    "Journaliste depuis huit ans je suis passée par de nombreuses rédactions aussi bien télé que presse écrite. Je me rends compte que le ressentiment à l’égard des journalistes s’accroit chaque jour, notamment parmi les manifestants. Le décalage entre la perception des événements par le public et la retransmission par les médias peut s’expliquer.

    D’abord, les médias ont une source quasi-unique d’information : l’AFP ; souvent, ce que rapporte le journaliste sur le terrain est moins important pour sa direction que ce qu’écrit le journaliste de l’AFP. Mais le journaliste de l’AFP n’est pas un surhomme objectif par essence, ce qu’oublient aujourd’hui les rédacteurs en chef. D’autant plus que, contraintes budgétaires obligent, les déplacements deviennent de plus en plus rares. Les articles que vous lisez sur la presse en ligne ont été écrits (ou recopiés) par des jeunes journalistes qui n’ont, pour la majorité d’entre eux, jamais mis un orteil dans la rue.

    Ces journalistes ont deux origines différentes : les plus anciens sont souvent devenus journalistes par hasard, venant du cinéma, du trotskysme et des mouvements étudiants post—68. Ils sont très représentés dans les groupes du service publics. La professionnalisation de la profession, qui s’est accélérée dans les années 90 et surtout après 2000 a donné naissance à une génération de journalistes formée dans de chères écoles (5000€/l’année) qui se ressemblent tous furieusement : blancs, enfants de familles aisées, dont les parents journalistes, cadres, haut fonctionnaires sont surreprésentés. Ils sont formés par les plus vieux… avant d’affronter un ou deux ans de contrats précaires, aux horaires irréguliers et mal payés. D’où la nécessité que les parents assurent le quotidien. C’est un peu différent pour les cameramen qui sont mieux payés que les autres (mais très souvent pigistes) et viennent parfois de milieu plus modeste.

    Il ne sert à rien de s’en prendre au journaliste présent sur une manif : d’une part, il fait son boulot, d’autre part, il est très arque bouté sur sa liberté –vous risquez juste de le braquer. Enfin, il n’a que peu d’influence sur le résultat final de son sujet. Car il rend le texte ou des images, mais il a y ensuite le travail de montage, le visionnage par un premier chef, un second, la réécriture du commentaire, la rédaction du lancement qui donne le ton. La plupart du temps les sujets et l’architecture d’un reportage sont choisis et écrits en amont. Il faut plusieurs séquences : donc une manif pacifiste, puis des provocations, puis des bagarres, puis des courses-poursuites, cela fait un beau sujet en quatre actes, même si dans la réalité le premier moment a duré trois heures et le second 5 minutes. Dans un but d’efficacité, il faut donc penser à cela en manifestant. Si l’on ne veut offrir aucune prise, il ne faut absolument RIEN montrer qui puisse jouer en votre défaveur.

    Enfin, et c’est un aspect important, il faut savoir que la plupart des journalistes ne possèdent pas le filtre pour comprendre votre action. Ils pensent sincèrement que la religion est oppressive et dépassée, que le mariage homosexuel est une question d’égalité et ont une ignorance flagrante de la question religieuse. Il suffit de voir la couverture de l’élection du pape pour réaliser le grand pataugeage des journalistes sur ce sujet. Ils ont très peu de temps, voire pas du tout, pour se renseigner sur les fondements idéologiques d’un mouvement. Vous êtes des aliens : vous venez d’un monde qu’ils ne connaissent pas. Etre journaliste, de droite et catholique dans une rédaction nationale, c’est comme être un poisson préhistorique dans un aquarium : personne ne pensait réellement que vous existiez encore…"

    Michel Janva   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La préfecture n'a jamais communiqué les vidéos du 24 mars

    Dans Présent, Olivier Figueras dénonce l'opacité de la Préfecture de police. A prendre en compte à la veille d'une nouvelle manifestation :

     

    "Attendu que ma demande de consulter les documents concernant la manif du 24 mars – photographies et films – proposés aux journalistes intéressés, me soient effectivement communiqués. Ce n’est pas faute, contrairement à ce que certains, lecteurs ou proches, ont pu supposer, d’en avoir fait la demande. D’ailleurs, en date du 27, un communiqué de presse, non signé, mais émanant du « cabinet du préfet », « service de la Communication », m’y invitait. Dès le 28 au matin, j’ai donc saisi mon téléphone. Et appelé le numéro indiqué sur ledit document. A l’autre bout, manifestement « on » ne savait pas de quoi je parlais. Après un certain temps d’attente, on m’a redirigé vers le service de presse…

    Y ayant demandé à accéder aux documents, et notamment aux films, indiqués, « on » m’a répondu que je m’y prenais un peu tard, et que les journalistes avaient déjà été contactés. Je me suis alors référé au communiqué évoqué plus haut. Pour me heurter à un mur d’ignorance. Manifestement, ledit communiqué n’avait pas été mis à disposition du service de presse – du moins pas dans son entier.  « On » m’a alors demandé de patienter. Histoire, sans doute, de se renseigner. Un certain temps d’attente. Et ensuite, sans que j’aie pu déterminer s’il s’agissait du même interlocuteur, mais sur un ton visiblement agacé, avis m’a été donné que rien n’était faisable en l’état. Pour compenser, un conseil : adresser un mail à la préfecture. L’adresse m’en a – tout de même – été fournie. J’ai expédié, peu après, ladite demande par mail. J’attends toujours la réponse.

    Je n’ai pas repassé de coup de fil. Certains confrères, l’ayant fait après moi, m’ont averti qu’il n’y avait rien de plus à en attendre… Evidemment, à en croire certains, les photos fournies à quelques-uns par ladite préfecture (ne parlons pas des films inaccessibles) ne correspondent pas à la réalité. Elles ont été « retouchées ». Ce qui est gênant ! Je sais ! Dans son communiqué, la préfecture souligne qu’il est inacceptable de mettre « encore une fois directement en cause la neutralité des méthodes de travail des fonctionnaires de la préfecture de police ». C’est parce que c’est inacceptable que le préfet de police a fait publier ledit communiqué, pour apporter toutes précisions utiles. Et notamment préciser que « la préfecture de police tient l’intégralité de ces enregistrements à disposition des journalistes intéressés ».

    Que M. le préfet se rassure. Je ne mets absolument pas en cause « la neutralité des méthodes de travail des fonctionnaires de la préfecture de police ». Je mets en cause la façon dont « on » nous en transmet – ou plutôt : « on » ne nous transmet pas – les résultats de ce travail. Car je suis – et je reste ! – un journaliste « intéressé » par ces enregistrements. Mais « on » ne me les a pas fournis. Et lesdits fonctionnaires, dont je ne remets pas en cause le travail, n’étaient pas même au courant que, « intéressé », je pouvais en demander communication. [...]"

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Lettre ouverte des 67 «salopards» au Gouvernement

    Exclusif. Incarcérés pour rien…

    Nous étions soixante‐sept. Des jeunes aux casiers intacts, des jeunes dont la politesse dispute l’honnêteté, des jeunes qui ne vont dans les commissariats que pour recourir à la protection des forces de l’ordre contre les malfaiteurs.

    Nous étions la France enfermée parce qu’elle veut exprimer calmement son opposition à la loi Taubira. Détention de tentes, baisers de fiancés révoltés par la répression policière, réveil citoyen ? Nous cherchons encore l’intitulé factuel qui motiva ce qu’il convient d’appeler une rafle. Dix‐sept heures, dix-sept longues heures à attendre dans un commissariat étriqué, dix‐sept heures dans la puanteur, la chaleur, l’exaspération. Incarcérés pour rien.

    Justice à la carte ! Comment décrire ce que nous avons subi ? Des larmes de jeunes filles épuisées, la tension, l’attente. Comment concevoir que soixante‐sept étudiants soient raflés en France ? Comment concevoir que les Femen soient libérées à l’œil quand leur violence répond à notre pacifisme ? Comment concevoir que la Police charge tandis qu’un sénateur est parmi nous ? Comment concevoir cette violence de l’État contre des jeunes qui s’engagent pour leur pays ? [...]

    La suite sur Nouvelles de France

    http://www.actionfrancaise.net

     
  • Caroline Fourest vs Béatrice Bourges : « Vous êtes négationniste en plus d’être homophobe »

    Fourest pète les plombs, comme d’hab :

    http://www.contre-info.com/

  • Mariage pour tous : Marion Maréchal-Le Pen à l’Assemblée Nationale