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anti-national - Page 1077

  • Hollande prochain prix de la carpette anglaise ?

    Langue française à la poubelle

    Un paradoxe que je ne m’explique pas : l’État français veut attirer des étudiants étrangers, mais en vue de les enseigner en anglais… Qu’est-ce que de tels étudiants auraient à faire en France s’ils devaient y être enseignés en une autre langue que celle de notre pays ?

    Les contribuables pourraient-ils voir d’un bon œil que leur argent – car enfin cet État ne dépense que l’argent qu’il reçoit des citoyens ! – serve à ruiner la culture dont ils sont les créateurs ? Et première au-devant de cette culture, leur langue abaissée au point d’être retirée des universités dont ils assument les frais ?

    La langue française n’a jamais été aussi en danger que sous la présidence de Monsieur Hollande : toujours le syndrome d’une obsession dont on cache honteusement la cause : rien d’autre que l’obséquieuse adoration d’une langue impériale dont l’épicentre est à Wall Street.

    Il faut en finir avec la soi-disant impossibilité de trouver du travail – la « job » comme disent les états-uniens et aussi les affichettes que multiplie dans les rames du métro parisien une école d’enseignement de cette « langue-pour-tous » qu’on veut nous imposer pour mieux servir les intérêts de multinationales qui sont, en vérité, des « sans nationalité », à moins qu’elle ne se soient toutes, secrètement, vouées au seul Wall Street avec la bénédiction de nos propres gouvernants…

    Il suffit de savoir que le projet de loi soutenu par Madame Fioraso permettrait à nos universités d’enseigner la culture française en ses aspects politiques, sociétaux, juridiques et économiques en la langue qui nie la nôtre, et qu’elle subvertit depuis la fin de la dernière guerre mondiale : voir le Plan Marshal qui ne fut accordé qu’au prix de l’exclusivité des produits des industries culturelles états-uniennes [1], sans contrepartie de la part de la France. Depuis, notre jeunesse a été élevée dans l’idolâtrie de cette culture sans liens avec nos racines et notre histoire [2], excepté La Fayette et la victoire de la marine française à Chesapeak, qui fut déterminante pour l’accession à l’indépendance des Yanquis [3]. Je ne dédaigne certes pas Champlain, mais la France l’ayant elle-même oublié, ce rappel ne servirait à rien… même si ses aventures auraient pu donner l’occasion de beaux films à notre « industrie » du cinéma… [...]

    Dominique Daguet - La suite sur France Catholique

    http://www.actionfrancaise.net

  • Mgr Aillet appelle à ne rien lâcher

    Dans son éditorial du mois de mai :

     

    "À condition qu’elle demeure pacifique, évitant soigneusement de se laisser piéger par les multiples provocations à la violence de la part d’une poignée d’extrémistes prêts à en découdre, voire de policiers en civil infiltrés, cette mobilisation est pleinement légitime. Le 17 avril au soir à Paris, j’ai été le témoin fier et ému devant la gravité calme et silencieuse de centaines de jeunes « veilleurs pour la famille », engagés dans un « sitting » aux Invalides au nom de leur « résistance spirituelle ». Aucune provocation, y compris de policiers désarmés par leur attitude pacifique, n’a pu entamer cette non-violence, moins empruntée à une technique de comportement qu’au ressort de leur vie intérieure. Ces jeunes manifestants, qui se refusent à faire passer leur intérêt particulier avant le bien commun de la société et qui demeurent dans le respect des personnes, ont besoin d’être encouragés par des pasteurs qui leur rappellent que « la fine pointe du combat que nous avons à mener n’est pas une lutte idéologique ou politique. Elle est une conversion permanente pour que nos pratiques soient conformes à ce que nous disons… Alors, l’écart qui doit apparaître entre notre manière de vivre et les conformismes de la société ne pourra pas être perçu comme un jugement pharisien, mais comme un espace d’appel et comme une espérance » (cardinal André Vingt-Trois). Ces jeunes auront besoin d’être accompagnés spirituellement, voire formés à une action sociale et politique conforme à l’enseignement de l’Église, pour pérenniser ce « printemps des consciences » dont ils sont appelés à être les acteurs privilégiés. Il ne faut donc rien lâcher, ni dans la fermeté de la mobilisation, ni dans la douceur qui seule convertit en nous la violence en force d’âme ! D’ailleurs, l’approbation parlementaire, voire l’avis favorable du Conseil constitutionnel et même les décrets d’application ou les ordonnances du gouvernement, ne changeraient rien à notre opposition de fond, car « il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes » (Ac 5, 29), selon le mot de l’apôtre Pierre comparaissant devant le Sanhédrin. C’est qu’un Parlement n’a pas autorité pour redéfinir le mariage qui est d’institution divine.

    Mais il convient que cette résistance soit spirituelle, en puisant à la source de la prière, et morale, en inscrivant les convictions anthropologiques que nous défendons dans nos modes de vie quotidienne. Il faudra donc avoir le courage de résister au monde ambiant, ainsi que le suggérait le cardinal Joseph Ratzinger, en 2004, se prenant à rêver le futur d’une « Église intériorisée », « qui ne se targuera pas d’un mandat politique, qui ne fera pas les yeux doux ni à la droite ni à la gauche », une Église de pauvres, petit troupeau qui redonnera l’espérance à un peuple immense, à condition « d’avoir le courage et la force de se montrer différent de ce que propose la modernité ». [...]"

    Michel Janva   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Mariage gay : la résistance des édiles s'organise

    Lu dans Minute :

     

    "En cas de promulgation de la loi sur le mariage homosexuel, les maires seront légalement obligés de célébrer de telles unions, à moins de déléguer la cérémonie à un autre élu de leur conseil municipal, qui peut d’ailleurs être un membre de leur opposition.

    Mais certains, en refusant de déléguer ou en ne trouvant aucun élu prêt à le faire à leur place, risquent des poursuites de la part des préfets, voire une suspension temporaire. Cela pourrait être particulièrement le cas dans certaines communes rurales. Pourtant, deux maires de Dordogne, à Abjacsur- Baudiat (650 habitants) et Connezac (79 habitants) ont déjà fait savoir à la presse qu’ils ne transigeraient pas avec leurs convictions profondes. Pour Xavier Lemoine, maire (PCD-UMP) de Montfermeil (Seine-Saint-Denis), que « Minute » a joint, la question est complexe en l’état actuel des choses:

    « Il faut d’abord que la loi sorte indemne de son examen par le Conseil constitutionnel. Il faut ensuite voir quelles seront les conséquences des manifestations des 5 et 26 mai, tout le monde étant à cran et nos jeunes ayant reçu un traitement assez hallucinant de la part du pouvoir ces derniers jours. Si le gouvernement reste sourd à nos revendications, les maires seront évidemment en première ligne. Je préfère donc ne rien dire sur le sujet pour l’instant avant d’avoir fait le tour de la question avec mes collègues. C’est une question de prudence. »

    Le gouvernement va avoir du fil à retordre… Les maires n’oublient visiblement pas que nous sommes à quelques mois d’élections municipales où la gauche emploiera tous les moyens pour éviter une déroute prévisible. De son côté, Jacques Remiller, maire UMP de Vienne (Isère) adversaire malheureux du rapporteur de la loi Taubira, Erwann Binet, lors des dernières législatives, attend sereinement la suite des évènements, d’autant plus qu’il ne se représentera pas en 2014 :

    « Ma carrière politique s’est fondée sur des valeurs, je ne vais pas les renier, quitte à en payer le prix. Mais je reste serein, j’en veux pour preuve le cas de Noël Mamère qui, après avoir célébré un mariage homosexuel à Bègles, n’avait fait l’objet que d’un mois de suspension de son mandat de maire. »

    De leur côté, plusieurs dizaines de milliers d’élus locaux ont signé l’appel du Collectif des maires pour l’enfance animé par Franck Meyer, maire Nouveau centre de Sotteville-sous-le-Val (Seine-Maritime) et Philippe Brillault , maire CNIP du Chesnay (Yvelines). On peut espérer que le gouvernement ait du fil à retordre dans les mois qui viennent s’il persiste dans son obstination à imposer cette loi pour le moins controversée".

    Lahire   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le Printemps Français manifeste contre les violences policières

    Environ 200 personnes se sont rassemblées lundi soir devant le palais de justice de Paris pour manifester contre les "violences policières" dont ont été victimes certains manifestants opposés au mariage homosexuel.
    Les manifestants se sont réunis en début de soirée "pour témoigner des violences policières" qu'ont subi "certains manifestants" et dénoncer "le détournement de la justice et de la police à des fins idéologiques", a déclaré Frédéric Pichon, avocat du Printemps Français, mouvement opposé au mariage homosexuel.¢
    Maître Pichon a ajouté que des militants opposés au mariage homosexuel "ont été passés à tabac" et qu’"il y a eu des violations procédurales comme des gardes-à-vue punitives" en marge des manifestations qui ont réunis les opposants au mariage homosexuel.
    Une jeune fille dénommée "Pauline" a également pris la parole pour raconter comment elle avait été conduite manu militari dans le métro, mercredi soir, alors qu'elle attendait devant l'Assemblée nationale, "toute seule". Deux gendarmes l'ont "secouée dans tous les sens" et l'ont insultée, selon son témoignage.
    Plusieurs des 67 opposants qui avaient été placés en garde à vue il y a deux semaines après avoir été interpellés devant l'Assemblée nationale, où ils s'apprêtaient à installer des tentes, étaient aussi présents.
    Au mégaphone, Maître Pichon s'en est pris au Syndicat de la Magistrature, dont le "mur des cons" donnerait "une certaine idée d'une justice idéologique", et au Petit Journal de Canal+ accusé d'être du côté de la préfecture et qui incarne "la bourgeoisie partouzarde, décadente et cocaïnomane".
    "Nous sommes là pour soutenir les victimes des violences policières", a déclaré Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps français. "Nous sommes en pleine régression. Nous sommes contre la loi Taubira et on ne lâchera rien", a-t-elle dit.
    Une dizaine des jeunes hommes torse nus baptisés "Hommen" ont fait brûler des fumigènes devant le palais de justice en scandant "Hollande, ta loi, on n'en veut pas".
    Le texte ouvrant le mariage et l'adoption aux couples homosexuels a été définitivement adopté par le Parlement il y a huit jours. Il est depuis lors examiné par le Conseil constitutionnel qui a été saisis par des parlementaires de l'opposition.¢
    Avec AFP http://www.francepresseinfos.com/

  • Ne dites pas « clandestin » mais « sans-papiers » !

    Je vous parle d’un temps que les moins de 30 ans ne peuvent plus connaître ; l’école, en ce temps-là, faisait encore son boulot… L’éminent auteur Pierre Gaxotte avait déjà dénoncé que le plus grand fléau de notre monde était d’avoir volontairement changé le sens des mots… Fasciste ?

    Non, académicien.

    Molière doit se retourner dans sa tombe de voir traitée avec si peu de vertu la sémantique au gré des « modes et des mœurs ». Ainsi, ne dites plus un « clandestin », mais bien un « sans-papiers », car la préposition privative est bien plus touchante et a dédramatisé la réalité ; ne dites plus « avortement », mais « interruption volontaire de grossesse ». Interruption ? Oui, vous savez, comme ce mot qui rend elliptique la reprise de l’action par la suite. [...]

    Isabelle Surply - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net

  • Choc : on aurait découvert un journaliste « de droite » à France 3 !

    La grande majorité des « journalistes » des gros médias français sont clairement de gauche, c’est un fait.

    L’affaire du Syndicat de la Magistrature le souligne encore, ainsi que la farce de la prétendue « déontologie journalistique ».

    Il y a quelques jours, un journaliste filmait secrètement, dans les locaux du Syndicat de la Magistrature (SM, d’extrême-gauche et majoritaire !), un « mur des cons » sur lequel figuraient des photos de nombreuses personnalités, de droite ou non, dont des parents de victimes. Pas de criminel en revanche.

    L’affaire fit grand bruit.

    Mais voici que le journaliste auteur des images, Clément Weill-Raynal, se trouve à présent, lui-même, sur la sellette !

    Il a été rapidement attaqué et désigné à la vindicte par le « Syndicat national des journalistes », majoritaire, qui a tenu à affirmer sa solidarité avec le SM.

    Et le SNJ-CGT de France 3 de demander que le journaliste soit traduit en conseil de discipline. Ce qui est chose faite, la chaîne publique ayant annoncé hier l’ouverture d’une procédure disciplinaire.

    Ce qui est vraiment fort, dans cette affaire, c’est le motif pour lequel le journaliste est attaqué par sa propre caste : le SNJ, dans un communiqué, « rappelle que l’utilisation d’images volées dans un lieu privé, en l’occurence [nous laissons la faute d'orthographe en l'état ! NDCI] les locaux du SM, est contraire à la déontologie professionnelle la plus élémentaire. »

    Alors que jusqu’à présent, on n’avait entendu aucune organisation journalistique s’offusquer lorsqu’il s’agissait de piéger et filmer en caméra caché des membres de la droite nationale ou radicale, avec des dégâts importants (fermeture d’une école catholique traditionnelle par exemple). Une spécialité de la télévision publique d’ailleurs !

    Un « deux poids deux mesures » honteux !

    http://www.contre-info.com/

  • Paris sans Nathalie ? C'est bien possible

    T Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Dénaturation du mariage : l’opposition persiste, alors que la Chancellerie presse le pas

     

    Dénaturation du mariage : l’opposition persiste, alors que la Chancellerie presse le pas

    PARIS (NOVOpress via Le Bulletin de réinformation) – La course de vitesse du mariage pour tous se poursuit. Après l’accélération du calendrier parlementaire, le ministère de la Justice se hâte de préparer le terrain avant la promulgation de la loi sur l’ouverture du mariage aux duos homosexuels.

     

    Vendredi matin, la Chancellerie a fait savoir qu’elle avait d’ores et déjà transmis au Conseil d’Etat un projet de décret concernant les conséquences de la loi sur l’état civil telles que le livret de famille.

    Cet empressement exaspère les parlementaires de l’opposition mobilisés contre le texte. Alors qu’ils viennent tout juste de saisir le Conseil constitutionnel, ces derniers s’étonnent de cette nouvelle pointe de vitesse et de la préparation de documents provisoires en absence de certitude.

    Dans le même temps, les opposants à la dénaturation du mariage ne faiblissent pas et poursuivent leurs nombreuses actions. Monseigneur Rafin, évêque de Metz, rappelait récemment que « ce qui est légal n’est pas forcément moral ».

    http://fr.novopress.info

  • Le pourtoussisme a vaincu !

    Les nouvelles valeurs de la République : subjectivisme, relativisme, mercantilisme

    Ça y est, c’est fait. En votant « le mariage pour tous », la gauche française vient de larguer définitivement le peuple et de sceller officiellement son adhésion au libertarisme et au relativisme culturel, à la mondialisation heureuse et au mercantilisme triomphant.

    Deux hommes et deux femmes vont pouvoir se marier et des enfants vont être affublés de deux pères ou deux mères, hourra ! Madame Taubira aura oublié, dans sa « réforme de civilisation », sa culture créole qui réserve le lundi gras du carnaval antillais aux « mariages burlesques » entre des hommes déguisés en femmes et des femmes travesties en hommes. Ces transgressions, qui s’achèvent le mercredi des Cendres lorsque l’on brûle Vaval et que l’on rétablit la norme biologique et anthropologique, vont désormais être inscrites de façon pérenne dans notre Code civil. L’on comprend les réticences des élus d’outre-mer, heurtés dans leur culture mais aussi dans leur conscience de gauche. L’homo festivus de Philippe Muray a donc gagné et nous allons bientôt avoir le carnaval tous les jours avec ses étonnantes marches nuptiales dadaïstes. Son « pion progressiste » a réussi à faire copier cent fois aux parlementaires : « La loi naturelle n’est qu’un serpent de mer réactionnaire ! Le mariage n’est qu’une construction sociale » ! [...]

    Anne Le Pourhiet - La suite sur Causeur

    http://www.actionfrancaise.net

  • Mme Taubira doit partir ! par Xavier Raufer

     

     
    Le choc frontal entre la réalité criminelle et l’incapacité de la garde des Sceaux à appréhender le phénomène devrait la conduire à démissionner. Madame Taubira doit partir d’un ministère de la Justice où, depuis son arrivée, c’est Apocalypse Now au quotidien.
    Elle doit partir car, désormais, justice et administration pénitentiaire ne sont pour les voyous qu’objet d’hilarité ou vecteur de règlements de comptes. Elle doit partir car son idéologie provoque un tel tsunami criminel que Police et Gendarmerie s’y cassent les dents, malgré d’immenses efforts. Elle doit partir, enfin, car l’exaspération gagne le pays.¢
     

    Entre ceux qui déjà “organisent des rondes” et ceux que fascine la “tentation de l’autodéfense”, une poche malsaine se développe qui pourrait être fatale à l’État de droit. Pour preuve ces faits, tous récents :
     
    — avril 2013 : évasion spectaculaire de Redoine Faïd : cinq portes de prison soufflées à l’explosif, otages capturés pistolet au poing. Des “dégâts énormes” pour une opération “très bien organisée”, explosifs, armes et téléphones ayant aisément été stockés sur place. Or la justice n’a rien détecté — le garde des Sceaux et ses gourous étant trop occupés à nous dépeindre des fauves type Redouane Faïd & Co comme réinsérables, grâce à des traitements sur mesure ;
     
    — Créteil, mars 2013 : après une “erreur” du juge d’instruction, des trafiquants de drogue multirécidivistes sont relâchés. Tempête. Un magistrat promet des « sanctions sévères » lors du procès. Gros mensonge : les accusés présents dans le box obtiennent tous le sursis, les “peines lourdes” étant infligées à des fugitifs, de longue date repartis au Maghreb ;
     
    — Marseille, mars 2013 : un bandit tout juste libéré est criblé de balles par deux hommes en scooter — à la porte même de la prison des Baumettes. Une telle opération est forcément minutée. Qui savait ? Qui pouvait savoir ? Qui sont les complices dans la prison ?
     
    — Évry, mars 2013 : selon un magistrat, Sofiane est un « prédateur ». Seulement voilà, il « redoute de retourner en prison ». Voyant arriver la police au tribunal, Sofiane « préfère partir avant » d’être arrêté. Quant à son complice, Mohamed, il a préféré ne pas venir du tout. Et voici la justice, version Taubira, suspendue aux préférences des prédateurs !
     
    Cela bien sûr, les voyous l’apprennent de leurs semblables ou de leurs avocats. Résultat, tous les indicateurs criminels sont au rouge :
     
    — les cambriolages (+ 60 % à Paris) et les violences aux personnes augmentent encore ; les gangsters s’entretuent en Corse et à Marseille ;
    — sur les réseaux de transport, les vols à la tire et les violences contre les agents explosent. Les syndicats RATP-RER protestent : « De nombreuses affaires transmises à la justice parisienne sont restées en jachère ». Ainsi végète une justice désormais tétraplégique ;
    — à Sevran (Seine-Saint-Denis), les criminels font la loi : un calvaire pour des habitants « seuls face aux dealers » qui brûlent leurs voitures, sabotent les ascenseurs et interdisent l’accès des tours à quiconque leur déplaît ;
    — au Louvre (le plus grand musée du monde, 10 millions de visiteurs par an), des hordes de parfois trente jeunes nomades dépouillent les touristes ; souvent molestés, les agents du musée n’y travaillent plus que la peur au ventre. Pourquoi le pillage ? Parce que l’accès gratuit est accordé aux moins de 26 ans sans que rien ne soit fait sur le plan de la sécurité pour cette largesse, cela profite aux seuls amateurs d’art ;
    — sur la ligne du RER D, les voyageurs sont physiquement agressés et dépouillés « comme au temps du Far West » ;
    — enfin, et plus grave encore si possible, un rapport confidentiel d’un syndicat d’assureurs s’alarme de la forte augmentation des incendies criminels — dans leur langage : une « sinistralité incendie liée à la malveillance ».
     
    Pour ces mêmes assureurs,« de plus en plus souvent, ces actes de malveillance, de vandalisme et de tentative de vols sont précédés, ou se prolongent, par des incendies qui affectent les locaux [des victimes] ». Sur 150 sinistres causés par un incendie, au préjudice de 150 000 euros ou plus, « environ 40 % sont imputables à des actes malveillants ».
     
    Or, pour les criminologues, l’incendie criminel n’est pas une infraction banale, plutôt une forme sournoise d’insurrection.
     
    C’est pour toutes ces raisons que Mme Taubira doit partir
    http://www.francepresseinfos.com/