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anti-national - Page 1156

  • Belgique : légaliser l'euthanasie des mineurs parce qu'elle se pratique déjà, “tout le monde le sait”

    La Belgique a commence aujourd'hui à examiner la proposition d'élargir l'euthanasie aux mineurs. La commission réunie des affaires sociales et de la justice du Sénat a entame aujourd'hui sa première audition en se posant la question, non du principe, mais de l'opportunité de mettre en place une limite d'âge légale. Certains proposent de retenir une définition plus floue : autoriser l'euthanasie sur un mineur dès lors qu'il apparaîtra comme ayant une capacité de jugement suffisante.

    Les experts entendus – pédiatres, médecins ayant pratiqué l'euthanasie – ont insisté sur le fait que la capacité de jugement et de libre expression de celui-ci est difficile à déterminer chez le mineur, qui peut faire son choix en opposition à ses parents ou au contraire par loyauté à leur égard.

    Seul un des intervenants, le Pr Chris Van Geet, de l'université catholique de Louvain, a soutenu que l'élargissement de la loi ne s'imposait pas… En expliquant qu'aucune euthanasie sur mineur n'a été enrgistrée aux Pays-Bas depuis quatre ans.

    Mais la responsable de l'unité de soins intensifs de l'hôpital pédiatrique Reine-Fabiola a dit que – « Nous le savons tous… – loi ou pas, l'euthanasie sur les mineurs est déjà pratiquée dans les faits.

    C'est pour cela qu'ils veulent une loi ; pour se couvrir…

    La Belgique veut « moderniser » sa loi d'euthanasie : la question de l'euthanasie des mineurs étant la première d'une série d'autres mises à jour qui rendent bien visible le jeu des petits pas du lobby de la mort.

    Ce faisant le pays se tourne vers les Pays-Bas qui à bien des égards sont déjà allés plus loin. Et certains proposent d'adopter leurs critères : ainsi le commissaire au droit des enfants de Flandre verrait bien un système ou le mineur choisit librement et seul s'il a plus de 16 ans, mais doit obtenir l'accord de ses parents s'il a entre 12 et 16 ans.

    Personne ne semble poser la question de la licéité de l'euthanasie elle-même. Pas même les chrétiens-démocrates…

    Parmi les autres innovations à l'étude : l'euthanasie des déments, l'abandon de la règle du renouvellement, tous les cinq ans, du testament de vie que le lobby de l'euthanasie voudrait voir acquérir valeur permanente. Une audition sur les quatre qui précéderont la discussion de la loi portera sur le fait de savoir si la sédation palliative (ou terminale) doit être régie par la loi sur l'euthanasie, alors qu'en Belgique plusieurs scandales ont éclaté à propos de l'utilisation de ce protocole contre la volonté de malades ou de leurs proches. Plusieurs propositions de loi supplémentaires ont été déposées, notamment pour autoriser l'euthanasie des prématurés de 24 à 26 semaines ou des nouveau-nés « n'ayant aucune chance de survie » à la naissance.

    leblogdejeannesmits

  • Après le mariage inverti, voici l’euthanasie active !

    Rivarol13.pngA peine l’Assemblée nationale avait-elle voté en première lecture le projet de loi dit du « mariage pour tous » que l’Ordre national des médecins publiait un texte sur la « fin de vie » ouvrant la voie le plus officiellement du monde à l’euthanasie active. Comme toujours lorsque l’on veut faire accepter l’inacceptable, on procède de manière ambiguë et sibylline. On commence par réaffirmer vertueusement un code de conduite conforme à la morale pour mieux inviter à le transgresser ensuite. « En préambule, l’Ordre tient à rappeler les principes éthiques qui ont toujours été ceux des médecins depuis l’origine : ne pas donner délibérément la mort mais s’interdire toute obstination déraisonnable. » Officiellement soucieux de répondre aux cas où la loi Leonetti (laquelle autorise l’arrêt des soins, fussent-ils ordinaires, comme l’alimentation) « peut n’offrir aucune solution pour certaines agonies prolongées ou pour des douleurs psychologiques et/ou physiques qui, malgré les moyens mis en œuvre, restent incontrôlables », l’Ordre national des médecins propose une “sédation” mise en œuvre à la demande expresse du patient et sous réserve d’un accord médical “collégial” : « Sur des requêtes persistantes, lucides et réitérées de la personne, atteinte d’une affection pour laquelle les soins palliatifs sont devenus inopérants et les soins palliatifs instaurés, une décision médicale légitime doit être prise devant des situations cliniques exceptionnelles, sous réserve qu’elles soient identifiées comme telles, non par un seul praticien mais par une formation collégiale. » On ne voit pas en quoi le fait de demander l’avis de plusieurs médecins peut rendre moralement acceptable le fait de donner volontairement la mort à un patient. C’est pourtant ce que pense l’Ordre des médecins qui écrit : « L’interdit fondamental de donner délibérément la mort à autrui, au mépris de toutes les considérations précédemment exposées, ne saurait être transgressé par un médecin agissant seul. » Autrement dit à deux ou à trois il devient licite de donner la mort ? De qui se moque-t-on ?

    L’Ordre national des médecins avait eu une attitude plus honorable au moment du vote de la loi Veil. Il avait alors condamné la dépénalisation de l’avortement, ce qui à l’époque lui avait attiré les foudres du député RPR pro-IVG Bernard Pons qui, à la tribune du Palais-Bourbon, avait moqué cette « église sans fidèles ». Mais aujourd’hui toutes les résistances se diluent ou trahissent. Et il ne fait aucun doute qu’après le vote du mariage inverti le Parlement va s’empresser de légiférer sur l’euthanasie, la gauche qui détient la majorité absolue à l’Assemblée nationale et au Sénat y est massivement favorable ; la loi devrait donc être votée sans grande difficulté. La maçonnerie ne chôme pas et a même décidé de mettre les bouchées doubles. Nous vivons actuellement une accélération impressionnante de la décomposition, le triomphe insolent de toutes les transgressions, le viol délibéré des tabous les plus immémoriaux. De toute façon la légalisation de l’euthanasie faisait partie du programme présidentiel de François Hollande et la gauche, contrairement à la droite, tient toujours ses promesses : elle avait dépénalisé l’homosexualité en 1981, remboursé à 80 % l’avortement en 1982, à 100 % en 2012, créé un délit d’entrave à l’IVG en 1993, institué le Pacs en 1999. Elle légalise le prétendu mariage gay en 2013 et s’apprête à dépénaliser l’euthanasie. […]

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    http://fr.altermedia.info

  • Petition : Pour la mise hors d’etat de nuire des Femens

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    Appel de l’AGRIF

    Considérant que le groupement de section d’assaut du lobby LGBT-OGM des « femhaines » ne cesse de se livrer à de violentes provocations antichrétiennes.

    Observant qu’en Ukraine ces femhaines se sont très exactement comportées comme les talibans en Afghanistan, en démolissant des œuvres d’art religieux.

    Rappelant l’évidence que nul ne saurait contester que si elles s’avisaient de faire de même irruption dans la grande mosquée de Paris ou dans la grande synagogue, elles seraient immédiatement mises hors d’état de nuire, incarcérées, jugées en flagrant délit et leur organisation dissoute.

    N’acceptant pas que les chrétiens soient donc traités comme des citoyens de catégorie inférieure, comme véritables parias devant supporter indéfiniment non seulement les injures et la dérision mais désormais les voies de fait et les agressions délibérés.

    Dénonce le climat de racisme qui se développe contre eux, rappelant les périodes annonciatrices des persécutions et exterminations perpétrées par le jacobinisme, le nazisme et le communisme, selon les cas contre les chrétiens ou contre les juifs.

    Considérant que le groupe relève de l’article L212-1 du code de la sécurité intérieure stipulant que : « Sont dissous, par décret en conseil des ministres, toutes les associations ou groupements de fait qui, soit provoquent à la discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, soit propagent des idées ou théories tendant à justifier ou encourager cette discrimination, cette haine ou cette violence. »

    Réclame du gouvernement la dissolution du groupe raciste des femhaines.

    Sans attendre, adressez à l’AGRIF vos signatures et celles de vos proches, en cliquant ici.

    http://fr.altermedia.info/

  • Mélenchon : « On a une langue commune avec les arabes, c’est l’arabe »

    Jean-Luc Mélenchon, président du Front de Gauche, était l‘invité d’Europe 1, le 19 février dernier. Et il nous fait une révélation, qui doit faire retourner François 1er dans sa tombe : la langue de la France serait en effet aussi bien le français…que l’arabe. »On a deux langues en commun : le français et l’arabe » dit-il en parlant des arabes.

    Pour rappel, c’est l’ordonnance de Villers-Cotterêts, en 1539, qui a fait du français la langue officielle et administrative de la France. Et Monsieur Mélenchon, qui n’est pas chef d’État, s’arroge le droit de faire de l’arabe, sous la pression migratoire, la langue du pays au même titre que le français !

    Lorsqu’une population entre massivement dans un autre pays et impose sa langue, au point qu’elle devienne l’égale de la langue autochtone, on donne un nom à ce phénomène : la colonisation. Subversive celle-ci, car elle ne s’impose pas par les armes mais par l’immigration et la démographie…

    http://www.contre-info.com/

  • Nantes : Les opposants au projet de loi autorisant le mariage homosexuel agressés

    Nantes : Les opposants au projet de loi autorisant le mariage homosexuel agressés

    NANTES (NOVOpress Breizh) – A l’appel de l’association LMPT 44 (La Manifestation Pour Tous), près d’un millier de personnes se sont retrouvées en famille à Nantes samedi dernier avec leurs vélos ou leurs trottinettes, pour effectuer un parcours dans le centre ville. Une manifestation pacifique qui n’a pas été du goût de tout le monde.

    Comme lors des précédents rassemblements, les organisateurs entendaient faire une manifestation pacifique dans le cadre du débat démocratique et populaire sur le projet de loi relatif au mariage homosexuel. Partis de la place Viarme, les familles, venues en nombre, ont rejoint la Préfecture avant de gagner la place Royale, dans une ambiance conviviale, détendue et bon enfant.

    Alors qu’il arrivait à proximité de la Préfecture, le cortège a  croisé des manifestants rassemblés  à l’appel, entre autre, de l’Union démocratique bretonne (UDB)  en soutien de Djamal, le chômeur qui s’est immolé devant une agence Pôle Emploi la semaine dernière.

    Alors qu’ils continuent pacifiquement leur chemin, les familles du cortège LMPT 44 ont été violemment prises à parti par quelques participants de ce rassemblement  qui, après les avoir insultées et traitées de  « fâchistes »,  « nazis », « homophobes » (sic), les ont agressées physiquement. Les policiers, présents sur les lieux, ont du s’interposer pour protéger les membres du cortège.

    Cette agression fera dire à l’un de ces derniers : « Alors que le gouvernement met en avant des mesures sociétales – du type “mariage pour tous” – au lieu de traiter sérieusement, par exemple, les conséquences sociales du chômage, la réaction de ces manifestants témoigne de leur degré de conscience politique : proche du zéro ».

    Crédit photo : DR

    http://fr.novopress.info

  • Voyons comment la dette fonctionne et quel est son impact sur une économie

    Définissons tout d'abord l'inflation : l'inflation arrive lorsque la croissance monétaire est plus grande que la production de biens et services. La hausse des prix est la conséquence de l'inflation.
         Mettons-nous ensuite d'accord sur une définition simple et terre à terre de la dette : une dette est une créance sur de la richesse future. Or, toute richesse est le fruit d'un travail humain. La dette est donc une créance sur du travail humain futur
         Et comme la dette est fondée sur le principe du remboursement futur du principal et de l'intérêt, que celui-ci est général fixé, et que l'on paye des intérêts, puis des intérêts sur les intérêts non remboursés, ce service de la dette suit une fonction non linéaire qui est... exponentielle.
         Donc, si cette dette n'est pas remboursée ou n'est plus remboursable, il faut travailler pour toujours et, dans ce cas, la dette c'est l'esclavage.
         A chaque accroissement de la dette, on présume que, pour pouvoir payer la dette et ses intérêts, le futur sera plus grand que le présent. Et pas juste un peu plus grand, exponentiellement plus grand. Plus de voitures fabriquées et vendues, plus de maisons construites, plus de salaires payés, plus de taxes et d'impôts perçus, plus de pétrole consommé, exponentiellement plus. Toujours PLUS !
         Or, s'il faut plus et toujours plus et que l'on a la certitude que rien ne peut croître pour toujours, comment croyez-vous que cela va se terminer ?
         Le résultat inévitable est simple : une immense partie de ce que l'on considère comme richesse va devoir disparaître, se volatiliser, parce qu'il y a trop de créances pour un futur dont le potentiel de croissance est trop faible. Alors, comment sortir de la dette ? Il y a trois moyens :

    1. La payer.

    Pour cela, il faut plus de productivité et plus de croissance, ce sera difficile dans un monde aux ressources finies. En alternative, on peut augmenter les revenus de l’État en augmentant les impôts, ce qui est rarement populaire, surtout si ceux-ci sont utilisés pour rembourser les intérêts de la dette et non à un investissement qui bénéficierait directement aux électeurs. Un autre moyen est de réduire les dépenses de l’État en mettant en place une politique d'austérité, mesure qui ne sera pas non plus très populaire. 

    2. Ne pas la payer (faire défaut).

    Le défaut est facile : on ne rembourse plus les dettes. Simple. Redoutablement efficace. Prenons un exemple. Un fonds de pension possède pour 10 milliards de créances sur la dette d'entreprises comme Nestlé, l'Oréal ou Siemens. Si ces entreprises font faillite, leur dette est en défaut et, après liquidation des actifs, admettons qu'elle ne vaut plus rien. Dans ce cas, les retraités liés à ce fonds de pension ont 10 milliards de moins à se partager entre eux. Et hop ! Résultat : leur niveau de vie ou leurs revenus baissent. Pour un pays quel qu'il soit, c'est une politique très difficile à suivre sur la durée, car ce pays deviendrait immédiatement un paria. Personne ne lui prêterait plus d'argent, personne ne voudrait plus faire du commerce avec les entreprises de ce pays, sauf moyennant payement comptant et à l'avance. Avec un défaut sur la dette, il n'y aurait plus de refinancement des dettes publiques, il n'y aurait plus de liquidités monétaires, et le pays s'arrêterait net, il n'aurait plus d'autre choix que de recréer sa propre monnaie à un taux de change très faible. C'est politiquement vite sans issue car cela implique un risque de chômage de masse, de grande misère, et laisserait la voie ouverte aux politiques les plus extrêmes.

    3. Imprimer la monnaie.

    C'est la solution la plus facile à court terme. C'est aussi celle qui entraîne les pires conséquences. Parce que les effets destructifs de cette politique sont repoussés dans le temps (lorsqu'ils seront le problème de quelqu'un d'autre), c'est ce que l'immense majorité des nations qui ont eu une grande dette ont fait et feront toujours, tout en clamant que cette fois, ce sera différent ! Mais comme les lois de la physique et les lois de l'économie sont les mêmes où que l'on se trouve, au Zimbabwe ou à Washington, ce ne sera pas différent ! L'impression massive de monnaie crée toujours une vague d'inflation. C'est ce qui arrive encore lorsque les liquidités artificiellement créées se diffusent dans l'économie, lorsque les États sont obligés de monétiser leurs dettes publiques et privées alors que personne ne veut plus les financer. C'est aussi une forme subtile de substitut à l'impôt. Les premiers effets seront, contre-intuitivement, une baisse des prix de certains actifs. Ceci est dû à la concurrence sévère qui se met en place entre producteurs et distributeurs pour rester en vie. On bradera les actifs : voitures, équipements, stocks, etc. Ce sera les soldes toute l'année. Au début, l'effet sur le pouvoir d'achat sera positif, mais vite, la masse monétaire augmentant, l'inflation va galoper. Les produits alimentaires et de première nécessité seront surtout ceux qui vont augmenter de manière rapide. Comme c'est déjà arrivé entre 1930 et 1933, on bradera alors sa voiture contre un peu de nourriture. En général, cela risque de coïncider avec une phase de stagflation durant laquelle l'économie a une croissance faible ou négative alors que sévit également une forte inflation d'origine monétaire. En phase finale, c'est la dégringolade dans l'hyper-inflation - paroxysme de l'inflation - qui se caractérise par une perte totale de la valeur de la monnaie, laquelle finit par ne plus servir de moyen d'échange parce que ses utilisateurs n'acceptent plus de l'utiliser dans leurs transactions courantes ni de l'économiser. Dans cette situation, c'est le troc et le marché noir qui se substituent à l'échange monétaire, pendant que l'économie s'effondre. Pierre Leconte, président du Forum monétaire de Genève, déclare à ce sujet le 20 décembre 2010 : "Les banquiers centraux de ces dernières décennies sont les plus grands faux-monnayeurs de l'histoire, et les États n'ont plus aucun moyen pour éviter la dépression hyper-inflationniste et l'écroulement de toutes les monnaies fiduciaires de papier, les unes après les autres, qui précédera, coïncidera avec, ou suivra la chute des actifs de papier (actions et obligations), fondés sur une pyramide de dettes gagées sur le néant qui a commencé de s'écrouler en Occident. Écroulement qu'aucune mesure keynésienne ne pourra stopper mais seulement repousser pour quelque temps, tout en aggravant son issue finale du fait même des manipulations supplémentaires employées pour retarder l'inéluctable." Le résultat de l'expansion du crédit est toujours un appauvrissement général. La thérapie contre l'hyper-inflation est que l’État reprenne le contrôle de l'économie par la nationalisation de l'économie. Cette thérapie est souvent vouée à l'échec à cause de la bureaucratie et de l'inexpérience de l’État dans la gestion de ces entreprises. En attendant, la population s'appauvrira considérablement entre pénuries, économie parallèle et marché noir. Ludwig von Mises donne une bonne image de la situation : "Recourir à l'inflation pour surmonter les difficultés passagères équivaut à brûler ses meubles pour se chauffer."

    Piero San Giorgio, Survivre à l'effondrement économique

    http://www.oragesdacier.info/

  • La réforme constitutionnelle est enterrée

    Faute de majorité, le chef de l'État ne convoquera pas le Congrès à Versailles.

    Claude Bartolone l'affirme: «Nous n'avons pas la majorité des trois cinquièmes pour faire adopter une réforme de la Constitution, car les groupes UMP et UDI sont contre.» Le président de l'Assemblée nationale confie au Figaro qu'il n'y aura donc pas de réunion du Congrès à Versailles d'ici à l'été, comme l'avait évoqué le ministre des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies. Aucun des projets de révision constitutionnelle évoqués en début d'année par François Hollande ne verra le jour: qu'il s'agisse de la réforme du statut pénal du chef de l'État, du Conseil supérieur de la magistrature, de la suppression de la Cour de justice de la République, de la remise en cause du statut de membres de droit du Conseil Constitutionnel accordé aux anciens chefs de l'État, ou encore de l'inscription de la démocratie sociale dans la Constitution. 

    Jacob: «La Constitution, moins on y touche, mieux on se porte» 

    Le chef de l'État ne dispose pas non plus de la majorité des trois cinquièmes au Congrès pour faire adopter le droit de vote des étrangers non communautaires aux élections locales. Le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, qui a consulté tous les présidents des groupes parlementaires, s'est heurté à un mur. «La Constitution, moins on y touche, mieux on se porte», rappelle Christian Jacob, le président du groupe UMP. Son homologue du groupe UDI, Jean-Louis Borloo, confie pour sa part qu'il «n'a pas trouvé le premier ministre particulièrement enthousiaste pour convoquer un Congrès». «En réalité, la majorité est assez peu unie sur tous ces sujets. Et le gouvernement essaie de revenir sur ses engagements en en faisant porter la responsabilité à l'opposition», estime l'ancien ministre. Le président de l'UDI, qui, «par principe, n'est pas favorable à ce que l'on touche à la Constitution», ajoute que le gouvernement a d'autres outils à sa disposition: les lois organiques, ou le référendum «sur les grands sujets». Les radicaux de gauche, eux, sont hostiles à deux pans de la révision constitutionnelle: la réforme du statut pénal du chef de l'État, («on ne va pas envoyer le président de la République devant le tribunal correctionnel», dénonce Alain Tourret) et la suppression de la Cour de justice de la République, «qui a prouvé son utilité, notamment lors de l'affaire du sang contaminé», ajoute le député du Calvados. 

    Source  http://www.oragesdacier.info/

  • Philippe Isnard : « Seul le lobby pro-avortement peut s'exprimer dans l'Éducation nationale »

    Professeur d'histoire à Manosque, Philippe Isnard a été suspendu par l'Éducation nationale pour quatre mois après avoir diffusé un film provie dans le cadre d'un débat sur l'avortement organisé en cours d'éducation civique. Monde et Vie l'a rencontré.
    Monde et Vie : Dans quel contexte et pour quelles raisons avez-vous fait l'objet d'une mesure de suspension de la part de l'Éducation nationale ?
    Philippe Isnard : Ce contexte est celui d'un lynchage médiatique. Mon fils ayant été victime d'un grave accident de la circulation le vendredi 19 novembre, je me trouvais à l'hôpital jour et nuit. C'est là que j'ai appris le lynchage médiatique dont j'ai été l'objet. Aucun média étatique n'a accepté de diffuser mon droit de réponse. Le ministre m'a suspendu, sans aucun égard pour ma situation et l'accident de mon fils, dont j'avais pourtant informé ma hiérarchie, et sans même attendre de m'avoir entendu.
    On nous demande, en éducation civique, juridique et sociale, d'organiser des débats contradictoires sur des sujets de société, notamment sur le droit de la famille. Pourtant, ma hiérarchie tente de m'empêcher depuis des années d'introduire un débat sur l'avortement, en arguant que cette pratique est légale : je dois donc laisser les officines de mort, Planning familial en tête, en assurer la propagande au lycée. Je rappelle qu'aux États-Unis - et au Royaume-Uni, me semble-t-il -, les associations pro-vie interviennent parfois dans les établissements scolaires, comme le Planning familial d'ailleurs. En France, le ministère de l'Éducation nationale distribue des millions de brochures aux lycéens pour faire l'apologie de l'avortement, dogme repris dans les manuels scolaires où cet acte de mort est présenté uniquement comme un droit et un progrès.
    Je précise que les instructions en ECJS demandent que le débat ait lieu entre les élèves, mais aussi entre le professeur et les élèves. Tous mes élèves ont pu s'exprimer librement. D'ailleurs, je ne leur donne pas de note en ECJS, car cela reviendrait à noter les opinions politiques, religieuses ou philosophiques des élèves, ce qui est la marque d'un État totalitaire désireux d'imposer la culture de mort à l'ensemble de la population. J'appelle donc le ministre, au nom de la liberté d'expression et des droits de l'homme, à cesser de faire noter les professeurs et les élèves dans le cadre de cet enseignement. J'ai été inspecté en ECJS, de façon non réglementaire, car ni mes élèves, ni moi n'avions été prévenus.
    J'attends ma note avec impatience ...
    En somme, le débat est permis à condition qu'on n'y entende qu'une voix ?
    Oui, seul le lobby pro-avortement peut s'exprimer dans l'Éducation nationale, c'est ce que le ministre appelle la « neutralité » ! Ainsi, le Planning familial, qui fait la promotion de l'avortement sous toutes ses formes, est seul habilité à matraquer les esprits des jeunes dans les établissements scolaires. Il est intervenu dans mes classes massivement. Les élèves ont aussi eu droit aux cours d'éducation sexuelle de l'infirmière, ou encore de la cellule de « soutien psychologique », le tout pour nier la réalité de l'avortement.
    En effet, une cellule de soutien psychologique a été mise en place pour les élèves. Il a été dit que le film que vous avez diffusé était violent ; qu'en est-il ?
    D'abord, j'ai utilisé aussi d'autres documents : le discours prononcé par Mme Veil à l'époque du vote de la loi légalisant l'avortement, le texte de la loi Veil, deux clips vidéo, SOS maman en détresse et Sois un homme, pris sur dailymotion... et une image d'un foetus de 12 semaines. Concernant No need to argue, ce n'est pas le film qui est violent, mais les avortements qui y sont décrits, y sont présentées les différentes procédures d'avortement en usage en France et à l'étranger, dont la méthode dite par « aspiration », la plus utilisée dans notre pays. Je rappelle qu'à 12 semaines, le foetus, qui mesure près de 10 centimètres, a une activité cérébrale, un cœur qui bat, ressent la douleur et des émotions et cherche à échapper au danger. Bref, il est notre prochain, à qui nous devons protection et respect. Il n' est pas étonnant que les élèves aient pu être choqués qu'un État massacre des millions d'innocents, et cela sans anesthésie ; j'en suis, moi aussi, horrifié.
    Moi aussi, je préférerais ne pas voir ces images, ni les montrer. Mais, puisque les élèves sont considérés comme majeurs sexuellement au lycée - et que les jeunes filles peuvent avorter, sans l'accord des parents -, il est normal qu'ils sachent ce qu'est un avortement. Le film primé par l'Éducation nationale en 2009 en montre d'ailleurs un. Et l'on montre à tous les élèves de troisième, plus jeunes que les miens, les images, tout aussi insoutenables, d'un autre massacre de masse, celui des camps d'extermination nazis.
    De toute façon, il s'est révélé difficile d'utiliser la vidéo, car le vidéo-projecteur réservé à l'enseignement de l'histoire a mystérieusement disparu du lycée avant ces débats. Et je remercie l'évêché de Digne d'avoir mis en ligne sur son site L'Odyssée de la vie, que je n'ai malheureusement pas eu le temps d'utiliser, ma hiérarchie m'ayant interdit de poursuivre ces débats.
    Quelles ont été les réactions de vos élèves et des autres professeurs ?
    Dans leur majorité, les élèves ont été heureux que le débat existe. Je suis admiratif devant le courage d'une classe qui a signé une pétition unanime en ma faveur. J'ai respecté tous mes élèves, y compris celui dont les deux parents professeurs m'ont dénoncé par haine anti-catholique, intolérance et fanatisme. Ce qui ne les a pas empêchés d'utiliser les services de l'Église pour inscrire leur fils au collège catholique local !... Je reçois par Internet des témoignages de soutien de mes élèves, que je n'utiliserai pas, sauf en les rendant anonymes, afin de ne pas nuire à leur scolarité. Mieux vaut qu'il n'y ait qu'une seule victime.
    Comment va votre fils ? Et comment votre situation va-t-elle maintenant évoluer ?
    Mon fils va mieux, il remarche. Je me languis de pouvoir refaire un sommet avec lui, car nous aimons faire de l'alpinisme ensemble. Il a été très courageux à l'hôpital, mais il faut maintenant être patient.
    Bien sûr, je souhaite rester professeur, mais si mon sacrifice permet de contraindre enfin l'État à venir en aide aux mamans en difficulté au lieu d'imposer à toutes un avortement traumatisant, j'en serai heureux. J'aimerais créer une structure (provie Alpes) pour aider les mamans enceintes en difficulté et lutter ainsi pour la vie. Le premier des droits, inaliénable, de tout être humain, de la conception à la mort naturelle, c'est le droit à la vie. Il faut l'inscrire dans notre Constitution.
    Propos recueillis par Eric Letty Monde et Vie décembre 2010
    Ses anciens élèves peuvent écrire à Philippe Isnard à l'adresse suivante : alienor30@gmail.com

  • Leurs obsessions contre nos libertés

    Le député FN Marion Maréchal-Le Pen a dénoncé hier  les profanations  perpétrées   dans la nuit de dimanche à lundi dans les  cimetières de Valréas et de  Courthézon. «  Le Front National a-t-elle déclaré, condamne très fermement ces actes et demande des sanctions exemplaires à l’encontre des profanateurs lorsqu’ils auront été identifiés, quelles que soient leurs motivations. Le Front National condamne également le mutisme complaisant de la caste politique en place qui aurait sans doute été beaucoup plus prolixe s’il s’était agi de sépultures autres que chrétiennes. » C’est en effet totalement exact. Selon les dernières statistiques en date, celles publiées par  Le groupe d’études sur la politique de prévention et de lutte contre les profanations des lieux de culte et des cimetières, présidé par le député UMP  Claude Bodin, le nombre de celles-ci  est passé de 304 en 2008 à 621 en 2010. Les faits concernent très majoritairement des lieux chrétiens (308 églises et 214 cimetières en 2010, des chiffres en augmentation de 33 % par rapport à 2009) puis les lieux musulmans (50 mosquées et 7 cimetières, +216%) et les lieux juifs (30 synagogues et 12 cimetières, -36%). Les chiffres pour 2011 font état de 434 actes de dégradation dans les sites chrétiens, 41 sur les sites musulmans et 34 sur les sites juifs. Pour prévenir ce type d’exactions, le rapport de M. Bodin,  proposait notamment  d’inclure dans les cours d’instruction civique un module abordant la thématique du respect dû aux morts…Ce respect qui paraît si évident, que l’on retrouve  dans toutes les civilisations ne serait donc plus « enseigné » et transmis par les parents ?

    Mais  il est vrai que dans notre Occident progressiste, les priorités sont désormais les « luttes contre les discriminations ». Le  site Correspondance européenne, donnait ainsi quelques exemples du combat  contre le sexisme, sur fond de théorie du genre, dans un pays comme la Suède, « une nation qui en 2010 a été reconnue par le Forum Économique Mondial comme le pays où l’égalité des sexes est la  mieux garantie (…). Les Suédois aspirent maintenant à un autre record, en passant de la notion d’égalité à celle de la neutralité entre les sexes. Les distinctions entre les sexes ne doivent plus être tolérées. » A cette fin « les Suédois ont l’intention de manipuler la grammaire (…). En suédois les pronoms personnels masculins et féminins seront officiellement abolis, donc han (lui) et hon (elle) feront place à un hen indéfini. C’est l’influente et sérieuse Nationalencyklopedin qui l’a communiqué. »

    De même, « l’on est en train de procéder à l’uniformisation des noms propres (les noms unisexe légalement reconnus en Suède sont déjà 170), les magasins de vêtements pour enfants et adolescents ont depuis longtemps éliminé les rayons pour les garçons et les filles, en introduisant l’uniformisation des vêtements. Pour les jouets c’est la même chose : dans un des plus récents catalogues du secteur, il y a un garçon qui pousse un landau rose et une fille qui conduit un tracteur jaune. Dans le sport, c’est la Fédération suédoise de bowling qui a commencé à supprimer la distinction entre équipes masculines et féminines, afin de rendre la compétition plus neutre en termes de genre. Il parait aussi que la proposition avancée par les politiciens du Parti social-démocrate d’éliminer la toilette séparée  afin de ne pas forcer les gens à la distinction entre les hommes et les femmes  va probablement être approuvée (…). Il existe déjà un livre pour enfants appelé Kivi och Monsterhund, totalement inspiré par la grammaire neutre, dans lequel l’auteur Jesper Lundqvist a introduit parmi les nombreuses nouveautés celle de remplacer les mots par lesquels les enfants suédois ont depuis toujours appelé les parents (mammor et pappor), avec les termes mappor et pammor. Traduit en français ceci deviendrait mapa et paman. » 

    Le phénomène se propage. « Au début de cette année, Mr. Tam Baillie, Commissaire du Parlement écossais pour les Enfants et les Jeunes (…), a officiellement déclaré que les garçons devraient avoir le droit de porter l’uniforme des filles, afin d’éviter  une discrimination injuste à l’égard des étudiants possédant une orientation sexuelle variable. L’automne dernier, le gouvernement australien a annoncé la possibilité d’indiquer le sexe par un X, pour tous les citoyens qui ne souhaitent pas être classés dans les catégories d’hommes et femmes. Depuis le mois de décembre dernier au Royaume-Uni les passeports des citoyens britanniques n’indiquent plus la paternité et la maternité selon les régimes classiques (père et mère), mais à travers les mots Parent 1et Parent 2 afin d’éviter la discrimination des couples homosexuels ayant des enfants .En Allemagne, même le célèbre Ampelmännchen, le petit bonhomme du feu rouge, portant un chapeau d’homme, utilisé par les piétons dans les territoires de l’ex Allemagne de l’Est, a été remplacé par une figure neutre. »

    « Tous ces faits sembleraient drôlement ridicules, si cela ne comporterait le risque d’une dangereuse dérive éthique et anthropologique » est-il indiqué fort justement alors que « le  24 mai 2012, le Parlement européen a adopté une résolution contre l’homophobie et la transphobie en Europe (par 430 voix contre 105 et 59 abstentions). Le texte  condamne avec force toutes les discriminations basées sur l’orientation sexuelle et sur l’identité de genre  et exhorte les Etats membres à garantir la protection des lesbiennes, des homosexuels et des transgenres à l’encontre des discours homophobes d’incitation à la haine et de la violence. »

    «  Le principe est nouveau seulement en apparence. En réalité, il ne s’agit de rien d’autre que du vieux concept jacobin d’égalité absolue, proposée avec un nouveau langage et adapté à la sensibilité contemporaine. Il est en effet difficile de trouver un terme aussi ambigu que celui de discrimination. L’idée même de justice, qui, dans sa formulation traditionnelle, signifie attribuer ce qui lui est propre (suum cuique tribuere) implique en soi une certaine forme de discrimination. Toute loi est contrainte, en quelque sorte, à discriminer du fait même qu’elle établit ce qui est juste et ce qui ne l’est pas, ce qui est permis ou défendu, favorisant les uns et gênant les autres. La prétention de ne pas discriminer les orientations sexuelles signifie appliquer un critère rigoureusement égalitaire à tous les choix, quels qu’ils puissent être, en matière de sexualité humaine. Un critère égalitaire cohérent portera à protéger juridiquement toute forme de désordre moral, allant des unions homosexuelles à la pédophilie et à l’inceste, au moins pour tous les sujets consentants, sauf bien sûr une violence explicite. »

    « En outre, toute critique publique d’un comportement considéré comme désordonné et immoral constitue une forme de  discrimination  (…). Le 9 novembre dernier, l’Observatoire sur l’intolérance et la discrimination contre les chrétiens en Europe a fait parvenir à l’OSCE (Organisation pour la Coopération et la Sécurité en Europe) un rapport sur la situation de la liberté religieuse dans le continent. L’Observatoire a enregistré au cours des six dernières années plus de 800 cas en Europe dans le cadre desquels la liberté des chrétiens d’exprimer publiquement leurs idées a été lourdement violée. Nombre de ces cas se réfèrent à l’interdiction de manifester publiquement leur contrariété à l’avortement ou au mariage homosexuel. »

    En septembre 2008 déjà,  Bruno Gollnisch  notait que le Parlement européen, au lieu de «  jouer à l’ONU et de prétendre  établir le règne des droits de l’homme partout dans le monde », « ferait mieux de balayer devant sa porte ». « En France, en Belgique, en Allemagne, en Autriche, des milliers de citoyens, y compris des universitaires, des publicistes, des élus mandatés par leurs compatriotes, sont poursuivis, condamnés, ruinés, privés de leur emploi, emprisonnés, accusés de racisme pour avoir critiqué l’immigration, de xénophobie pour avoir défendu la légitime préférence nationale, de négationnisme pour avoir critiqué les  vérités officielles  mais changeantes de l’histoire contemporaine, d’homophobie pour avoir exprimé une légitime préférence pour la famille naturelle, la seule à même de transmettre la vie. »

    Bruno Gollnisch s’inquiétait tout aussi officiellement, de «la multiplication et l’aggravation des législations françaises et des pratiques gouvernementales qui portent atteinte aux libertés publiques (qui) préoccupent de plus en plus de nombreux juristes français et européens. Il est vrai que sous le prétexte de policer le discours, s’instaure, dans notre pays, une véritable et implacable police de la pensée. La répression des libertés publiques, instaurée notamment par la loi Gayssot, vise dorénavant à priver de leurs biens, de leurs droits civiques, de leurs emplois et même de leurs droits familiaux, des personnes avec lesquelles on peut être en total désaccord, mais qui n’en sont pas moins des citoyens honnêtes ».

    Il appelait ainsi «  tous les Français à défendre simplement le principe de la liberté dans une société où elle ne cesse de se restreindre, sous prétexte de lutte contre le racisme, la xénophobie, le révisionnisme, l’homophobie etc… C’est par un combat de résistance aux pratiques répressives qui poussent à la criminalisation des personnes que nous ferons reculer l’obscurantisme et l’intolérance qui ont submergé la nation et l’Europe. Cette liberté qui, selon les propres termes de la Cour européenne des Droits de l’Homme (arrêt Hadyside du 7/12/1976), « vaut non seulement pour les informations ou  idées  accueillies avec faveur ou considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent l’Etat ou une fraction quelconque de la population ». Nous en sommes loin !

    http://www.gollnisch.com