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« Mariage » gay : les magouilles des députés au moment des votes !
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Logique nihiliste : Après le mariage et l'adoption homo, maintenant la drogue !
Salles de shoot/Paris:feu vert de Matignon
Matignon a donné son feu vert pour tenter l’expérience d’une salle de consommation de drogue à Paris, ont indiqué aujourd’hui à l’AFP les services du Premier ministre, confirmant une information de France Culture.
C’est la Mildt (Mission interministérielle de lutte contre les drogues et toxicomanies) qui est chargée de la mise en place de cette expérimentation, avec le ministère de la Santé, a ajouté Matignon, qui n’a pas précisé de calendrier de mise en oeuvre, ni le lieu d’implantation de cette salle dans la capitale.
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L’adoption/PMA/PGA ouverte au mariage homosexuel est un automatisme lié à l’absence de différence de statut juridique entre le mariage homosexuel et hétérosexuel
Dans le cadre du débat français sur l’ouverture du mariage civil aux unions de personnes de même sexe, la question a été posée de savoir si les mariages dits "homosexuels" bénéficiaient automatiquement du droit à l’adoption, de la PMA et de la GPA, ou s’il était possible de distinguer l’obtention du droit au mariage homosexuel de celui de l’adoption (voire ensuite de celui à la GPA) pour les mariages homosexuels.
Cette crainte est fondée : Le droit à l’adoption pour les mariages homosexuels est lié au statut du "mariage" en droit civil, et constitue donc un corollaire juridique inhérent et indissociable au statut de "mariage" civil.
Dès lors que le statut juridique du mariage aura été amendé (ouverture du mariage aux personnes de même sexe), l’adoption par les couples mariés homosexuels leur sera automatiquement ouverte par voie juridique. Rien ni personne ne pourra s’y opposer. En effet, si l’adoption est reconnue aux couples mariés hétérosexuels, elle ne saurait être refusée aux couples mariés homosexuels (en raison de l’impossible discrimination fondée sur le sexe et/ou sur l’orientation sexuelle) ; le critère juridique reposant sur l’identité des statuts juridiques.
Puisque l’objectif politique est d’ouvrir le statut juridique du "mariage" aux unions homosexuelles, mariage homosexuel et mariage hétérosexuel sont reconnus identiques, comparables, substituables. Ces statuts sont juridiquement indifférenciés et bénéficient donc de tous les droits attachés au mariage et en particulier de celui de l’adoption.
Il suffit pour s’en persuader d’étudier l’acquis communautaire de l’Union européenne (c.f. reconnaissance mutuelle des documents de statut civil, problématique de la reconnaissance mutuelle des mariages et adoptions conclus dans un Etat Membre) ainsi que les arrêts de la Cour européenne des droits de l’Homme du Conseil de l’Europe sous l’angle de l’identité juridique des situations dès lors que les parties en cause se trouvent dans une situation juridique comparable à celle des couples mariés, indépendamment du sexe ou de l’orientation sexuelle (cf. l’arrêt "Gas Dubois" (requête no 25951/07) de la CEDH).
Par conséquent, même si le gouvernement ou l’Assemblée parlementaire retirait de la proposition législative le droit à l’adoption pour les mariages homosexuels, ce droit serait, de toutes les manières, automatiquement reconnu par la jurisprudence européenne sur base de l’identité juridique des mariages homosexuels et hétérosexuels.
Démonstration :
1. L’arrêt "Gas Dubois" de la CEDH dit en résumé : les deux femmes plaignantes ne pouvaient faire valoir leur droit à l’adoption et donc à la discrimination car, en 2012, le mariage n’était ouvert qu’au couple homme-femme. L’argumentation est fondée sur l’identité différente des deux statuts juridiques.
2. La loi Taubira passe, avec ou sans adoption mais hors PMA. Le gouvernement déclare que la PMA n’est pas à l’ordre du jour.
3. Les Etats généraux sur la Famille et l’Ethique sont lancés sur la PMA
4. Dès l’entrée en vigueur de la loi Taubira, la CEDH sera saisie et condamnera immanquablement la France puisque les deux mariages homosexuel et hétérosexuel seront reconnus identiques.
5. La CEDH prime le droit français, elle retiendra la discrimination (pour les couples mariés homosexuels de ne pas pouvoir adopter) car en droit européen les mêmes droits sont applicables quels que soient les types de couple (non discrimination fondée sur le sexe et/ou l’orientation sexuelle) face aux situations juridiques identiques.
6. L’adoption et la PMA seront donc imposées par la CEDH à la France.
7. Le gouvernement peut se cacher derrière la jurisprudence européenne, et l’adoption pour les mariages homosexuels est assurée.
Conclusion : On ne peut s’opposer à l’adoption par les couples homosexuels qu’en s’opposant au mariage pour tous, dès l’origine, car tout est lié.
Tobias Teuscher. Parlement Européen.
Martha Thès Institut de Politique Familiale France www.ipfe.org
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Vers la révolution médiévale à la française (I)
Le premier des bienfaits dont nous soyons,
positivement, redevables à la Science, est d’avoir placé
les choses simples essentielles et "naturelles" de la vie
HORS DE LA PORTEE DES PAUVRES.Villiers de l’Isle-Adam
Il ne faut rien attendre des politiques. La crise qui frappe la France frappe partout, parfois plus fort, parfois moins fort. On sait qui est Hollande, on sait qui est Copé ou le suivant, on sait que la candidate en liquette n’a pas daigné se rendre à la manif cardinale, celle qui défendait la famille, la seule importante qui soit, puisque comme le dit Chesterton la famille est le seul état qui crée et qui aime ses citoyens. Les Etats en occident aujourd’hui ne rêvant que de les détruire ou de les polluer, leurs citoyens.
Mes lecteurs savent que j’insiste beaucoup sur les leçons de l’histoire et des grands esprits ; si l’on peut appliquer Juvénal, La Boétie, Montesquieu ou bien Tocqueville à notre époque, c’est qu’il y a bien peu de chances d’améliorer les choses ! On aurait pu, dans la première moitié du siècle dernier, aux temps de Péguy et Bernanos, et l’on a complètement échoué, se contentant de la mécanisation et des guerres du Péloponnèse, comme dit Stoddard, qui ont exterminé l’élite guerrière et spirituelle de la race blanche et préparé une fin du monde molle et interminable, grise et polluée, flasque et fainéante. On ne l’emportera pas au paradis. De toute manière les temps heureux n’existent pas et les temps brillants sont bien courts ; la Grèce, le siècle de saint Louis, la renaissance italienne, l’époque romantique ? Mais assez de tourisme historique. Et assez de pensée globale et de commentaire creux sur l’actualité et sur ce monde soi-disant devenu fou.
Pour se sauver, il faut commencer à se sauver soi-même, c’est ce que fait Noé avec sa famille et ses meilleurs animaux. Le système l’a compris et propose des milliers de bouquins aux damnés de la crise, entre deux salles d’attente, ces métaphores du purgatoire où nous passons nos vies. Mais il faut penser une révolution personnelle, immédiate, médiévale et pratique. Les outils sont déjà là, modestes solutions, depuis longtemps : on a Céline et le rigodon, Tolstoï et son mir russe, Tolkien et les Hobbits, William Morris et le socialisme artisanal du règne victorien. Une forme de retour à l’ancienne, une manière chic et étrange de se mettre en marge du monde en recomposant peut-être un passé hybride puisé aux bonnes idées de tous les passés... Cette mise en marge du monde mérite bien sûr un livre que j’écrirai peut-être, et qui s’articulera sur les points fondateurs suivants.
- La famille et la communauté : il ne faut pas repenser à fonder la grosse société, elle est foutue et je dirai même qu’elle est une abstraction. Il faut penser à sauver les siens, et je dirai non pas tant chercher à sauver leurs corps (on vivra vieux de toute manière, car pour l’instant cela arrange la matrice) que toute leur âme. Le village est aussi à reconstituer avec son espace sacré, toujours attaqué par les médias, y compris et surtout par le prisonnier ; il est vrai qu’on a eu les villages de vacances et la tradition parodiée par la prostitution touristique. Mais Giono ou bien Pagnol y tenaient, à leur regain villageois, et ils avaient raison. On verra les cités médiévales après. Voyez le curieux film de Shyamalan sur Le Village.
- La mise en colère. On ne se pose qu’en s’opposant. C’est ce qui manque aux chrétiens d’aujourd’hui, on les a rendus tristes et fatigués en interdisant la juste colère. Les pères de l’Eglise défendent la colère, et le Christ se met en colère, et saint Paul défend la colère. « Que le soleil ne se couche pas sur votre colère, et ne donnez pas votre entrée au démon »... Tocqueville l’a dit, que la démocratie vise les âmes. Je dirai en tombant parfois la télé qu’elle cherche à remplir l’enfer, la démocratie, et qu’elle y arrive peut-être, vu le tonnage d’abjections ahuries et vu surtout l’absence de réaction en face : les gens sont désensibilisés comme les zombis. La guerre que nous livre la brutalité technologique, la guerre que nous livre la salauderie médiatique, elle est métaphysique, elle est démiurgique pour qui sait la voir en face. Essayez une nuit de télé ou un jour de dessins animés pour voir. Et pensez au suicide pontifical de Tony Scott, le cinéaste luciférien.
- Il faut donc fuir la matrice et les médias, comme dit déjà Thoreau en 1840, et je dirai aussi qu’il faut diaboliser ces outils matriciels et technologiques, parce que c’est en diabolisant que l’on crée une civilisation et c’est en diabolisant que l’on ne finit pas en enfer. Tout simplement. Lisez les pères de l’Eglise, ils ne disent pas autre chose, j’en parlerai un jour, mes preuves à l’appui, des pères de l’Eglise. On n’a pas besoin d’un psychiatre ou d’un diététicien ou bien d’un sexologue quand on est un chrétien. On a besoin de s’en tenir aux péchés capitaux. La technophilie est une addiction, une techno-syphilis et il faut s’en soigner avant. Je vois les effets dévastateurs sur l’enfance et sur l’adolescence mais sur la sénescence aussi. Mais je vois aussi que la jeunesse n’était pas très bien avant Internet et avant la télé : il faut donc en tenir compte, apprendre aussi à s’en passer et parfois bien l’utiliser, cette technique, et moins longtemps. Et proposer des vraies activités. Le petit monde fuit dans son iPad parce que le monde s’ennuie et crève à petit feu de sa petite vie. Il faut lui redonner une réalité à tolérer et à aimer. Il faut aussi qu’il se la donne et la vive. Car sinon gare aux vierges folles.
- Il faut aussi fuir l’argent et penser moins à en gagner qu’à en dépenser peu. Il faut fuir l’idée de l’argent plus encore que l’argent. J’ai un ami millionnaire qui dit que maintenant la vie est tellement chère pour lui le riche qu’il se considère comme faisant partie de la classe moyenne supérieure. Ce n’est pas une blague : le fait que des centaines de millions vivent confortablement maintenant sur la terre retire au gain d’argent une bonne part de sa crédibilité. L’argent offre de moins en moins d’avantages. Pour vivre comme un bourgeois de jadis il leur faut des milliards. Il faut penser aux coins où d’être homme d’honneur on ait sa liberté, et utiliser la technologie pour économiser les transports : le système pas fou s’est bien gardé de le faire !
- Je continue sur l’argent. Si ce système ne trichait pas, il éclaterait ce soir. La conspiration maintient la fiction d’un demi-million de milliards de dollars de dette planétaire ! lisez bien ce chiffre, car c’est le bon ! Les banques centrales ne cessent de fabriquer des billets pour racheter des dettes et sauver les marchés ! l’argent n’a jamais été à ce point une illusion, une matrice au sens du film. Bernanke, Draghi et les Goldman Guys ont dé-sublimé l’argent pour parler comme Marcuse (à propos du sexe, de l’art et de la culture). Il ne sert plus à grand-chose dans un monde saturé, bourré, obèse et trente mille fois revisité (je pense aux voyages les pauvres : qui est encore assez con pour voyager, comme disait Beckett ?). Je vois aussi que les gens se méfient avec raison du virtuel : ils veulent à nouveau de l’or, ils veulent même cultiver de la terre, revenir au concret, cultiver leur jardin. Personne ne se fie vraiment plus du dollar ou de l’euro, on ne sait à quelle sauce les gars de Goldman nous mangeront quand ils auront tout épuisé. Oublier l’argent, revenez au solide. Ce mot vient de sou d’ailleurs. Cultiver son jardin : l’avenir, disait Audiard, est au kolkhoze fleuri.
- Il faut aussi fuir les transports. Celui qui ne se déplace pas passe pour un fou, mais il liquide vraiment le système. Rien ne rend plus triste que le métro, les embouteillages, rien n’aliène plus, rien n’ahurit plus à part le centre commercial. Il faut se débarrasser aussi des aéroports, ce monde repose sur les transports ce qui en termes raciniens désigne un mal-être suprême. Pour les transports on aura toutes les guerres que vous voulez, en Irak, Syrie, Libye ou bien ailleurs. C’est l’outil fou qui a détruit le monde, voyez Gautier : « Quand tout sera pareil, les voyages deviendront complètement inutiles, et c’est précisément alors, heureuse coïncidence, que les chemins de fer seront en pleine activité. »
- Il faut fuir la médecine. A court grâce à Dieu de somnifères j’ai récemment retrouvé la liberté d’un sommeil plus léger, éthéré, moins abruti, plus vivace ; la liberté de mes songes aussi. J’étais aussi idiot que Diogène avec son écuelle. 80 % des dépenses et des gestes médicaux sont de la farce moliéresque. Il faut se libérer de la dictature médicale qui a ruiné l’occident, ajoute des cauchemars inutiles et nous a transformés en petits pleutres et en robots trans-humains. La médecine a couvert la déshumanisation de l’homme en permettant le conséquent recyclage des foetus avortés pour tout type d’industries et d’activités. Un individu qui meurt gâteux à l’hôpital n’est pas un chrétien qui meurt dans sa chambre : quelqu’un aura dévoré son âme avant, le suçant par les tubes.
- En fuyant la médecine on se libère, et je crois que Molière l’avait très bien compris. On peut aussi se libérer de la drogue, de l’alcool, du tabac, du vin même qui na plus de vin que le nom. C’est ce que j’ai fait et sans être devenu musulman pour autant j’ai retrouvé une acuité et un dynamisme que j’avais perdus. Il faut libérer les enfants et même les adultes de tout type d’addiction en se rappelant que le mal est ancien maintenant (les mémés aimaient les Beatles, les papis dansaient le jerk, ce n’étaient pas des modèles d’ados, déjà, n’oublions pas).
- Il faut aussi fuir l’université et même l’école. Elles ne servent plus à rien, sauf à la minorité cooptée qui mène le monde à l’abîme. Plus on a de diplômés, plus on a de bons à rien et de chômeurs, de mal payés, de mécontents. 80 % de nos diplômés des grandes écoles doivent s’expatrier : pourquoi avons-nous alors de grandes écoles ? la moitié des diplômés en Espagne sont au chômage ! De qui se moque-ton ? En Amérique, on est couvert de dettes en sortant de la fac. Mais de qui se fiche-ton ? Le chômage frappera ailleurs demain, les pays émergents et tout le monde : c’est la logique du capital, l’irrationalité acceptable du système. Il faut au contraire apprendre un travail, ou en effectuer un. Il faut oublier dans bien des cas le leurre universitaire, la farce planétaire du diplôme. La mondialisation c’est gagner trois fois plus pour payer dix fois plus, je l’ai bien vu partout où j’ai pu voyager. Et les diplômes de finance et autres ont tué l’humanisme. La culture générale n’est plus qu’un souvenir pour jeu télé ou dîner de cons.
- Au niveau culturel, je dirai qu’il ne faut plus en consommer. Marcuse rejoint ici Tolstoï : la salle de concert, la salle de musique, le grand stade culturel, c’est déjà de la désublimation, c’est déjà de la mort, du consommer de surgelé, du Picard en pixels et décibels. La culture actuelle, elle, est nulle, satanique ou bien recyclée : tapez-vous MTV la journée ou même la soirée pour bien voir. Il faut plutôt en créer une, de culture et à usage interne. Là je retrouve les socialistes médiévaux anglais du règne de Victoria qui ont accompagné Morris et inspiré Tolkien. Pour le reste la liste des livres à lire des grands classiques s’entend, est vite établie. On laissera Peter Pan et les histoires pour enfants aux Illuminati ! Redécouvrir une vraie culture chrétienne, le chant par exemple qui vous enseigne le pourquoi d’une église médiévale, le pourquoi aussi de notre corps : « Puisque l’homme était un vivant apte à la parole, il fallait que l’instrument de son corps fût construit en rapport avec les besoins du langage », écrit Grégoire de Nysse de son style sublime. Elle est là, la culture réelle, pas dans le Pariscope et les listings.
- La cuisine. Je la découvre depuis mon mariage et je découvre donc qu’elle est une clé, y compris pour comprendre la Cène ou les noces de Cana. Trouvez quelqu’un sachant cuisiner, ou apprenez-vous-même. Sinon... Il faut pratiquer la musique, créer son orchestre familial comme faisaient les Irlandais il y a encore deux générations, il faut peindre, filmer, composer ses poèmes, sculpter, bricoler, et surtout cuisiner, chacun s’exerçant et chacun pratiquant le domaine dans lequel il excelle. La cuisine est la maison dans la maison, c’est le foyer sacré, ne gâchez pas votre cuisine. Et évitez le restaurant surtout le soir.
- Les Français, nous dit-on, adorent le bricolage, ils n’ont de toute manière plus le choix, et c’est très bien. Retrouver la vraie maçonnerie, la médiévale, l’opérative, pas la spéculative. Il faut travailler de ses mains. Celui qui le fera comme Celui qui était charpentier pourra même en vivre, ce qui lui évitera de prendre sa voiture ou le métro pour aller gagner un salaire dévoré par l’Etat, le stress et les impôts. Qui est assez riche pour travailler ou pour donner du travail encore dans cette France exsangue ?
- En redécouvrant la culture on peut aussi redécouvrir une donnée importante : penser à réussir sa journée plutôt qu’à réussir sa carrière, ce qui me semble à la fois plus dur et plus audacieux. Voyez et revoyez ce film US incroyable, le Jour de la marmotte en anglais, cette journée qui recommence sans cesse jusqu’au moment où Bill Muray (un monsieur météo d’ailleurs) comprend qu’il peut réussir sa vie en saisissant l’essence d’une journée. Ce n’est pas le meilleur film de tous les temps, c’est le meilleur film de tout le temps.
- Evidemment, le problème important est celui de l’espace, d’où ma notion de catholique parc. Le premier rêve pour restaurer le monde serait de se passer de voiture. Imaginez un département, une province sans voiture. L’Amérique du Sud me fascine pour cela, on y vit à part plus facilement, la terre est parfois moins chère (même si l’éthanol est passé par-là...), et l’on pourrait s’y rassembler plus facilement en faisant un choix de civilisation comme les monastères chrétiens ou les communautés érémitiques égyptiennes à la fin de l’empire romain. Tout est possible en France dans le centre ou l’Auvergne, en s’organisant mieux même en région parisienne, ce Valois où depuis plus de mille ans bat le coeur de la France (Nerval). On reconnaît les siens à leur mouvement, pas à leur couleur, dit aussi McGoohan. On verra vite la différence. Il y a ceux qui auront été dévorés par la technique, aspirés par leur bouffe, et il y a ceux qui auront gardé la vraie vitalité.
- Et se faire accuser de secte ? Ce serait presque un compliment. Les premiers chrétiens étaient traités de sectes par tout le monde, relisez Celte. Mais ils ont tenu bon et ont assisté à l’auto-liquidation de l’impériale et dégénérée population d’alors. Au réveil il était midi, à dit Rimbaud, au réveil il n’y aura plus que des chrétiens.
Ce texte n’est pas un manifeste ; je l’écrirai plus tard, et mieux bien sûr. Mais je développerai tous les points indiqués ci-dessus. Le plus dur n’est pas de vaincre la Bête, le plus dur est de lui survivre. Un père de l’Eglise, encore, Basile, je crois, et j’en termine pour cette fois :
« La colère est comme le ressort de l’âme ; elle lui donne de la force pour entreprendre et soutenir les bonnes actions. »
Nicolas Bonnal http://www.france-courtoise.info
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[DERNIÈRE MINUTE] MARIAGE GAY : LA TRAHISON DE CHRISTIAN JACOB ET DE L’UMP
Christian Jacob vient de l’avouer sur France Inter à 8 heures 40, ce mardi 5 février 2013, en réponse à une question posée par un auditeur : si la droite revient au pouvoir, elle ne remettra en cause ni le mariage homo ni l’adoption homo. La seule ligne rouge, ce sont la PMA et la GPA... Pour l’instant !
Pour l’instant, puisque en cas d’adoption du mariage homo, l’Europe, à laquelle l’UMPS nous a soumise, nous imposera le PMA et la GPA !
Bref, l’UMP est à terme favorable au mariage homo, à l’adoption homo, à la GPA et à la PMA !...
...puisque la ligne fixée par François Fillon est bien la ligne officielle de l’UMP. Celle-ci trahit donc déjà ceux qui lui font confiance sur les questions dites « sociétales ». Comme Rajoy en Espagne.
Dans ces conditions pourquoi font-ils mine de s’opposer aujourd’hui à une loi qu’ils sont décidés à conserver, AVEC TOUTES SES CONSÉQUENCES, en cas de retour au pouvoir ?
DÉCIDÉMENT, IL N’Y A RIEN À ATTENDRE DE CE RÉGIME NI DE SON PERSONNEL.
POUR CEUX QUI S’INTERROGEAIENT SUR LA SINCÉRITÉ DE L’OPPOSITION DES LIBÉRAUX-CONSERVATEURS FRANÇAIS !
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Etienne Chouard sur la dette publique et le projet de Constituante (23 février 2012)
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CGT, Hollande, Montebourg : les assassins de Goodyear !
Pour tuer le site de Goodyear, d’Amiens-Nord, que sa direction va fermer, ils se sont mis à plusieurs. Un meurtre collectif. Ou plutôt un assassinat prémédité.
Il n’est pas utile d’établir une hiérarchie parmi les assassins. Commençons simplement par le plus bruyant et, hélas, le plus audible : la CGT. L’organisation syndicale hurle, proteste, promet grèves et vengeances. C’est dans sa nature, comme il est dans celle du scorpion de piquer pour donner la mort. La CGT, c’est la garde napoléonienne à Waterloo. Enfin pas tout à fait. La CGT, certes, ne se rend pas, mais elle ne meurt pas. Elle est increvable. Et elle se battra jusqu’à la mort du dernier ouvrier licencié.
Les micros imbéciles se tendent vers les cégétistes ravis de faire la roue avec les mâles accents de la lutte finale. Aucun des porteurs de micro n’a fait l’effort de parcourir quelques centaines de mètres pour aller sur l’autre site de Goodyear, celui d’Amiens-Sud. Quel intérêt en effet ?
Là-bas, pas de licenciements, pas de fermeture. L’usine tourne à plein régime. Ses ouvriers ont accepté de signer un accord de flexibilité avec la direction. Accord obstinément refusé par la CGT du site d’Amiens-Nord.
D’autres assassins maintenant. Parfaitement identifiés sans que des portraits-robots soient nécessaires : François Hollande et Arnaud Montebourg. En 2011 (campagne électorale oblige), ils sont venus sur le site d’Amiens-Nord. Histoire de montrer que le PS n’avait pas oublié ses fondamentaux et que son amour de la classe ouvrière était intact.
Évoquant les licenciements boursiers, Hollande a dit aux ouvriers : « L’État peut fixer des règles. » Ils l’ont cru. Hollande est aujourd’hui président, Montebourg est ministre. « Qu’ils reviennent s’ils osent ! » a lancé, écœuré, un des ouvriers de Goodyear.
Bien sûr, ce n’est pas Hollande qui, stricto sensu, a assassiné Goodyear. Il a tué bien plus : l’honnêteté, l’espoir, la confiance dans la parole donnée. Et maintenant, il leur dit quoi aux salariés de Goodyear ? Comme Marie-Antoinette : « Ils veulent du pain ? Qu’on leur donne de la brioche ! » Mais à sa façon : « Ils veulent du travail ? Qu’on leur donne du mariage pour tous, de la PMA et de la PGA ! » Ça, ça ne remplit pas le ventre des ouvriers. Ni les autres ventres d’ailleurs.
Benoît Rayski dans Boulevard Voltaire
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Immigration : Personne ne pourra dire «Je ne savais pas !»
Elle pleure SA France perdue :
"Dis Papy, pourquoi t'as laissé faire ça ?"
- En 1968 la population française était de 49.700.000 habitants. Les musulmans en France étaient 610.000 soit 1,23% de la population.- En 1988 la population française était de 56.000.000 habitants. Les musulmans en France étaient 2.000.000 soit 3,6% de la population.- En 2009 la population française était de 67.000.000 habitants. Les musulmans en France étaient 8.000.000 soit 11,94% de la population ! (chiffres officiels, mais nous les savons tous en réalité bien plus important)Puisque tous les 20 ans la population musulmane est multipliée par 3.5, si cette progression n’est pas stoppée et même inversée, il est probable qu'en 2030 la population française sera de 70.000.000 d'habitants. Et que les musulmans en France seront 28.000.000 soit... 40 % de la population française.Donc, à ce rythme de vagues migratoires, dans 17 ans seulement, près d'un habitant sur deux serait musulman. Consternant pour un pays qui n'a aucune tradition musulmane, pas plus qu’il ne comptait de population arabe en 1930 ? Alors à quoi ressemblera la France dans bientôt 20 ans, puisque l'Islam est une religion conquérante qui refuse toute cohabitation avec d'autres religions ?- Des églises seront-elles incendiées comme on peut le voir dans certaines parties du monde ?... ça commence !- Verrons-nous des formations politiques de type HAMAS ou HEZBOLLAH s'implanter en France ?... ça commence !- La laïcité de l'État sera-t-elle remise en question ?... ça commence !- L'égalité des droits homme-femme existera-elle toujours, puisqu'elle n'existe pas dans les pays musulmans et qu'elle est déjà remise en cause aujourd'hui même en France dans les banlieues ?... ça commence !- La viande halal sera-t-elle obligatoire, avec toutes les souffrances que cela représente pour les animaux, égorgés vivants ?... ça commence !Une chose est absolument certaine : à ce train-là, la France de 2030 ne ressemblera pas à la France de 2010... CE NE SERA DÉJÀ PLUS LA FRANCE !MIEUX QUE STOPPER CETTE IMMIGRATION,IL FAUT L’INVERSER AU PLUS VITE !Regardez seulement autour de vous...Écoutez les propos de certaines personnes (hommes, femmes et enfants) dans les rues, les transports en commun...Regardez et écoutez attentivement les bulletins d'informations (Télévisions et Radios)...Lisez la Presse, les pages "faits divers" et les autres...Maintenant, réfléchissez sereinement en ayant pleinement conscience de ce que sera alors la vie de nos enfants, de nos petits-enfants... quand nous ne serons plus là !Et si vous pensez que c'est utile, alors transférez cet article à un maximum de personnes autour de vous.Plus tard, personne ne pourra dire : « Je ne savais pas !... » -
[Vidéo] Taubira s'attaque maintenant au nom de famille pour plaire aux LGBT ! Ça suffit !
On marche sur la tête ! Avec l’adoption du mariage homo, ce sont désormais les "couples" homo, stériles par définition, qui vont imposer leur loi en matière de transmission du patronyme ! Voilà où on en arrive avec la filiation fiction. Et un nouveau mensonge de Taubira sur le caractère indolore du projet de loi pour les couples hétérosexuels (excusez le pléonasme) !
Transmission du patronyme : ce que la loi sur le mariage pour tous changerait
Le député UMP Hervé Mariton, fer de lance de l’opposition au mariage pour tous, est revenu, lundi 4 février, sur l’une des dispositions de la loi concernant le nom patronymique des enfants. Cette disposition, inscrite dans l’article 2 du projet, concerne la dévolution du nom de famille : en cas de désaccord ou d’absence de choix des parents, les noms de chacun d’eux, accolés dans l’ordre alphabétique, seront donnés à l’enfant, alors qu’actuellement c’est le nom du père qui est attribué.
Pour M. Mariton, il s’agit d’une "révolution" qui "avance masquée". "Là où aujourd’hui un enfant s’appelle Durand, il s’appellera demain Durand-Martin, sauf si les parents demandent explicitement qu’il s’appelle Durand", a-t-il expliqué, précisant que cet accolement automatique des deux noms des parents concernera tous les couples, homosexuels comme hétérosexuels. [...]
La suite sur Le Monde
Lire également : Attention, les noms de famille de nos enfants vont changer !
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PMA-GPA : L’affaire dans l’affaire
Le loi sur le « mariage pour tous » n’est pas encore votée, à peine les débats à l’Assemblée nationale ont-ils commencé, que la polémique qu’elle a suscité ne semble plus intéresser qu’une poignée d’opposants et guère plus de partisans.
Pour tous, l’affaire semble entendue… « Dans le sac » ou « Dans l’c… », selon affinités. Les messieurs qui aiment les messieurs et les dames qui aiment les dames pourront convoler en justes noces devant Madame ou Monsieur le Maire. Du moins, pour celles ou ceux de ces élu(e)s qui le voudront bien. Sinon, ce sera leurs adjoints respectifs qui seront à la manœuvre… Et si personne ne veut s’y coller, la loi sera enfreint, mais en France, quelle importance ? Entre les milliers de lois votées dont on attend ad vitam aeternam les décrets d’application et les lois qui sont quotidiennement violées, un peu ou beaucoup, les scandales à venir des Premiers élus communaux réfractaires n’empêcheront certes pas la « société unisexe pour tous » de tourner…
Non, le « Mariage pour tous » dont les débats vont sans doute s’éterniser quelques mois dans l’indifférence de plus en plus générale, est incontestablement une « affaire pliée »…
La nouvelle affaire qui défraie la chronique, désormais, est celle de la PMA (procréation médicalement assistée) et de la GPA (gestation pour autrui)… À l’origine, l’une et l’autre devaient être votées dans la foulée du « Mariage pour tous », mais la levée de boucliers fut telle – un million de personnes dans la rue en janvier dernier, tout de même ! – que le gouvernement socialiste a jugé plus prudent de dissocier « l’affaire » de « l’affaire ».
Chaque chose en son temps : la bague au doigt pour commencer, le « droit à l’enfant pour tous » pour après. Un peu comme pour le Pacte civil de solidarité (PACS), voté la dernière année du siècle dernier : pour le faire digérer, tout le monde jura, la main droite sur le cœur et l’autre où l’on pense, qu’il ne serait jamais question de mariage. Pensez donc ! Juré, craché, foi de politiciens !
Jamais avant que la loi ne soit votée, en tout cas ! À peine celle-ci obtenue, le mot d’ordre fut lancé à gorge déployée : « Et maintenant, le mariage ! »
Une douzaine d’année plus tard, on y est !
La nouveauté, c’est le changement. Le fameux changement qu’un candidat élu nous a tant promis durant sa campagne présidentielle. Aujourd’hui, plus le temps de la « jouer fine »…
Les plus virulents partisans de la PMA et de la GPA ne cachent même pas leur impatience… À quoi bon ! C’est l’époque qui veut ça ! On veut tout, tout de suite ! Pourquoi attendre ? Pourquoi épargner les susceptibilités de la France rétrograde qui n’a rien compris – le comprendra-t-elle un jour, d’ailleurs ? – au sens de l’Histoire des thuriféraires des droits-de-l’homme-moderne ?
Quoique le terme « droits-de-l’homme » fleure de façon terriblement nauséabonde le totalitarisme machiste. Vivement que les « droits-de-l’unisexe » soient imposés ! Cela ne tardera plus guère, heureusement car aux âmes bien rouées, la cause n'a plus le temps d'attendre le nombre des années.Philippe Randa http://www.voxnr.com