Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 1167

  • Passer de l’ombre à leur « lumière »…

    Refus de l’hégémonie du parti vainqueur des élections, ras-le-bol devant la dégradation du pouvoir d’achat et de  la crise économique : on manifestait en Egypte cette fin de semaine, mais dans un grand climat de violences puisque les affrontements  entre opposants aux Frères musulmans, au   président égyptien, Mohammed Morsi  et les forces de l’ordre ont fait une quarantaine de victimes à Port Saïd. Hier également, ce sont  les libéraux-libertaires, les hédonistes bobos, des élus socialistes,  UMP, Verts ou du Front de gauche, les groupuscules et  petits partis d’extrême gauche, les officines humanistes  habituelles et autres délégations syndicales qui ont  battu le pavé parisien pour clamer leur soutien au mariage et à l’adoption pour les couples de même sexe. Un échec assez patent en terme de mobilisation puisque seulement quelques dizaines  de milliers  de personnes (120 000 selon la police) étaient présents, loin,   très loin de la mobilisation du 13 janvier en faveur  de la famille traditionnelle.

    Le soir même les élites éclairées étaient au Théâtre du Rond-Point pour « prolonger »  ce rassemblement,  témoigner de leur solidarité avec le lobby homosexualiste.   Organisée par le militant  Pierre Bergé et le metteur en scène Jean-Michel Ribes ce raout a rassemblé les têtes de gondoles  habituelles :  Gérard Miller, Bernard-Henry Lévy, Noël Mamère,  les UMP Franck Riester, Roselyne Bachelot, Monique Pelletier, Yves Jégo, mais aussi leurs amis du gouvernement Christiane Taubira, Manuel Valls ou encore Valérie Trierweiler.

    Une « compagne » de M. Hollande en pleine campagne d’autopromotion avec   son soutien affiché à   Florence Cassez depuis son   retour des geôles mexicaines, laquelle affirme n’avoir rien su des activités de son fiancé d’Israël Vallarta Cisneros,  kidnappeur en chef « qui a reconnu après son arrestation dix enlèvements et un meurtre ». Une affaire trouble qui mériterait pourtant une certaine retenue avant d’en tirer  des conclusions définitives  rappelait Philippe Randa  qui évoque  « une mascarade judiciaire sur fond de manipulation politique, policière ou maffieuse, voire les trois ».   Il souligne les « responsabilités de certains protagonistes à commencer par le frère de Florence Cassez, à la tête d’une entreprise d’équipement médical au Mexique, associé à  un certain Eduardo Margolis, un Mexicain d’origine judéo-libanaise, représentant de nombreuses sociétés israéliennes au Mexique dont des entreprises d’armement et d’équipement pour les forces militaires et policières. Il est également propriétaire de sociétés de protection et de surveillance à Mexico », « à la fois proche du pouvoir et lié aux cartels de la drogue. »

     Sur son  soutien au « mariage pour tous », Valérie Trierweiler   ne prend a contrario  pas grand risque constate implicitement Renaud Pila sur le site de TF1. « Tout d’abord, s’il est bien un sujet qui identifie la gauche politique et sociale, c’est bien le mariage gay et l’adoption. Revendication de longue date des socialistes et de leurs alliés, cette réforme sociétale a déjà été adoptée par plusieurs pays européens, notamment par l’Espagne socialiste de Zapatero en 2005. C’est un sujet qui fait consensus à gauche et qui soude la majorité de François Hollande, ce qui est loin d’être le cas dans le champ économique et social. Ainsi, au moment où le gouvernement va devoir faire accepter à l’Assemblée en mars un accord sur l’emploi plus social-libéral que socialiste, il est de bon aloi de pouvoir afficher sa fermeté sur le mariage gay, un des totems de la gauche. »

     Bref,   sur ce dossier, le chef de l’Etat « a  les moyens de camper sur une ligne de fermeté. Qui plus est, il y a intérêt. Dépeint depuis des mois comme un président hésitant et voguant au gré des événements, il peut montrer en ce début d’année à ses soutiens mais également à ses adversaires un nouveau profil, celui d’un homme sachant résister à la rue, même lorsqu’elle fait le plein (…). »

      Reste que si « François Hollande ne cédera pas sur cette réforme sociétale du mariage gay, elle aura montré la persistance de deux France qui cohabitent sans se comprendre. Mais le président fait le pari que son gouvernement pourra s’appuyer sur la lassitude des Français, très nombreux à penser que cette division ne vaut pas tout le battage médiatique déployé. »

    « Battage médiatique » qui ne saurait  occulter l’aveu de Michel Sapin chargé du programme  de François Hollande lors de la campagne présidentielle et actuel  Ministre du Travail. Invité de Radio J dimanche,   et comme François Fillon en 2007,  M. Sapin   a avoué qu’ «  Il y a un État, mais c’est un État totalement en faillite», plaidant pour des mesures d’économies. Bien  maladroitement il a tenté de minorer peu après la portée de ses propos en  précisant  à l’AFP qu’il avait seulement « ironisé sur cette formule » de l’ex premier ministre de Nicolas Sarkozy.

     Une ironie à laquelle nous a peu habitué ce  Franc-maçon, membre du Grand Orient de France, convive régulier  des dîners du Crif,  qui a participé aux réunions du Groupe Bilderberg et qui vota  lors du Congrès de Versailles en 2008, en faveur de  la réforme constitutionnelle permettant la ratification du Traité de Lisbonne.  Animée par cette même logique euromondialiste, cette figure socialiste s’abstint comme la plupart des parlementaires socialistes lors   du vote qui permit la ratification du Mécanisme Européen de Stabilité (MES),   permettant son adoption  à la majorité absolue.

      A propos du Traité de Maastricht, qui préfigurait en 1992  le Traité de Lisbonne, il déclarait avec une  emphase ridicule digne d’un Jack  Lang   : «Maastricht apporte aux dernières années de ce siècle une touche d’humanisme et de Lumière qui contraste singulièrement avec les épreuves cruelles du passé ».

     « Touche d’humanisme et de Lumière » (sic) dont les effets ont été mesurés par  les dizaines de  millions de travailleurs français et européens, de familles, de retraités, de chefs d’entreprises  victimes   de l’idéologie  constructiviste et sectaire de M. Sapin et consorts. Il est d’ailleurs très significatif affirme Bruno Gollnisch, que ce hiérarque du PS  n’ait pas évoqué l’initiative intelligente et sympathique  de  cet  hypermarché breton qui  a lancé un rayon composé uniquement de produits fabriqués en France.  La direction nationale du groupe de grande distribution Leclerc affirme que «la réflexion est toujours en cours» pour relayer à  plus grande échelle cette initiative. Une réflexion que l’on aimerait voir à l’œuvre dans les allées du pouvoir.

    http://www.gollnisch.com

  • Lettre ouverte du Comité Veritas à François Hollande

    Le retrait de la Légion d’Honneur et de la Valeur Militaire à François Collin pour délit d’opinion commence à faire couler beaucoup d’encre à commencer par les milieux militaires et d’Anciens Combattants (voir les articles du Gaulois des 5 janvier et 22 janvier).
    Parmi ces réactions, celle du Comité Veritas qui vient d’adresser une « Lettre ouverte » à François Hollande, Grand Chancelier de l’Ordre de la Légion d’Honneur en sa « qualité » de Président de la République. Comme le rappelait déjà Marc Noé (voir l’article du Gaulois), « les membres et les faits relatifs à l’OAS ont été amnistiés depuis longtemps ». Or, cette décision inique se fonde sur un prétendu « délit d’opinion » contraire aussi bien à la Constitution Française qu’à la Déclaration des Droits de l’Homme (voir en Annexes). François Hollande est donc bien le seul à avoir commis « un acte contraire à l’Honneur ». Dans cette affaire -ce scandale !-, il est précisément celui à qui il devrait être interdit de porter la Légion d’Honneur.
    Lisez la « Lettre ouverte » du Comité Veritas et diffusez-la le plus largement possible. La vérité doit être connue de tous.
    TEXTE INTÉGRAL
    Monsieur le Président de la République,
    Monsieur le Grand Chancelier,
    Mesdames et Messieurs,
    Probablement sur demande d’un tiers, vous avez pris la regrettable décision de retirer la décoration de chevalier de la Légion d’Honneur attribuée à M. Jean-François Collin à titre militaire en tant que grand mutilé de guerre, ceci au motif d’une prétendue « action contraire à l’honneur ».
    En quoi consisterait cette dite action ? Renseignement pris, il s’agit, non pas d’une action, mais de la déclaration faite par M. Collin, à la remise de sa Croix, à savoir : « Je tiens à ajouter que cette Croix, je la dédie à tous les Combattants de l’Organisation Armée Secrète qui sont morts les armes à la main, ou ont été fusillés par le plus grand traître de l’Histoire de France, le général De Gaulle. Ce sont eux, aujourd’hui, qui devraient être honorés à ma place ! Et pour que les choses soient limpides je vous promets que je ne porterai jamais cette Croix tant qu’il y aura un gaulliste ou un ami du FLN à l’Élysée ! »
    Que M. Collin ait exprimé ce qu’il pensait de Charles De Gaulle, lequel avait publiquement engagé la parole de la France et la sienne, proclamant l’Algérie « Française  organiquement et pour toujours », pour traiter ensuite du sort de ces départements français avec des terroristes abjects ruisselants de sang humain, dont la barbarie n’est plus à démontrer, c’est une opinion que partagent des millions de Français, et pas seulement de Français d’Algérie.
    À ma connaissance, nul ne peut nier que Charles De Gaulle, après avoir été porté au pouvoir par ce serment, entre autres, a trahi tous ses engagements, bafouant autant les droits de l’homme que ceux du citoyen, violant la Constitution française dont il était, le garant, trahissant le peuple qui l’avait votée, et se conduisant en dictateur pour assouvir, même dans le sang de ses compatriotes abandonnés et trahis, ses propres ambitions !
    Je le répète, il ne s’agit que d’une opinion, celle de M. Collin que je partage, mais que vous ne partagez certainement pas parce que tous les successeurs de Charles De Gaulle se sont évertués à cacher au peuple français qu’il n’était plus, à ce moment précis, sous un régime de légalité républicaine, mais bien sous le régime d’une dictature de fait…
    Tous, sauf un, Monsieur le Président de la République, et un des vôtres, précisément, qui a eu la rectitude de reconduire les RESISTANTS de l’Algérie française, dans leurs droits, dans leurs grades, dans leurs décorations, et j’ai nommé là M. François Mitterrand…
    M. Mitterrand étant le seul à avoir échappé à la servilité dont ont fait preuve tous les autres, il n’en demeure pas moins qu’outre cette réhabilitation, tous les courageux RESISTANTS de l’Algérie française ont bénéficié de quatre lois d’amnisties successives et, que je sache, sauf erreur que vous voudrez bien rectifier, le Général Salan, l’homme le plus décoré de France, est mort Grand-Croix de la Légion d’Honneur, et le Général Jouhaud Grand Officier, et il me semble qu’eux aussi considéraient Charles De Gaulle comme le plus grand traître de l’Histoire !
    Alors pourquoi cet outrage envers Monsieur Collin, et depuis quand, en France, émettre une opinion serait devenu un délit, une action contraire à l’honneur, entrainant des sanctions telles que le retrait d’une décoration amplement méritée ? Sommes-nous retournés en dictature, Monsieur le Président de la République, comme aux plus beaux jours du gaullisme ?? A-t-on remis au goût du jour, sous votre présidence, l’agressivité de l’État envers les vrais patriotes, et les méthodes de coercition envers les opposants à une politique fondée sur le mensonge et la violence ???
    Il y a, parmi les droits fondamentaux et universels de l’Homme, un droit imprescriptible : le droit à l’insurrection pour les minorités opprimés, et c’est au nom de ce droit là – il fut un temps où M. Michel Debré le reconnaissait comme le plus sacré des devoirs ! – que je m’insurge contre l’offense brutale et injuste, commise à l’encontre de M. Jean-François Collin par le Grand Chancelier et le Conseil de l’Ordre de la Légion d’Honneur, offense contresignée par le Président de la République. L’action « contraire à l’honneur » est pleinement la leur, et non celle de M. Collin !
    Veuillez agréer, Monsieur le Président de la République, Monsieur le Grand Chancelier de la Légion d’Honneur, Messieurs et Mesdames les membres du Conseil de l’Ordre de la Légion d’Honneur, l’expression du respect que je dois à vos hautes fonctions.
    Anne CAZAL
    Journaliste-écrivain
    Déléguée Générale du Comité Veritas
    (Lettre ouverte à Monsieur le Président de la République, Monsieur le Grand Chancelier, Mesdames et Messieurs les membres du Conseil de l’Ordre de la Légion d’Honneur)
    ANNEXES POUR POUR INFORMATION
    Article 11 de la déclaration des Droits de l’Homme de 1789 :
    « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. »
    Déclaration universelle des Droits de l’Homme de 1948 :
    « Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. »
    Constitution Française 1958 :
    « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances... »
    À PARAITRE UN HORS SERIE DE LA LETTRE DE VERITAS
    consacré à la "RESISTANCE FRANCAISE EN ALGERIE"
    Prix 10 € port compris - Tirage limité
    Réservation recommandée à Comité VERITAS
    B.P.21 - 31620 FRONTON

  • La Manif LGBT fait un bide et le PS est devenu un parti officiellement cathophobe

    TELS SONT LES DEUX ENSEIGNEMENTS À TIRER de la manifestation des partisans de la dénaturation du mariage et de la parenté.

    Un bide retentissant, tout d’abord, que les media officiels n’ont même pas cherché à dissimuler.

    Mais également une participation officielle du Parti socialiste à une manifestation ouvertement cathophobe.

      C’est désormais le langage officiel du PS...

    Une manifestation dont les slogans étaient aussi vulgaires, sordides que haineux. Pour Libération : "15H25. La créativité des pancartes bricolées est sans limite. " !

      Un argument décisif pour Hollande ? Il sont beaux les soutiens du Président de la République. Répugnant ! Pardon : "créatif" pour Libération.

    Rien à ajouter, sinon :

    Sont-ce là les soutiens de François Hollande ? Le président passera-t-il en force ? Ayrault réduit-il le peuple de France à cette lie ?

    Nous nous contenterons de référer à deux excellents reportages : celui-ci de NdF et celui-là du Salon Beige.

    http://www.actionfrancaise.net

  • Flop de la manif pro-mariage gay ?

    Pancartes vues aujourd’hui durant la manif



    «Le mariage homo c’est un nouveau progrès de la société important donc ça suscite des réactions de la part des réactionnaires» a déclaré l’ex-candidate Europe Ecologie-Les Verts à la présidentielle Eva Joly. Le Nouvel Obs
    Assouline récuse toute «bataille des manifs». «Je ne suis pas d’accord quand on dit c’est la bataille des manifs et qui aura le plus de monde, ce n’est pas ça le baromètre du tout», explique le porte parole du PS dans un entretien sur la Radio de la Communauté Juive (RCJ).

    Quelle que soit l’ampleur de la mobilisation, les dés sont jetés et le calendrier fixé. Il n’y a «aucun doute sur l’issue» de ce texte, «une loi sera votée et même à une large majorité», a assuré Jean-Marc Ayrault en déplacement au Chili. Le Parisien


    13h34 :La Place Denfert Rochereau

    La même place lors de la manif du 13/01 :

    http://www.fdesouche.com/

  • C'est une crispation ? Non, Sire, c'est une révolution

    Le journal Le Monde, dans son style inimitable, commente gravement un dernier sondage IPSOS Public Affairs sous le titre politiquement correct : « Les crispations alarmantes de la société française » (Le Monde du 26 janvier 2013). Mais ce sondage ne surprend que les bobos du boulevard Auguste-Blanqui. M.G.

    Un rejet général du Système

    Non les Français ne sont pas « crispés ». Ils commencent à en avoir plus qu’assez, tout simplement.
    Assez du mondialisme et de ses ravages (la mondialisation est une menace pour 61% des personnes interrogées) ; assez d’un système politique qui s’est coupé du peuple (72% estiment que leurs idées ne sont pas représentées par le Système politique) ; assez de l’Europe technocratique de Bruxelles (65% estiment qu’il faut renforcer les pouvoirs nationaux et limiter ceux de l’Union européenne) ; assez de l’immigration (70% trouvent qu’il y a trop d’étrangers en France et 74% que l’islam n’est pas compatible avec la société française).

    C’est un message clair qui ne peut qu’ « alarmer » l’oligarchie : les Français se déclarent de plus en plus nombreux, malgré le matraquage médiatique permanent, malgré l’insécurité économique et malgré la répression judiciaire, à rejeter les dogmes de l’idéologie dominante.
    Pourquoi ? Parce qu’ils sont les seuls à en souffrir, tout simplement.

    Toujours moins

    Les Européens de la zone euro, et les Français en particulier, découvrent en effet que l’ordre nouveau que l’oligarchie leur a imposé correspond pour eux à une société du toujours moins :

    – toujours moins de travail : le taux de chômage atteint des taux inégalés si l’on tient compte de ceux qui disposent d’un emploi à vie. Ces taux sont très supérieurs à ceux de 1936 en France ;
    – toujours moins de croissance : car les gouvernements mènent des politiques déflationnistes pour complaire aux marchés financiers et parce l’euro nous handicape ;
    toujours moins de revenus et de retraites : car les gouvernements européens, au nom du « redressement des comptes », dans une économie soumise au libre-échange mondialiste, n’ont de cesse d’augmenter les impôts et de réduire les dépenses publiques ; et les entreprises, au nom de leur « compétitivité », de réduire les salaires ;
    – toujours moins de protection sociale pour les autochtones, au nom de la flexibilité et de la maîtrise des dépenses ;
    toujours moins de services publics qui marchent, à cause de la volonté de réduire les dépenses et du corporatisme des syndicats ;
    toujours moins d’ascenseur social à cause de l’implosion du système éducatif public et du favoritisme dont bénéficient les migrants ;
    toujours moins de liberté : parce que chaque jour, pour les motifs les plus divers, l’oligarchie, via l’Etat Big Mother, s’en prend à l’initiative des autochtones ; et aussi parce que le politiquement correct et les lois mémorielles brident de plus en plus la liberté d’expression ;
    toujours moins de sécurité à cause de l’explosion de la délinquance, à cause de l’islamisme et à cause du laxisme judiciaire ;
    toujours moins de démocratie et de souveraineté, parce que l’oligarchie a décidé de se passer de la volonté populaire pour imposer son projet mondialiste, de gré ou de force ;
    toujours moins de respect pour l’identité et les valeurs des Français enfin, comme le montrent les campagnes de repentance à répétition initiées par l’oligarchie ou les projets de mariage homosexuel.

    No future

    Pour la première fois depuis la seconde guerre mondiale, nos concitoyens ont une claire conscience que leur situation se dégrade dans tous les domaines, et que celle de leurs enfants sera vraisemblablement encore moins bonne.

    Les bobos voudraient se persuader qu’il ne s’agit là que de « frilosité » et de « repli » des beaufs et des bidochons, alors que c’est une sinistre réalité pour le plus grand nombre.

    Dans ce contexte, le spectacle d’une oligarchie qui prétend imperturbablement que tout va bien et ira encore mieux demain, ou d’une classe politique interchangeable qui ne prend pas en compte leurs inquiétudes, leur devient de plus en plus odieux.

    Marx disait que les révolutions éclataient quand on ajoutait à l’exploitation la conscience de l’exploitation. Nous y sommes.

    Michel Geoffroy
    25/01/2013

    Correspondance Polémia – 26/01/2013

  • Anne-Marie Delcambre démonte l’islam

    Anne-Marie Delcambre n’est jamais invitée sur les plateaux Radios/TV en sa qualité de spécialiste de l’islam. Les médias préfèrent donner la parole à des dhimmis en puissance. Elle est pourtant :

    Ø  Docteur de 3ème cycle de l’Université Paris IV
    Ø  Docteur d’État en droit et agrégée d’arabe classique
    Ø  Professeur d’arabe littéraire
    Ø  Auteur de nombreux livres et articles sur Mahomet et l’islam
    Regardez cette vidéo et vous comprendrez pourquoi les médias l’ignorent…
  • A Davos, une finance « intouchable »

    Il en aurait presque versé une larme. Le PDG de JPMorgan Chase, Jamie Dimon, a donné le ton mercredi au Forum économique mondial de Davos (Suisse) en prévenant que l’industrie financière devrait pendant “encore cinq ans” avoir à supporter “les doigts pointés, le rôle de bouc émissaire, la désinformation” par rapport à leur rôle dans la crise financière qui a ébranlé le monde en 2008, et dont les conséquences se font encore sentir sur les marchés, chez les régulateurs, et dans le portefeuille des investisseurs lésés. Il en a également profité pour se moquer de “ces gens qui pensent avoir amélioré le système”, une façon à peine dissimulée de montrer le peu d’estime qu’il a pour les rédacteurs du Dodd-Frank Act ou encore les membres du comité de Bâle.

    Jamie Dimon au Forum économique mondial de Davos, le 23 janvier 2013

    Encore une fois, la finance et ses dérives sont les grandes absentes de Davos : si la régulation des banques et des marchés figure au programme des panels du cru 2013, l’autocritique et, surtout, la recherche de solutions pour éviter une redite des événements des cinq dernières années ne semble pas y avoir sa place.

    De concert avec Axel Weber, président d’UBS, qui traîne un certain nombre de casseroles liées à l’évasion ou à l’optimisation fiscales, Jamie Dimon s’est insurgé contre un milieu bancaire “qui en fait trop, trop vite” en terme de régulation. Axel Weber a renchéri en critiquant des règles de capitalisation et de liquidité trop compliquées, faute d’une réglementation internationale unique.

    Les deux banquiers répondaient à Zhu Min, directeur adjoint du FMI, et Paul Singer, fondateur du hedge fund Elliott Management Corp., qui estiment au contraire que le secteur financier ainsi que certaines banques sont encore, cinq ans après Lehman Brothers,  trop grosses, trop endettées (“too leveraged”) et trop opaques. Et que pendant ce temps-là, des centaines de millions de personnes sont au chômage.

    Jamie Dimon a alors à nouveau brandi des arguments déjà bien usés : c’est aux gouvernements de mettre au point une politique fiscale, monétaire et budgétaire favorable à la croissance et aux créations d’emplois.

    Le plus inquiétant n’est pas tant la morgue des “panélistes” que le vide intersidéral qui entoure à Davos la réflexion sur la prévention de futures crises. Dans les 80 pages du programme du Forum économique mondial, l’auteur a repéré seulement deux panels consacrés aux risques systémiques posés par les établissements financiers. Or si ces thèmes ne sont pas évoqués à Davos, où le seront-ils ?

    Comme le souligne un article publié sous la bannière DealBook dans le New York Times, l’affaire de la “baleine de la Tamise”, rendue publique en 2012 et dans laquelle JPMorgan – justement – a perdu près de 6 milliards de dollars, a un goût de déjà-vu : “Vous pourriez changer les noms, mais cette histoire d’intérêt personnel, d’accident imprévu sur les marchés et de pertes massives ressemble à presque toutes les autres catastrophes financières de ces deux dernières décennies.” Comme disent les Anglo-Saxons, ”The more things change, the more they stay the same” (“Plus ça change, plus c’est la même chose”).

    Avec un certain sens du timing, c’est le moment qu’ont choisi les producteurs de Frontline, l’émission de PBS, pour diffuser The Untouchables (“Les Intouchables”), documentaire au vitriol sur l’impunité dont ont bénéficié les responsables de la crise financière.

    Comme fait exprès, c’est également jeudi que doit être annoncée par la Maison Blanche la nomination de Mary Jo White, procureure devenue avocate, spécialiste de la délinquance “en col blanc”, à la tête de la SEC, le gendarme boursier américain. Le signal envoyé à Wall Street est important, mais il arrive bien tard.

    Economie américaine (blog Le Monde) http://fortune.fdesouche.com/

  • Ossétie : Un plan d'encerclement mûrement réfléchi (arch 2008)

    À l'heure actuelle, l'agression armée que la Géorgie avait entreprise contre l'Ossétie et l'Abkhazie s'est curieusement retournée en sa défaveur. Que l'acte soit fondé ou non n'est pas mon propos. Qu'il soit juste ou pas, non plus. Je ne m'interroge pas davantage sur la légitimité des Russes, ni sur les risques de nettoyages ethniques probables, supposés ou fantasmés.
    Ce qui m'interpelle, c'est autre chose : comment justifier un tel retournement de situation, si tout ne découle pas d'une stratégie prévue, planifiée, réfléchie ?
    Après avoir dressé un tableau sommaire de la géopolitique de cette région, je me poserai donc trois questions, qui, me semble-t-il, ne peuvent conduire qu' à une réponse unique, déplaisante et regrettable pour nous, Européens.
    La Géorgie, géopolitiquement, c'est le passage obligé du pétrole de Bakou vers l'Europe et le verrou sud de l'opération d'encerclement de la Russie, qui se retrouve coincée sur la mer Noire qu'elle dominait jusqu'alors, entre l'Ukraine, qui lui est hostile, la Géorgie et la Turquie, pro-américaines. Après cette guerre, il est évident que les Etats-Unis seront tout à fait fondés à implanter des bases importantes de l'Otan dans le pays natal de Staline, voire des bases strictement américaines, comme c'est le cas dans la zone de non-droit qu'est Guantanamo, ou bien en Croatie, où se trouve la plus grande base militaire états-unienne hors du territoire national !
    Mais j'ai probablement tort ... je dois vraisemblablement m'égarer dans des élucubrations infondées !
    Je poserai alors simplement trois questions. Pourquoi le président géorgien a-t-il eu un comportement aussi bravache, alors qu'il était l'agresseur, avec une armée minable, des intérêts d'un pays qui a la réputation de n'être ni tendre, ni militairement inefficace ?
    La seule réponse qui me paraît plausible, à moins d'invoquer une déficience psychologique, est qu'il avait la certitude d'être soutenu ! Et cette certitude, il ne pouvait l'avoir que dans le cas d'une opération concertée !
    Pourquoi cette attaque ?
    Quel intérêt peut avoir un petit Etat comme la Géorgie à provoquer de la sorte un voisin comme la Russie, au lieu de résoudre les problèmes diplomatiquement ou de laisser pourrir la situation à son profit ? Aucun, encore une fois, sauf si on le lui a demandé ... sauf si son initiative fait partie d'un plan plus vaste...
    J'en reviens au plan d'encerclement de la Russie. Pour qui refuse de penser que le hasard régit l'Histoire, il suffit de regarder une carte d'Europe - car je rappelle que tout cela se passe chez nous ! Du nord au sud, il existe aujourd'hui un cordon sanitaire entre la Russie et l'Union Européenne. Ce cordon est à la fois politique et militaire. En effet, les gouvernements en place en Lituanie, en Pologne, en Ukraine, en Géorgie, en Turquie sont pro-américains et ont des bases de l'Otan sur leurs territoires ... le tout pour protéger les Etats-Unis du terrorisme iranien, comme chacun sait ! Si cette situation se justifiait à l'époque de la Guerre froide, on peut se demander pourquoi aujourd'hui ... La réponse est assez simple : il existe une tendance politique en Europe, incarnée jusqu'alors par les gouvernants français et allemand, à rechercher un développement économique et politique en étendant l'UE vers l'Est, vers la Russie. Si cette tendance triomphait, l'Europe cesserait d'être un nain politique sur l'échiquier mondial et aurait la plus grande puissance économique, à la fois en termes de marchés et de production. Inutile d'aborder le chapitre de la puissance militaire qui en découlerait, tellement c'est évident ...
    Mais ça, ce ne serait un bénéfice que pour les Européens. Or il semble que la politique de l'Europe ne soit plus, à ce jour, faite à la faveur exclusive des Européens !
    Ce qui m'amène à ma troisième question. Pourquoi l'attaque a-t-elle pu avoir lieu à ce moment ?
    Entre autres parce que l'Union Européenne est actuellement présidée par un nouvel allié des Etats-Unis, qui a tout intérêt à montrer sa bonne volonté s'il veut recevoir les récompenses promises.
    Quelle est donc la situation à ce jour ?
    Une partie de l'Union Européenne a conscience que son avenir comme puissance ne peut passer que par l'établissement de relations cordiales avec la Russie. Cela n'arrange pas du tout les intérêts du concurrent direct que sont les Etats-Unis. Ceux-ci ont donc une double stratégie, D'abord, l'isolement physique, en établissant un cordon sanitaire autour de ce pays, qui empêchera le passage du gaz russe vers l'Europe si Washington le décide (mesures de rétorsion contre un vilain agresseur, mais dont seuls les Européens auront à souffrir) et permettra de contrôler le pétrole du Caucase. Ensuite, l'isolement diplomatique, puisque, en rendant son statut de "méchant" à la Russie, on empêche tout rapprochement avec l'UE et on permet à Washington d'affermir légitimement ses positions stratégiques en Europe centrale - pour l'instant - réduisant ainsi notre communauté au statut d'Etat vassal.
    La vraie question que devraient se poser les dirigeants européens, c'est de savoir ce qui est bon pour l'Europe, à court, moyen et long terme, puisqu'ils ont en charge le bien commun de leurs peuples respectifs. Mais je crains que ceci ne soit pas à l'ordre du jour.
    Frédéric ROBART-KAISER. Rivarol du 19 septembre 2008

  • Non à la recherche sur l'embryon !

    Il n’est jamais trop tard pour dire non ! La défense de l’embryon humain est fondamentale ! Un pilier de la bioéthique ne doit pas tomber en un éclair et dans l’indifférence !

    Réagissons !

    - Signons la pétition et diffusons-la à notre entourage !
    - Envoyons des cartes de protestation à nos députés ! (commande gratuite)
    - Diffusons à nos familles, nos amis ! (signature de mail, distribution de cartes de protestation, etc.)
    - Affichons des posters de la campagne dans notre association, notre paroisse, notre école, etc "Likons" la page Facebook “ Vous trouvez ça normal ? ” et invitons nos amis à faire de même !
    - Et plus d’idées au fil des semaines dans Le Journal de la campagne (merci de transmettre vos initiatives sur evenements@fondationlejeune.org)

    « 3 clefs pour comprendre et agir ! », télécharger le tract et diffusez-le à votre entourage

    Fondation Jérôme Lejeune

    http://www.actionfrancaise.net