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anti-national - Page 1164

  • Philippe de Villiers demande à Hollande un référendum sur le départ de l’UE

     Talentueux avertissement de Philippe de Villiers au Président de la République Française .

    Une vidéo à ne pas manquer !

    http://www.actionfrancaise.net

  • Lyon : un forum nationaliste, la licra et un divin incendie !

    Loué soit l’Eternel ! Le “Yatch Espace Saint Germain” a été fortement endommagé par un incendie hier matin ! Il faut dire que le bâtiment, situé à Saint Germain au Mont d’Or près de Lyon, appartient à une entreprise privée spécialisée dans la location de salles pour banquets, réunions, colloques… qui avait commercialement accepté d’acceuillir le Forum de la Nation samedi 16 février prochain.

    Un Forum de la Nation villipendé par la LICRA (ligue internationnale contre le racisme et l’antisémitisme), l’officine subventionnée du racisme anti-français, anti-blanc et anti-chrétien dont les liens avec certain lobby qui n’existe pas ont si bien été mis en exergue par Anne Kling (cliquez ici) dans sa “France Licratisée”. Le bidule avait éructé un communiqué haineux le 6 février dernier par lequel il exigeait des “autorités” l’interdiction de cette manifestation que ses rares militants, fort réputés pour être aussi lâches et couards que rachitiques, avaient fort peu de chance de perturber (cliquez là). C’est peut-être parce que la Préfecture de Lyon a fait la sourde oreille que l’Eternel, probablement sollicité, a ravagé le démoniaque endroit de son feu purificateur.

    Il est donc peu probable que les “autorités” cherchent réellement à savoir qui a inspiré ou téléguidé le ou les incendiaires; mais on peut avoir la certitude que cela ne fera que renforcer la détermination de nos amis des Jeunesses nationalistes et de l’Oeuvre françaisetout comme celle de nos camarades européens de la Falange, du NPD ou de la Casapound invités au Forum. Les chiens ne continuent à mordre que s’ils sentent la peur : haut les coeurs !

    Yves Darchicourt dans Synthèse nationale

    http://fr.altermedia.info/

  • “Journalistes ? Le mensonge est leur métier ” sera la devise des Bobards d’Or 2013

    P…, 10 ans. P… ? Polémia, bien sûr ! Alors que le think tank identitaire fête ses dix ans mardi 12 février dans les salons de la Fondation Dosne à Paris, Nouvelles de France a rencontré Jean-Yves Le Gallou pour parler du passé, du présent et de l’avenir. En exclusivité, il évoque dans nos colonnes un projet d’école de journalisme alternatif.

    Jean-Yves Le Gallou, quel bilan faites-vous des 10 ans de la Fondation Polémia ?

    En 2002, Polémia a innové en étant l’un des premiers sites dissidents sur Internet. Nous avons été des pionniers. Nous nous réjouissons d’être aujourd’hui une étoile de bonne magnitude dans la vaste galaxie de la réinfosphère. Nous y occupons une place particulière : celle d’un site de réflexion, inscrit dans la durée, et produisant des textes de fond solidement argumentés et documentés.

    Nos spécialités ? La bataille du vocabulaire (car les mots sont des armes) ; la défense des faits (sur l’immigration notamment où les études que nous publions font autorité) ; la démarche de la réinformation (sur la politique internationale notamment) et la délégitimation des médias dominants (que beaucoup ménagent et que nous attaquons sans peur et sans reproche).

    Vos travaux commencent-ils à influencer certains décideurs ?

    L’essentiel de notre diffusion se fait de manière virale. Par exemple le mot réinformation que nous avons créé avec Radio Courtoisie se trouve désormais partout.

    Mais je peux aussi vous donner des exemples plus précis.

    1° En juin 2012, les médias de l’oligarchie ont cherché à faire croire que la « droitisation » de l’UMP avait débouché sur un désastre électoral et que les sortants de la Droite populaire avaient réalisé les pires scores de l’UMP. Etienne Lahyre, l’un des contributeurs de Polémia, a montré, chiffres à l’appui, qu’il n’en était rien et qu’à situation électorale comparable (rapport de force Hollande/Sarkozy à la présidentielle), la Droite populaire s’était mieux maintenue que les autres courants de l’UMP. Cela a permis à Thierry Mariani et à ses amis de mieux résister à l’enfumage médiatique.

    2° Dans son débat sur l’immigration face à Manuel Valls, Marine Le Pen a surpris son adversaire avec une citation de René Cassin, père de la Convention européenne des droits de l’homme, légitimant le principe de préférence nationale. C’est Pierre Milloz, un chercheur de Polémia, qui a trouvé cette arme de déstabilisation massive… à la Bibliothèque nationale.

    A contrario, Henri Guaino a déploré sa « naïveté » lors des « printemps arabes ». Il lui aurait suffi de lire, dès janvier 2011 Polémia (et d’autre sites de la réinfosphère) pour savoir que les printemps arabes se transformeraient en hivers islamistes. Au demeurant, nul besoin d’être prophète pour éviter de se tromper : il suffit de ne pas céder aux emballements médiatiques et de faire preuve de discernement.

    « Polémia va se lancer dans la recherche de fonds »

    Pendant ces dix ans, la situation, sur le plan des idées défendues par la Fondation Polémia, s’est-elle améliorée ou, au contraire, s’est-elle aggravée ?

    Améliorée et aggravée : les deux !

    Dégradée d’un certain de vue, car les médias de l’oligarchie sont plus que jamais devenus de vulgaires organes de propagande. La déformation, la désinformation, la diabolisation, la novlangue, le mensonge statistique et le bobard sont le pain quotidien de leurs lecteurs, de leurs auditeurs ou de leurs spectateurs. « Journalistes ? Le mensonge est leur métier » telle est la devise de la quatrième cérémonie des Bobards d’Or qui aura lieu le mardi 19 mars prochain.

    Fort heureusement, ces médias totalitaires ont perdu leur monopole. Depuis 10 ans, ce qui compte c’est le développement du PMA : le paysage médiatique alternatif. Blogs dissidents et réseaux sociaux permettent de se réinformer et d’échapper à La Tyrannie médiatique, titre d’un ouvrage que je viens de publier chez Via Romana.

    Quels sont vos projets pour les dix ans à venir ?

    Notre modèle économique d’origine était sain et simple : pas de papiers, peu de dépenses, peu de recettes.

    Ceci étant, si – comme d’autres sites de la réinfosphère – Polémia veut se développer une certaine forme de professionnalisation est indispensable : pour l’évolution de notre site Internet, pour son rayonnement, pour la réussite de nos manifestations publiques (la journée de la réinformation, la cérémonie des Bobards d’Or), pour la réalisation de nouveaux projets (l’école de journalisme alternatif), des moyens financiers sont indispensables. Nous allons donc nous lancer dans la recherche de fonds.

    Nos donateurs (et les donateurs pour d’autres projets) doivent savoir que leur argent sera doublement bien investi : d’abord parce qu’il rendra possible la réalisation de projets utiles ; ensuite parce qu’il permettra à de jeunes talents – qui ont naturellement besoin de faire vivre leur famille – de développer leur professionnalisme et de le mettre au service des causes qui leur sont cher.

    C’est ainsi que nous pourrons abattre le mur des médias : c’est cela notre objectif pour les dix ans qui viennent.

    source Nouvelles de France

    http://fr.altermedia.info

  • Mali et Tunisie : la guerre mené par le wahhabisme ne fait que commencer

    Le 10 février, les observateurs internationaux ou français de la guerre au Mali sont rès pessimistes... ou si l'on préfère très réalistes. La France est au Mali pour longtemps.

    Non seulement ce pays est durablement divisé en « factions » qui ne s’entendront jamais. Mais aussi les combattants dits djihadistes, ou aussi wahabittes, se répandent partout, y compris à Bamako, et pas seulement au nord Mali. Ils ont commencé à mener une guerre d’attentats contre laquelle il est difficile de lutter. Ce ne sera pas la base de drones que l’Africom américain projette d’implanter au Niger ou au Burkina qui changera grand chose au rapport de force.

    Les wahabittes débordent évidemment aussi dans les pays voisins, notamment au Niger. Ils sont bien accueillis par la population. Celle-ci reste profondément musulmane et donc sensible aux discours religieux extrémistes. Par ailleurs et surtout, les espoirs d’activité économique pouvant stabiliser la jeunesse s’éloignent de plus en plus. Qui veut investir aujourd’hui en Afrique compte tenu des risques croissants? Les seules industries affrontant ces risques sont de type colonial, chinoises dans les infrastructures, les mines et l’agriculture, anglo-saxonne ou européennes dans le pétrole. Elles ne contribueront en rien à la paix sociale.

    La Tunisie est désormais elle-aussi en crise profonde. Les militants islamistes prospérant sous la couverture du parti dit musulman modéré Ennahda ne se cachent plus. En Tunisie comme ailleurs l’offensive djihaddiste est financée et organisée par le Qatar et l’Arabie saoudite, comme le constataient hier des démocrates tunisiens manifestant contre l’emprise d’Ennahda. Ils dénoncent la présence dans tout le pays d’écoles religieuses financées par le Qatar qui tente d’élargir par ce moyen son contrôle sur la population. Il en résulte une véritable haine contre la démocratie, le féminisme et la France. Ce pays pacifique, situé à nos portes, est en train de se transformer en région à éviter par les Européens.

    Le Qatar et l’Arabie Saoudite jouent leur survie en se retranchant derrière les combattants wahabbites. Ils savent bien que sans cela ils ne sauveront pas leurs régimes corrompus par le pétrole et d’immenses richesses illégitimes. Mais les pays occidentaux, eux-aussi corrompus par le pétrole, font semblant de ne rien voir. Leurs dirigeants se disputent l’honneur d’embrasser l’émir sur la bouche. Décidément, si la France, seule de toute l’Europe, persistait à vouloir résister, comme son honneur l’exige, elle devrait se préparer à une mobilisation générale.

    Jean Paul Baquiast Pour une Europe intelligente  10/02/2013 http://www.polemia.com

  • Comme naguère Émile Zola : J’ACCUSE !

    Tribune libre de Jean Vermeer*

    J’accuse Madame Christiane Taubira, ministre de la Justice, Garde des Sceaux, d’avoir sciemment trompé les Français le dimanche 13 janvier 2013 sur TF1 au journal de 20 heures de Claire Chazal.

    Je vous accuse, Madame, d’avoir sciemment menti aux Français en leur disant ce soir-là, je vous cite : « Le Code civil ne bouge pas sur la filiation, il n’y a pas une ligne de modifiée au titre VII qui concerne la filiation », alors qu’en fait, l’article 2 de votre projet consiste bel et bien à remanier ce titre VII.

    Mais votre mensonge ne s’arrête pas là, vous qui avez dit ce soir-là : « C’est un texte de loi qui n’enlève strictement rien à personne, qui ne supprime pas les mots de « père » et de « mère » ». [...]

    La suite sur NdF

  • La boîte de Pandore...

    Lorsque le débat sur le mariage homosexuel a débuté il y a quelques mois, j’avoue que je m’en suis d’abord désintéressé, considérant que celui-ci n’avait rien de très urgent et qu’il était surtout un « enfumage » gouvernemental pour éviter d’évoquer les vrais débats politiques et sociaux du moment, de la lutte contre le chômage et la désindustrialisation accélérée de ces derniers mois aux questions environnementales, totalement négligées par ce gouvernement Ayrault qui ne jure que par la « croissance » à défaut de penser le long terme et de préparer le « lendemain énergétique français »… J’étais d’autant plus réservé que ce débat divisait profondément la société et, à ma modeste échelle, mes amis qui, parfois, s’étripaient sur la toile quand les temps actuels nécessiteraient une certaine unité face aux enjeux sociaux et environnementaux, voire géopolitiques. Bien sûr, cette idée d’une confusion des genres à travers le remaniement de l’institution civile ou religieuse du mariage ne me plaisait guère, ne serait-ce que parce que j’y voyais une sorte de volonté prométhéenne de plier la nature au caprice d’une minorité pour laquelle tout devait être égal à tout et pour laquelle aussi, nul obstacle, fût-il naturel, ne devait résister à la liberté individuelle de, en somme et selon la formule libérale-libertaire de 68, « jouir sans entraves ». Cette volonté de refuser toute limite, y compris celles que la suite des générations, au sein des civilisations humaines « traditionnelles », avait codifié pour permettre l’équilibre des sociétés, me gênait mais ne suscitait, au-delà de ce sentiment un peu vague de malaise, aucune révolte car, là encore, je n’y voyais alors qu’une mesure symbolique, strictement civile et légale, qui ne me concernerait pas vraiment, et pour cause ! 

    Mais la manière dont le débat a tourné me déplait fortement, et j’y vois quelques linéaments d’une forme d’intolérance à la libre discussion et à la libre expression qui anime une partie, que j’espère minime (mais je ne suis sûr de rien en ce domaine…), de la Gauche gouvernementale, qui joue la carte sociétale pour faire oublier son impuissance face aux ravages d’une « crise » qui n’est, en somme, que la manifestation en France de la mondialisation… Je n’aime guère les oukases de certains politiciens ou idéologues, souvent issus de ce que l’on pourrait nommer, sans trop se tromper, les oligarques et qui se permettent d’ostraciser toute personne qui ose émettre un avis différent au leur : le lynchage dont Frigide Barjot, égérie catholique du mouvement contre le mariage homosexuel, a été la victime de la part des militants pro-« mariage pour tous », m’a profondément choqué tout comme les attaques verbales d’une violence rare contre l’Eglise catholique coupable de vouloir faire entendre sa voix discordante dans ce débat de société. Devant une telle agressivité anticatholique, devant cette nouvelle « pensée obligatoire » se parant du grand principe de l’égalité (principe polymorphe grand pourvoyeur tout à la fois d’illusions et de progrès, de règles équitables mais aussi d’injustices notoires, de beaux élans et de massacres cruels…), je me cabre et je secoue la tête : non, je n’accepte pas que la parole publique exclue les paroles particulières et qu’elle se fasse gendarme là où elle devrait plutôt se faire arbitrale sans pour autant s’interdire d’être « décisionnelle »…

    Il y a autre chose, et c’est sans doute là aussi ce qui me pousse à écrire sur un thème que je n’ai guère abordé dans mes discussions ni dans mes écrits précédents : c’est la question de la gestation pour autrui, prônée par les plus chauds partisans du « mariage pour tous » mais repoussée (pour l’heure) par le gouvernement, qualifiée aussi de « maternité de substitution » et d’autres termes encore plus ou moins techniques pour signifier, en définitive, une dépossession du corps de la femme et une stricte séparation entre la maternité et la filiation familiale. Cette question des « mères porteuses » est révélatrice des dérives d’une société qui ne se fixe d’autres limites que la liberté individuelle de ses membres, du moins de ceux qui ont les moyens financiers de l’exercer… Ce qui se passe en Inde devrait pourtant nous alerter et nous alarmer : ce sont des femmes pauvres qui louent leur ventre pour satisfaire au désir d’enfant de couples qui, pour diverses raisons, ne peuvent en avoir. En somme, c’est une marchandisation du corps humain et de la maternité, une marchandisation de la vie qui, si elle s’inscrit dans une logique économique libérale, n’a pas sa place dans une société qui place la dignité des êtres humains au cœur de sa pratique : mais il faut croire que, justement, notre société ne se reconnaît plus dans ce vieux principe d’humanité qui fixe limites et interdits pour mieux garantir équilibre, justice et libertés… 

    Je dois avouer que c’est bien cette question qui me fait sortir de mes gonds et prendre partie contre une loi qui, en définitive et malgré toutes les dénégations (que je pense et espère de bonne foi…), ouvre bien des boîtes de Pandore, au risque de ne plus pouvoir empêcher les pires pratiques déshumanisantes et si peu naturelles.

    Je me souviens que, il y a plus de trente ans, quand notre professeur de français nous faisait lire « Le meilleur des mondes » d’Aldous Huxley, nous haussions les épaules et affichions un sourire goguenard sur la question des pratiques sexuelles et des modes de reproductions évoquées dans ce maître-ouvrage : mais nous y sommes, dans ce monde terrible, dans cette démocratie de consommation qui veut à tout prix le choix de l’enfant sur des critères de « perfection » ou de « compétitivité » ! Ainsi, la reproduction humaine n’est plus cette idée de procréation faite à deux, par la force des sentiments et l’entente des corps, par la différence sexuelle, cette « inégalité protectrice » de la nature qui évite l’uniformité et la disparition de l’altérité… 

    Ce monde où tout pourrait s’acheter, se vendre ou se louer, m’effraie…

    L’homme, la femme, l’amour, les enfants… n’ont pas de prix ! Le respect des uns et des autres commence par la reconnaissance de leurs particularités, de leurs différences et de leurs complémentarités, sans forcément méconnaître, loin de là, leurs désirs. Mais tout désir n’est pas non plus forcément légitime : le reconnaître, c’est faire preuve de cette humilité nécessaire sans laquelle aucune humanité véritable n’est possible.

    http://jpchauvin.typepad.fr/

  • 1.087 : c’est le nombre d’usines qui ont fermé en France depuis 2009

     Depuis 2009, plus d’un millier d’usines ont dû mettre la clef sous la porte. C’est le bilan inquiétant dressé par le cabinet de veille économique Trendeo.

    En 2012, quelque 266 usines auraient disparu quand seulement 166 auraient été créées, selon la société de veille économique Trendeo. Au total, le rythme de fermeture se serait ainsi accéléré de 42%. Ce n’est pas loin de la triste performance enregistrée au plus fort de la crise en 2009 avec quelque 379 usines fermées. Résultat : ce sont 1.087 usines qui ont mis la clef sous la porte depuis 2009.

    L’économie française s’installe dans une tendance dépressive

    Alors que la tendance était incertaine en 2011, la conjoncture pour l’emploi se dégrade fortement en 2012, note l’étude. Les créations d’entreprises continuent à diminuer tandis que les suppressions ne cessent d’augmenter. “L’économie française s’installe dans une tendance dépressive“, avertit le cabinet.

    L’industrie manufacturière à la peine

    C’est l’industrie manufacturière qui est le premier secteur touché, avec en première ligne l’industrie automobile (- 41.994 emplois depuis 2009), suivie de l’industrie pharmaceutique (-8.648 emplois). Au total 23.897 emplois ont été supprimés en 2012, soit 121.946 postes depuis 2009. Viennent ensuite les secteurs des Transports et de la logistique et celui de l’Administration publique avec respectivement 60.854 et 57.790 emplois supprimés depuis 2009. En revanche, dans ce contexte de délitement du tissu industriel, la construction aéronautique et le luxe résistent plutôt bien, avec plus de 2.400 créations de postes.

    Reste que le cabinet se montre pessimiste pour l’avenir. Avec les annonces de suppressions d’emploi chez Goodyear ou encore Renault, l’étude évoque notamment le mois de janvier 2013 comme étant “le plus mauvais“ depuis qu’il collecte des données.

    La Tribune

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Benoist Apparu vote pour le mariage gay et contre ses électeurs

    Benoist Apparu, député de la Marne, est un deux députés UMP ayant approuvé le mariage homosexuel. En février 2011, il s’était déjà fait remarquer en disant vouloir faciliter la construction de mosquées, y compris avec l’aide de l’État après modification de la loi de 1905.
    Franck Riester et Benoist Apparu à l'Assemblée
    Le 22 janvier, lorsqu’il se déclare favorable au mariage homosexuel, son copain Franck Riester, député de Seine-et-Marne, est soulagé. Il ne sera pas seul sur les bancs de la droite. « Il était content d’avoir un hétéro pour défendre cette cause », dit Benoist Apparu.
    « De très nombreux parlementaires de droite sont partagés sur cette question du mariage. En tout cas, ils ne reviendront jamais dessus, ça va se banaliser très rapidement », ajoute-t-il. Confirmant ainsi les propos de Christian Jacob qui, le 5 février sur France Inter, annonçait que si l’UMP revenait au pouvoir, le mariage homo et l’adoption ne serait pas remis en question.
    AVIS AUX MALHEUREUX ÉLECTEURS DE L’UMP QUI CROIRAIENT ENCORE AU PÈRE NOËL : LA « DROITE PARLEMENTAIRE » N’A JAMAIS ABOLI AUCUNE LOI ADOPTÉE PAR LA GAUCHE.
    MESSAGES HOSTILES DANS LA CIRCONSCRIPTION
    Au niveau local, en revanche, la pilule est très dure à avaler pour les électeurs de Benoist Apparu. Député d'une circonscription « rurale et militaire », où le Front National obtient 25 % des votes, il croule depuis sous les messages hostiles. « On n'a pas voté pour vous pour que vous votiez pour ça », lui disent, en substance, les Marnais scandalisés qui lui écrivent.
    « Je suis en décalage avec ma sociologie électorale », constate sans s’émouvoir l'ancien ministre (Ndlr. Le Gaulois : Alors pourquoi ne rentre-t-il pas au PS ?). Ce n'est pourtant pas la première fois. En effet, en février 2011, il s’était déjà fait lamentablement remarquer en affirmant vouloir faciliter la construction de mosquées, y compris avec l’aide de l’état après modification de la Loi de 1905.
    Si, aux prochaines élections, les électeurs de l’UMP votent encore pour lui, c’est qu’ils n’auront décidément rien compris !

  • La PMA fabrique des orphelins !

    En plein débat sur la procréation médicalement assistée, la première génération d’enfants issus d’un don de gamète anonyme tente de s’exprimer et de faire entendre sa plainte : «Nous sommes une génération d’abandonnés, orphelins de nos origines», fait-elle savoir. L’association Procréation médicalement anonyme (PMA), qui militent pour l’accès de l’enfant à ses origines, apporte en effet des témoignages éclairants et bouleversants sur la détresse des jeunes issus de la technologie : «Nous avons à présent un recul de plus de 40 ans sur ces techniques. L’ouverture de l’assistance médicale à la procréation implique au préalable le devoir impérieux de prendre en compte notre expérience, celle des parents et des donneurs», expliquent les membres de l’association.

    Ce que le monde moderne refuse de comprendre, c’est que la technologie ne se substituera jamais à la morale. L’homme a peut-être su développer un pouvoir incroyable sur la matière, au point de savoir fabriquer un être humain, il reste que ces avancées scientifiques, si elles ne sont pas subordonnées à un progrès éthique, peuvent aussi bien devenir un facteur de destruction pour une humanité en perte de sens et de repère.

    Ce que soulignent notamment ces appels de détresses des enfants issus de la PMA, c’est que la recherche du sens, inhérente à la conscience humaine, commence par la recherche de ses origines. D’où vient-on ? Car l’homme ne vient pas de nulle part, et il ne saurait savoir où il va sans savoir déjà d’où il vient.  Une recherche qui suppose déjà celle de ses parents…

    http://www.contre-info.com/

  • Les adversaires du mariage pour tous bloquent les Champs Elysées

    Concert de klaxons, drapeaux bleus, blancs, roses et voiture de mariés : plus de 200 opposants au mariage homosexuel ont organisé dimanche un « happening » sur les Champs Elysées, a constaté une journaliste de l’AFP.

    Ils étaient environ 250 à bloquer momentanément la célèbre avenue de la capitale, a-t-on appris de source policière, la figure de proue des opposants au texte sur le mariage homosexuel Frigide Barjot, évoquant de son côté la présence de « plus de 400 voitures ».

    Rendez-vous avait été donné à la presse au petit matin devant le Conseil d’Etat, près du Palais-Royal.

    Frigide Barjot, vêtue de son désormais incontournable sweat-shirt rose, y a réclamé que le Conseil rende public son avis sur la question qu’elle juge « tenu secret » ce qui illustre, dit-elle, une « volonté de ne pas dire la vérité aux Français ».

    Selon elle, « la plus haute juridiction de l’ordre judiciaire administratif a rendu un avis qui dit clairement les choses sur le fait que le mariage a été explosé par la volonté d’égaliser les couples de même sexe avec les couples de sexe différents ».

    Les membres de l’institution y « soulignent que cela crée une différenciation irréductible entre les mariages de personnes de sexe différent et les mariages de personnes de même sexe en faisant disparaître la présomption de paternité. C’est très grave », dit-elle.

    « Il va falloir le dire aux Français, cette loi (...) institue que la filiation est changée et que donc la PMA (procréation médicalement assistée) et la GPA (gestation par autrui) se trouvent inévitables », estime l’humoriste catholique, bien que ces questions ne figurent pas dans le texte.

    « Y a pas d’ovules dans les testicules »

    Après une escale au pied de l’obélisque de la place de la Concorde, où les militants ont notamment brandi devant ce symbole phallique une pancarte « Y a pas d’ovules dans les testicules », ils ont remonté la plus célèbre artère parisienne en chantant la Marseillaise ou des slogans comme « Les Français parlent au François » et « Hollande, ta loi, on n’en veut pas ».

    Un couple de mariés en tenue « Charlène et Etienne » a alors rejoint le cortège à bord d’une voiture décapotable, un jeune maire célébrant fictivement leur mariage en lisant les articles du code civil, qui sera amené à être modifié avec le projet.

    Le débat-marathon sur le projet de loi s’est achevé samedi après environ 110 heures de discussions. Le texte doit être adopté mardi par l’Assemblée nationale mais il devra ensuite franchir l’étape du Sénat, à partir du 18 mars.

    Les opposants, qui avaient rassemblé 340.000 personnes d’après la police, 800.000 à un million selon les organisateurs le 13 janvier, appellent de nouveau à descendre dans la rue le 24 mars, l’événement de dimanche constituant selon Frigide Barjot, un « teaser » de cette « grande manifestation ».

    Malgré le cheminement du texte au Parlement, les anti-mariage gay assurent qu’ils ne baissent pas les bras, leur figure de proue soulignant que « la marche parlementaire n’empêche pas la marche du peuple ».

    Ils ont de nouveau réclamé dimanche la tenue d’un référendum et indiqué qu’ils comptaient « interpeller toutes les institutions » du pays contre le projet. Ils prévoient notamment de se rendre devant l’Assemblée mardi pour y tenir « un bureau de vote » de 9 heures à 18 heures, invitant aussi les Français à se prononcer contre le texte sur leur site internet (lamanifpourtous.fr). Ils prévoient également de déposer le 15 février une pétition ayant recueilli « plus de 500.000 signatures » au Conseil économique, social et environnemental(Cese).

    Libération

    LIRE ÉGALEMENT : Pourquoi Barjot veut 500.000 signatures contre le mariage pour tous DECRYTPAGE - Les opposants au mariage pour tous ont lancé une pétition et espèrent recueillir 500.000 signatures pour saisir le Conseil économique, social et environnemental (CESE). Une manière, selon eux, de pousser le gouvernement à retarder le projet de loi, qui arrive mardi à l’Assemblée nationale. Sur Le JDD

    http://www.actionfrancaise.net