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anti-national - Page 297

  • Diffamation de SOS Racisme : l'Alvarium porte plainte.

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    Communiqué de l'Alvarium (Angers) :

    Depuis le début de notre existence, nous sommes victimes des insultes les plus idiotes, des calomnies les plus odieuses et des actes les plus vils. Tout cela relayé complaisamment sur internet ; ici par les blogs antifascistes (que nous sommes heureusement presque les seuls à lire), là par une partie de la presse, payée par nos impôts mais prompt à faire la propagande de l'anti-France, quitte à cracher au visage d'une majorité du contribuable. Respectant le principe de liberté d'expression, nous avons le plus souvent ignoré ces choses, dans la limite du tolérable.

    Mais nous constatons aujourd'hui que SOS Racisme, officine agonisante du pouvoir destinée à faire taire tous ceux qui pensent différemment, se permet de qualifier l'Alvarium de « bar néo-nazi » en relayant une pétition diffamatoire réclamant notre fermeture. Si insignifiantes que soient pour nous ces insultes, nous refusons de nous laisser appeler ainsi par des professionnels de l'acharnement judiciaire et de la traque anti-française.

    Il y a peu, Jean-Marie Le Pen a fait condamner Jacques Séguéla qui l'avait traité de nazi dans le même but de diabolisation facile du camp national. Forts de cette jurisprudence, nous entendons bien à notre tour traîner SOS Racisme devant les tribunaux pour faire comprendre à ces khmers « blacks, blancs, beurs », qu'on ne nous diffame pas impunément et que la peur doit changer de camp.

  • Les désordres de plus en plus visibles de la mondialisation

    EIHRRgKX0AEziVL.jpgOn le savait déjà : un monde multipolaire est un monde dangereux, un monde multiculturel est un monde multiconflictuel, mais la globalisation économique, c’est aussi un monde de multicrises économiques et sociales.

    Le « nouvel ordre mondial » – né avec la mondialisation, il y a 40 ans, et qui devait faire émerger, par le marché, un ordre spontané – est un profond désordre. Et ce désordre se lit dans la simultanéité des révoltes populaires. Celles-ci, de façon plutôt inédite, comprennent l’ajout de la classe moyenne, laminée elle aussi, alors qu’elle avait été le cœur de la croissance des Trente Glorieuses.

    Qu’on en juge : Hong-Kong, Chili, Liban, Catalogne, Bolivie, Irak, Algérie. Pour la France, Gilets jaunes, mais, « en même temps », agriculteurs, policiers, pompiers, urgentistes, cheminots, enseignants, routiers, retraités, artisans. Les citoyens perçoivent que le système tourne à leurs dépens. On se demande d’ailleurs ce qu’il reste, en fait, de base électorale, à Macron. Bourgeois frileux, obsédés d’ordre public, progressistes fumeux et naïfs, activistes du bricolage sociétal et sexuel, et, bien sûr, les banquiers et leurs valets de la presse ?

    L’Etat, quand il n’est pas corrompu, perçoit un impôt plus lourd que ne le serait le prix du service sans son intervention, car il doit rémunérer nombre d’agents et de clientèles parfois d’importation. Cette réalité est d’autant moins tolérée qu’elle s’inscrit dans le contexte d’un capitalisme de connivence qui compense avec l’argent des contribuables les pertes d’un secteur financier dont les bénéfices sont privés. Pour les ménages, les dépenses contraintes (logement, assurances, transports) étant celles qui ont le plus augmenté. La simultanéité n’est pas le fruit du hasard, même si certains caractères propres demeurent par pays.

    Mais la mondialisation, c’est aussi la vue, en temps réel, des révoltes du voisin avec le numérique et sa viralité. La mondialisation engendre le sentiment de ne compter pour rien, de mener une existence précaire, de vivre dans un monde profondément injuste, dont l’hyperclasse mondiale est l’agent honni, tandis que la croissance ralentit partout dans le monde d’une façon là aussi plutôt simultanée.

    La mondialisation a produit, grosso modo, trois catégories d’humains. Un groupe très réduit d’ultrariches, qui disposent de l’information, de la communication, tous ordonnés à la grande truanderie financiarisée, tandis que la théorie du ruissellement, chère aux Anglo-Saxons, ne fonctionne plus (trickle down theory). Au bas de l’échelle, subissant les technologies, les néo-prolétaires dont le seul avenir est la précarité (en France 4,5 millions de nos concitoyens vivent de minima sociaux). Environ un milliard d’individus dans le monde. Et, au milieu, une immense classe moyenne vivant dans l’espérance de prendre l’ascenseur social, et dans la crainte de le manquer.

    D’où un mal-être permanent auquel seul le retour de la souveraineté et d’une régulation intelligente pourra remédier (régulation : du latin regula, la loi forcément régalienne).

    Olivier Pichon pour Présent/ Photo © jacqueline macou (Pixabay)

    https://www.tvlibertes.com/actus/les-desordres-de-plus-en-plus-visibles-de-la-mondialisation

  • Grand Remplacement en Europe : la France en voie de submersion

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    Par Paul Tormenen, juriste ♦ Polémia continue son tour d’Europe du Grand Remplacement. Après avoir étudié l’emblématique cas de la Suède puis l’inquiétante submersion démographique de la Belgiquel’espoir d’une réaction politique au Danemarkle désastre multiculturel britanniquele suicide de l’Allemagneles tentatives de résistances de l’Autrichel’espoir naissant en Italiela spirale infernale en Espagnel’islamisation galopante des Pays-Basle bon élève portugaisla lente chute de la Suisse et la crise migratoire en Grèce… c’est au tour de la France d’être étudiée par Paul Tormenen.
    Et, malgré les dénégations obscurantistes de nombreux apôtres du vivre-ensemble, la situation démographique française est dramatique.
    Polémia

    La France connait depuis plusieurs décennies une immigration massive. En dépit de la volonté d’une majorité de français d’y mettre un terme, les flux qui arrivent chaque année dans le pays ne font qu’augmenter. L’immigration et le communautarisme accélérèrent une transformation profonde de la population du pays. Pendant ce temps, le Président de la République multiplie les déclarations bravaches comme autant de coups d’épée dans l’eau face à une situation qui semble le dépasser chaque jour davantage.

    Une immigration récente

    Contrairement à ce que certains historiens voudraient nous faire accroire, la France n’est pas un vieux pays d’immigration. Des immigrants ont commencé à arriver en nombre avec la première révolution industrielle à la fin du 19e siècle. Les nouveaux arrivants étaient Belges, Italiens, Polonais, etc. (1).

    L’essor de l’économie durant les « trente glorieuses » a réactivé une immigration issue notamment d’Espagne, du Portugal, de Yougoslavie et d’Afrique. L’autorisation du regroupement familial à partir de 1976, des titres de séjour accordés sans compter et le dévoiement du droit d’asile ont favorisé ces dernières décennies une immigration extra-européenne massive.

    Les flux d’arrivées

    Alors que les flux d’immigration étaient déjà élevés pendant les trente glorieuses, les arrivées légales et illégales en France ne font qu’augmenter dans la période récente.

    1. Le nombre de premiers titres de séjour accordés chaque année à des ressortissants extra-européens est passé de 204 000 en 2010 à 264 800 en 2018 (2). La part de l’immigration de travail parmi ceux qui entrent légalement en France est très faible et ne représente que 12 % en 2018.

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  • Gilbert Collard dénonce la responsabilité colossale des journalistes-voyous de BFM dans la montée des violences

    Gilbert Collard dénonce la responsabilité colossale des journalistes-voyous de BFM dans la montée des violences

    Alors que tous les journalistes dénonçaient à l’unisson la pratique de l’amalgame lorsqu’il s’agit d’un agresseur ou terroriste musulman, la totalité des médias ne traite que d’un seul sujet ce matin en boucle : le fait que l’agresseur âgé de 84 ans des 2 musulmans à la mosquée de Bayonne ait été candidat du FN en 2015. Pas un seul ne fait preuve de retenue ou n’évoque un éventuel déséquilibre mental. C’est beau les médias !

    L’agression, le 8 octobre dernier à la gare RER de Corbeil-Essonnes, de deux personnes blessées au couteau à la gorge et au thorax n’a pas même pas été évoqué sur BFM… On ne saura jamais ni le nom ni l’origine de l’agresseur.

    Gilbert Collard (RN) a remis à sa place un journaliste de BFM en direct :

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  • Christian Estrosi condamné en appel pour injure publique contre Philippe Vardon

    Le maire de Nice Christian Estrosi (LR) a été condamné mardi par la Cour d’appel d’Aix-en-Provence à verser 2000 euros de dommages et intérêts au candidat du Rassemblement national à la mairie, Philippe Vardon, a indiqué la Cour d’appel.

    (…) Le Figaro

    http://www.fdesouche.com/1286371-christian-estrosi-condamne-en-appel-pour-injure-publique-contre-philippe-vardon

  • Islam : oui, Macron est bien « complice de la confusion collective »

    Islam : oui, Macron est bien « complice de la confusion collective »

    De Bernard Antony :

    Ce lundi matin, Emmanuel Macron rencontrait à l’Élysée les représentants du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), cet organisme jadis créé à l’initiative (malheureuse) de Nicolas Sarkozy.

    Feu le cardinal Lustiger exprima alors sur ce fait une juste réprobation, regrettant que ce dernier ait ainsi fait de l’islam en France une sorte de « religion d’État ».

    Ce n’est en effet que par la reconnaissance de l’État que l’islam en France existe en tant que religion !

    Or, combien de fois faudra-t-il répéter qu’ils se trompent lourdement, les laïques qui fondamentalement ne voient l’islam que comme un phénomène religieux somme toute très semblable au catholicisme en particulier et au christianisme en général,  dont les églises s’appelleraient mosquées, les curés imans, et dont la bible s’appellerait Coran ?

    Cela, alors que l’islam est avant tout une « orthopraxie », c’est-à-dire une pratique de vie conforme au modèle du prophète Mahomet, et non une « orthodoxie », c’est-à-dire d’abord une doctrine théologique juste.

    Emmanuel Macron affirme préférer parler de laïcité que d’islam pour n’être pas « complice d’une espèce de confusion collective ».

    En termes chrétiens, cela se traduirait par une affirmation de volonté de ne pas mélanger ce qui relève de l’État et ce qui relève de la religion (« Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu ! »). Et donc, en termes laïques, de ne demander aux musulmans que de respecter les lois de la République.

    Mais c’est là qu’est l’erreur et même une macro-erreur !

    Car l’islam est une gouvernance sociale totalitaire, depuis le gouvernement de Médine par le prophète Mahomet, à la fois chef politique, chef de guerre, chef religieux, chef des mœurs.

    Sa constitution fondamentale, régissant tous les ordres, est la charia, c’est-à-dire la loi tirée, pour tous les aspects de la vie, du Coran et des Hadîths, les actes et les paroles du prophète.

    Emmanuel Macron hélas s’inscrit totalement dans la confusion collective en croyant que l’on peut établir dans l’islam la distinction entre le religieux et la politique, entre ce que l’on appelle en terme chrétien « le spirituel » et « le temporel ».

    Ce serait là vouloir un islam sans la charia !

    Mais sans la charia, l’islam ne serait plus l’islam ou deviendrait un autre islam. Et dans ce cas, il n’y aurait certes plus, et très heureusement, « d’islamisme » !

    Nous avons été heureux de lire sous la plume de Rémi Brague, grand historien et philosophe des religions, grand scientifique de l’islam, « qu’entre l’islamisme et l’islam, il y a différences de degrés, non pas de nature ».

    C’est ce que nous écrivions en 2006 dans notre livre « L’islam sans complaisance ». C’est ce que nous n’avons cessé de répéter au long des années. Quant au recteur de la mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, ancien président du CFCM, aujourd’hui comme si souvent, reçu à l’Élysée, qui prétend défendre un islam non politique, n’écrivait-il pas :

    « L’islam est à la fois une religion, une communauté, une loi et une civilisation. (…) Ne sont pas seulement musulmans ceux qui pratiquent les cinq piliers de l’islam, mais tous ceux qui appartiennent à cet ensemble identitaire ».

    Ainsi la France selon M. Dalil Boubakeur doit-elle accueillir et intégrer un ensemble qui est à la fois religion, communauté, loi et civilisation !

    Mais cet ensemble, selon lui, serait étranger à toute dimension politique !

    Bon courage à monsieur Macron qui veut d’un islam non communautariste !

    https://www.lesalonbeige.fr/islam-oui-macron-est-bien-complice-de-la-confusion-collective/

  • Laurent Obertone : "Le drame [de l'attentat à la préfecture de Paris] aura encore lieu"

  • Les représailles de Macron contre un journal de La Réunion

    En visite sur l’île de La Réunion, Emmanuel Macron a fait l’objet d’une Une acerbe du JIR (Journal de l’île de La Réunion) qui titrait « Pour l’instant, c’est du vent ». Réponse immédiate : le quotidien régional a été mis à l’écart d’un déplacement du président. Nouvel exemple du rapport contrarié du pouvoir à la liberté de la presse…

    Le 24 octobre, le JIR publiait une Une mordante concernant la visite présidentielle dans le département d’outre-mer [1] :


    La réaction de l’équipe présidentielle ne s’est pas faite attendre : suite à la publication de cette Une, l’Élysée a mis à l’écart le quotidien d’un déplacement organisé dans le quartier des Camélias à Saint-Denis. Le quotidien ne s’est pas démonté pour autant. Dans le numéro du 25 octobre, il publie une page blanche à propos de la visite présidentielle :

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  • Laurent Obertone : « Les jeunes musulmans sont bien plus radicaux que ne l’étaient leurs aînés »

    http://www.fdesouche.com/1285499-laurent-obertone-les-jeunes-musulmans-sont-bien-plus-radicaux-que-ne-letaient-leurs-aines

  • Une guerre de conquête, à peine voilée…

    Tout pour « la voilée et son fils », Rien pour les victimes de ceux qui partagent la même idéologie qu’elle…
    Julien Odoul, président du groupe RN au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, avait demandé à ce qu’une femme parmi le public, dans cette enceinte retire son voile…
     Et c’est le scandale du siècle, lourdement médiatisé !
    Et pourtant cela aurait été si simple de le faire (ou à défaut de quitter la salle) ; sous la Présidence de l’Assemblée Nationale de Laurent Fabius un prêtre et une religieuse n’avaient-ils pas dû respectivement retirer leur croix et leur voile pour pouvoir s’asseoir dans l’hémicycle !
    Mais cette jeune femme n’a pas voulu obtempérer aux injonctions du Président du Groupe, d’où le tohu-bohu qui en a résulté avec indignations et pleurs d’enfant.
    Apparemment, comme l’a fait judicieusement remarquer l’écrivaine, journaliste franco-marocaine Zineb El Rhazaoui : « Cette femme (la maman voilée) préfère faire pleurer son enfant qu’enlever son voile, garder son voile est plus important pour elle que les larmes de son enfant ».
    Par ailleurs des photos grossies montrent le sourire béat de la donzelle au moment de l’esclandre, enfin passons…
    L’affaire aurait pu en rester là, mais que nenni : une première plainte contre le vilain monsieur a été déposée auprès du parquet de Dijon afin de réclamer des poursuites pour « des violences commises en réunion par personnes dépositaires de l’autorité publique sur mineur et majeur à caractère racial » ; rien que cela !
    Mais pour bien enfoncer le clou une deuxième plainte doit également être activée auprès de la justice pour « provocation publique à la haine raciale par des élus ».
    L’avocate de la plaignante ayant déclaré : « Ce n’est pas qu’une question de laïcité mais de racisme… (en effet) Ma cliente a été humiliée, son image a été diffusée partout, elle est très marquée et son fils voit un psychologue » ; et depuis cet esclandre, Fatima E., la victime a confié avoir « peur de tout, j’ai des frissons et je tremble. Sincèrement ils ont détruit ma vie ».
    Un certain nombre de remarques s’imposent à ce stade :
    Aurait-elle eu peur des foudres de son mari, pour insoumission, si elle avait retiré son voile ?
    Alors que de nombreuses femmes luttent, dans le monde musulman, pour s’émanciper de ce marqueur identitaire de déni d’égalité et de défi à la fraternité, en risquant leur vie…
    « Quand je vois un voile, s’écrie Zined El Razaoui, je ne peux pas m’empêcher de penser aux iraniennes qui s’immolent pour pouvoir enlever cette prison, aux afghanes qui se font tirer dessus si elles ne le portent pas, aux jeunes filles dans les banlieues françaises ».
    Les pleurnicheries d’un gamin à cause d’un voile non retiré par sa mère valent apparemment plus, médiatiquement parlant, qu’à titre d’exemple, la détresse des enfants du couple de policiers égorgés par des islamistes adorateurs du Coran et de la sunna, comme elle !
    Là encore Zined El Razaoui est extrêmement pertinente quand elle proclame : « Je pense aux orphelins des attentats de la préfecture de police de Paris dont personne ne parle, qu’on a complètement évincé du débat pour parler d’un gamin avec une histoire de voile et de victimisation ».
    Je veux rappeler à tous ceux qui se réfugient derrière l’expression miraculeuse du « Pas d’amalgame » qu’il est temps de prendre officiellement position pour dénoncer les atrocités commises au nom d’un islam, soit disant radical, et s’en dissocient définitivement.
    Si l’Islam, après ses crimes atroces et lâches sur des innocents depuis des années (remontons au 5 juillet 1962 à Oran) en vient à mettre le feu en Europe et que nous nous trouvions face à face comme l’a dit un précédent ministre de l’intérieur, ne croyons surtout pas qu’il y aura des modérés pour nous venir en aide.
    Alors, les musulmans de France montreront le vrai visage de l’Islam.
    Patrick VERRO – VPF Ile de France
    source