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anti-national - Page 295
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Impôts : Virginie Pradel dénonce l’« expansion de l’obscurantisme » fiscal
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Le Samedi Politique : Charles Gave et François Asselineau – UE : bourreau ou bouc émissaire ?
Après un premier numéro à succès sur le Brexit, l’économiste Charles Gave et le président de l’UPR François Asselineau reviennent pour un débat animé autour du Frexit, du Bruxit et des élites au pouvoir.
Qui perd, qui gagne ?
Alors que la Grande-Bretagne se rapproche peu à peu de la conclusion du Brexit, quelles sont les conséquences à prévoir pour l’Union Européenne et la France ?
Libération du Royaume-Uni, explosions des contributions nettes pour l’UE, qui sortira vraiment gagnant de ce bouleversement ?
Quel avenir pour l’euro ?
Près de 18 ans après l’entrée en vigueur de la monnaie unique, les conclusions s’opposent. La disparité des économies des pays européens a entraîné des conséquences diverses au sein de l’UE au point que certains veulent désormais quitter la zone euro.
L’Union Européenne : un bouc émissaire. François Asselineau et Charles Gave s’opposent sur les responsabilités des Etats européens et des dirigeants. Quand le premier considère que toutes les décisions sont conditionnées par Bruxelles, le second estime qu’elles sont avant tout le fruit de l’incompétence et de la prédation des élites qui gouvernent.
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Robert Ménard : « Je suis abasourdi et en colère, c’est un crime de brûler une école, c’est inacceptable ! »
Dans la nuit de jeudi à vendredi, une école primaire, un collège et plusieurs véhicules ont été incendiés dans le quartier de la Devèze, à Béziers.
Le maire de la ville, Robert Ménard, exprime sa colère et son incompréhension au micro de Boulevard Voltaire.
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Le Sénat interdit le "voile" lors des sorties scolaires : la Turquie condamne !
Ou : quand le ridicule ne tue plus...
Le dictateur Erdogan se met à ressembler de plus en plus à une sorte de Hitler - "l'énergumène", comme l'appelait Jacques Bainville... - dans sa politique de provocations à l'extérieur, par exemple en Syrie, où il recule dès qu'il voit une résistance sérieuse, en l'occurrence celle de Poutine...
Mais, contesté dans son propre pays malgré, ou à cause de, son autoritarisme et sa brutalité (il a perdu les élections municipales dans les deux plus grandes villes de Turquie) il affecte de garder, bien que vieillissant et manifestement moins tonique qu'avant, ses postures, gestes, discours d'antan...
Aujourd'hui, il se manifeste en condamnant le vote du Sénat français, interdisant le port du voile aux accompagnatrices de sorties scolaires. Il trouve que c'est "discriminatoire" et que cela "marginalise les musulmans".
Mais, de quoi se mêle-t-il ? N'est-ce pas là une ingérence dans les affaires internes d'un Etat souverain ? Et par la même personne qui envahit un pays (la Syrie), alors même que ses troupes occupent depuis trente ans le tiers d'un autre Etat membre de l'Europe ?
Pas de réaction officielle en France, du moins pour l'instant. Macron a pourtant la dent dure, lorsqu'il veut : n'a-t-il pas employé le terme de "lèpre" et d'autres mots tout aussi fleuris pour insulter dirigeants et peuples de plusieurs pays d'Europe, qui ont, il est vrai, commis le crime de dire qu'ils ne voulaient pas que l'Europe cesse d'être elle-même à cause de l'invasion migratoire, et d'agir en ce sens.
Cette arrogance-là, pour Macron, semble être, doit être, beaucoup plus grave que l'inadmissible ingérence d'un dictateur dans nos affaires intérieures...
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Édouard Philippe : son plan rantanplan pour la Seine-Saint-Denis
« 10.000 € à celui qui réussit à tenir cinq ans dans le département de la Seine-Saint-Denis ! Approchez, Mesdames, Messieurs les fonctionnaires ! Par ici, les téméraires, par ici, les valeureux ! Qui veut tenter sa chance ? »
Pour les besoins de son plan pour la Seine-Saint-Denis, Édouard Philippe se fait bateleur de fête foraine. À la manière de ces attractions d’antan où, juché sur une estrade, un bonimenteur faisait miroiter une prime mirobolante à toute personne qui parviendrait à terrasser le colosse maison, debout à ses côtés en maillot léopard, le Premier ministre promet monts et merveilles aux agents des services publics qui réussiront à survivre cinq ans dans l’enfer de la banlieue nord.
Dans sa version moderne, l’annonce peut s’apparenter à une épreuve de « Fort Boyard ». En plus difficile. Le colosse, les tigres, les araignées et le saut à l’élastique réunis en un seul lieu. À la porte d’Aubervilliers, Olivier Mine retournera la clepsydre remplie d’eau bleutée et les malheureux entreront dans le département maudit. Sur un écran, quelques collègues restés au dehors encourageront les concurrents… « Allez, tu peux y arriver ! Plus que quatre ans et demi ! »
Vidéosurveillance renforcée, installations des médecins prises en charge jusqu’à 100 %… Des ponts d’or pour les inconscients prêts à s’aventurer en ce territoire hostile. Matignon passe en mode « Française des jeux » : 100 % des gagnants ont tenté leur chance dans le 93. Certains en reviennent indemnes ! Et cousus d’or !
Une fois de plus, le satané Zemmour vient dire tout haut ce que beaucoup osent à peine penser tout bas : « Le problème de la Seine-Saint-Denis, c’est l’immigration, pas la police ou le logement. » Face à lui, sur le plateau de CNews, les mêmes faux-semblants. Pour ceux qui auraient raté les épisodes précédents, revoici la faute à l’urbanisme, la faute aux transports, la couleur des murs, l’âge du capitaine… À venir : la faute au dérèglement climatique.
En tant que copier-coller des gouvernements précédents, la Macronie perpétue le folklore désormais bien établi du plan banlieue. À défaut d’en finir avec le laxisme ambiant, avec la peur de l’embrasement et autres terreurs de poules mouillées, le gouvernement Philippe ressort le biniou cracheur de fric. Cette finance miraculeuse qui, d’un seul coup d’un seul, transformera le loup en agneau, le cannabis en pâte à modeler et la mosquée salafiste en temple bouddhiste.
Dans son numéro de pyromane qui finance la caserne des pompiers, Édouard Philippe fut impeccable. Plan, plan, plan, rantanplan… Et quel sens du rythme !
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Argent public : Emmanuel Macron fait déraper les dépenses de l’Elysée
VOITURES, REPAS, MÉNAGE… COMMENT EMMANUEL MACRON FAIT DÉRAPER LES DÉPENSES DE L’ÉLYSÉE
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En 2018, 89.669 euros supplémentaires ont été déboursés pour l’achat de nouvelles voitures.
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Autre poste de dépenses important : les frais alimentaires. La facture est cette fois plus élevée de 500.000 euros. Le palais présidentiel explique cette fois avoir dû organiser beaucoup plus de repas de travail…
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Concernant les frais de ménage, ils ont eux aussi explosé depuis l’arrivée de Macron à l’Élysée, note L’Obs.
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À cela s’ajoutent les travaux entrepris dans le Palais. La salle des fêtes en tête. Sa rénovation qui a duré cinq mois a pesé lourd dans les finances, en particulier la nouvelle moquette rouge et or qui a elle seule a coûté pas moins de 300.000 euros.
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http://www.fdesouche.com/1288023-argent-public-emmanuel-macron-fait-deraper-les-depenses-de-lelysee
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Ces associations et ONG financées par les oligarques
L’oligarchie a créé de nombreux groupes qui permettent le recrutement et la transmission des ordres à l’élite qui les sert.
Il est important de connaître ces groupes et surtout les personnes en faisant partie.
FRANCE
La French American Foundation
https://www.voltairenet.org/article146888.html
La liste des « Young Leaders » de la French American Foundation est disponible sur le site américain :
https://frenchamerican.org/young-leaders/earlier-classes/
Une courte vidéo qui explique ce cercle :
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Et encore un nouveau « plan banlieue » : une nouvelle arnaque en perspective ?
Les plans banlieue se suivent et se ressemblent. À chaque fois, on déverse des millions d’euros pour plus de policiers, plus de professeurs, plus de services publics, plus de ceci et de cela.
Cette fois, c’est le Premier ministre Édouard Philippe qui s’y colle. En ligne de mire ? La Seine-Saint-Denis, dont il est dit qu’il serait le « département le plus pauvre » de France. Les mesures ? Toujours les mêmes ou à peu près : « Prime de fidélité pour les fonctionnaires », des « caméras de vidéosurveillance » par wagons, et de nouveaux moyens, financiers toujours, histoire d’en finir avec « le sentiment que l’on n’obtient pas justice en Seine-Saint-Denis ».
Bref, si l’on additionne tous ces « plans » successifs, ce n’est plus en millions d’euros qu’il faut compter, mais en milliards ; ce, avec les piètres résultats qu’on sait. Il n’empêche qu’Emmanuel Macron, en campagne de réélection présidentielle permanente, tentant avec un indéniable succès médiatique – mais dont on ne sait pas trop bien s’il y aura transformation de l’essai dans les urnes – de se refaire la cerise auprès de l’électorat lepéniste. D’où son récent et tonitruant entretien accordé à nos confrères de Valeurs actuelles et ses propos « transgressifs » sur la question islamiste.
Dans le même temps, on remarquera que d’autres départements, véritablement « pauvres », ceux-là – Lozère, Creuse et Allier, par exemple -, ne bénéficient pas des mêmes largesses, même si le phénomène gilets jaunes est passé par là et que le résident de l’Élysée doit également composer avec, éternelle quadrature du cercle…
En attendant, le criminologue Xavier Raufer n’en finit plus de rappeler les limites de la politique du chéquier dans ces zones pudiquement désignées comme étant de « non-droit ». Y ramener l’ordre donné pour être « républicain » ? Certes. Mais l’ordre y règne déjà, celui des dealers et des diverses réseaux criminels. C’est l’ordre d’une minorité de voyous contre une majorité de gens qui voudraient bien continuer à être honnêtes, ordre qui vaut ce qu’il vaut, sachant que tout le monde en croque peu ou prou. C’est-à-dire assez pour que l’État le laisse gérer en roue libre des villes en voie de sécession. La paix des cités et le Yalta des racailles sont à ce prix : à chaque émeute urbaine, les coins les plus tranquilles étant ceux les mieux tenus par les véritables maîtres des lieux. Pas les forces du désordre établi, donc : les yeux crevés et les mains arrachées, c’est juste bon pour ces ploucs de gilets jaunes…
D’où la démission de Gérard Collomb, naguère locataire de la Place Beauvau. Xavier Raufer : « Tous les jours que le Bon Dieu faisait, il nous faisait la pub de sa police républicaine de proximité. Il la présentait en belle marquise aux beaux yeux. En fait, cela ne servait à rien. Compte tenu de ce qui se passe dans les banlieues hors de contrôle, celles-ci échappent au contrôle de l’État depuis vingt, trente et quarante ans et plus, il ne faut naturellement pas d’aimables gardiens de la paix avec des sifflets et des vélocipèdes. »
Quant à démêler la question voulant que deux France puissent aujourd’hui vivre « côte à côte » avant de se retrouver « face à face », le même Raufer répond, à propos de l’édile lyonnais : « C’est un homme qui a une certaine forme de sincérité. Il a vu qu’il n’y arriverait pas et il a dit pourquoi… »
Alors, ces « territoires perdus de la République » le sont-ils pour autant ? Xavier Raufer, toujours : « Il faut y installer à demeure des commissariats ou des brigades de gendarmerie sérieux, c’est-à-dire non pas des endroits où les voyous locaux viennent s’entraîner à jeter des cocktails Molotov. Ils y seront d’ailleurs accueillis en libérateurs. La population, bien souvent d’origine immigrée, est sous la coupe au jour le jour de voyous qui la font trembler. »
Vaste chantier…
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Puisqu'on vous dit qu'ils veulent la guerre civile.
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Macron parle immigration à Valeurs actuelles… et cela fait tousser !
Tugdual Denis, directeur adjoint de la rédaction de Valeurs actuelles, s’exprime sur Boulevard Voltaire à l’occasion de l’entretien exclusif qu’Emmanuel Macron leur a accordé dans l’avion de retour après son séjour à Mayotte. « De la matière, enfin, sur les sujets qui interrogent les Français » : tout en demeurant « très macronien », le Président « n’élude pas, dans son diagnostic, les problèmes du communautarisme ».
https://www.bvoltaire.fr/macron-parle-immigration-a-valeurs-actuelles-et-cela-fait-tousser/