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anti-national - Page 296

  • Le terrorisme islamique tue massivement en Europe

    Aucune description de photo disponible.
    Alors les pleurnicheurs islamophiles du camp du bien, on en parle?

  • Le président LREM de la région Guadeloupe et sa vice-présidente placés en garde à vue pour détournement de fonds publics

    Le président LREM de la Région Guadeloupe, Ary Chalus, et sa vice-présidente Marie-Luce Penchard, ont été placés en garde à vue pour détournement de fonds publics en lien avec une embauche. Selon une information du Figaro, les deux personnes ont été convoquées mercredi 30 octobre dans les locaux de la police judiciaire aux Abymes et se sont vus notifier leur garde à vue peu avant neuf heures, soit 14 heures, heure de Paris.

    L’enquête porterait sur des soupçons de détournement de fonds publics en lien avec l’embauche de Pascal Averne, ancien directeur financier de la collectivité de Saint-Martin et actuel directeur général de la SEM Patrimoniale en Guadeloupe.

    Valeurs actuelle 

    https://www.tvlibertes.com/actus/le-president-lrem-de-la-region-guadeloupe-et-sa-vice-presidente-places-en-garde-a-vue-pour-detournement-de-fonds-publics

     

  • Logement social à Paris : les chiffres

    L’équipe de Paris Vox a pu consulter un rapport mené conjointement par l’Insee Île-de-France et l’Observatoire des loyers de l’agglomération parisienne. Le document traite principalement du parc locatif parisien mais aborde le logement social. Voici les points clés de ce rapport :

    LOGEMENTS SOCIAUX : LES CHIFFRES CLÉS

    Près d’un logement sur cinq à Paris est un logement social pour les résidences principales. (18,8 % des résidences principales à Paris sont des logements sociaux.)

    Trois arrondissements ont un taux élevé de logements sociaux, le 13ème (quartiers Gare et Maison-Blanche), le 19ème (Villette, Pont-de-Flandre, Amérique) et le 20ème arrondissement (particulièrement Saint Fargeau et Charonne). Dans ces arrondissements parisiens ces habitations représentent plus du tiers des résidences principales.

    Les logements sociaux sont plus récents et plus grand que ceux de l’habitat privé. La plupart ont été construits après 1945.

    QUELLE TYPOLOGIE POUR L’OCCUPANT ?

    Les ménages de grande taille, composés de couples avec enfant(s) ou de familles monoparentales, sont davantage représentés dans ce parc, la part des personnes vivant seules s’élevant à 40 %.

    La moitié d’entre eux n’ont pas le niveau bac, et ils sont plus souvent chômeurs, retraités ou préretraités ou autres inactifs.

    Le parc social accueille une forte proportion de personnes immigrées (32,2 %). L’INSEE qui estime les immigrés représentent 9,7  % de la population totale sont donc surreprésentés statistiquement dans l’accès aux logements sociaux.

    DES PRIX AVANTAGEUX

    Dans le privé, le loyer moyen dans la capitale oscille entre 18 et 30 € le m² en fonction des quartiers. Dans le cas des logements HLM il varie entre 8 et 16 € le m² suivant leur catégorie.

    C’est ainsi que la grande majorité des logements sociaux à Paris sont loués entre 500 et 1 000 € (avant déduction d’éventuelles allocations logement). À caractéristiques égales, il faudrait compter entre 1 000 et 1 500 € dans le parc privé.

    Source / Paris Vox

    https://www.tvlibertes.com/actus/logement-social-a-paris-les-chiffres

  • L'islamisme et la paralysie des idéologues de gauche

    6a00d8341c715453ef0240a497c22e200c-320wi.jpgL'audition, ce 30 octobre, du préfet Lallement devant une commission de l'Assemblée nationale ouvre un nouveau champ de réflexion. Et, dans son ensemble d'ailleurs, l'affaire Mickaël Harpon remet en cause la doxa politiquement correcte, à propos de l'islamisme.

    On découvre en effet, au gré de ce dossier, des concepts inattendus. Les députés travaillant très officiellement sur "l'attaque" du 3 octobre dans l'enceinte de la préfecture de police, font ressortir, qu'ils le veuillent ou non, un certain nombre de notions nouvelles.

    Et celles-ci contredisent largement les idées reçues, lesquelles dans notre malheureux pays, viennent de la gauche et de ses idéologues.

    Court-circuitant la notion de terrorisme (article 421 du Code pénal), on nous dit en effet que l'intéressé n'a pris ses ordres auprès d'aucun "calife". Il ne se rattache pas plus au défunt al Baghdadi, – que nous ne regrettons certes pas mais dont la mort ne change pas grand-chose, - que du bien vivant Recep Tayyip Erdogan. On nous révèle que les services spécialisés n'enquêtent pas dans ce sens.

    On nous dit simplement que ce sinistre traître était simplement atteint d'un "délire mystique" alimenté par une idéologie, le fondamentalisme islamique.

    Cela veut donc dire que cette forme de délire d'inspiration islamiste peut tuer. Dont acte.

    Cela veut dire que ce "mysticisme" lui-même appelle, et par conséquent aussi ce qui l'alimente, appelle, tout autant que le "terrorisme", puisqu'ils tuent eux aussi, un traitement répressif. Ils nécessitent une riposte policière et pénale, riposte fondée sur des  définitions légales inédites à ce jour, riposte qui requiert l'appui des citoyens, riposte qui impose particulièrement la mobilisation des fonctionnaires. La négligence, a-t-on découvert, a provoqué l'incendie de Notre-Dame : en face, à la préfecture de Police, la même insouciance coupable a laissé un serpent se réchauffer au sein des services censés protéger les citoyens.

    On doit donc désormais se préoccuper grandement de cette absence de vigilance. Ceux qui ont repéré les changements d'attitude fort significatifs du converti salafiste Harponne ne les ont pas signalés soulignent les enquêteurs. Ses scandaleux propos de 2015, approbateurs sur l'attentat de Charlie Hebdo, n'ont donné lieu à aucune sanction. Toute cette déplorable inaction pourrait donc, à l'avenir, être considérée comme de la complicité.

    Un sophisme courant consiste à nous objecter les sacro-saints principes de la laïcité qui se définirait comme liberté "de croire ou de ne pas croire".

    Une telle affirmation ne veut rien dire.

    En quoi, en effet, est-on libre "de croire", selon cette formule, dans la France républicaine ? Il ne s'agit pas, en l'occurrence de dire que l'on peut légalement professer que la terre est plate, encore qu'une telle contre-vérité n'entraînera pas de poursuites judiciaires.

    La laïcité, c'est-à-dire la liberté religieuse telle que définie par la loi de 1905, concerne exclusivement au départ les diverses formes du judéo-christianisme en déplorant qu'elles n'aient cessé de se combattre entre elles depuis 2000 ans.

    Sur ce point, au moins, je crois que nous sommes tous d'accord. Nous ne voulons plus jamais en France de saint-barthélemy, quel que soit le camp qui la provoque, ni de révocation de l'édit de Nantes. Ce sont en effet leurs déchirements, aux temps de la Guerre de Trente Ans (1618-1648) que les rose-croix du XVIIe siècle prétendaient dépasser. C'est à ces diverses confessions que pensaient au XVIIIe siècle les constitutions d'Anderson fondatrices de la franc-maçonnerie spéculative anglaise, laquelle prohibait en 1717, et condamne encore, l'athéisme[1]. C'est à elles que se réfère l'édit de tolérance du roi Louis XVI de 1787, la déclaration de 1789, quand elle affirme (article 10) que "nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi." ce sont elles, également, et elles seules, que le concordat de 1801 en France, le sanhédrin de 1807, puis la loi de séparation de 1905, eurent la prétention d'organiser, etc. Ajoutons, à deux siècles de distance, que les diverses familles spirituelles de nos pays européens doivent d'autant plus aujourd'hui savoir dépasser leurs divergences qu'elles se trouvent confrontées aux mêmes adversaires.

    L'islamisme a-t-il été du nombre, tout au long de notre histoire ? À la vérité, au départ, non. Pas plus que la Turquie n'a d'autre place que celle des menaces qu'elle a incarnées pendant des siècles et qu'elle réaffirme aujourd'hui.

    Une mosquée, lieu de prédication, et non de "culte", ne devrait donc pouvoir s'installer et prétendre rayonner légalement, – à l'instar de la pagode bouddhiste, par exemple, qui ne dérange personne, – qu'à la condition de prouver désormais, pour chacune d'entre elles, que sa prédication n'est pas contraire à la cohabitation sociale et n'incite pas à la haine. Non pas entre des "communautés", car ce concept n'existe pas en droit français, mais entre les personnes.

    En effet "La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui" (article 4 de la déclaration de 1789).

    Contrairement à ce que l'on entend trop souvent, il est dans notre république des opinions interdites. J'ai cru comprendre que tout ce qui s'apparente à l'hitlérisme, à son apologie, à l'expression d'une quelconque nostalgie, y compris par voie de collection d'objets fétiches, est susceptible de poursuites judiciaires. Rien de plus compréhensible. Je m'étonne seulement quant à moi, que le stalinisme et le maoïsme qui ont fait quantitativement, et sur une plus longue période, dans un plus grand nombre de pays, des millions de morts ne soient pas mis sur le même plan. D'autres croyances, d'ailleurs, sont légitimement suspectes et nous les appelons des sectes.

    Tant que toutes ces questions ne sont pas résolues, on ne doit pas accepter comme deuxième religion de France, la première religion de l'Arabie.

    JG Malliarakis

    https://www.insolent.fr/

  • Jordan Bardella : "Les musulmans radicaux ont gagné la bataille face à la République"

  • Macron va tenter de nous enfumer avec un entretien dans Valeurs actuelles...

    France info ouvre son "5/7" de ce hier matin avec l'annonce de l'entretien accordé par le président à VA, à paraître ce jeudi, et les principaux points sur lesquels il portera.

    D'emblée le journaliste annonce la couleur : le président veut cajoler "sa jambe droite" : il va se montrer ferme sur l'immigration, il souhaite notamment plus d'efficacité dans les reconduites à la frontière, il va lutter contre l'immigration illégale, il va exiger un plus grand contrôle des soins, des actes médicaux auxquels ont accès les migrants.

    Il va, il va, il va...

    Il va surtout nous prendre pour ce que nous ne sommes pas !

    Car dans le même temps il annonce dans l'entretien - dit le journaliste, qui l'a lu - qu'il est "contre-productif d'interdire le port du voile pendant les sorties scolaires" et, dans la foulée, il condamne l'élu RN Julien Odoul, qui a osé protester (et il a eu MILLE FOIS RAISON !) contre la présence d'une femme voilée à l'intérieur du Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté...

    Et enfin, cerise sur le gâteau, pas un mot sur Eric Zemmour mais - en privé - la condamnation est définitive : "La pensée d'Eric Zemmour est mortifère", juge le président de la République. Le journaliste termine son topo sur cette sentence nette et sans appel : le couperet de la guillotine est tombé !

    Pour nous, la pensée d'Eric Zemmour est, au contraire, salutaire, nécessaire, indispensable. Elle est réactionnaire au sens étymologique du terme. Elle remet les choses à l'endroit, la vérité à sa place, dénonce les mensonges et les tartuferies, exalte sans cesse la France et prévient inlassablement contre l'aveuglement suicidaire d'un Pays légal qui endort volontairement une opinion publique déjà largement anesthésiée, mais encore capable de sursaut.

    Bref, Zemmour, qui a lu Bainville, et qui défend courageusement l'Action française à tout instant, est un peu comme "un AF du dehors", et, en ce sens, plus précieux, plus utile, plus efficace que s'il annonçait tout de go son ralliement au mouvement...

    Alors Macron peut bien essayer de montrer ses muscles et de rouler des mécaniques, pour rouler des lecteurs qu'à notre avis il ne trompera pas. Entre Zemmour et lui, nous savons où est "le mortifère" et où est le remède contre le mal. Entre Zemmour et lui, nous avons choisi... 

    VIVE ZEMMOUR !

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/30/demain-macron-dans-valeurs-actuelles-va-tenter-de-nous-amado-6186561.html

  • Bayonne : Les médias se sont précipités pour pointer un « attentat d’extrême-droite »

    Bayonne : Les médias se sont précipités pour pointer un « attentat d’extrême-droite »

    Depuis le temps que les médias cherchent désespéramment un “déséquilibré” pour les attentats ou attaques terroristes, on pourrait croire qu’ils sont satisfaits concernant l’auteur de l’attaque contre la mosquée de Bayonne. En effetune expertise conclut à une altération partielle du discernement du suspect et le parquet national anti-terroriste n’entend pas, de fait, se saisir du dossier.

    “Le principal suspect, Claude Sinké, alors placé en garde à vue, avait fait l’objet d’une expertise psychologique. Elle a conclu à “une altération partielle de son discernement et/ou du contrôle de ses actes de l’octogénaire“, indique le procureur de Bayonne dans un communiqué ce mercredi.

    Sur cette affaire, les médias dominants ont une fois de plus fait preuve d’une très grande malhonnêteté. Alors qu’ils avaient attendus plusieurs heures pour confirmer la conversion à l’islam de Mickaël Harpon et la nuit entière pour oser suggérer la piste terrorisme islamique pour l’attentat contre la préfecture de police de Paris, ils se sont rués sur le FN et la piste de l’extrême droite à Bayonne évoquant très rapidement un “attentat”. Certains ont même eu l’indécence ou la bêtise de vouloir rendre Eric Zemmour responsable et de persister après les critiques reçues…

    Carambar, encore raté ! Il s’agit d’un vieil homme de 84 ans, visiblement solitaire et déséquilibré…

    Mais ils essayent encore de faire le lien avec certains membres du RN :

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  • Les médias et la gentille maman voilée, de l’instrumentalisation à la soumission

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    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ La demande de Julien Odoul, président du groupe RN à la région Bourgogne-Franche-Comté, adressée à la présidente du Conseil régional de bien vouloir faire sortir une mère de famille voilée accompagnant une sortie scolaire n’en finit plus de faire débat ! Sur tous les plateaux, dans tous les journaux, la question brûlante de l’islam et du voile resurgit. Pierre Boisguilbert revient sur cet épisode qu’il analyse d’une double manière : à la fois comme une instrumentalisation et comme une soumission.
    Polémia

    Ainsi Fatima a une « opinion négative de ce qu’on appelle la République ». Voila qui est plus facile à affirmer face aux caméras qu’une opinion négative de ce qu’on appelle l’islam. Cette affaire de femme voilée, et non pas porteuse d’ un simple foulard, dans le conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté aura vu tous les médias audiovisuels solidaires de la pauvre maman « stigmatisée » (cf. Macron) serrant sur son sein son fils éploré.

    Alors qu’il semble bel et bien qu’il s’agisse d’une provocation, d’un testing selon le procédé cher à SOS Racisme, comme le confirme la proximité de cette citoyenne avec le CCIF proche des si républicains Frères musulmans et le fait que cette provocation a été retournée en victimisation. La photo témoin diffusée jusqu’à saturation de la nouvelle Pietà islamico sensu visant à rendre sympathique la musulmane et à clouer au pilorie le vilain islamophobe Julien Odoul — contre lequel Fatima va porter plainte.

    Instrumentalisation

    Le problème, c’est que les Français sont sur la position de principe de ce dernier et qu’ils ont pour certains appris avec stupeur qu’être voilée était compatible avec l’accompagnement scolaire, y compris dans un lieu officiel qu’un Conseil régional. Les médias, comme toujours, en font trop dans l’indignation vertueuse et leur acharnement dévoile, si l’on ose dire, leurs arrière-pensées. Le plus révélateur de cette instrumentalisation en faveur des voilées a été sans doute la haine de Laurence Ferrari sur CNews voulant absolument obtenir du méchant Odoul l’aveu d’un sentiment de honte pour avoir agressé une maman (terme repris jusqu’à la nausée) et fait pleurer sa chère petite tête brune. Après ce passage où Ferrari s’est assumée comme militante exaltée, qui peut encore croire en sa possibilité de traiter l’actualité avec une honnêteté sinon une objectivité journalistique ? Elle s’est discréditée. Mais est-ce bien grave dans ce milieu ou on l’aura certainement trouvée admirable ?

    On aimerait savoir ce qui se passerait demain si un accompagnateur de sortie scolaire arborait un gigantesque Sacré-Cœur ou une énorme croix celtique sur son blazer ? Pas difficile de trouver la réponse…

    Pire même. Que se passerait-il si un parent apprenant — mais informe t-on de cela ? — qu’une sortie au zoo serait conduite par une femme voilée, en privait ses enfants ? Il serait traîné dans la boue par les médias.

    Exit le faux Dupont de Ligonnès, haro sur Dupont-Lajoie

    Cette affaire aura permis aux journalistes — est ce un hasard ? — de se refaire rapidement une santé déontologique. Cela faisait deux jours en effet qu’ils étaient empêtrés dans leur fake news généralisée sur le vrai-faux Dupont de Ligonnnés. Ils ont encore un peu plus perdu de crédibilité et du droit de s’autoproclamer presse de référence par rapport aux autres. Ils sont tous allés dans le même sens sans vérification ni esprit critique dans la course à l’audience et la peur d’être devancé par la concurrence. C’est le fameux banc de poisson. Ils en sont même arrivés à se demander s’il ne faudrait pas revenir au respect du secret de l’instruction ? C’est dire s’ils se sont sentis morveux, même si la faute a été vite rejetée sur les Ecossais, pas assez rigoureux dans le décodage des empreintes. Mais la gentille maman musulmane humiliée par les ennemis du vivre-ensemble est arrivée à point nommé.

    Oublié Dupont de Ligonés au profit du retour de Dupont-Lajoie, l’ignoble franchouillard. Comme quoi c’est pratique de choisir les informations que l’on va traiter. Sauf que la même info sur toutes les chaines, avec les mêmes commentaires, alors que le Kurdistan syrien est écrasé par le régime turc, c’est se dévoiler dans l’espace public, c’est toléré, c’est légal… Mais, comme dirait Blanquer, est-ce souhaitable ?

    Pierre Boisguilbert 25/10/2019

    Crédit photo : Capture d’écran YouTube

    https://www.polemia.com/medias-gentille-maman-voilee-instrumentalisation-soumission/

  • La France va accueillir une partie des 194 migrants secourus en Méditerranée les 18 et 26 octobre

    La France, l’Allemagne et l’Italie ont conclu un accord pour l’accueil des 194 migrants secourus les 18 et 26 octobre en Méditerranée par deux bateaux humanitaires. Le ministère italien de l’Intérieur précise dans un communiqué que 70 personnes secourues par l’Ocean Viking seront accueillies par la France et l’Allemagne.

    La répartition de ces migrants a été décidée, explique l’Italie, « sur la base du pré-accord conclu à Malte » le 23 septembre dernier. Un texte adopté par la France, l’Allemagne, l’Italie et Malte pour une durée de six mois qui doit permettre d’éviter que des navires restent bloqués en mer en attendant que les pays acceptent au cas par cas d’accueillir les migrants qu’ils ont secourus.

    Franceinfo

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-france-va-accueillir-une-partie-des-194-migrants-secourus-en-mediterranee-les-18-et-26-octobre

  • Que penser de la candidature Breton ?

    6a00d8341c715453ef0240a4e4ff85200b-320wi.jpgPlus cet étrange quinquennat déroule son fil, et plus les Français redécouvrent que le gouvernement politique reste un métier. Les faits sociaux ne se réduisent pas à des choses, et les hommes ne se dirigent pas, et les lois ne s'élaborent pas, comme l'imaginent les technocrates, avec des pourcentages et des calculettes. Si les maladresses du pouvoir s'additionnent, on ne doit donc pas s'étonner.

    On n'entend plus, la mode en est passée, l'antienne proposant de gérer le pays comme une entreprise. De ce slogan tant soit peu méprisant, on aurait pu au moins retirer une ou deux bonnes idées. Il eût semblé bénéfique par exemple d'accorder un peu plus d'audience aux travaux de la Cour des Comptes. Certes, la loi sécurité sociale de juillet 1994, puis, 14 années plus tard, la réforme constitutionnelle de 2008 ont timidement fait avancer le rôle, aujourd'hui encore consultatif, de cet organisme, lui-même reflet de la haute administration, au sein de nos institutions. Mais on s'est jusqu'ici refusé à aller au-delà. Ajoutons que, contrairement à ce qui s'impose aux moindres sociétés commerciales, tout cet univers se refuse à la logique comptable et à la production d'un bilan, d'un compte d'exploitation, etc.

    Dès lors certains seraient tentés d'applaudir à la proposition du gouvernement de Paris, après celle de Mme Goulard refusée par le Parlement européen, de lui substituer la candidature à la qualité de commissaire européen de Thierry Breton, considéré comme l'un de nos plus brillants administrateur de sociétés et autres dirigeants d'entreprises du secteur privé.

    Qu'on me permette de juger ici, bien que cela paraisse nous sortir de l'anarchie coutumière, qu'il s'agit d'une fausse bonne idée.

    Parmi les compétences que l'on préempte en faveur de ce candidat figure par exemple, outre certains domaines pour lesquels son expérience plaide certainement en sa faveur, le projet d'une défense européenne.

    Sur ce terrain, politiquement si sensible, constamment miné et pourtant essentiel, comment imaginer qu'il puisse faire avancer les vraies préoccupations françaises, celles d'un pays trop souvent seul ou presque à envoyer, sur le terrain, des soldats pour l'intérêt commun des Européens.

    Depuis le désastreux traité de Nice, rédigé sous Chirac par Juppé et Toubon, la Commission compte un seul Français, sur 28 États-Membres. Il est donc indispensable de ne plus confier ce rôle à des ectoplasmes, à des apparatchiks, ou à des recalés du suffrage universel national, comme le sont beaucoup d'élus au Parlement européen désignés sur des listes bloquées.

    La candidature Breton, second choix du gouvernement, peut ainsi être présentée pour novatrice.

    Mais on peut difficilement s'accommoder, dans une fonction aussi éminemment politique, d'un représentant de ce qui ressemble fort au capitalisme de connivence, et qui sera certainement jugé pour tel par le parlement de Strasbourg.

    D'autre part, sur le terrain des idées, quel souvenir M. Breton laisse-t-il, sinon celui d'un immigrationniste. Camille Galic, seule de la presse bien évidemment, rappelle ainsi dans Présent[1] son caractère de "fleuron du mondialisme : En parfaite adéquation avec l’ONU, écrit-elle, qui préconisait en janvier 2000 l’importation de 25 millions d’immigrés pour 'revivifier' notre vieux continent, il soutenait ainsi dans Le Point du 9 mai 2013 que, du moment que 'l’histoire de notre pays est intimement [sic] liée à sa politique migratoire', car 'l’immigration produit de la croissance [re-sic]‘, il faut avoir, que cela dérange ou non, l’ambition d’une France autour de 85 à 90 millions d’habitants' à l’horizon 2050 en ‘ouvrant les vannes de l’immigration’. Le sort de l’Europe dépendant du super-ministère brigué par la France, il faut donc s’attendre au pire au cas où serait investi ce fossoyeur de notre identité et de notre civilisation". Comment la contredire ?

    Cette candidature, au total, a tout, ou presque, pour nous déplaire.

    Chacun son métier et les technocrates seront bien gardés.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] "Breton le remplaciste"

    https://www.insolent.fr/