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anti-national - Page 434

  • L'appel contre la menace de dissolution du Bastion social rassemble des nouvelles signatures

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    Plusieurs centaines de patriotes indignés cliquez ici par l'annonce faite par le président de la République, Emmanuel Macron, lors du dernier dîner du Crif (un conseil prétendu "représentatif" des juifs de France) au mois de février de dissoudre le Bastion social, ont d'ores et déjà signé l'appel lancé par Synthèse nationale contre cette menace inconsidérée.

    Le Bastion social est en effet un mouvement de jeunes nationalistes qui a, comme d'autres, l'audace de s'élever contre l'assassinat programmé par l'hyperclasse (politique, économique et médiatique) de notre nation et celui de notre civilisation. Lorsqu'il a été créé, il y a deux ans, le BS a fait beaucoup parler de lui en occupant, durant quelques semaines, avant d'en être délogé par la police, un immeuble abandonné dans le centre de Lyon. Il voulait en faire un foyer d'accueil pour Français en détresse. Le BS appliquait ainsi concrètement les principes solidarises identitaires. Depuis, il a ouvert dans plusieurs villes (Chambéry, Strasbourg, Clermont-Ferrand...) des locaux dans lesquelles des permanences sociales sont tenues. Certains de ces locaux ont été attaqués par les chiens de garde du Système que sont les antifas sans que cela n'émeuve les "bien-pensants institutionnalisés".

    En fait, le combat mené par ces jeunes gens est apparemment insupportable pour le Pouvoir en place car il met le doigt là où cela fait mal, à savoir la paupérisation grandissante du peuple français. La Défense des intérêts des nôtres avant ceux des autres étant, pour les nationalistes, une priorité absolue.

    Nous ne pouvions donc pas rester muets face à la prétention présidentielle de dissoudre le BS. Voilà pourquoi nous avons pris l'initiative, à quelques uns, de lancer il y a une semaine cet appel qui a déjà reçu de nombreux soutiens aussi bien de personnalités (élus, responsables politiques, associatifs, écrivains, journalistes, éditeurs, artistes... cliquez ici) que de patriotes et de non-conformistes.

    Enfin, il faut savoir que le Président Jean-Marie Le Pen recevra en fin d'après-midi ce mardi une délégation du Bastion social à Strasbourg où il siège actuellement au Parlement européen.

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

    Si vous souhaitez signer cet appel cliquez ici

    ou retournez-nous ce bulletin cliquez là

    Aujourd'hui, nous publions quelques noms de nouveaux signataires : 

    Gabriele Adinolfi, Président de l'Institut Polaris (Rome)

    Gaston Alcide, écrivain

    Serge Ayoub, ancien président du mouvement Troisième voie, lui-même dissout en 2013

    Alain de Benoist, éditorialiste de la revue Eléments

    François Bousquet, directeur de la Nouvelle librairie

    Patrick Cocriamont, ancien député belge

    Thierry Dreschmann, libraire

    Franck Buleux, écrivain normand, directeur de la collection Les Cahiers d'Histoire du nationalisme

    Pascal Eysseric, directeur de la rédaction d'Eléments

    Philippe Josselin, mathématicien

    Patrick Lusinchi, directeur artistique d'Eléments

    Massimo Magliaro, directeur de Nova Historica (Rome)

    Jacques Mayadoux, ancien responsable de l'Union des lycéens nationalistes

    Bernard Plouvier, écrivain

    Joël Provansal, Afrique du Sud

    Claudette Rose, retraitée de l'Aviation civile

    Alain Sanders, écrivain et journaliste à Présent.

    Pour en savoir plus cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’illusion démocratique est-elle en train de se dissiper ?

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    C’est la question la plus cruciale, aujourd’hui. Bien sûr, elle en appelle une autre : qu’est-ce que la démocratie ?

    À celle-ci, il n’est guère difficile de répondre, sauf aux esprits les plus tordus. La démocratie est le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple. L’expression la plus pure de ce régime est la démocratie directe lorsque tous les membres de la Cité, les citoyens, participent directement aux décisions qui engagent l’avenir de la Cité. L’image de l’agora athénienne surgit alors comme le modèle qui a inspiré l’idéal démocratique des Occidentaux.

    Mais apparaissent avec elle les ombres qui l’ont accompagnée : tous les habitants ne sont pas des citoyens, et parmi ces derniers, il y a ceux qui sont minoritaires. C’est pourquoi une nouvelle forme de démocratie est née qui associe à la souveraineté des peuples la protection des individus et des minorités, pour que la démocratie ne soit pas une dictature des majorités. La Suisse représente sans doute, aujourd’hui, le pays qui se rapproche le plus de cet équilibre.

    Partout ailleurs, à des degrés variables, le spectacle démocratique vient compenser le manque de démocratie réelle. Aux deux extrêmes, on rencontre des États où la foule a remplacé le peuple. D’un côté, il y a le système totalitaire où la foule enrégimentée affirme en défilant sa foi, réelle ou apparente, dans la puissance du régime. À l’autre bout, on trouve la foule rebelle qui envahit les rues, manifeste aux abords des lieux de pouvoir, et parfois y pénètre pour renverser le gouvernement en place. Le spectacle des foules révoltées contre un régime corrompu et illégitime a beaucoup servi.

    L’étonnante ressemblance des révolutions de couleur dans les anciennes démocraties populaires et républiques soviétiques puis la propagation du printemps arabe ont éveillé des doutes sur la spontanéité du mouvement. Le processus a conduit à l’existence de démocraties là où les conditions historiques et de psychologie collective étaient réunies, non sans que le résultat ne soit conforme à une certaine identité nationale. Il a échoué lamentablement dans les sociétés qui ne possédaient pas le terreau culturel nécessaire. On ne peut vouloir ériger une démocratie mondiale sur l’effacement des identités nationales.

    Face à lui se dressent des démocraties nationales plus que libérales, ces démocraties « illibérales » dont parle Viktor Orbán, où les urnes viennent confirmer l’adhésion du peuple à un pouvoir qui privilégie l’intérêt national par rapport aux libertés individuelles au risque de détruire les nations au profit des minorités. Ce risque est, lui aussi, une menace pour la démocratie, particulièrement forte dans notre pays.

    Il faut se féliciter de la relative réussite de la rue contre des régimes tels que ceux de l’Algérie ou du Venezuela : dans les deux cas, des gouvernants à la tête d’États disposant de ressources naturelles abondantes ont, par leur incompétence et leur rapacité, empêché leurs peuples de jouir de ce privilège. Les Algériens subissent une dictature « laïque » sans doute préférable au totalitarisme islamique, mais ils semblent encore bien éloignés d’une démocratie pluraliste.

    Depuis plusieurs mois, la France connaît, elle aussi, la démocratie de la rue face à une oligarchie issue d’élections étranges. Le pouvoir a diabolisé et réprimé les manifestations sans recourir à de nouvelles élections. Il a même inventé un nouveau spectacle dérivatif et compensatoire : le débat. Le moyen semble tellement efficace pour calmer l’opinion et étouffer la contestation que pour éviter les cortèges lycéens, on va débattre dans les lycées. De quoi ? Mais d’écologie, bien sûr, et de réchauffement climatique, qui intéressent plus les jeunes, bombardés de slogans à ce sujet, que le pouvoir d’achat, les taxes et plus encore les retraites. L’idée, quelque peu perverse, est d’amener les Français à penser que la fiscalité « écologique » qui a allumé la révolte était justifiée alors qu’elle n’est qu’un expédient budgétaire.

    À notre Président, metteur en scène, il paraît urgent de dire : plus la politique se confond avec le spectacle, moins il y a de démocratie. En Suisse, la politique n’a rien de spectaculaire et les politiciens ne sont pas des vedettes. En France, le spectacle est roi.

  • Robert Ménard : « les Gilets jaunes ne sont pas complètement abrutis ! »

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    Gilets jaunes, union des droites, vie de Béziers, état du journalisme : Robert Ménard a répondu aux questions d’Edouard Chanot.

    Entretien avec le maire le plus polémique de France.

  • Enfants du djihad

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    La mort d’un bébé dans un camp syrien provoque des remous outre-Manche. L’enfant est né de Shamima Begum, une Britannique partie pour la Syrie rejoindre l’État islamique en 2015 et, depuis, déchue de sa nationalité par le gouvernement de Londres. Une pneumonie l’a emporté il y a quelques jours.

    L’opposition travailliste se déchaîne. À l’instar des « humanistes » français, elle estime que cet enfant est une victime et que le refus britannique de laisser rentrer sa mère est à l’origine de ce décès. « Un enfant innocent est mort des suites de la déchéance de nationalité d’une Britannique. C’est insensé et inhumain », écrit Diane Abbott, député du Labour. Cette déclaration est révélatrice de l’inversion des valeurs qui prévaut de ce côté-ci du Channel comme de l’autre côté.

    L’enfant n’est, évidemment, pas mort des suites de la perte de nationalité de sa mère ! Il est mort, comme des milliers d’enfants chaque jour, des conditions sanitaires déplorables dans lesquelles il est né. Il est mort en raison du choix de sa mère de rejoindre un « califat » islamique dépourvu de toute structure médicale, au sein duquel la femme est considérée comme une esclave d’un rang inférieur à l’homme. Il est mort des suites du fanatisme d’une femme d’origine cinghalaise qui avait fait sa vie en Grande-Bretagne et que son fanatisme musulman a poussée à rejoindre ses frères en islam.

    En France, également, de nombreuses femmes, parfois françaises de souche, ont quitté le pays pour rejoindre les rangs de l’État islamique. Elles l’ont fait pour des raisons incompréhensibles à nos yeux, préférant l’asservissement volontaire à la liberté. Elles y sont devenues des ventres, portant les futurs combattants d’Allah, au lieu de vivre leur dignité de femmes dans une société occidentale. Elles savaient ce qu’elles faisaient et ne méritent pas plus de compassion que leurs compagnons qui, les armes à la main, ont combattu pour établir le règne d’Allah sur la Terre. Rien ne justifie qu’elles soient rapatriées. Adultes, consentantes, pour certaines converties, leur responsabilité est entière. Quelques-unes ont expressément refusé de revenir en France, telle la compagne de Fabien Clain, qui a craché sa haine de la France devant les caméras de télévision.

    Mais que faut-il faire de leurs enfants ? Faut-il considérer leur nationalité – nés de mère française, ils sont français de plein droit – et les faire revenir au pays ? Mais pour en faire quoi ? Les placer dans ces sinistres centres départementaux de l’enfance, auxquels les orphelinats d’antan n’ont rien à envier ? Avec l’aide d’éducateurs aux idées floues, on en fera des déracinés, sans culture, sans éducation. D’ailleurs, leurs mères n’accepteront jamais de les laisser partir. Si les mères rentrent, leur place est en prison. Ce n’est pas celle des enfants. Quant à ceux qui, plus âgés, ont déjà reçu l’endoctrinement musulman, les rapatrier comporte un risque que nos sociétés ne peuvent pas se permettre de prendre.

    La froideur voire le cynisme de ces réflexions ne doivent pas occulter une réalité essentielle. Un enfant est ce que son éducation familiale en fait. Peut-on, dans notre société libérale, libertaire, jouisseuse et consumériste, donner à ces enfants une contre-éducation suffisamment efficace pour en extraire toute trace d’endoctrinement ? Notre régime, sidéré par le phénomène islamique et incapable de le traiter autrement que par un laïcisme aussi éculé qu’inefficace, a montré son impuissance à juguler ce phénomène.

    Alors, sans doute, faut-il laisser ces enfants à leurs mères dont ils partageront le sort. Jusqu’au jour où la France sera capable de leur offrir une autre perspective. Ce n’est pas pour demain.

    François Teutsch

    http://www.bvoltaire.fr/enfants-du-djihad/

  • Vandalisme à la basilique de Saint-Denis : le grand silence du gouvernement et des médias

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    Un communiqué du MNR :

    Dans la nuit du 2 au 3 mars derniers, l'un des vitraux de la basilique de Saint-Denis, près de Paris, a été cassé, les portes du buffet du grand orgue (l'un des plus beaux de France) ont été endommagées, ainsi que le moteur. On ignore l'identité et les mobiles du ou des malfaiteurs. Cependant, compte tenu du prestige de cet édifice (nécropole des rois de France), on est éberlué par le silence total des « grands » médias et de nos gouvernants, contrastant avec le battage effectué dès que les lieux de culte musulmans ou israélites sont touchés, si peu soit-il. Comment s'étonner d'une certaine désaffection du public à l'égard des médias ?
    Avec tous les défenseurs de notre civilisation, battons-nous pour que cesse le « deux poids, deux mesures » dont est victime le christianisme dans le traitement des (nombreux) faits divers le concernant.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/03/12/vandalisme-a-la-basilique-de-saint-denis-le-grand-silence-du-6135331.html

  • Jacques Myard : Emmanuel Macron Ier ou l’Europe médiatique

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    Un article où Jacques Myard frappe fort - mais juste, à son habitude. Il a malheureusement raison ; ses diagnostics sont exacts. [Boulevard Voltaire, 8.03]. 

    Tous les médias européens ont publié bon gré mal gré la tribune d’Emmanuel Macron Ier, dont la lecture laisse pantois.

    On y découvre à la fois les « rêveries d’un promeneur solitaire » de Jean-Jacques Rousseau et le prêche d’Urbain II, en 1095 à Clermont, appelant aux croisades, le tout dans un pathos un tantinet vaniteux car l’auteur parle au nom de la vérité et de sa foi inébranlable dans sa vision eschatologique de l’Europe, bien éloignée des réalités.

    Un proverbe indien nous apprend à juste titre qu’il faut certainement suivre celui qui cherche à tâtons la vérité mais qu’il faut surtout fuir celui qui l’a trouvée.

    Il est vrai que cette tribune relève davantage de la rhétorique que d’un réalisme pragmatique dont l’Europe a besoin aujourd’hui pour se ressaisir.

    Parler de civilisation européenne comme d’un tout qui nous unirait, c’est employer un concept-valise qui ne décrit rien, n’explique rien car il existe d’abord des cultures nationales propres à chaque peuple.

    De plus, vouloir défendre notre liberté et la dénier à certains en les disqualifiant comme nationalistes est une singulière conception de la liberté. On ne peut que s’interroger sur son projet de créer une « Agence européenne de protection des démocraties » : voilà un beau retour des méthodes sentencieuses du « politiquement correct », qui rappelle la formule de Brecht : « Le peuple s’est trompé, changeons de peuple. »

    Évoquer la remise à plat de Schengen est un bon projet, mais que propose-t-il ? Cette réforme passe d’abord par le contrôle aux frontières nationales. Il n’en dit mot !

    En revanche, il souhaite un traité de défense et de sécurité propre aux Européens ; sans doute a-t-il oublié le traité de l’UEO (Union de l’Europe occidentale) des années 50 dont l’article V a été repris à l’article 42-7 du traité sur l’Union européenne (assistance mutuelle en cas d’agression), mais il passe sous silence que nos partenaires européens, britanniques, roumains, polonais, les États baltes sont des adeptes fidèles à l’OTAN avant toute autre alliance.

    Vouloir rétablir une préférence communautaire est, certes, louable, mais là encore, c’est oublier que nos partenaires, Allemagne en tête, mais aussi les pays de l’Est, ont tendance à acheter américain pour leur défense, et même australien pour les gigots de mouton, plutôt qu’à appliquer une préférence communautaire révolue à leur yeux.

    Prôner la création d’une banque communautaire du climat pour financer la transition écologique risque fort de faire doublon avec la Banque européenne d’investissement (BEI), dont la mission pourrait être élargie. C’est un effet d’annonce.

    Se tourner vers l’Afrique est une nécessité mais pour résoudre les problèmes de ce continent, il est prioritaire de maîtriser son explosion démographique. Il n’en dit mot.

    Emmanuel Macron Ier nous appelle à ne pas être les somnambules d’une Europe amollie et propose une grande conférence pour l’Europe à laquelle seront associés des panels de citoyens.

    Voilà le grand débat qui revient, avec tous les risques d’accoucher d’un projet d’une incohérence totale. C’est l’impasse assurée !

    On ne peut qu’être étonné de tels propos, de ce prêche plein de rêveries et dénué de tout pragmatisme réaliste.

    Il y manque un mot qui dénote qu’Emmanuel Macron Ier est toujours dans la fuite en avant d’une logique européenne qui mène l’Europe dans le mur : ce mot est un principe, le principe de subsidiarité, qui permettrait de redonner vie aux démocraties nationales face à la captation technocratique de Bruxelles.

    Nos démocraties nationales sont désormais vides de sens, les Parlements nationaux sont des théâtres d’ombres. Il est temps que l’Union européenne s’en tienne à l’essentiel, en cessant de vouloir tout réglementer et contrôler, et noue des politiques de coopération dans les domaines qui affectent le continent dans son ensemble.

    Une chose est certaine : la posture de chevalier blanc d’Emmanuel Macron Ier a plus de chance de heurter nos partenaires que de relancer la nécessaire coopération entre les peuples européens.  

    Jacques Myard

    Homme politique

  • Angers : rien pour les SDF, tout pour les clandestins

    Angers : rien pour les SDF, tout pour les clandestins

    Suite à la mort d’un Français sans domicile fixe dehors, sur un banc, l’association l’Alvarium a écrit au maire et au préfet pour l’alerter sur la situation des SDF angevins. Courrier resté sans réponse.

    C’est pourquoi, l’association lance une pétition pour demander au maire et au préfet de tout mettre en oeuvre afin de s’occuper enfin des angevins les plus démunis.

    Il existe à Angers des milliers de logements vides, la préfecture finance des dizaines et des dizaines de places d’hôtel au profit des mineurs clandestins, la municipalité subventionne par dizaines de milliers d’euros différentes associations d’extrême-gauche ou qui aident les clandestins… A Angers, plusieurs squats bénéficient ainsi de la bienveillance des institutions, logeant grâce à cela des clandestins et des militants gauchistes, mais JAMAIS des SDF français. Pourtant, ils sont des centaines en Anjou à souffrir de la faim, du froid, et de la solitude, abandonnés de leur propre patrie et de ceux qui sont censés les représenter.

    Face à cela nous réclamons une assistance matérielle, alimentaire et psychologique pour ces angevins les plus démunis. Parce qu’il en va de notre honneur de ne plus en laisser mourir sur des bancs pendant que des pseudos réfugiés mènent la doce vita dans des hôtels. Parce que la solidarité nationale est plus qu’une question d’honneur : elle est un impératif moral lorsque certains de nos compatriotes crèvent la gueule ouverte dans la rue !

    https://www.lesalonbeige.fr/angers-rien-pour-les-sdf-tout-pour-les-clandestins/

  • Acte XVI des Gilets jaunes : « Démobilisation »… ou refus de récupération ?, par Franck Deletraz

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    Invoquant les effets supposés positifs du grand débat national, les prétendus « efforts » effectués par le gouvernement pour répondre aux attentes de nos compatriotes ou bien encore une certaine lassitude qui se serait installée dans les rangs des Gilets jaunes, les grands médias ne cachaient pas leur joie samedi devant la mobilisation moindre enregistrée à l’occasion de cet acte XVI. Un acte XVI qui aura tout de même, rappelons-le, jeté dans les rues près de 40 000 personnes partout en France (selon l’Intérieur), dont 4 000 à Paris. Un recul qui, en réalité, est loin de constituer une victoire pour le gouvernement, et cela pour plusieurs raisons que les journalistes se gardent bien d’évoquer.

    Un mouvement peu à peu confisqué par la gauche

    On rappellera d’abord que l’écrasante majorité des vrais Gilets jaunes sont des gens qui travaillent et sacrifient donc leurs journées de repos pour manifester. Ce sont aussi souvent des gens aux revenus modestes, n’ayant pas les moyens de multiplier les déplacements pour les grandes manifestations parisiennes et autres. Cependant, au-delà de ces raisons matérielles, on trouve également des motifs bien plus politiques, tels que le refus d’être récupéré et même d’être mêlé à la faune anarcho-trotskiste qui a peu à peu confisqué ces manifs. Dans Présent du 1er mars, nous évoquions ainsi les innombrables tentatives de récupération du mouvement opérées ces derniers mois par les partisans de Mélenchon. Mais ils ne sont pas les seuls : samedi encore, alors que nombre de Gilets jaunes s’apprêtaient à rejoindre le cortège sur les Champs-Elysées, ceux-ci ont finalement renoncé après avoir constaté que la tête de la manif était constituée de femmes brandissant des banderoles LGBT et criant des slogans pour la PMA et contre « le patriarcat », suivies de la CGT !

    L’indignation à géométrie variable de « frère Castaner »

    Quoi qu’il en soit, cet acte XVI aura à nouveau donné lieu à un certain nombre de heurts entre manifestants et forces de l’ordre, au cours desquels ces dernières, regonflées la veille par un Castaner qui avait promis que « chaque brute sera punie », n’auront guère fait dans la dentelle. Dès le lendemain soir, en effet, le parquet de Paris annonçait avoir confié à l’IGPN une énième enquête, après la prise en charge par les secours d’un homme grièvement blessé au visage, « probablement » par un tir de LBD. En même temps, une vidéo tournée samedi à Quimper, et visionnée plus de 640 000 fois sur les réseaux sociaux, montrait un Gilet jaune sérieusement passé à tabac par un gendarme qui, après l’avoir frappé à deux reprises à la tête, lui assénait au moins neuf coups de matraque sur le dos…

    Des incidents qui ont jusque-là laissé de marbre Castaner, celui-ci préférant en effet s’indigner contre les quelques dégradations perpétrées dans la nuit de samedi à dimanche par plusieurs Gilets jaunes contre le temple maçonnique de Tarbes. Fin en colère, le franc-maçon Castaner s’est en effet exclamé : « Après les juifs, les francs-maçons… Quand la bêtise rivalise avec l’intolérance la plus crasse. » Avant d’annoncer bien sûr l’ouverture immédiate d’une enquête qui, n’en doutons pas, aura, elle, tôt fait d’aboutir…

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 11 mars 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Démographie française : attention, tout s’accélère ! – Cyril Raul (Les Identitaires)

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    La démographie est implacable. Dans le plus grand silence, nous approchons d’un point de bascule historique dont voici les principaux traits.

    Une grande ville arabo-musulmane chaque année en France

    Selon Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion de l’institut de sondage Ifop, 18,5 % des nouveau-nés de 2015 portaient un prénom arabo-musulman.[1] L’Insee ayant recensé 800 000 naissances cette année-là, environ 150 000 personnes d’origine arabo-musulmane sont donc nées en France en 2015. Chaque année dans notre pays, les naissances arabo-musulmanes représentent l’équivalent d’une nouvelle grande ville française comme Angers ou Nîmes.

    Des chiffres édifiants… et pourtant très incomplets

    Les chiffres de Jérôme Fourquet sont d’autant plus préoccupants que l’origine de ces naissances présente deux critères cumulatifs, puisqu’elle est à la fois musulmane et arabe. Ce qui exclut donc de facto l’essentiel des prénoms d’Afrique noire ainsi que des prénoms donnés dans les pays musulmans non arabes (les prénoms d’origine turque, par exemple) ou les pays asiatiques. Le taux de prénoms extra-européens est donc aujourd’hui très largement supérieur à ce pourcentage de 18,5 %. De combien est-il réellement ? Un tiers ? La moitié ? Dans tous les cas, ces stades seront a minima dépassés dans les années à venir si les courbes de natalité poursuivent leur évolution actuelle.

    Les maternités de la France périphérique ferment

    Alors que la part des naissances extra-européennes ne cesse d’augmenter, la moitié des maternités françaises a fermé en 20 ans.[2] Ces fermetures n’ont bien évidemment pas lieu dans les grandes métropoles multi-ethniques, mais dans la France périphérique désertifiée… et très majoritairement habitée par des Français de souche.

    Des décisions qui, sur le temps long et à l’échelle d’une population, ont nécessairement un impact sur la démographie et les taux de natalité dans les régions concernées. Pour les femmes enceintes habitant ces zones, l’angoisse d’accoucher dans sa voiture devient de plus en plus prégnante. À ce constat s’ajoutent les fermetures d’écoles, le manque de médecins, la hausse du coût de la vie… Autant de circonstances pouvant objectivement dissuader d’avoir un enfant.
    Une politique gouvernementale dé-nataliste

    Des fermetures de maternités contre lesquelles les pouvoirs publics ne font rien. Pire : ces derniers ont mis en œuvre des mesures clairement dissuasives en matière de natalité ces dernières années. Qu’on en juge : sous les mandats Hollande et Macron, le plafond du quotient familial a été rabaissé à 1500 euros[3], les allocations familiales ont été divisées par 2 ou par 4 pour les revenus les plus élevés, les plafonds de la prime de naissance et de l’allocation de base de la Paje[4], qui englobaient jusqu’ici toute la classe moyenne, ont été nettement rabotés… À défaut d’encourager la natalité, les derniers gouvernements français se livrent au contraire à une véritable politique dé-nataliste… pour une partie de la population du moins. Car entre ces mesures et les fermetures d’écoles et de maternités dans la France périphérique, ce sont bien les parents français de souche qui sont les premiers impactés. Un constat d’autant plus révoltant qu’il se déroule dans un silence assourdissant.

    Pendant ce temps, les baby-boomers amorcent leur disparition

    Concomitamment, l’Insee enregistre désormais plus de 600 000 décès par an en France. Le solde naturel, c’est-à-dire la différence entre les naissances et les décès, est le plus bas depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cette augmentation des décès devrait s’amplifier dans les années à venir puisqu’elle est essentiellement liée à un phénomène démographique logique et prévisible : l’amorce de la disparition des baby-boomers. Après avoir régné démocratiquement sur la seconde moitié du XXe siècle grâce à son poids numérique, cette génération née au lendemain de la Seconde Guerre mondiale débute son déclin démographique.

    Une génération qui présente deux caractéristiques essentielles. Elle est d’abord quasi-exclusivement française de souche : mécaniquement, la hausse de son taux de mortalité contribue donc notablement à la réduction de la proportion de la population « indigène » française. Elle vote ensuite massivement Emmanuel Macron : les trois quarts des plus de 65 ans ont choisi le candidat d’En Marche au second tour des présidentielles 2017, de loin le meilleur taux de vote Macron selon les tranches d’âge. Deux éléments qui illustrent l’émergence d’une « France d’après » : celle où la proportion de la population européenne diminue, mais aussi celle où les Français de moins de 65 ans ont une conscience identitaire nettement plus développée que leurs anciens.

    Décennie 2020 et accélération de l’Histoire

    Ce compte à rebours démographique se déroule à une période charnière. Depuis 2015, notre époque connait une succession de secousses sur un laps de temps très court : les attentats islamistes, la crise des migrants, les arrivées au pouvoir de Trump et de Salvini, la révolte des gilets jaunes… Autant d’éléments survenus en à peine quelques années qui illustrent un phénomène incontestable dont il faut prendre conscience : nous assistons à une accélération de l’Histoire.

    Bien sûr, il est aujourd’hui impossible de savoir où nous conduira cette accélération. Mais ce constat conjugué aux bouleversements démographiques en cours permet néanmoins de dessiner les contours d’une prévision : la décennie 2020 dans laquelle nous entrerons dans quelques mois sera manifestement décisive.

    Cyril Raul

    Texte repris du site deLes Identitaires

    [1] https://twitter.com/franceinter/status/1103560323271966728

    [2] https://www.bfmtv.com/economie/en-20-ans-la-moitie-des-maternites-francaises-a-ferme-1629774.html

    [3] Mécaniquement, le quotient familial réduit le montant de l’impôt sur le revenu d’une famille. Son plafonnement consiste à limiter cette réduction a une certaine somme : plus cette somme est réduite, moins l’avantage sera important et plus la famille paiera d’impôt.

    [4] aide mensuelle versée par la Caf pour les enfants de moins de 3 ans

    https://fr.novopress.info/213888/demographie-francaise-attention-tout-saccelere-cyril-raul-les-identitaires/

  • Jean Messiha : « Si ces manifestants se sentent de tout cœur avec ce qui se passe en Algérie, le plus efficace, c’est d’aller l’exprimer là-bas »

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    Des manifestations sont organisées en France pour protester contre la situation en Algérie. Réaction de Jean Messiha, qui analyse par ailleurs la situation en Algérie.

    http://www.bvoltaire.fr/jean-messiha-si-ces-manifestants-se-sentent-de-tout-coeur-avec-ce-qui-se-passe-en-algerie-le-plus-efficace-cest-daller-lexprimer-la-bas/