anti-national - Page 485
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GILETS JAUNES, VICTIMES D'UNE JUSTICE D'EXCEPTION - DAVID LIBESKIND
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« Gilets jaunes » : Christophe Castaner veut que la justice poursuive Eric Drouet pour son appel au « soulèvement »
Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a dit mardi 29 janvier souhaiter que la justice poursuive l’une des personnalités des « gilets jaunes », Eric Drouet. Après avoir appris la blessure à un œil samedi d’une figure du mouvement social, Jérôme Rodrigues, le groupe Facebook La France en colère !!!, créé par Eric Drouet, avait décrété dans un communiqué « l’état d’urgence du peuple » et « appelé à un soulèvement sans précédent par tous les moyens utiles et nécessaires pour que plus personne ne soit victime de ces blessures de guerre ».
« C’est un appel à l’insurrection. C’est quoi ‘tous les moyens utiles et nécessaires’ ? Les boules de pétanque jetées sur les policiers, c’est déjà fait. Les pavés, c’est déjà fait. Les cocktails Molotov, c’est déjà fait, a affirmé Christophe Castaner sur BFMTV. Cette dernière déclaration relève à mon sens de l’infraction pénale. Nous ferons ce qu’on appelle un article 40 pour que le procureur décide s’il veut poursuivre ou pas. Vous vous rendez compte qu’il appelle à utiliser de nouvelles armes alors qu’aujourd’hui il y a des cocktails Molotov ? »
Eric Drouet a rapidement réagi : « Voilà, Castaner porte plainte contre moi ! Je commence vraiment à être fatigué de ce gouvernement », a-t-il publié sur le même groupe Facebook.
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Tepa interpelle le Premier ministre sur la loi Pompidou-Rothschild de 1973
A Sartrouville (Yvelines), dans le cadre du Grand Débat National, Tepa interpelle le Premier ministre Edouard Philippe sur la loi Pompidou-Rothschild de 1973.
https://www.medias-presse.info/tepa-interpelle-le-premier-ministre-sur-la-loi-pompidou-rothschild-de-1973/104328/ -
Quatre membres de Génération Identitaire ont été placés en garde à vue hier
FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Il s’agit de Clément Galant, président du mouvement, de Romain Espino, porte-parole, et de deux autres militants, dont une maman enceinte de huit mois. Ils ont été auditionnés et relâchés dans la journée.Ces gardes à vues font suite à l’opération « Defend Europe » organisée par Génération Identitaire au col de l’Échelle durant l’été 2017. Une première enquête, au mois d’avril dernier, a dû être abandonnée faute d’infraction ou de plainte. Le procureur de Gap les accuse cette fois d’« immixtion dans une fonction publique », celle de la gendarmerie de Briançon, et d’exercice d’une activité « dans des conditions de nature à créer dans l’esprit du public une confusion avec l’exercice d’une fonction publique ».
Les Identitaires, quant à eux, se sont toujours défendus en s’appuyant sur l’article 73 du Code pénal qui permet aux simples citoyens d’appréhender eux-mêmes un malfaiteur surpris en flagrant délit, lorsqu’il encourt de la prison ferme.
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Les Français ne croient plus les grands (gros) medias. Et ils ont raison
Tous les ans, notre bon confrère La Croix procède à un sondage d’opinion sur la crédibilité des médias. Tremblement de terre, cette année : jamais les Français n’ont exprimé autant de défiance à l’égard des journalistes et des supports de presse, jamais ils n’ont autant douté de leur objectivité, de leur indépendance.
Les chiffres sont cruels : la radio, qui est traditionnellement le média considéré comme le plus crédible ne suscite qu’un niveau de confiance de 50% (6 points de moins que l’an dernier), la presse écrite tombe à 44% (moins 8%), et la télévision perd 10 points à 38%. Ce qui signifie que, désormais, une majorité de Français ne croient plus ce qu’ils lisent, ce qu’ils entendent, ce qu’on leur montre.
Comme les Français de droite, qui pratiquent ce sport depuis des dizaines d’années, c’est tout le peuple français qui apprend désormais à lire entre les lignes. Sur tous les grands sujets : immigration, mariage homo, PMA, racailles de banlieue, Gilets jaunes, terrorisme, islam, écologie etc., ils tentent de percevoir la réalité derrière les mots obligés.
Il n’est pas possible de soutenir non plus, – comme on l’entend trop souvent – que cette défiance viendrait des médias sociaux qui véhiculeraient des bobards, des fake news, et entretiendraient ainsi un climat complotiste et une défiance à l’égard des médias traditionnels. En effet, lorsque l’on sonde les Français, ils ne sont que 25% (comme en 2018) à faire confiance à internet. Ou plus exactement ils ne croient qu’à 25% des informations qu’ils recueillent sur internet. Ce sondage, loin de démontrer une perméabilité aux théories complotistes, montre au contraire un fort degré de maturité des consommateurs d’information.
Du « camp du bien » à celui des désinformateurs professionnelsLe traitement des informations relatives aux Gilets jaunes a sans doute joué un rôle de révélateur, mais cette actualité n’a pas fait passer à elle seule les journalistes, les grands médias, du « camp du bien » à celui des désinformateurs professionnels. Les Français s’intéressent à nouveau à la politique, veulent se réapproprier leur destin. Mais ils découvrent aussi que certains thèmes, certains débats, sont interdits de médias. Des hommes politiques, des médias, l’ont clairement exprimé. Il est interdit de contester l’avortement, le mariage homo, la PMA etc. On voit aussi la difficulté à faire accepter l’idée que le référendum pourrait se banaliser et porter sur autre chose que les sujets choisis et encadrés par le pouvoir. Les Français découvrent que sur cette question, les grands médias pratiquent un discours uniforme…contre l’opinion publique. Les Français avaient touché du doigt cette pratique, lors du référendum de 2005 sur le traité de Maastricht… De même ont-ils noté ce qui s’est passé aux Etats-Unis avec un président détesté par 96% des médias, mais élu quand même. L’affaire des Gilets jaunes a fait émerger la revendication du recours au référendum d’initiative populaire, mais la classe politique résiste, avec l’aide de la classe médiatique, à cette exigence qui, pourtant, fait pratiquement l’unanimité.
En fait, internet a permis – sans qu’on puisse parler de complotisme ou de fake news –, de révéler que les grands médias sont désormais concentrés entre les mains d’un tout petit noyau de milliardaires, les fameux gagnants de la mondialisation, qui ne paient pas d’impôts, ou qui en paient très peu, et pour qui la planète est un jardin qu’ils savent cultiver au mieux de leurs intérêts : Drahi, Soros, Arnaud, Niel etc. La concentration est maximale, et si ces médias perdent structurellement de l’argent, peu importe, ils entrent dans une stratégie politico-financière planétaire.
Léa Salamé, femme de Glucksmann, c’est l’entre-soi absolu
Les Français savent aussi les incroyables accointances qui unissent politiques et journalistes. Que la journaliste Léa Salamé soit la femme du politicien d’extrême gauche Raphaël Glucksmann, et on comprend mieux la complaisance des médias à l’égard de ce charlatan politique constamment invité des médias payés par nos impôts. On ne peut oublier que les Baroin, Kouchner, Strauss-Kahn, Sapin, Montebourg, Hollande etc. ont, ou ont eu, pour épouse ou compagne, une journaliste des grands médias. De même est-on surpris de découvrir que les journalistes tutoient les politiques, s’appellent par leur prénom etc., du moins certains journalistes, et certains politiques. A présent les Français en sont pleinement conscients.
Francis Bergeron
Article paru dans Présent daté du 29 janvier 2019
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Zoom – Matthieu Baumier : « une époque viendra où des comptes seront demandés »
En pleine crise des Gilets Jaunes, l’écrivain Matthieu Baumier publie un pamphlet au titre évocateur : « Voyage au bout des ruines libérales-libertaires », chez Pierre-Guillaume de Roux. Une critique radicale du mondialisme, « parti de l’anti-terre ». Pour l’auteur, « la mort de la modernité à laquelle nous assistons actuellement est une renaissance de l’authenticité de l’homme ».
https://www.tvlibertes.com/matthieu-baumier-une-epoque-viendra-ou-des-comptes-seront-demandes
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Les cités, indifférentes aux Gilets jaunes, par Ivan Rioufol
Les Gilets jaunes, une menace pour la République ? Le pouvoir ne retient plus ses coups contre les révoltés des provinces oubliées. Il suffit de regarder les photos des manifestants défigurés par des lanceurs de balle de défense (LBD) pour s’en convaincre. L’État n’a jamais déployé une même brutalité contre les islamo-fascistes qui attisent les intifadas dans les cités délaissées. Deux journalistes, Philippe Val et Zineb El Rhazoui, vivent aujourd’hui sous haute protection policière. Le premier a été condamné à mort par al-Qaida en avril, pour avoir participé à la rédaction d’un “manifeste contre le nouvel antisémitisme“, publié par Le Parisien : le texte demandait l’abrogation des versets du Coran appelant au meurtre des juifs, des chrétiens et des incroyants. La seconde est à nouveau menacée de mort pour avoir récemment déclaré que l’islam devait “se soumettre à la critique“. Le philosophe Robert Redeker a interrompu toute vie normale depuis 2006, après avoir critiqué le Coran, dans Le Figaro.
La violence ne peut faire la loi, c’est entendu. Des casseurs en gilets jaunes ont pu, dans un premier temps, faire reculer l’État. Leurs actes justifient les ripostes policières. Reste que le pouvoir s’est gardé d’un tel zèle répressif contre les zadistes, chéris des écolos. L’abandon du projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), a été arraché sous la pression d’une guérilla des champs. La poignée d’insurgés a eu raison d’un référendum local et de multiples votes et décisions de justice. C’est aussi par l’intimidation et le terrorisme que les combattants de l’islam politique ont fait courber l’échine de la République : Emmanuel Macron s’apprête à modifier la loi de 1905, afin d’aménager la laïcité. Le délit de blasphème est une réalité quand des citoyens doivent vivre cloîtrés pour avoir critiqué l’islam. Les incendiaires des cités sont moins malmenés que ceux qui n’ont pas le statut de victimes. Les Gilets jaunes seraient-ils trop “vieille France” pour attendrir l’État macronien ?
Le gouvernement se trompe en voulant voir dans la révolte populaire un danger pour la République : elle n’a rien à craindre d’une demande de démocratie.
Ivan Rioufol
Texte daté du 24 janvier 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol
https://fr.novopress.info/213399/les-cites-indifferentes-aux-gilets-jaunes-par-ivan-rioufol/
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Le gouvernement n’a pas le choix, le peuple non plus, n’a pas le choix. Le clash est inévitable !
Parlant de l’Italie, l’économiste et entrepreneur Charles Gave avait pronostiqué une querelle de légitimité. Qui a le vrai pouvoir de décision ? Est-ce le peuple italien qui vote ou bien la Commission de Bruxelles, organe à la fois non élu et impossible à révoquer ?
Par une ruse de l’Histoire, c’est en France avec les gilets jaunes que ce problème de légitimité s’est déclenché en premier. L’Histoire réelle est souvent la rencontre de déterminants structurels et de l’écume des jours de la vraie vie.
Tout a commencé avec une « banale » augmentation du prix du gazole. Banale, mais celle de trop. Le peuple français s’est révolté. Le gouvernement s’est entêté. En fait, il n’avait pas le choix. Car le budget de l’État est à la dérive. Il n’y a aucune maîtrise des dépenses et le ruineux tsunami migratoire n’arrange rien. Côté recettes, tout est en baisse. La TVA sur la consommation est en baisse, l’appauvrissement des Français étant bien réel. L’économie est rongée par cette monnaie toxique appelée euro. Les taxes sur l’essence augmentent mais les recettes baissent, car les gens roulent de moins en moins. Entre la fraude légale et les faillites, il ne reste pas grand-chose à traire dans les entreprises.
Le gouvernement n’a pas le choix, le peuple non plus n’a pas le choix, car il faut joindre les deux bouts. Le clash est inévitable.
Nous vivons une époque merveilleuse où les acteurs ne comprennent pas ce qu’ils font.
Les journalistes crient à la liberté de la presse alors que la plupart des médias sont la vitrine audiovisuelle du Système. Ils sont aussi indépendants que la vitrine des Galeries Lafayette. Ils ne sont que l’instrument de formatage mental du nouvel ordre mondial.
Le peuple n’a pas (encore) compris que le gouvernement est en guerre contre lui. Il veut plus de démocratie et il est lassé de subir des élections « chèque en blanc », où la caste au pouvoir prétend puiser le droit de faire ce qu’elle veut sans rendre de comptes à personne. Elle répond aux gilets jaunes à coups de matraque et de Flash-Ball® en les accusant de menacer la démocratie… Un bel exemple d’inversion accusatoire.
À quoi sert cette mascarade du grand-débat-sur-rien lancé par Macron ? Sans doute à plusieurs choses : saturer l’espace médiatique avec un agenda préétabli, se donner l’apparence d’une légitimité démocratique, totalement inexistante. Macron croit être Président, il est un pantin de luxe au service des banques. Sa bulle d’autosatisfaction lui tient lieu de bunker. Macron ne sait pas qu’il joue le rôle du salaud.
Dans une guerre, il est difficile de savoir à l’avance qui va gagner. Quoi qu’il advienne, le peuple français joue sa survie à court terme. Soit les gilets jaunes sont matés, et la France continuera d’être liquidée. Soit le gouvernement de Macron tombe. Combien y aura-t-il de morts et d’éborgnés ? Nul ne sait. La fin de l’histoire n’est pas encore écrite.
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Gilets jaunes acte 12 L’ImPaCt!: une nouvelle manifestation annoncée avec les victimes en tête de cortège
La mobilisation des Gilets jaunes ne faiblit pas. Un nouveau acte, nommé « Acte 12 L’ImPaCt! » est annoncé pour samedi 2 février, après l’acte XI qui a réuni plusieurs dizaines de milliers de personnes dans toute la France.
Une manifestation qui mettra en avant les blessés des dernières manifestations, et qui entend dénoncer les violences policières dont les Gilets jaunes ont fait l’objet ces dernières semaines.« Une centaine de blessés graves dont la vie a basculé, 4 personnes dont la main a été arrachée à cause de grenades avec TNT, 18 personnes qui ont perdu un œil ou l’usage d’un œil suite à des tirs de flashball…Nous invitons TOUS LES BLESSÉS qui le peuvent à nous rejoindre ce jour là », est-il indiqué. Ceux-ci seront placés « en début de cortège et protégés par un cordon de bénévoles « expliquent les organisateurs.Par ailleurs, tous les autres manifestants sont invités à « venir en se mettant des pansements sur l’œil, des bandages, de mettre du rouge sur les gilets jaunes en guise de sang… » Samedi à Paris, Jérôme Rodrigues, une figure connue du mouvement, a été gravement blessé à l’oeil, alors qu’il filmait la manifestation.Les organisateurs appellent les manifestants à se comporter pacifiquement, via la page de l’évènement facebook lancée pour l’occasion.Pour la Bretagne, il semblerait que ce soit Morlaix qui regroupe la mobilisationSource: breizh-info.comLien permanent Catégories : actualité, anti-national, insécurité, magouille et compagnie, social 0 commentaire -
Allemagne : une ONG appelle les Allemandes à se marier avec des migrants pour qu’ils puissent « rester ici » (MàJ : « Cet appel au mariage blanc discrédite toutes les ONG » déclare un député)
29/01/2019
Le tweet d’une organisation allemande de sauvetage en mer a suscité de vives réactions. Accusée d’inciter les gens au mariage blanc*, elle rétorque.
Selon «Bild», divers internautes voire même des politiciens accusent l’organisation d’inciter les gens au mariage blanc.
Interrogée par le quotidien allemand, un cofondateur de Mission Lifeline rejette ces accusations. Selon lui, le tweet n’est rien d’autre qu’un «appel aux dons pour les sauvetage en mer». Il précise qu’il ne s’agit pas de mariage, mais d’amour. Son explication n’a visiblement pas su convaincre les internautes. Tandis que certains pensent que le tweet a été rédigé par un stagiaire, d’autres estiment que cette publication discrédite tout le travail effectué par l’ONG.
Philipp Amthor (26 ans, CDU), député appartenant au groupe parlementaire CDU/CSU au Bundestag, dit : « Cet appel absurde aux mariages de complaisance montre clairement que ces « sauveteurs en mer » poursuivent en fait un programme beaucoup plus vaste. Ils veulent saper notre loi sur les étrangers avec leur idéologie de gauche et bafouer notre État de droit. »
Michael Theurer (52 ans), vice-président du groupe parlementaire du parti libéral FDP au Bundestag, est également en colère : « Cette organisation se discrédite avec ce quasi appel au mariage blanc. Elle se discrédite non seulement elle-même, mais aussi les autres organisations humanitaires. »
Matthias Waldraff (66 ans), un avocat pénaliste de Hanovre, évoque le tweet de l’ONG Mission Lifeline : « Il est évident que l’intention du message est d’encourager les mariages de complaisance »