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anti-national - Page 526

  • Gilets jaunes, comme “cocus”: fin de l’histoire ?

    C’est l’analyse de Stratediplo, qui fait un court mais saisissant rappel de la mise en escalavage du peuple français depuis les années 1950. Extraits.

    Pourtant les griefs du peuple n’ont jamais été aussi justifiés. Par exemple, la présomption de culpabilité de fraude fiscale fut à l’origine de l’orgie de contrôles fiscaux destructifs déchaînée en 1952 contre le petit commerce et l’artisanat, pour provoquer les dizaines de milliers de faillites nécessaires ou utiles à l’expansion de la grande distribution capitalisée. En dépit des protestations du pays productif, cette présomption de culpabilité a été officialisée par la loi 59-1472 instituant, avec l’impôt sur le revenu des personnes physiques, l’abattement de 20% pour impossibilité de tricher, privilège réservé aux salariés, impliquant que toute personne dont le revenu n’est pas déclaré par un tiers ment, et incitant de ce fait à la malhonnêteté par la pénalisation de l’indépendant honnête. Cette loi de 1959 poussant les anciens commerçants mis en faillite à s’engager contre salaire dans la grande distribution, et les artisans à se faire embaucher dans l’industrie, mit solennellement le dernier clou dans le cercueil de la révolte contre l’oppression fiscale, et montra s’il en était besoin que le nouveau régime né du coup d’Etat du 13 mai 1958 n’entendait pas être plus protecteur des Français que la république antérieure, dite quatrième. (…)

    Les intentions de la V° n’ayant pas changé depuis le 26 mars 1962, le gouvernement, par la voix de plusieurs ministres, a menacé de violence et de morts, a essayé de dissuader les gens de descendre dans la rue et encore plus de monter à Paris, et a soigneusement fait choisir des familles communes et des passants quelconques pour les violences dites policières (tir tendu de grenades, passages à tabac, mutilations) et les humiliations judiciaires, afin que chacun puisse s’identifier à ces victimes de la répression et se calfeutre chez soi la prochaine fois. D’ailleurs, quant à l’appartenance authentique des auteurs de ces violences aux services publics dont ils portent le discret brassard de reconnaissance (voire parfois l’uniforme), seul le régime employeur de Benalla serait en mesure de la confirmer ou de l’infirmer, de même que l’appartenance des “casseurs” infiltrés, au profil physique, social et comportemental tellement différent des manifestants qu’ils sont chargés de discréditer.

    https://www.lesalonbeige.fr/gilets-jaunes-comme-cocus-fin-de-lhistoire/

  • Du gilet jaune, au gilet pare-balles.

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    Pieter Kerstens

    Depuis plusieurs semaines, on assiste à des manifestations dans toutes les villes de France qui sont le théâtre de déprédations et de pillages que les forces de l’ordre ne peuvent éviter.

    Pourtant, les services de renseignement distinguent facilement les manifestants sous « gilet jaune » et les casseurs venant des milieux « zadistes », anarchistes, Blacks Blocks et autres gauchistes, mouvances depuis longtemps infiltrées par les indicateurs de la Préfecture de Police de Paris ou des services de renseignement dans les Régions.

    Le ministre de l’Intérieur prétendait le 2 décembre n’avoir plus de réserves à engager, alors que 67.000 gendarmes et policiers étaient sur le terrain la veille. Mais par un coup de baguette magique, voilà 89.000 hommes mobilisés le 8 décembre, dont 8.000 uniquement sur la ville de Paris, soit 1/3 de plus que le samedi précédent, ceci afin de réduire les déprédations aux monuments et les pillages des magasins.

    Malgré ce déploiement inédit, l’ampleur des dégâts a été encore plus dévastateur dans les quartiers parisiens et dans les villes de province.

    Tous les policiers et gendarmes l’affirment : c’est en fin de journée que surgissent les crapules et les racailles venues des banlieues. Et ce n’est pas nouveau : Saint Sylvestre, 1er mai, 14 juillet, Halloween. A chaque fois, on assiste à des jets de pierres, à la destruction d’abribus, à l’incendie de véhicules, à des pillages de magasins par des meutes masquées et armées d’engins incendiaires ou de barres de fer et de bouteilles d’acide, en attendant les armes à feu.

    Touche pas à ma banlieue !

    Et lorsque la caste politique nous enfume en prétextant des « situations imprévisibles », « une violence jamais vue » ou « des insurrections incontrôlées », il suffit de se référer aux émeutes de 2005, aux attentats terroristes des années 1990 ou à « la chienlit de 1968 », pour conclure à l’incompétence du gouvernement d’Edouard Philippe, qui se défausse sur le mouvement des gilets jaunes « intolérable, irresponsable, insupportable », pour cacher son incurie.

    Pour les médias, ce qui en fin d’année était devenu une « tradition » (plusieurs centaines de véhicules incendiés) apparait aujourd’hui comme « inadmissible » et se produit à Charleville Mézière, à Dijon, en Avignon, à Tarbes, à Saint-Etienne, à Bordeaux ou au Puy en Velay, entre autres villes dévastées.

    Les voyous, eux, se réjouissent car ni les médias ni le gouvernement ou les politiciens ne désignent les responsables et les coupables. Une étrange omerta couvre les crapules de banlieue qui vont, comme après chaque manif, « faire leurs commissions » ! Ce sont les Chérif, Souleiman, Aboubakar, Aziz, Oualid, Mohamed et autres Miloud qui constituent la majorité des casseurs et des pillards, connus depuis des années de la Police et de la Justice, ayant chacun un nombre conséquent de condamnations sur leur casier judiciaire. Un tabou ?

    Des bataillons de parasites se gavent sur le dos des travailleurs.

    Le docteur Micron, spécialiste de la lèpre nationaliste et de la peste brune, a mésestimé la fièvre jaune et du haut de sa vanité méprise la colère et les revendications de la France « d’en bas » qui se plaint d’un pouvoir d’achat en baisse, alors même que l’Etat Providence subvient par d’innombrables aides, subventions, allocations, dons ou exonérations, aux finances des plus démunis. La vague de récriminations ne touche pas les 10% des plus pauvres, ni les 10% des plus riches de notre société, mais la majorité des classes intermédiaires et surtout ceux qui estiment que leur travail ne leur procure pas un niveau de vie acceptable.

    En réalité, les travailleurs ont l’impression que ceux qui ne travaillent pas, hormis les retraités, vivraient mieux qu’eux-mêmes ! Ce qui n’est pas faux. Parce que la politique de justice sociale mise en place depuis 35 ans a réduit l’écart entre chômeurs et travailleurs, en accumulant des charges et des prélèvements obligatoires sur les fruits du travail, pour indemniser, soigner, éduquer ou aider des millions d’inactifs aptes au labeur quotidien.

    Il faut savoir que la moitié des foyers fiscaux en France ne payent pas non plus d’impôts sur leurs revenus.

    On peut aussi s’interroger quant à la situation d’un « messager » des gilets jaunes qui, lui, fonctionnaire momentanément privé d’emploi, depuis le 1/1/2009, est encore payé 2.600€ nets par mois. Est-ce normal ?

    Au risque de déplaire à certains « nationalistes », j’affirme ici qu’il est indispensable de distinguer l’indispensable du superflu. Car, depuis au moins 50 ans, le Régime a favorisé la multiplication des privilèges sectoriels, des gaspillages éhontés, des dépenses pharaoniques ou encore des travaux inutiles.

    QUI PAYE ?

    Pour calmer la fièvre du samedi soir (acte V le 15 décembre) le docteur Micron a rédigé une ordonnance pour son gouvernement en vue de préparer « une potion magique » destinée à ramener le peuple de France dans ses chaumières.

    Ce méli-mélo obscur de primes, d’augmentation du SMIC, d’heures supplémentaires hors-taxes et de réajustement des retraites, que l’on ajoutera aux mesures précédentes d’aides aux automobilistes, représentera un surplus de dépenses ou un manque de recettes au budget de l’Etat d’environ 20 milliards d’euros.

    Il faudra bien au final que quelqu’un paye l’addition, car c’est facile d’être généreux avec l’argent des autres !

    Il est louable d’écouter les revendications des gilets jaunes, mais j’ai aussi entendu de très nombreux avis de ceux qui ne se trouvaient pas sur les ronds-points ou devant les centres commerciaux ou encore de commerçants et de chefs de PME qui ne manifestaient pas. Pour ceux-là le son de cloches est différent et les remarques très justifiées en ce qui concerne le fond des problèmes et de réformes structurelles jamais évoqués :

    1. Réduction drastique des dépenses de l’Etat sur base des remarques inscrites dans le rapport annuel de la Cour des Comptes et qui concernent tous les secteurs et l’ensemble des structures dans l’Hexagone.
    2. Défense des entreprises et rapatriement d’activités industrielles qui ont été délocalisées en Asie ou au Maghreb, ce qui diminueraient par la même occasion les émissions de CO2 alors que nous sommes punis dans nos déplacements personnels.
    3. Stopper l’immigration sauvage et les régularisations/naturalisations massives (concernant plus de 5 millions de personnes depuis 1995) qui coûtent des dizaines de milliards tous les ans. Cet argent serait bien plus utile pour aider les plus faibles de notre société.
    4. Abroger les lois et dénoncer les traités imposés par les euros-mondialistes de Bruxelles qui vont à l’encontre des intérêts du peuple et du développement économique et financier de nos régions.

    Dans la crise actuelle, rappelons-nous cette déclaration du Président Abraham Lincoln en 1860, devant le Congrès :

    « Vous ne pouvez pas créer la prospérité en décourageant l’épargne.

    Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l’employeur.

    Vous ne pouvez pas favoriser la fraternité humaine en encourageant la lutte des classes.

    Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche.

    Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez.

    Vous ne pouvez pas forcer le caractère et le courage en décourageant l’initiative et l’indépendance.

    Vous ne pouvez pas aider les hommes continuellement en faisant pour eux ce qu’ils pourraient et devraient faire eux-mêmes. »

    Une expression de bon-sens, dont certains devraient pouvoir s’inspirer.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/12/12/du-gilet-jaune-au-gilet-pare-balles-6112343.html

  • Edition Spéciale : Strasbourg frappée par le terrorisme – Journal du mercredi 12 décembre 2018

    Alors que la menace semblait de plus en plus dépassée pour la France, le symbolique marché de Noël de la Capitale alsacienne a été attaqué par Chérif Chekatt, un multirécidiviste fiché S. Au moins 3 morts et plus d’une douzaine de blessés sont à déplorer. Pour comprendre cette nouvelle attaque, nous sommes en compagnie du criminologue Xavier Raufer.

    Le terrorisme s’invite une nouvelle fois en France.

    – Le marché de Noël de Strasbourg pris pour cible

    – Chérif Chekatt : un terroriste hybride comme les autres

    – L’actualité en bref

  • Terrorisme(s): arrêtons de reculer

    JEANNE-1-300x263.jpgComment se fait-il que dans  la quasi totalité des cas, les racailles appréhendées pour des  faits de terrorisme, soient décrites spontanément aux journalistes qui interrogent leur  entourage  (plus ou moins lointain)  comme des mecs sans histoire,  sympas,  quoique, parfois,  un peu  rigide sur les valeurs, mais appréciées par tous les gens du  quartier  ou de la cité pour leur gentillesse? « C’est un gars super gentil, pas  quelqu’un qui cherchait les problèmes. Ce n’est pas quelqu’un de borné, qui sait rien de la vie, quelqu’un  de très gentil,   il est cultivé. Il avait un discours assez appuyé sur la religion,  il était assez sévère sur la religion, il ne faut pas le décevoir avec la barbe. Il est comme le grand frère, toujours à apporter de bons conseils,  à délivrer des petites leçons de morale… » C’est en ses termes que Rachid  décrivait lui aussi  hier soir sur l’antenne de Cnews  la personnalité de Chérif Chekatt, 29 ans,  islamiste fiché S depuis 2016, au profil tristement banal de délinquant multirécidiviste radicalisé, un profil hybride « très défavorablement connu » des services de police, en France comme en Allemagne.  Il  est l’auteur présumé de l’attaque par balles hier contre le marché de Noël à Strasbourg, qui a fait trois morts et treize blessés dont huit graves. Originaire du quartier pluriel de Koenigshoffen dans la capitale alsacienne, il est toujours activement recherché au moment ou nous écrivons ces lignes.

    « Face à l’horreur, une seule réponse : l’unité de la Nation » a twitté  le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux, tandis que  le niveau  d’Alerte urgence attentat était décrété, ce qui, de facto, alimentant en retour les rumeurs complotistes, devrait entraver les manifestations et rassemblements des gilets jaunes. Invitée ce matin des Quatre vérités sur France 2, Marine Le Pen en a pris acte : « je suppose que si ce niveau d’alerte terroriste est maintenu, il inclut l’interdiction des manifestations. Je ne polémiquerai pas là-dessus, la sécurité du peuple français doit être en cause pour que le Ministère de l’Intérieur prenne cette décision. »

    La présidente du RN a rappelé qu’elle plaidait de longue date « pour la mise en œuvre d’un Parquet national anti-terroriste » sachant que  les « délinquants radicalisés commettent bien souvent ces délits et crimes pour financer le terrorisme. »  Sur le fond, Marine a rappelé son souhait d’une expulsion de notre territoire  des étrangers fichés S – « ce serait autant de moyens supplémentaires qui seraient dégagés pour pouvoir surveiller ceux qui ont la nationalité française ! »- et a pointé  l’inertie, l’angélisme coupable, depuis de longues années, des partis au pouvoir.  « Je ne sais pas par quelle pudeur, qu’est-ce qui explique le fait que dans notre pays on refuse de s’attaquer au fondamentalisme islamiste, qui est une idéologie mortifère, mortelle, qui a fait 250 morts et des centaines de blessés en France depuis six ans (…). Il faut s’attaquer aux organisations islamistes. Le salafisme se propage dans notre pays, il est financé de l’étranger, et même parfois, au moyen d’associations culturelles, cultuelles ou sportives, financé par de l’argent public ! »

    Lors de son passage sur BFMTV , le  maire  socialiste de Strasbourg, Roland Ries, visiblement ému,  ne s’est pas départi  pour autant de cette pudeur en renonçant à appeler  vraiment un chat un chat: «Je ne crois pas que des attaques de ce genre puissent donner raison à ce qu’il convient d’appeler  (?) un terroriste » a-t-il déclaré .  Un terroriste certes, mais pas un terroriste hors-sol, un  terroriste islamiste (la précision qui fâche et qu’il ne faut pas prononcer pour ne pas se couper du vote pluriel?);   une racaille  qui a trouvé sous le badigeon de  l’idéologie salafiste un support et une justification à sa  haine de la France, des impies, des koufars, des infidèles, des croisés… .

    Un terrorisme désormais enkysté dans  le sol français  qui est aussi  le fruit de l’immigration-massive, de l’échec de l’assimilation, du laxisme d’Etat, du masochisme anti-national,  du refus par nos élites d’affirmer  nos valeurs helléno-chrétiennes  et surtout de les défendre sans esprit de recul. Pour ne parler que de lui,  le très européiste maire de Strasbourg  milita en 2015  pour  l’accueil des immigrés clandestins (migrants) lors du tsunami migratoire déclenché par l’ouverture des frontières de l’Allemagne par Angela Merkel. Il  s’était aussi signalé par cette  proclamation qui est restée dans les annales, déclarant « servir des repas halal dans les écoles par respect pour la diversité, mais pas de poisson le vendredi par respect pour la laïcité. » Cette phrase se suffisant à elle-même,  tout autre commentaire serait superflu.

    La présence d’un foyer islamiste radical à Strasbourg est déjà ancienne ont rappelé un certain nombre de commentateurs; des attentats y ont déjà été déjoués  in extremis grâce  à  la vigilance de nos services de renseignements. Ce fut le cas notamment en 2003, bien avant l’émergence de l’Etat Islamique,  avec le démantèlement d’une  cellule qui  devait frapper la  Cathédrale de Strasbourg et commettre un  massacre au Marché de Noël.

    Hier,  c’est  donc  encore le Marché de Noël qui était visé, pour taper au portefeuille un évènement  annuel très important pour l’économie de la ville. Mais aussi bien sûr,  pour s’attaquer symboliquement  à  une fête annonçant pour les Chrétiens  la naissance du Sauveur et pour tous les  Européens, croyants ou non, un moment de réjouissance collective, si ce n’est communautaire,  la victoire de la lumière sur les ténèbres. C’est à quelques mètres du magnifique sapin illuminé dressé au cœur de la ville, que Chérif Chekatt  a entamé son périple sanglant;  sapins  qui comme les crèches chassées de   nos écoles, de nos mairies, de nos  bâtiments administratifs dans les banlieues de la diversité (avec le soutien indirect des laïcards anti-cathos), déclenchent l’animosité des nouveaux arrivants les plus extrémistes   qui se disent heurtés dans leur sensibilité, dans leur foi, par ce type de provocations. 

    Nous assistons ces dernières années de la part des progressistes à des actes de soumission, de dhimmitude,  proprement insupportables affirme  Bruno Gollnisch.  Nous nous en étions fait l’écho ici, à Amiens, l’équipe du maire PS, Gilles Demailly, au nom du  « vivre ensemble» ,  avait   rebaptisé le Marché de Noël  en «Marché d’Hiver ».» Idem pour le Marché de Noël de Bruxelles  rebaptisé Loisirs d’hiver tandis que la Croix rouge dans cette même ville entendait se renommer La rouge, afin de faire disparaître  le mot  croix… Ne nous y trompons  pas, cette éradication sémantique est tout sauf anecdotique. Elle procède d’un terrorisme intellectuel, véhiculé par les lâches  et/ou les  prosélytes  des sociétés ouvertes,   qui ouvre la voie au terrorisme sanglant que nous subissons aujourd’hui.

    https://gollnisch.com/2018/12/12/terrorismes-arretons-de-reculer/

  • Le meilleur remède contre le complotisme, c’est la vérité, même quand elle dérange

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    En ce lendemain d’attentat, un mini-drame dans le grand, une indignation collatérale en marge de la grande ont enflé jusqu’à pénétrer l’hémicycle de l’Assemblée via l’intervention d’un député LREM et à être dénoncés par le ministre de l’Éducation nationale. Parmi les gilets jaunes circulerait une rumeur complotiste : cet attentat, en faisant diversion, tomberait à pic pour le gouvernement, ce qui le rendrait donc suspect.

    Une idée, évidemment, farfelue – les islamistes n’ont pas attendu les gilets jaunes pour commettre des attentats et il n’y a aucune raison que cette gronde les dissuade d’en commettre d’autres. Du reste, si, à court terme, un attentat peut sembler servir le gouvernement, à moyen, il fait aussi montre de son impéritie – et une surréaction, de l’autre côté, qui ne l’est pas moins : la situation est grave et puisque cette thèse ne tient pas debout, était-il utile de s’abaisser à en parler, de perdre son temps et sa salive à se draper dans sa dignité pour la dénoncer ?

    La vérité est que si cette accusation doit susciter une réaction, c’est la réflexion.

    D’abord, comment en est-on arrivé là ? Comment la relation de confiance entre les gouvernants et les gouvernés, mais aussi les informants et les informés – pour parler chic -, a-t-elle été abîmée jusqu’à rendre crédibles, auprès de toute une partie de la population, ces échafaudages improbables ? Au-delà de l’irrationnelle frustration de voir ce vaste mouvement trouver soudain un coup d’arrêt, il y a nécessairement une immense défiance qui s’est installée. Peut-être parce que certains ont le sentiment d’avoir été trop longtemps roulés dans la farine. Manipulés. Pris pour des abrutis auxquels on a fait le coup du mépris.

    C’est le syndrome du cocu – le jaune leur va si bien – qui, à la longue, devient paranoïaque et soupçonne sa dulcinée de le tromper dès qu’elle passe le pas de la porte, même pour aller chercher le pain. C’est Georges Dandin dont la femme, lorsqu’elle est accusée, pousse de grands cris d’indignation et invoque sa vertu outragée, alors qu’il n’est pourtant pas si crétin.

    Comment y remédier, ensuite ? Mais pas à pas, avec patience et humilité, en reconnaissant ses torts et en s’amendant. La confiance ne s’impose pas, elle se mérite et se (re)conquiert. La rumeur sur les réseaux sociaux est à la presse ce que le rebouteux est au médecin : c’est quand on ne croit plus à l’autre que l’on place sa foi dans l’un. Pour retrouver sa clientèle et damer le pion du charlatan, l’homme de l’art n’a d’autre choix que d’en finir avec ses diagnostics désastreux et ses traitements sans effet.

    Ce gouvernement l’a-t-il compris ? Rien n’est moins sûr. Lorsque Emmanuel Macron dit qu’il faut oser parler d’immigration alors qu’il vient, en catimini, de signer par procuration le pacte de Marrakech qui suscite tant d’inquiétude, il ressemble au mari volage qui de retour, le soir, de sa garçonnière promet à sa femme, en lui tapotant la main, qu’il n’éludera pas le sujet si important de la fidélité. Le gilet jaune fait mentir Serge Lama, dont il apprécie pourtant sûrement le talent : cocu, mais pas content.

    Gabrielle Cluzel

    http://www.bvoltaire.fr/le-meilleur-remede-contre-le-complotisme-cest-la-verite-meme-quand-elle-derange/

  • Voilà pourquoi le système LREM veut susciter une liste gilets jaunes aux européennes

    Voilà pourquoi le système LREM veut susciter une liste gilets jaunes aux européennes

    La vraie récupération des gilets jaunes ne vient de là où tout le monde croitComme l’a très bien expliqué Minute, Emmanuel Macron veut une liste aux européennes pour permettre à LREM de finir en tête le 26 mai et affaiblir son principal adversaire qui est le RN. Sans liste de gilets jaunes, le RN finit en tête à 24% et DLF réussit à se hisser à 8%, soit 32% à eux deux.

    La preuve à travers ce nouveau sondage sans liste gilets jaunes :

     

    Le député LREM Bruno Bonnell ne cache même plus ses intentions :

    Dans la majorité, certains en viennent presque à souhaiter cette liste gilets jaunes, comme Bruno Bonnell, député LREM du Rhône. “On assiste à la naissance de notre véritable opposition : c’est le “Front insoumis” ! S’ils trouvent des leaders et qu’ils se structurent, ils vont absorber le RN et LFI, pronostique-t-il.

    Le système veut même recycler Bernard Tapie pour mener cette opération :

    Pour nourrir cette grande ambition, Christophe Chalençon raconte déjà avoir trouvé un appui de taille en la personne de… Bernard Tapie !

    Christophe Chalençon, l’un des leaders des gilets jaunes “libres”, a ainsi un projet pour les élections européennes de mai 2019. Son objectif : participer à l’élaboration d’une liste pour “porter la voix de la ruralité et de la province” face à une Bruxelles “inhumaine qui ne s’intéresse qu’à la finance au détriment des peuples”. Cet ancien forgeron aux idées politiques hétéroclites, – très à droite sur son compte Facebook, il a voté Macron aux deux tours en 2017 – entend noyauter la machine européenne pour la faire changer de l’intérieur “car il s’agit là du seul moyen de nous faire entendre d’Emmanuel Macron” (…)

    Joint par Marianne, Bernard Tapie confirme : “Il faut que ce mouvement se structure. Sinon, il risque soit de s’essouffler, soit d’être récupéré par un parti politique”. L’ancien ministre de François Mitterrand, qui explique avoir été “profondément touché” par les gilets jaunes, a été plusieurs fois contacté par des manifestants. Il compte “leur offrir à la fois un espace d’organisation et d’expression à travers la Provence, pour leur permettre de proposer une offre politique alternative”, précise-t-il. A une condition cependant : “Qu’ils soient absolument indépendants de toute structure ou de toute personnalité politique.” A partir du 5 janvier, le journal la Provence mettra à leur disposition un feuillet d’une page par semaine, pendant un mois, “et notre rôle s’arrêtera là”, assure Bernard Tapie.

    Pas si sûr… Car s’il se défend de vouloir interférer dans le mouvement, l’actionnaire principal du journal sudiste a déjà parlé du projet à un autre poids lourd de la presse régionale : Jean-Michel Baylet, PDG de La Dépêche et à la tête du syndicat l’Union de la presse en région.

    Et France Info embraye :

    Marine Le Pen
     
    @MLP_officiel
     

    Ce titre est une manipulation du service public qui ne peut et ne doit tromper personne.
    Le système est vraiment prêt à tous les mensonges et toutes les bassesses pour démoraliser les . MLP

     
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    https://www.lesalonbeige.fr/voila-pourquoi-le-systeme-lrem-veut-susciter-une-liste-gilets-jaunes-aux-europeennes/

  • À force qu’on le prenne pour un imbécile, le peuple finit par devenir intelligent !

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    Et il nous le montre…

    Le mouvement des gilets jaunes – c’est l’un de ses aspects intéressants, et non des moindres – a fait soudain resurgir toute la force de la sagesse populaire, telle qu’on peut la goûter dans les contes ou les fables, comme celles de La Fontaine, et que nos technocrates des ministères, nos énarques, journalistes et autres intellectuels engagés de la télévision ou notre petit monde de la culture et du cinéma écrasent de leur mépris depuis des décennies.

    Car soudain, la caste médiatique qui monopolisait le savoir s’est retrouvée contrainte de donner un peu la parole directement au peuple, et même si les experts en tous genres, les journalistes et les spécialistes de l’entre-soi viennent toujours sur les plateaux débiter leurs rengaines et leurs fadaises savantes, il faut bien tendre aussi les micros à ceux qui font l’événement qu’on commente, et ces manifestants en gilets jaunes des ronds-points, ces « fumeurs de clopes qui roulent au diesel », nous font entendre une voix depuis longtemps oubliée : la voix du peuple.

    Vox populi, vox Dei – voix du peuple, voix de dieu -, disaient les latins, et c’est vrai que l’on entend, depuis trois semaines, sur les écrans, de nouveaux discours, des déclarations simples et percutantes, frappées au coin du bons sens, et comme on voudrait en entendre beaucoup plus souvent, une vérité qui démonte en quelques mots le ronron médiatique et le murmure autorisé entretenu depuis trente ans et plus. Et, certes, ministres et députés de La République en marche se succèdent à longueur de journée sur les plateaux pour nous continuer ce ronron, et qu’on ne l’oublie pas, montrant ainsi encore plus le contraste ou le contrepoint musical qu’il représente. Mais jaillissent ensuite avec d’autant plus de force, sur cette sorte de basse continue télévisuelle, le chant réjouissant, la mélodie radieuse du bon sens populaire, de sa vérité et de son intelligence indéfectible, solide comme un roc, rocailleuse et colossale comme un Jean Lassalle, ténor pyrénéen bien connu.

    Ainsi, en ce lundi matin précédant le discours présidentiel, j’entendais un manifestant des ronds-points donner son avis sur le discours de 20 heures d’Emmanuel Macron et, avant-même qu’il ne l’ait prononcé, cet homme affirmait qu’une fois de plus, le Président parlerait pour ne rien dire et annoncerait la distribution de petites miettes.

    Comment nier qu’il disait là, avec une ironie toute spontanée, l’une de ces simples et belles vérités qu’il ne faut pas dire ? Cette vérité que notre pseudo-élite, cette petite caste confite dans son bien-être mondialiste et ses privilèges, a depuis longtemps occultée, une vérité qui ressemble un peu à celle que les aristocrates de 1789, eux aussi confits dans leur petit monde et leurs privilèges, ne voulaient ni voir ni entendre. Mais, soudain, tous ces gens qu’ils prenaient pour des gueux se sont révélés capables de renverser un roi et de fonder une république. Et combien de talents qui seraient restés étouffés ont surgi de ce bouleversement !

    Oui, à force d’être méprisé et qu’on le prenne pour un imbécile, le peuple finit, étrangement, par devenir intelligent, au point de chasser ses gouvernants et de se gouverner lui-même !

    Jean-Pierre Pélaez

    http://www.bvoltaire.fr/a-force-quon-le-prenne-pour-un-imbecile-le-peuple-finit-par-devenir-intelligent/

  • Un Pacte mondial pour l'invasion de l'Europe

    En pleine crise des gilets jaunes, Emmanuel Macron s'apprête à adhérer au nom de la France au « pacte mondial » de l'ONU ouvrant grand la voie à de nouvelles migrations. Les 10 et 11 décembre, à Marrakech, Emmanuel Macron entérinera au nom de la France - sans que les Français aient été consultés - le « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières » des Nations-Unies, qui accélérera considérablement le remplacement des peuples européens.

    De nombreux chefs d'État, conscients du danger que ce texte représente pour leurs pays, se sont dissociés de cette initiative onusienne. Outre les États-Unis, la Hongrie, la Pologne, la République tchèque, la Croatie, la Bulgarie, l'Autriche, la Suisse, la Belgique, l’Australie et Israël sont sortis de ce piège. En revanche, le couple Merkel-Macron persiste à appuyer le profile président "français" et la chancelière "allemande" restant les deux principaux promoteurs de la mondialisation en Europe.

    Le gouvernement hongrois considère que « ce pacte incitera des millions de personnes à prendre la route ». Loin de le nier, les défenseurs du texte font valoir, comme le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, qu'il constitue « un pas sans précédent pour accroître la coopération internationale » et que « les migrants [à ne pas confondre avec les réfugiés, ndlr] sont un moteur extraordinaire de croissance. »

    Le texte lui-même vise à mettre en place une « approche globale pour optimiser les avantages de la migration » dont les Français font les frais tous les jours… L'exposé de ses « ambitions et principes directeurs » affirme d'entrée de jeu : « Par le présent Pacte mondial, nous nous engageons objectivement à améliorer la coopération en matière de migration internationale. Les migrations ont toujours fait partie de l'expérience humaine depuis les débuts de l'Histoire, et nous reconnaissons qu'à l'heure de la mondialisation, elles sont facteurs de prospérité, d'innovation et de développement durable et qu'une meilleure gouvernance peut permettre d'optimiser ces effets positifs. »

    Les migrations, « partie intégrante de la mondialisation »

    Cette belle collection de poncifs de contre-vérités a le mérite d'indiquer clairement la finalité du texte. Il s’agit de favoriser l'immigration de masse en la présentant sous un aspect édénique. Au chapitre de la « vision commune », on apprend que « les migrations font partie intégrante de la mondialisation, reliant entre elles les sociétés d'une même région et d'une région à l'autre et faisant de nous tous des pays d'origine, de transit et de destination. » Il s'agit donc bien d'effacer les frontières et les appartenances nationales.

    Une large place est également accordée au « développement durable » auquel les migrants; contribuent « aux niveaux local, national, régional et mondial » tout en enrichissant nos sociétés « grâce à leurs capacités humaines, économiques et sociales ». Le texte insiste aussi sur la nécessité d'informer les nouveaux arrivants sur leurs « droits, obligations et possibilités », tout en délivrant aux citoyens des pays d'accueil « des informations objectives, claires et fondées sur des données factuelles au sujet des avantages et des difficultés que présentent les migrations, en vue de démonter les discours trompeurs qui donnent une image négative des migrants » Les États sont ainsi invités à assurer la propagande de l'immigration, et à censurer, ce qui pourrait l'entraver, notamment « en cessant d'allouer des fonds publics ou d'apporter un soutien matériel aux médias qui propagent systématiquement l’intolérance, la xénophobie, le racisme et les autres formes de discrimination envers les migrants, dans le plein respect de la liberté de la presse »… Ça va sans dire.

    Cerise sur le loukoum, le Pacte prévoit de « promouvoir le respect mutuel des cultures, des traditions et des coutumes entre les communautés d'accueil et les migrants grâce à l’échange et à la mise en œuvre de pratiques optimales en matière de politiques, programmes et activités d'intégration, y compris en ce qui concerne les moyens de promouvoir l'acceptation de la diversité et de faciliter la cohésion sociale et l'inclusion. » Il ne s agit donc pas de favoriser l’assimilation, mais d'ouvrir les intelligences des populations indigènes, un peu trop engoncées dans leurs coutumes et traditions nationales, aux beautés du multiculturalisme.

    Nous en avons eu une illustration récente, avec l’acquittement, le 21 novembre, d'un immigré bangladais auteur d'un viol sur une adolescente de 15 ans, par ailleurs condamné à deux ans de prison avec sursis pour une agression sexuelle commise sur une autre jeune fille. Son avocate avait fait valoir à l'audience qu'il n'avait pas les « codes culturels » qui lui auraient permis de mesurer la gravité de son acte. Au Bangladesh, les violeurs encourent pourtant la prison à perpétuité. Cet immigré sera tout de même inscrit au fichier des délinquants sexuels voilà qui rassurera sans doute les jeunes Françaises. On n'a guère entendu Marlène Schiappa, ni les militantes féministes, s’exprimer sur cette affaire. Cette décision de justice rappelle l'affaire du réseau de migrants indo-pakistanais qui, en Grande-Bretagne, a pu impunément réduire pendant des années des centaines de jeunes anglaises à l'état d'esclaves sexuelles, sans être empêchés dé nuire par des autorités terrorisées à l'idée d'être accusées de racisme. Faut-il y voir l'un des « avantages de la migration »?

    Alain Hasso monde&vie 6 décembre 2018

  • Le Brésil va renoncer au pacte sur les migrants de Marrakech

    Le Brésil va renoncer au pacte sur les migrants de Marrakech

    Lors de la cérémonie de Marrakech, le Brésil était représenté par son actuel ministre des Affaires étrangères, Aloysio Nunes, favorable à l’accord.

    Mais le futur chef de la diplomatie brésilienne a annoncé que le Brésil se retirera du Pacte mondial pour les migrations, une fois que le président élu Jair Bolsonaro prendra ses fonctions le 1er janvier. Ernesto Araujo, le futur ministre brésilien des Affaires étrangères, a annoncé :

    « Le gouvernement Bolsonaro se dissociera du Pacte mondial pour les migrations qui vient d’être lancé à Marrakech, un instrument qui est inadéquat pour affronter le problème ».

    « L’immigration est bienvenue, mais elle ne doit pas être indiscriminée », « elle doit être au service des intérêts nationaux et de la cohésion de chaque société ». « L’immigration ne doit pas être traitée comme un sujet global, mais en accord avec la réalité et la souveraineté de chaque pays ». 

    Ernesto Araújo
     
    @ernestofaraujo

    2/O Governo Bolsonaro se desassociará do Pacto Global de Migração que está sendo lançado em Marraqueche, um instrumento inadequado para lidar com o problema. A imigração não deve ser tratada como questão global, mas sim de acordo com a realidade e a soberania de cada país. 

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    En Amérique latine, le Chili et la République dominicaine ont effectué la même démarche de retrait.

    Emmanuel Macron peut donc encore y renoncer et annoncer le retrait de la France de ce pacte.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-bresil-va-renoncer-au-pacte-sur-les-migrants-de-marrakech/

  • 2019 en France selon les Rothschild - hypotheses