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PACTE MONDIAL POUR LES MIGRATIONS DE L'ONU (10 DECEMBRE 2018)
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Les forces du désordre
La fragilité de notre société pseudo-moraliste et de notre régime politico-médiatique a reçu ce 1er décembre à Paris une nouvelle illustration magistrale. Les forces du désordre, ce jour-là, se sont en effet déchaînées dans la capitale, en contradiction avec les intentions bon enfant affichées dans la plupart des lieux de la contestation, étendue à tout l'Hexagone.
Le bilan n'a bien sûr pas cessé, d'heure en heure, de s'alourdir. L'horaire lui-même de cette journée dépasse les standards habituels. Quelque dix heures de mobilisation, en gros pour des militants nationalistes dès le matin, puis pour l'extrême gauche et la voyoucratie des casseurs l'après-midi, autant de temps de travail et de harassement préoccupant pour les missions de sécurité : un total hors norme.
Au moment où ces lignes sont écrites, plus de 24 heures après la bataille on comptait encore officiellement 378 personnes en garde à vue à Paris dimanche soir, dont 33 mineurs. Au total, si l'on se réfère aux chiffrages du procureur de la République de Paris, Rémy Heitz, 682 personnes ont été interpellées samedi en France – dont 412 à Paris – et 630 placées en garde à vue. Au moins 263 personnes ont été blessées, dont 81 membres des forces de l’ordre. On a même déploré à Arles un troisième mort, en marge du mouvement.
Mais on ne doit pas se limiter aux atteintes aux personnes au point de négliger de souligner les dommages infligés à d'importants biens matériels : des véhicules et des restaurants incendiés, des magasins saccagés et pillés. Cela s'est produit aussi bien dans le quartier de l’Opéra que rue de Rivoli. Les scènes de chaos se sont répétées dans plusieurs quartiers huppés de la capitale,
Ces violences, condamnées depuis Buenos Aires par le chef de l'État, ont écourté sa participation aux festivités du G20. Elles ont également conduit le premier ministre, Édouard Philippe, à annuler un déplacement en Pologne, symboliquement très important puisque la Cop24 qui se réunissait à Katowice devait, dans l'esprit de nos princes marquer leur qualité de sauveur de la Planète.
La Planète attendra, on revient sur terre, pour des missions sans doute plus modestes.
Nous verrons d'ailleurs bientôt de quelle efficacité témoigneront, dans le rétablissement de l'ordre, ces hautains technocrates, qui nous guident si bien, et qui nous dispensent si volontiers ce qu'ils appellent leur pédagogie.
On pourra sans doute mesurer aussi la manière dont nos institutions pratiquent l'application de la loi.
Dans notre constitution, l'autorité judiciaire ne porte pas l'appellation de "pouvoir"[1]. Elle dépend administrativement du Garde de Sceaux, c'est-à-dire actuellement des services de Mme Belloubet, ministre de la justice.
L'article 64 du texte de 1958, inchangé sur ce point, fait reposer l'indépendance de la justice sur le chef de l'État[2].
On doit rappeler qu'il existe un texte clair et simple, article 222-14-2 du Code pénal[3].
Citons : "Le fait pour une personne de participer sciemment à un groupement, même formé de façon temporaire, en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, de violences volontaires contre les personnes ou de destructions ou dégradations de biens est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende."
Il s'agit donc bien des participants à ces émeutes et pas seulement de ceux, les plus maladroits parfois, voire les moins violents, saisis plus ou moins arbitrairement par la maréchaussée.
Outre l'application, en amont, des peines généralement infligées, mais non exécutées, aux voyous que l'on appelle couramment "racailles"[4] et dont la place se situe légalement en prison, il faudra donc tôt ou tard, définir une ligne de lutte réelle contre les "black blocs".
Les black blocs ne constituent pas une organisation au sens traditionnel du terme. Ils appliquent des méthodes de guérilla urbaine[5]. Phénomène transnational on dirait qu'ils bénéficient d'une sorte d'omertà médiatique. On en parle le moins possible. On noie le poisson dans des amalgames absurdes[6]. Or, c'est bien à ces méthodes, parfaitement identifiées, depuis les manifestations de Seattle de 1999, qu'il s'agit de mettre un terme dans notre pays et en Europe.
JG Malliarakis
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Apostilles
[1] cf. "Le statut constitutionnel de l'Autorité judiciaire" sur le site du conseil constitutionnel.
[2] N'en déplaise aux admirateurs ignorants qui louent les institutions américaines sans les connaître, l'application doctrinaire des idées de Montesquieu dans un régime démocratique supposerait une formule d'élection des juges – et même des policiers : pas sûr, d'ailleurs, que la magistrature syndiquée y retrouverait son compte.
[3] Disposition de la loi n°2010-201 du 2 mars 2010.
[4] Faut-il rappeler qu'en français "la racaille" désigne "la partie la plus vile de la populace" (cf. Littré), sous ensemble de "la canaille", terme désignant toujours d'après Littré, l'ensemble de la populace... Les expressions "une" racaille ou "des racailles" ont pris, à notre époque une signification légèrement différente.
[5] Celles-ci apparaissent comme largement inspirées, en France, d'un petit livre intitulé "L'Insurrection qui vient". L'identité de son auteur fait l'objet d'un mystère, pour ne pas dire d'un roman policier. Les services répressifs ont considéré que l'auteur principal de ce livre serait Julien Coupat, l'homme de la non moins obscure affaire dite de Tarnac. Éric Hazan, son éditeur, dément.
[6] Par exemple avec la prétendue "ultradroite", commme si les nationalistes français se rendaient à l'Arc de Triomphe pour le dégrader. -
Pacte mondial sur les migrations : au mépris de la souveraineté
Emmanuel Macron s’apprête à signer le pacte mondial sur les migrations, rédigé sous l’égide de l’ONU. Notons, tout de suite, que, des États-Unis à la Chine et au Japon, en passant par l’Arabie saoudite, Israël et leurs voisins – l’Europe très impolie : Autriche, Hongrie, Pologne, Italie, etc. -, nombreux sont les pays refusant de s’y engager. Les Tchèques, les Belges, les Bulgares, la Croatie, l’Australie, le Japon et même les Suisses envisagent aussi de s’en abstraire, refusant de faire de ce texte une loi qui leur soit imposée.
Car il s’agit bien d’en faire loi ! Contrairement à ce que déclare Emmanuel Macron, pour qui « le pacte pour les migrations n’est pas juridiquement contraignant. Structuré en 23 objectifs, il ne créé donc pas d’obligations nouvelles, mais énonce des principes généraux censés permettre “des migrations sûres, ordonnées et régulières”. »
Voyons d’abord ce que dit le CICR (Comité international de la Croix-Rouge) : « Les migrants ont besoin de protection et d’assistance du fait de la dégradation de leurs conditions de vie. » Va comprendre ! Il semble exprimer ici que migrer nuit aux gens qui le font. On nous aurait trompés ? Le CICR s’interroge ensuite quant au moyen visant à améliorer les conditions de vie « dans les pays d’origine ». Songe-t-il au retour de la Françafrique ou de la colonisation ? On se le demande…
Le comble de la position de la Croix-Rouge réside, cependant, en leur compréhension du droit des nations. Car si « le pacte mondial réaffirme le droit souverain des États de définir leurs politiques migratoires nationales et leur droit de gérer les migrations relevant de leur compétence, dans le respect du droit international », le CICR, quant à lui, affirme benoîtement que « ce droit [souverain] n’est pas absolu ». Ainsi les nations « doivent[-elles] toujours respecter les droits des migrants » – comprendre leurs droits au-dessus des droits souverains.
Et « s’il relève de la prérogative souveraine des États de réglementer la présence d’étrangers sur leur territoire et de décider des critères d’admission et d’expulsion des non-ressortissants, y compris de ceux qui ont un statut irrégulier, cette prérogative n’est cependant pas absolue et le droit international prévoit un certain nombre de limites ».
Si cette soumission du « souverain » à « l’international » n’est pas chose nouvelle, Emmanuel Macron sera le premier à s’abriter derrière ces obligations pour nous imposer mille maux et mille morts…
Emmanuel Macron ou LR ! Car si Laurent Wauquiez joue maintenant les matamores sur ce sujet, le groupe du PPE (Parti populaire européen) approuva, au printemps 2017, la résolution « Gérer les flux de réfugiés et de migrants : le rôle de l’action extérieure de l’Union » – les seuls qui s’y opposèrent furent les députés français du groupe ENL (Europe des nations et des libertés) -, laquelle contient approbation du Parlement envers les travaux des Nations unies en vue d’un pacte mondial sur les migrations.
De façon anecdotique, on soulignera de la déclaration du CICR qu’elle unit dans une même entité la Croix-Rouge et le Croissant-Rouge. On gage que ce dernier saura prendre soin des populations migrantes sous réserve qu’elles le soient à destination des pays non musulmans. Et encore…
http://www.bvoltaire.fr/pacte-mondial-sur-les-migrations-au-mepris-de-la-souverainete/
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Des plaintes contre Emmanuel Macron : racket, dilapidation, détournement, extorsion…
“Racket”, “atteinte au droit de manifestation”, “extorsion en bande organisée”… Des Gilets jaunes ont déposé des plaintes aux motifs variés contre Emmanuel Macron, aux quatre coins de la France. Et elles sont enregistrées.
La valse des plaintes a débuté lundi, avec une plainte contre Emmanuel Macron pour sept motifs:
racket, dilapidation de l’argent public, préjudice moral et mise en danger de la vie d’autrui, violences volontaires avec arme, usage abusif de la force publique sur personne vulnérable, et atteinte au droit de manifestation”.
Après quelques recherches dans le code pour évaluer la conformité de la demande, les agents ont finalement enregistré la plainte.
Quelques heures plus tard, un gilet jaune a entrepris la même démarche en Charente. La personne attaque le président de la République pour “usurpation de fonction et détournement de fonds publics”.
Mardi, en région parisienne, les policiers ont reçu la visite d’un gilet jaune pour une plainte contre le chef de l’Etat pour “atteinte à la liberté de manifester” et “violences volontaires avec armes”.
Le lendemain, un habitant de Belfort a déposé plainte contre le président et son gouvernement pour “extorsion de fonds en bande organisée”.
“Depuis l’élection de M. Macron, je me sens racketté”. “J’ai le sentiment d’une dilapidation de l’argent public. C’est pour cela que je demande la démission du président voire sa destitution”.
L’homme aurait été imité par cinq autres manifestants dans la région.
De nombreux internautes appellent à multiplier ce type d’initiative pour faire entendre leur voix.
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Il ne faut pas être naïf : le pouvoir politique d’aujourd’hui et d’hier laisse parfois agir les bandes car cela peut servir…
Joseph Thouvenel de la CFTC est interrogé dans Famille chrétienne à propos du mouvement des gilets jaunes :
Beaucoup de Français sont meurtris par la banalisation de la violence et la radicalisation de certains ‘gilets jaunes’. Que vous inspire ce climat insurrectionnel ?
Tous ceux qui souhaitent une Révolution se trompent. La Révolution, c’est toujours le plus fort qui impose sa loi, pas le plus juste ! Cette tentation de la violence est aux antipodes de l’acte de liberté. Les vrais changements sont non violents comme par exemple la chute du communisme en Pologne. Mais ça, c’est une autre histoire…
La colère peut-elle légitimer les scènes de chaos notamment à Paris ?
Je suis allé dans le quartier des Champs Elysées peu après les violences. Ce n’était pas quand même un lendemain de guerre civile même si je reconnais qu’il y a eu beaucoup de déprédations. Je veux juste dire que l’image, focalisée sur un point – des Champs Elysées – impressionne énormément. Les débordements des gilets jaunes ont d’ailleurs aussi lieu à Saint-Etienne, à Marseille, etc. Mais cela ne représente pas, loin de là, la majorité des gilets jaunes ! C’est vrai, les ‘vrais’ gilets jaunes se laissent parfois embarquer par une minorité. Un mouvement de foule qui est toujours dangereux.
De quelle minorité parlez-vous ?
Il y a des gens qui occupent le terrain de l’ultra violence depuis des mois et des années notamment à gauche. C’est eux qui faisaient régner l’ordre place de la République pendant le mouvement Nuit debout. Encore eux qui attaquaient les Veilleurs pacifiques à l’époque de la Manif pour Tous … sous les yeux de la police… Il ne faut pas être naïf : le pouvoir politique d’aujourd’hui et d’hier laisse parfois agir les bandes car cela peut servir… N’oublions pas les pilleurs. Nous n’avons pas assisté à des actes politiques mais à de véritables actes de pillage : on a dévalisé des magasins de téléphonie et des bijouteries.
Comment analysez-vous la sociologie des ‘gilets jaunes’ ?
C’est un mouvement qui reflète la France populaire et des classes moyennes, celle qui s’appauvrit. Autrement dit, il ne s’agit pas de la France de la grande bourgeoisie ou de la grande pauvreté. C’est une France qui travaille ou qui cherche du travail. Il y a des ouvriers, des salariés, des petits cadres au chômage, d’anciens petits partons, des artisans, etc. Les ‘gilets jaunes’ ? Ce sont des gens qui voient les choses empirer pour eux mais surtout pour leurs enfants et leurs proches. Ils se disaient : ‘demain, on va s’en sortir’. Maintenant, ils se sentent pris dans un terrible engrenage et ils ont l’impression que c’est toujours pire !
Quelles sont, aux yeux du syndicaliste chrétien, les racines de la crise des gilets jaunes ?
Cela fait des années que les gouvernants méprisent les corps intermédiaires. Ce phénomène n’a pas commencé avec Emmanuel Macron mais il a accéléré le processus. Le premier corps intermédiaire à être brutalisé, c’est d’ailleurs la famille ! Tous les gouvernements détricotent la politique familiale. Le socle de la société est remis en cause par ceux qui ont en charge notre avenir.
Pour vous, c’est le triomphe de l’individualisme ?
Cela va aboutir à l’écroulement de notre société matérialiste. A force d’expliquer aux gens que la solution, c’est la liberté absolue pour les individus et les entreprises on perd de vue la cohérence du bien commun. Ce qui devient important alors c’est « moi » « moi » « moi » ! Je note que les entreprises ne cotisent plus pour les allocations familiales. Si chacun ne vit plus seulement que pour lui-même, cela transforme symboliquement le salarié en une petite entreprise qui cherche le meilleur rendement avec un investissement minimum. Avec un tel raisonnement, c’est notre corps social qui se décompose.
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Édouard Philippe mange son chapeau et les gilets jaunes les miettes
C’est fait : Édouard Philippe a mangé son chapeau. Il aura fallu trois semaines de manifestations à travers le pays, des morts, des blessés, des dégradations de biens publics et privés, des scènes d’émeute dans Paris et même dans des villes tranquilles de province comme au Puy-en-Velay. Des millions d’euros de chiffre d’affaires, sans doute des millions d’heures de travail perdus. Une image de la France, si prompte à donner des leçons de démocratie, dégradée dans le monde. Salvini doit, d’ailleurs, bien rigoler !
Mardi dernier, dans un discours hors-sol, Emmanuel Macron maintenait le cap. Jeudi, à Buenos Aires, il osait même évoquer la force d’âme des dirigeants qui savent garder ce cap. Et, ce mardi midi, le Premier ministre fait son job, tel qu’il est conçu en Ve République : avaler son chapeau. Il aura donc fallu que notre pays bascule dans l’émeute pour que soient suspendues la hausse des taxes sur les carburants, la convergence du prix du gazole sur celui de l’essence, les modalités du contrôle technique ainsi que la hausse des tarifs de l’électricité et du gaz. Une suspension pour six mois. Jusqu’aux élections européennes. L’annonce d’une non-augmentation comme celle d’un non-anniversaire au pays des merveilles d’Alice. Un moratoire, façon, aussi, de ne pas perdre complètement la face pour le pouvoir, de faire passer le chapeau par où il doit passer.
Pas certain, cependant, que cela suffise à éteindre l’incendie allumé par Emmanuel Macron, à entendre les réactions des gilets jaunes ainsi que des leaders des oppositions aux annonces du Premier ministre. Pariant sur le pourrissement du mouvement, le gouvernement a, en fait, laissé pourrir la situation. Plus on s’agglutinait sur les ronds-points, plus se sont accumulées, mécaniquement, les revendications. Des miettes, on veut la baguette, répondent les gilets jaunes !
Et si Édouard Philippe a répondu très partiellement, insuffisamment, temporairement à la question vitale du porte-monnaie, il n’a pas répondu à celle, centrale, de la confiance. Car la confiance entre le peuple et Emmanuel Macron est rompue. Sans doute définitivement. Désormais, 73 % des Français désapprouvent l’action du gouvernement. Ils n’étaient que 39 % en janvier dernier. Emmanuel Macron chute de 6 points et n’est plus qu’à 23 % d’opinions favorables, le niveau de François Hollande en décembre 2013. Et les slogans que l’on entend ici et là, ce n’est pas « Macron, des sous » mais « Macron, démission ». Dix-huit mois, à peine, après son élection… Un Emmanuel Macron vu comme proche des préoccupations des Français que par 11 % des personnes interrogées, selon un sondage révélé lundi. Et, en creux, malgré les exactions commises lors de la manifestation de samedi dernier, 72 % des Français soutiennent encore le mouvement des gilets jaunes. Cette perte de confiance est d’autant plus grande que le pouvoir s’est montré incapable de maintenir l’ordre républicain dans Paris.
Si les quelques mesures annoncées par le Premier ministre ne suffisent pas à calmer le mouvement, ce n’est pas l’instauration de pseudo-consultations en régions qui sera de nature à régler le problème de fond. Ayant avalé son chapeau, il ne restera plus, la prochaine fois, à Édouard Philippe que de rendre son tablier, comme l’évoquait, ici même, dimanche, Frédéric Sirgant.
Dans ce contexte de crise de confiance profonde, la majorité écrasante s’accroche à la légalité de son élection de 2017 comme des piafs apeurés sur une branche morte, oubliant que cette branche s’appelle Emmanuel Macron. Lundi, ce dernier déjeunait au milieu d’une compagnie républicaine de sécurité. Excellente chose que le chef de l’État rende hommage au courage et à l’abnégation des policiers. Mais, en même temps, il donnait l’image d’un pauvre petit empereur romain venant se réfugier dans la caserne de sa garde prétorienne pour se mettre à l’abri de la colère de son peuple. En tout cas, c’en est fini du macronisme flamboyant.
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Le Pacte Mondial sur les migrants : l’analyse du Rassemblement National
Conférence de presse de Marine Le Pen au sujet du Pacte Mondial sur les migrations.
Une analyse pertinente, très critique envers cette nouvelle volonté onusienne d’imposer aux nations le Grand Remplacement. D’autres ont déjà fait cette autopsie mais elle vaut la peine d’être écoutée à nouveau.
A retenir cette argument des immigrationnistes : offrir un statut aux 225 millions des migrants qui bénéficieraient ainsi d’une protection du droit international.
Ce texte pose « la première pierre d’un droit à la migration, un droit reconnu comme un droit de l’homme et mis en œuvre par le droit international. »
Francesca de Villasmundo
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"GILETS JAUNES EN MARCHE! EN MARCHE! EN MARCHE!"
On ne lâche rien et Macron en prison.....
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Gilets Jaunes : le gouvernement recule – Journal du mardi 4 décembre 2018
Politique / Gilets Jaunes : le gouvernement recule
Trois semaines après le début de la mobilisation des gilets jaunes, le gouvernement annonce des gestes en faveur des plus modestes… Un geste qui arrive un peu tard pour endiguer la crise.
Union Européenne / Westminster face au Brexit
Près d’un an et demi après le référendum sur le Brexit, le premier ministre Theresa May présente un texte de sortie de l’UE aux parlementaires. Un exercice périlleux et qui pourrait ébranler la locataire du 10 Downing Street.
International / Pacte sur les migrations : J-6
A 6 jours du sommet intergouvernemental de Marrakech, le flou plane toujours autour de la ratification du pacte sur les migrations. Alors que de nombreux pays européens ont déjà affiché leur refus, Marine Le Pen tente de faire fléchir Emmanuel Macron. Un premier défi avant les élections européennes de mai prochain.
https://www.tvlibertes.com/gilets-jaunes-le-gouvernement-recule-journal-du-mardi-4-decembre-2018
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Paris : des centaines d'ambulanciers bloquent la place de la Concorde (PHOTOS, VIDEOS)
© @FabienRivesRTFrLes ambulanciers bloquent la place de la Concorde, le 3 décembre 2018 au matin.Plusieurs centaines d'ambulanciers convergent en direction de la place de la Concorde à Paris et doivent ensuite rejoindre le boulevard périphérique pour bloquer les voies. Ils manifestent contre la loi de Finances 2019.
Ce 3 décembre au matin, plusieurs centaines d'ambulanciers ont bloqué la place de la Concorde à Paris dans le cadre d'une manifestation sauvage. Une mobilisation des ambulanciers était prévue dans le courant de la journée, mais l'élément de surprise a visiblement été privilégié, de sorte que ce rassemblement compte de très nombreux véhicules, gyrophares allumés et sirènes hurlantes.
Un reporter de RT France est sur place.