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anti-national - Page 635

  • Budapest criminalise l’aide aux « immigrés illégaux» et taxe les ONG immigrationnistes

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :

    Le gouvernement hongrois vient d’introduire un dispositif législatif criminalisant les activités d’aide aux immigrés illégaux commises par des activistes et permettant de prélever une taxe de 25 % sur le financement étranger des ONG soutenant l’immigration illégale. Les sommes ainsi collectées serviront à renforcer la protection des frontières de l’UE. Ce projet vient d’être adopté à une écrasante majorité (160 voix contre 18) par le parlement malgré les mises en garde de diverses institutions telles que l’OSCE, du Conseil de l’Europe et, bien sûr, Amnesty International.

    Cet ensemble de mesures, dénommé «Stop-Soros», fait partie d’un plan gouvernemental de lutte contre l’influence des réseaux libéraux-libertaires de George Soros qui jouit de l’appui de la quasi-totalité des 2,3 millions de citoyens hongrois consultés.

    Toute organisation soutenant l’immigration illégale grâce à des ressources financières étrangères, sera enregistrée et obligée de rendre compte de son activité.
    Une taxe de 25 % sur leurs financements étrangers leur sera alors imposée et les sommes collectées seront investies dans la protection des frontières.
    Il sera possible de poursuivre tout participant à l’organisation de l’immigration clandestine. Cette mesure restera en vigueur jusqu’à la fin de la crise migratoire.

    https://fr.novopress.info/

  • EMMANUEL MACRON ATTEINT LE POINT GODWIN : LA « LÈPRE POPULISTE », C’EST COMME LA « PESTE BRUNE »

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    Emmanuel Macron se rêve en successeur de Mitterrand et voit en Angela Merkel la nouvelle Helmut Kohl. Il ne lui reste plus qu’à trouver son Ernst Jünger et le tableau sera complet.

    Sauf que nous ne sommes plus en 1989 et les trois protagonistes qui scellèrent, mano a mano, l’indéfectibilité de l’amitié franco-allemande ne sont plus. Restent des nains politiques qui, à l’instar de la grenouille de la fable, veulent se faire plus imposants que leurs aînés.

    Macron est un européiste dans l’acception la plus fanatique et littéralement intégriste du terme. Un « Européen de dingue », en quelque sorte ! Plus fort que Mitterrand affirmant que « la France est notre patrie, l’Europe notre avenir », le président de la République estime que notre pays a fait son temps ; devenu bien moins que notre passé, il est plus que dépassé, ravalé au rang de souvenir muséal poussiéreux.

    C’est, en substance, la grille d’interprétation que suggère son discours de Quimper prononcé, ce solstice, devant un parterre de quelque trois cents élus locaux devant lesquels, fustigeant la « montée [d’] une lèpre [populiste] un peu partout en Europe, dans des pays où nous pensions que c’était impossible de [la] voir réapparaître », il n’a pas eu un mot pour la France, son histoire plus que millénaire, son peuple souche et sa colère identitaire sourde mais réelle.

    Au lieu de cela, notre Président, dans une diatribe enflammée contre le « nationalisme qui renaît, contre les frontières fermées que certains proposent », a préféré louer « ces terres qui croient dans l’Europe », oubliant au passage que ce sont d’abord des terres ethno-nationales qui sont au fondement de l’Europe.

    En outre, déplore-t-il qu’« on s’habitue à tous les extrêmes, dans des pays qui, depuis des années, sont pourtant pro-européens comme nous », visant ainsi l’Italie et l’Autriche, voire l’Allemagne, où le ministre de l’Intérieur CSU Horst Seehofer s’oppose sévèrement à la folle politique migratoire de la chancelière.

    Chez les mondialistes libéraux-libertaires, on ne peut qu’être « pro-européen ». C’est dire, en d’autres termes, que l’attachement à l’Europe, loin de s’établir prioritairement sur des références civilisationnelles communes que ses dirigeants se plairaient à perpétuer et à honorer, doit se résumer à l’adhésion aveugle, obligatoire et dogmatique à un vaste hypermarché juridico-administratif sans âme et ouvert aux quatre vents.

    Cette rhétorique, adossée à l’antienne frelatée – et fallacieuse – de la nocivité foncière du nationalisme, s’accompagne généralement d’une haine vomitive à l’endroit des peuples accusés de voter mal. On n’est, d’ailleurs, jamais très loin du point Godwin, les pestilences hitlériennes finissant immanquablement par remonter des égouts des « heures-les-plus-sombres… ».

    Ainsi, de la peste brune à la lèpre populeuse et scrofuleuse, le pas est rapidement franchi. Nos démocrasseux, se prenant pour des rois thaumaturges, prétendent extirper les racines du Mal en touchant – c’est-à-dire en froissant injurieusement –, jusqu’à l’extrême mépris, ces galeux d’électeurs désormais soucieux de sauvegarder leur être historique profond et qui optent pour « l’extrême droite ».

    Sur Twitter, Jean-Patrick Fillet, délégué départemental pour la Vendée du Rassemblement national, fait justement observer que « la lèpre est provoquée par le bacille de Hansen. Elle touche les plus “pauvres”. Mauvaises conditions d’hygiène, eau insalubre, malnutrition favorisent son apparition ». Sans commentaire.

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-atteint-point-godwin-lepre-populiste-cest-peste-brune/

  • TOMMY ROBINSON : UN FUTUR MANDELA EUROPÉEN ?

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    Nous avons commémoré, ce mois, un appel historique à la résistance française. Un nouvel appel de juin vient de nous être communiqué – par la résistance anglaise, cette fois.

    Depuis sa geôle où il est confiné à l’isolement, Tommy Robinson s’est exprimé par courrier. Sa lettre est à l’adresse de chaque patriote anglais et européen.

    Il déclare, notamment, dans son texte qu’il aurait jadis accepté de mourir pour que son pays demeurât ce qu’il fut – avant la pression de l’islam. Aujourd’hui, il dit sourire à l’idée que sa mort entraînerait des réactions politiques propres à enclencher un processus historique.

    Tommy Robinson est emprisonné pour s’être comporté en journaliste à propos d’un gang pakistanais accusé de multiples viols et sévices sur de multiples adolescentes, une affaire qui a révélé un mutisme coupable de la part des services sociaux, de la police, des journalistes et de la justice (nous espérons n’oublier personne).

    Il avait déjà tâté de la prison pour une vague histoire de prêt bancaire et de passeport, l’administration pénitentiaire britannique l’avait alors laissé se faire battre comme plâtre par des musulmans ; sa vie n’avait tenu qu’à un fil. Il est vrai que l’Angleterre sait comment humilier les prisonniers politiques, et l’on se souvient du sadisme de certains matons qui maltraitèrent sans retenue les catholiques irlandais. Bobby Sands n’était pas un Tommy Robinson, mais tous deux furent actifs sur fond de troubles politiques. L’originalité de la situation dans laquelle se trouve Robinson est la suivante : si un Sands pouvait être perçu comme un opposant lié au terrorisme, Robinson en est l’antithèse. C’est l’amour d’un homme pour l’identité de son pays qui le voue à la mise aux arrêts.

    Laissons, ici, la comparaison avec Sands et choisissons celle de Nelson Mandela. À l’heure où Jeanne d’Arc est métisse, nul ne doit se choquer de voir en Tommy Robinson un Nelson Mandela européen.

    Que Tommy meure et c’est l’émeute issue des quartiers populaires blancs. De manière assez similaire, que Médine se produise au Bataclan et l’on pourra craindre un coup de force, tôt ou tard. La coupe est (presque) pleine pour de nombreux Européens lassés par le masochisme à gros clous. La politique devient sport de combat.

    En attendant, et dans l’espoir d’une prise de conscience des enjeux par nos maîtres, souhaitons courage à l’infatigable combattant de la liberté qu’est Tommy Robinson, emprisonné comme le furent d’autres illustres avant lui pour s’être dressés contre l’oppresseur, avant que l’oppresseur ne cède ou ne se sauve en catimini pour échapper au lynchage.

    http://www.bvoltaire.fr/tommy-robinson-futur-mandela-europeen/

  • Quand France 24 informe les migrants pour qu’ils boivent la tasse

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    France 24, télévision de l’État français modestement regardé en métropole mais très regardée dans toute la francophonie où elle est un média de référence, propose un média spécifiquement dédié aux migrants sur son site. Analyse.

    France 24 est un média réputé de longue date pour son ancrage dans la pensée dominante, jouant le rôle d’un vecteur de cette pensée hors métropole. Un de ces médias qui diffusent une pensée officielle à l’étranger, au point que la moindre prise de position un peu différente a pu provoquer polémique. N’ayant pas rendu visite à France 24 depuis quelques temps, l’OJIM a été surpris de trouver sur son site, dans le menu de gauche, parmi les onglets des rubriques, un lien vers un étrange site intitulé InfoMigrants. Cliquons.

    La voix de la France officielle à l’étranger ?

    Le site est mis en œuvre par France 24, RFI, France Médias Monde, Deutsche Welle (la radio internationale allemande qui comporte une surprenante page d’actualités intitulée « racines d’Afrique ») et l’ANSA (Agence Nationale de Presse italienne, l’AFP de la péninsule). France Médias Monde est la version modernisée de l’ancien Audiovisuel Extérieur de la France. Il se compose aujourd’hui de trois médias principaux, France 24 et RFI mais aussi Monte Carlo Doualiya (MCD) la station de radio française « diffusant en arabe, depuis Paris » vers les pays de provenance des migrants musulmans en France, par exemple la Mauritanie ou le Soudan. Une façon de mieux faire connaître nos contrées à ceux qui veulent payer des passeurs pour ensuite risquer leur vie sur des bateaux de fortune. Notons que la « mission » de France Médias Monde, regroupant donc ces divers médias, est annoncée comme ceci : « contribuer à la diffusion et à la promotion de la langue française, des cultures françaises et francophone » dans le monde. La notion de promotion est ainsi clairement affichée, ainsi que cette étrange idée d’une pluralité des « cultures » françaises. Idée étrange, en particulier dans le contexte d’un média d’État. Notons aussi que RFI et France 24 concernent de l’ordre de 40 millions de téléspectateurs ou d’auditeurs chacune dans le monde, MCD de l’ordre de 7 millions. France Médias Monde émet dans 180 pays, et une soixantaine de journalistes travaillent pour lui. Plus qu’un média, une machine médiatique de guerre à destination du monde. C’est cette machine mondiale qui promeut InfoMigrants. Ce fait est d’autant plus intéressant quand il est mis en relation avec celui-ci : « Le 23 mars 2016, FMM signe un partenariat de trois ans avec l’État pour renforcer l’éducation aux médias dans les établissements scolaires. Des journalistes du groupe se rendront dans les écoles pour parler de la différence entre information et propagande et partager leur réflexion sur la liberté de la presse ».

    À bras ouverts ?

    La question peut se poser. Force est de constater qu’un média clairement financé par les États français et allemands, et donc par les peuples de ces deux pays, pratique l’information à destination des migrants, et sur les migrants, information au sujet des lieux cibles de ces mêmes migrants. Avec l’assentiment démocratique des peuples concernés ? Sans doute les jeunes femmes du jour de l’An de Cologne seront-elles intéressées d’apprendre que certains des migrants les ayant agressées ont peut-être trouvé la route de la gare de Cologne grâce à ce média en forme de site de propagande.

    Parcourant le site InfoMigrants, que l’on peut lire en français, en anglais et dans diverses formes de l’arabe, cette même diversité qui est proposée pour apprentissage optionnel dans les écoles de la République française, on apprend nombre de choses édifiantes :

    – Les migrants sont appelés à « témoigner », à « partager les expériences », et peuvent envoyer ledit témoignage à la rédaction.
    – Une rubrique s’intitule « Comprendre l’Europe » (sous-entendu avant de venir). On y trouve des articles aidant à trouver un logement une fois en Europe, et particulièrement en France, quand on est « à la rue ». Autrement dit, les médias de l’État français informent les personnes vivant à l’étranger sur comment se loger en France, une fois décidées à traverser la Méditerranée au péril de leur vie. La question de savoir qui met concrètement en danger ces populations peut donc légitimement se poser.
    – Plus encore, le site fournit toutes les informations dans des rubriques : « Pour vous aider à votre arrivée… » en France, Italie etc… : la page est ici. Il y a entre autres des cours de « vivre ensemble », des informations sur comment trouver de quoi se nourrir, comment accéder à internet… à Calais, et beaucoup d’autres informations très utiles pour toute personne vivant en Afrique et ayant le désir de venir en France. De quoi programmer son arrivée.
    – Pour les migrants qui s’inquiéteraient du risque « d’expulsion », des articles expliquent comment les éviter. Autrement dit, des organismes médiatiques d’État expliquent à des délinquants (entrer illégalement dans un pays est un délit) comment utiliser la loi et les administrations afin de contourner le statut de délinquant !
    – Autre exemple d’incitation plus ou moins discrète à venir : un article veut rassurer les candidats à la migration qui s’inquiéteraient de l’antisémitisme et de l’homophobie en France. Le lecteur comprend qu’il ne doit pas s’inquiéter, en France la loi le protégera.

    Il est bien évidemment impossible de détailler l’ensemble de ce que propose ce site d’incitation à risquer sa vie sur un esquif de fortune ou à la frontière enneigée des Alpes, tant cette incitation est massive, au point de ressembler à s’y méprendre à de la propagande. Quelques exemples supplémentaires intéressants :

    – Témoignage : « Je suis arrivé en Espagne analphabète, aujourd’hui j’ai un Master ».
    – France 24 : « Refoulement de l’Aquarius et de 629 migrants : un acte contraire au droit européen»
    – « Les réfugiés en Europe : étudier, travailler pour s’intégrer»
    – « Enfermés avec un fils handicapé : dans l’enfer des centres de rétention en Angleterre»
    – « Espagne : la maison barcelonaise des migrants venus du Maghreb »

    Une visite sur France 24 et son site d’informations sur et à l’attention des migrants apportera nombre d’autres informations au lecteur intéressé, surtout s’il vit en Afrique et aspire à venir s’installer en Europe. InfoMigrant, un média qui oscille entre deux lignes éditoriales :

    – la multiplication d’informations concrètes destinées à aider tout candidat à la migration vers l’Europe à venir dans les meilleures conditions possibles. Y compris au risque de sa vie.
    – une dramaturgie digne de la presse sur les affaires criminelles, destinée à émouvoir les européens et à diffuser l’idéologie politique officielle visant à favoriser l’immigration sur le territoire européen.

    Texte daté du 19 juin 2018 et repris du site Ojim

    https://fr.novopress.info/

  • Immigration : les chiffres du Figaro

    Le Figaro propose dix graphiques, dont quelques uns sont reproduits ci-dessous, pour mesurer l'étendue réelle du phénomène migratoire en France depuis plusieurs décennies. Est immigré celui qui est «né étranger à l'étranger et qui réside en France», selon l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Ainsi, tout étranger vivant en France n'est pas immigré. Inversement, un immigré n'est pas forcément de nationalité étrangère.

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    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/06/immigration-les-chiffres-du-figaro.html

  • Frères Ramadan : la gauche n’a pas honte, par Caroline Parmentier

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    On mesure aujourd’hui notre chance d’avoir hérité des frères Ramadan. L’un est en prison pour viol, l’autre est soupçonné de soutien au terrorisme islamiste.

    L’étau se resserre autour des frères Ramadan qui ont eu pignon sur rue en France et que les islamo-gauchistes, du Monde à Mediapart, nous ont si longtemps vendus comme des personnalités intéressantes, couvertes de titres honorifiques, docteurs ès sciences islamiques, phares de la pensée d’un islam progressiste, prédicateurs charismatiques et saints hommes.

    Le ministère de l’Intérieur et le ministère de l’Economie et des Finances ont pris 17 arrêtés le 15 juin dernier pour geler les avoirs de personnes liées au terrorisme, parmi lesquels Hani Ramadan, dans le cadre d’un article du Code monétaire et financier visant « les personnes physiques ou morales, ou toute autre entité qui commettent, tentent de commettre, facilitent ou financent des actes de terrorisme, y incitent ou y participent ».

    Le Monde et Edgar Morin

    En septembre 2002, Le Monde publiait une tribune signée Hani Ramadan, défendant l’application de la charia et la lapidation des femmes adultères. Le Monde n’en a rien perdu de sa superbe, personne ne lui rappelle ce haut fait de gloire. Le prédicateur et imam avait ensuite été licencié de son poste d’enseignant de français par le gouvernement genevois après la publication d’un livre où il faisait l’apologie de la lapidation et où il affirmait que le sida était une punition divine. Hani Ramadan a été expulsé de France vers la Suisse en avril 2017, après avoir fait l’objet d’une interdiction administrative. Voici comment le présentait alors le ministère de l’Intérieur : « Il a dans le passé adopté un comportement et tenu des propos faisant peser une menace grave sur l’ordre public sur le sol français. »

    On n’entend plus cette vieille crapule marxiste d’Edgar Morin, coauteur de livres avec Tariq Ramadan, qui avait tenté une tribune de soutien dans Mediapart juste après l’arrestation de son ami. Il s’est gravement compromis avec une famille de prédateurs dangereux. Curieusement, dans les réseaux sociaux la proximité entre l’islamiste violeur et celui qui a toujours combattu les valeurs occidentales sous couvert de communisme et aujourd’hui d’islamo-progressisme, s’estompe. A l’évidence on travaille actuellement à sauver la e-réputation d’Edgar Morin, belle figure d’intellectuel de la gauche extrême.

    L’affaire Tariq Ramadan, outre la tartufferie du « porc » et le lien entre ses positions religieuses et son mode de fonctionnement avec les femmes, est révélatrice de l’antisémitisme haineux des Ramadan et de leurs soutiens, qui déferle à gros bouillons sur les réseaux sociaux sans qu’aucune autorité politique et morale ne s’en émeuve. On y parle alternativement « des juifs » ou « des sionistes », cela ne fait aucune différence. Les victimes de Tariq Ramadan sont des « putes juives » et « l’instrument du mal et du complot sioniste ».

    Sur sa note de blog publiée mardi soir, Hani Ramadan, égal à lui-même, estime que c’est le Premier ministre israélien « Benjamin Netanyahu qui devrait être interdit de séjour en France, et que ce sont les comptes de l’Etat d’Israël qui devraient être bloqués ».

    Edgar le frotteur

    Extrait du livre d’Edgar Morin, Mon Paris, ma mémoire : « J’empruntais donc le métro matin et soir. Je prenais le matin le métro à la station Ménilmontant, direction Porte-Dauphine, pour me rendre au lycée, et rentrais le soir par la station Anvers, direction Nation. A l’aube, les wagons étaient bondés. Il fallait souvent pousser et savoir s’infiltrer pour y pénétrer. On y était serrés comme des sardines. Parfois, le hasard, que je provoquais quelque peu, me plaquait tout contre une croupe émouvante. C’est plus tard, quand j’eus dix-sept-dix-huit ans, que j’osais parfois caresser un bel oméga qui provoquait en moi le frisson cosmique. Si la croupe ne se rebellait pas, nous restions, le temps de quelques stations, en communion sidérale, jusqu’à ce que l’un des deux corps s’arrache à l’autre, arrivé à destination. »

    Décidément, il avait plus d’un point commun avec Ramadan.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 21 juin 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Quand Benetton fait sa pelote sur le dos des "migrants"...

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    Nicolas Gauthier

    De tous les bizness, le malheur est finalement le plus rentable. Celui de ces immigrés clandestins, qu’on les appelle « réfugiés » ou « migrants », par exemple. Pour le crime organisé, c’est une aubaine : le trafic d’êtres humains rapporte plus que celui de la drogue et coûte moins cher devant les tribunaux. Pour les ONG, c’est un autre jackpot, avec subventions d’État et flatteuse réputation auprès des médias.

    Mais il y a encore une autre race de vautours qui se mêle désormais au grand bal des hypocrites : les aigrefins de la publicité, ceux de Benetton, comme généralement, et leur grand gourou Oliviero Toscani, plus précisément. Quel génie que cet homme, qui a inventé le lainage antiraciste et humanitaire, le cache-nez subversif. « United Colors of Benetton », pour reprendre le slogan de la maison, mantra servi, resservi jusqu’à la nausée et accommodé à toutes les sauces.

    Ainsi, placardés sur les artères de toutes les capitales du monde libre, le curé roulait naguère une pelle au rabbin, le militant de l’OLP tripotait celui du Likoud, le séropositif étreignait le séro-négatif, la bonne sœur se retrouvait dans les bras de la strip-teaseuse, en une inénarrable partouze de scrofuleux plus ou moins photogéniques. Au siècle dernier, le tout a fait le bonheur des Inconnus, célèbre trio comique.

    On pensait que Luciano Benetton (des tricots du même nom), qu’Oliviero Toscani et autres communicants avaient raccroché les gants, mais non. Comme quoi la connerie, au même titre que le quinoa, conserve aussi. D’où les publicités en question, dans lesquelles sont exhibés des nomades à si faibles revenus qu’ils doivent se contenter de gilets de sauvetage d’un vulgaire sans nom – cet orange flashy ne va avec rien, vous en conviendrez – plutôt que de ces nippes qui, à l’unité, valent autant que ces barcasses dont on voit bien qu’elles ne sont pas destinées aux croisières traditionnellement réservées aux lecteurs du Figaro ou de L’Obs. Tout cela est d’un commun, nous en conviendrons.

    Du coup, posons la question que tout esprit normalement constitué est en droit de se poser : pourquoi les actionnaires de Benetton n’ont-ils pas exilé plus tôt Oliviero Toscani dans les déserts de Libye ? Car pour évoquer la question du seul point de vue boutiquier, ce n’est pas une maille à l’endroit et l’autre à l’envers, mais toutes de traviole. Pour les « humanitaires » de SOS Méditerranée : « La tragédie humaine qui se déroule en Méditerranée ne doit jamais être utilisée à des fins commerciales. » Pour Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur italien : « Tout cela est sordide. »

    Ainsi, il est un fait que les pulls en question connaissent aujourd’hui un indéniable retour en grâce médiatique. Il en est un autre que, du point de vue de l’image publique, les résultats puissent être plus contestables. Un peu comme si d’autres brillants cerveaux de la communication avaient chargé Harvey Weinstein d’enseigner au Couvent des Oiseaux.

    Source Boulevard Voltaire cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • ET PENDANT CE TEMPS, BRUXELLES POURSUIT SES ATTAQUES CONTRE LA POLOGNE…

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    La semaine dernière, on a à nouveau eu droit à un « débat » au Parlement européen sur la démocratie et l’État de droit en Pologne, qui pourtant se portent bien mieux que dans un pays comme la France.

    C’est à croire que l’Union européenne est en manque de problèmes à résoudre. La Pologne avait pourtant adopté un ton plus conciliant avec le changement de Premier ministre en décembre et le remaniement ministériel début janvier, puis avec l’adoption, par son Parlement, en avril, d’amendements aux lois réformant sa Justice. Mais pour Frans Timmermans, le premier vice-président socialiste hollandais de la Commission européenne, comme pour les fédéralistes au Parlement européen, le compte n’y est pas, puisque Varsovie n’a pas encore mis en œuvre toutes les « recommandations » de la Commission européenne.

    Pourtant, en vertu des traités européens, le mode de fonctionnement de l’institution judiciaire des États membres relève des compétences nationales. Seulement la Commission est gardienne des traités, et le traité sur l’Union européenne stipule que les pays de l’Union européenne respectent la démocratie et l’État de droit.

    Par un syllogisme destiné à renforcer les pouvoirs des institutions européennes sans avoir à modifier les traités, la Commission européenne, soutenue par les leaders nationaux qui rêvent d’une Union plus fédérale, voudrait se substituer à la Cour constitutionnelle de certains pays et dicter le contenu de leurs lois dans tous les domaines, y compris ceux qui n’étaient pas prévus dans les traités européens. Bel exemple de respect de l’État de droit, en effet !

    Timmermans était en visite à Varsovie, lundi, mais la Pologne ne semble pas prête à aller plus loin dans ses concessions. Le Premier ministre Morawiecki n’a fait que lui remettre une nouvelle description des principaux points des réformes polonaises, sans doute parce que le Hollandais – qui parle le russe mais pas le polonais – semble ne pas trop les comprendre. De toute façon, la Commission européenne, comme à son habitude (voir les « négociations » sur le Brexit), ne semble pas pouvoir accepter autre chose qu’une reddition complète.

    Jeudi dernier, elle a déjà décidé de demander au Conseil de l’Union européenne d’auditionner la Pologne dans le cadre de la procédure de sanction au titre de l’article 7 du traité sur l’Union européenne, qui prévoit en théorie la possibilité de suspendre un pays dans ses droits d’État membre (mais pas ses obligations). À la prochaine réunion des ministres en charge des Affaires européennes des 28, le 26 juin prochain à Luxembourg, on aura donc droit à une session d’accusations réciproques, alors qu’il y a peu, le Conseil des ministres de l’Intérieur se déchirait déjà sur la question de l’immigration et de la réforme du règlement de Dublin. Pour que la procédure de sanctions soit ensuite poursuivie, il faudra le soutien improbable d’au moins 22 gouvernements contre la Pologne. Si la Commission obtient malgré tout gain de cause, il lui faudra ensuite le soutien, que l’on sait déjà impossible à atteindre, de 27 pays contre la Pologne.

    Pour éviter une défaite de la Commission face à la Pologne devant le Conseil de l’Union européenne, les présidents des groupes centre droit (le PPE, dont font partie les LR français), de gauche et d’extrême gauche au Parlement européen ont eu, le 13 juin dernier, une idée lumineuse. Ils ont demandé à la Commission de saisir la Cour de justice de l’Union européenne sur la question de la réforme de la Cour suprême polonaise, à charge pour les juges de Luxembourg de prendre une décision suspensive de cette réforme. Ce serait un véritable coup d’État judiciaire contre la souveraineté des peuples de l’Union européenne, et le simple fait d’avoir formulé une telle proposition montre un profond irrespect pour la démocratie et l’État de droit de la part de ceux qui prétendent défendre ces deux concepts en Pologne.

    http://www.bvoltaire.fr/pendant-temps-bruxelles-poursuit-attaques-contre-pologne/

  • Jean-Yves Le Gallou : « Les censeurs finissent toujours par perdre la bataille ! »

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    Par Jean-Yves Le Gallou ♦ Au lendemain de la clôture par Youtube de la chaîne de TV Libertés, Jean-Yves Le Gallou a tenu à réaffirmer sa volonté de mettre à bas la censure imposée par la super-classe mondiale aux peuples européens. Une censure inévitable compte tenu de la guerre idéologique menée aux Européens mais qu’il faudra malgré tout combattre par tous les moyens.

    Polémia : La suppression de la chaîne Youtube de TV Libertés est le triste événement du moment, quel est votre regard sur cette actualité ?

    Jean-Yves Le Gallou : TV Libertés a été censurée hier soir. La chaine Youtube a été fermée et toutes les vidéos sont donc supprimées ou interdites d’accès. Avant d’envisager d’éventuelles parades, je crois qu’il faut expliquer dans quelle situation nous nous trouvons.

    Nous avons un pouvoir oligarchique qui est en train de paniquer parce qu’il voit ce qui se passe en Italie, en Allemagne ou encore en Autriche… Un pouvoir oligarchique qui est donc obligé de mettre en place des mécanismes de censure pour se protéger. Pourquoi ?

    Tout simplement parce que la politique de l’oligarchie – qui consiste à livrer une guerre sociale, une guerre ethnique (à travers l’immigration de masse) et une guerre sociétale (attaques contre la famille) aux peuples – se heurte à une hostilité populaire croissante. La seule solution pour faire face à cette contestation, c’est de museler les peuples.

    Lire la suite sur Polemia

  • On met en pognon de dingue dans l'immigration

    6a00d83451619c69e2022ad37ac348200d-250wi.jpgLu dans Minute :

    "Pour le président de la République, « on met un pognon de dingue » dans une politique sociale inefficace. Ce n’est pas faux, tant, comme il le dit en une suite qu’on n’a pas voulu entendre, « les gens pauvres restent pauvres ». Mais le véritable « pognon de dingue », ce n’est pas dans les aides sociales qu’on le déverse : c’est dans l’immigration. [...]

    Le budget 2018 de l’Etat, dans la continuité du budget 2017, et du budget 2016, et du 2015, et du 2014, etc., en est une nouvelle preuve. Allocation pour demandeurs d’asile : c’est 318 millions d’euros ! Subvention annuelle à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) : 70 millions, « en augmentation de 5 M€ par rapport à la loi de finances 2017 (+ 8 %) afin de donner les moyens à l’Ofpra, dans un contexte de hausse prévisionnelle de 10 % de la demande d’asile en 2018 » ! Subvention à l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) : 322 millions d’euros !

    Vous en voulez encore ? En voilà, rien que pour les « migrants » qui arrivent ou sont encore en mer mais ne vont pas manquer de rejoindre clandestinement leur famille déjà aux avant-postes sur le territoire français. Voici par exemple quelque 296 millions pour financer le fonctionnement des bientôt 42 000 places de Cada, les centres d’accueil pour demandeurs d’asile ! Voilà 300 millions pour l’Huda (l’hébergement d’urgence, qui n’est pas la même chose) !

    Voici encore 43 millions d’euros pour l’accompagnement des réfugiés et les centres provisoires d’hébergement des réfugiés, qui constituent encore des structures différentes, ou bien 26 millions pour le fonctionnement des centres de rétention administrative, une somme que l’on dépenserait bien volontiers si les migrants qui y sont retenus étaient « reconduits à la frontière » in fine, alors que seule l’est une infime minorité.

    On continue à éplucher le budget de la France et on tombe encore, ici, sur 14 millions d’euros pour l’accompagnement social et sanitaire de ces mêmes centres, là sur 7 millions pour « les dispositifs de préparation au retour des demandeurs d’asile déboutés » – c’est qu’il faut les « préparer » à ce rapatriement... qui n’a pratiquement jamais lieu. Et puis, en face de 7 millions pour que les hypothétiques retours se fassent dans de bonnes conditions, on trouve un autre chiffre, vingt-sept fois supérieur : 191 millions d’euros... pour l’accueil des « primo-arrivants » !

    Plus 38 millions pour les actions « d’accompagnement des étrangers en situation régulière ». [...] On en oublierait presque, et la cerise, et le gâteau, c’est-à-dire ces 923 millions d’euros – presque un milliard ! – que nous coûte la fameuse aide médicale d’Etat, l’AME [...]".

    Stop ou encore ?

    Michel Janva

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