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anti-national - Page 634

  • Zemmour a raison : il y a bien un mouvement de fond en Europe, ressurgi de l'Histoire, face à l'Islam

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    BILLET - En Allemagne, le torchon brûle entre Angela Merkel et son ministre de l'Intérieur au sujet du sort des migrants. La position de la chancelière parait de plus en plus fragilisée. [RTL 26.06]. Mais cet affrontement dépasse de beaucoup le champ électoral, même si celui-ci agit mécaniquement sur l'évolution politique en cours en Allemagne, Autriche, Tchéquie, Slovaquie, Slovénie, Pologne, Hongrie, Pologne, Italie, etc. Le rapprochement de la Bavière et de l'Autriche a un sens beaucoup plus profond. Face à l'Islam deux Europes s'opposent. Zemmour donne une des clés de cette opposition. Peut-être la principale. L'Histoire, la géographie, les religions sont de retour !  LFAR 

     

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    La question n'est plus de savoir si Angela Merkel va perdre son poste de chancelier, mais quand. Elle a pourtant mis de longs mois à édifier cette coalition qui la soutient comme la corde soutient le pendu. La CSU (les chrétiens démocrates bavarois) veut fermer les frontières et renvoyer tous les migrants qui n'ont pas le droit d'asile.

    Merkel s'oppose à ce sujet à son propre ministre de l'Intérieur, le Bavarois Seehofer. De leur côté, les sociaux-démocrates (la gauche allemande, dans la coalition) tire à boulets rouges sur la CSU, et soutient la chancelière. 

    Cela est plus logique qu'on ne croit. Il y a des années que la chrétienne-démocrate Angela Merkel pratique une politique de gauche. Sa décision de 2015 d'ouvrir les bras à un million de migrants a été la cerise sur le gâteau. Une cerise indigeste pour ses vieux alliés de la droite bavaroise. Cette CSU qui s'est fait laminer aux dernières élections par un parti qui l'a doublé sur sa droite, l'AfD.
     
    On se croirait revenu aux guerres de religion, au XVIIe siècle. Bien sûr, on n'en est pas là. Mais la Bavière et l'Autriche catholiques qui s'allient contre Merkel, la fille de pasteur protestant, cela n'est pas vraiment un hasard.  

    Éric Zemmour

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/07/05/zemmour-a-raison-il-y-a-bien-un-mouvement-de-fond-en-europe-6064145.html

  • Angela Merkel veut refouler des immigrés vers l’Autriche alors qu’il faudrait les renvoyer hors d’Europe

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    Face à la pression de l’aile la plus à droite de sa coalition gouvernementale qui menaçait de claquer la porte, la chancelière allemande Angela Merkel aurait accepté lundi soir de clore définitivement sa politique migratoire généreuse de 2015-2016, lorsque son pays avait accueilli 1,2 million de demandeurs d’asile.

    Le compromis trouvé après des semaines de conflit, menaçant l’avenir politique d’Angela Merkel, ne prévoit pas de remigration vers le pays d’origine mais de renvoyer les demandeurs d’asile déjà enregistrés ailleurs dans l’UE vers le pays d’entrée et à défaut de les refouler vers… l’Autriche voisine, gouvernée par une coalition hostile à l’immigration.

    « A aucun moment nous n’avons été consultés« , s’est agacée au Luxembourg la chef de la diplomatie autrichienne, Karin Kneissl, selon des propos rapportés par la presse autrichienne.

    Par communiqué, le gouvernement autrichien s’est dit « prêt à prendre des mesures pour protéger » ses « frontières sud en particulier« , avec l’Italie et la Slovénie, pour faire la même chose que l’Allemagne.

    Les concessions octroyées par Angela Merkel sous la pression de sa droite dure pourraient bien remettre en cause les grands principes du tout récent sommet de l’UE sur les migrants: promesse de privilégier des solutions européennes face aux tentations nationales et aide à l’Italie..

    http://www.medias-presse.info/angela-merkel-veut-refouler-des-immigres-vers-lautriche-alors-quil-faudrait-les-renvoyer-hors-deurope/94157/

  • Guérilla urbaine à Nantes

    6a00d83451619c69e2022ad37e69a9200d-250wi.jpgAprès la mort d’un délinquant lors d’une interpellation, la ville de Nantes a connu de violentes échauffourées. Une guérilla urbaine qui rappelle les émeutes de Villiers-le-Bel et qui pourrait bien contaminer toutes les banlieues françaises qui n’attendent qu’une étincelle pour mettre le feu.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Merkel affaiblie après l’accord européen sur l’immigration, par Olivier Bault

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    9146-20180705.jpgLe président français Emmanuel Macron s’est sans doute félicité un peu vite de l’accord obtenu à l’arrachée à l’aube vendredi matin au Conseil européen de Bruxelles. Dès le week-end, l’on s’est aperçu que chacun interprétait différemment les termes (vagues) de l’accord. Ainsi, pour les centres contrôlés – nouveau nom donné aux centres de tri, ou hotspots –, qui pourront être ouverts dans différents pays sur la base du volontariat, les Italiens ont eu la mauvaise surprise d’entendre très vite le président français leur expliquer que, la France n’étant pas un pays de première arrivée, il n’y a pas de raison d’ouvrir de tels centres sur son territoire. Autrement dit, tout reste comme avant, et c’est pourquoi les Italiens n’ont pas l’intention de rouvrir leurs ports désormais interdits aux navires des ONG, et c’est tant mieux !

    De la même manière, Angela Merkel avait, semble-t-il, cru comprendre au cours du sommet – peut-être était-ce la fatigue – que quatorze pays européens, dont les quatre de Visegrád, lui avaient promis qu’ils négocieraient avec elle des accords bilatéraux pour reprendre à l’Allemagne les « migrants » passés par leur territoire. C’est en tout cas ce qu’elle a annoncé dans une lettre expliquant les conclusions du dernier Conseil européen aux partenaires de sa coalition : la CSU, parti frère bavarois de son propre parti CDU, et le SPD social-démocrate. Mais dès que l’information a été reprise dans les médias allemands dimanche, les pays « de l’Est » concernés ont apporté un démenti cinglant à la chancelière.

    Le ministre de l’Intérieur allemand Horst Seehofer, chef de la CSU, avait prévenu Mme Merkel il y a deux semaines, lorsque celle-ci s’était opposée à son plan de refoulement systématique aux frontières de l’Allemagne des immigrants déjà enregistrés dans un autre pays de l’UE : si elle ne revenait pas du Conseil européen avec un accord correct, permettant de lutter efficacement contre l’immigration clandestine à l’intérieur de l’UE, il démissionnerait. Après s’être réuni avec son parti dimanche, le ministre a donc annoncé son intention de démissionner, estimant que l’accord vanté par Macron serait « inefficace ».

    Seehofer n’a toutefois pas été suivi par son parti et ce n’est pas non plus la première fois depuis 2015 qu’il menace la CDU de rupture. Lors d’une réunion entre eux lundi, les leaders de la CDU et de la CSU ont réaffirmé leur volonté de gouverner ensemble. S’en est suivie une réunion « de la dernière chance » entre Seehofer et Merkel lundi soir, à l’issue de laquelle un compromis a été annoncé. Les contrôles à la frontière avec l’Autriche seront renforcés, et les immigrants y seront orientés vers des centres fermés en attendant de vérifier leur statut. Ceux qui auront déjà été enregistrés dans un autre pays de l’UE ou déjà déboutés du droit d’asile seront alors renvoyés en Autriche.

    Les politiques européennes ayant échoué, notamment en raison du refus de Berlin et Paris – malgré les appels en ce sens des ex-pays de l’Est et de l’Autriche – de mettre en place de vraies politiques de lutte contre l’immigration illégale comme l’a fait l’Australie depuis 2013, on s’oriente vers des politiques nationales avec des coopérations intergouvernementales dans le style de celles qui ont conduit à la fermeture de la route des Balkans début 2016. Même Mütti Merkel s’y met, pour conserver son poste…

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 3 juillet 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Une année de règne macronien : Stop ou encore ! ? !

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    Bernard Plouvier

    Élu par une (forte) minorité d’électeurs français, Macron a très vite imposé son style : lui et sa ravissante épouse occupent le devant de la scène médiatique. Tels des stars du show-business ou de la jet-set, ils voyagent beaucoup et causent davantage encore devant une nuée de journalistes, jouant les paparazzi. 

    Au bout de treize mois de règne, on sait que Grand Président Macron aime énormément les immigrés (même les si utiles baladins homosexuels), qu’il hait les populistes (porteurs de germes infectieux, croit-il savoir) et qu’il n’aime pas les Bretons (rien que des mafiosi… d’un autre côté, si le distingué Président ne fréquente que des élus socialistes, on peut comprendre sa nausée).

    On sait aussi qu’il réduit très courageusement les dépenses de l’État, même s’il a besoin d’une piscine privée – ce qui a forcément un coût, même dans un Fort situé à deux pas de la Méditerranée. Assurément, l’on comprend bien que s’il se baignait dans cette Mer, il risquerait de côtoyer des réfugiés immigrés, moins « propres sur eux » que ceux reçus en grande pompe à l’Élysée. Il faut tout faire pour éviter à Génial Président les contacts avec la réalité & la plèbe, contacts qui ne peuvent être que déplaisants, voire gênants pour son (très discret) égo.

    Au moins, notre vedette – grande donneuse de leçons à l’étranger - a-t-elle relancé l’économie : la croissance fait des bonds de cabri, le chômage baisse à vitesse Grand V, la Dette se réduit, l’immigration légale est contenue et l’illégale annulée, nos universités sont redevenues des centres de formation de très haut niveau, où l’on forme la jeunesse plutôt que de la politiser, quand aux transports en commun du secteur public, ils atteignent un degré de performance et de régularité inconnus jusqu’alors.

    Évidemment, avec un tel bilan, Grand Président peut se permettre de menus écarts de langage. Seul un pygmée cérébral, seul un infâme populiste pourraient contester Génial Président, phare de l’économie politique, l’homme aux succès prodigieux et aux panthéonisations glorieuses.

    En revanche, si l’incontinence verbale n’était pas corrélée à une efficacité toute particulière, elle serait pure jactance, soit une manifestation puérile intolérable de la part d’un chef d’État. Après-tout un gamin grossier aux résultats minables mérite une bonne fessée… en version « démocratique » : une déculottée électorale.    

  • A Mayotte, c’est un « Aquarius » qui arrive par semaine

    6a00d83451619c69e2022ad3587cb1200c-800wi.jpgMansour Kamardine, député de Mayotte, dénonce la faiblesse et la pusillanimité du gouvernement face à l’immigration clandestine :

    "A Mayotte, c’est un « Aquarius » qui arrive par semaine. En 4 mois et en toute impunité, 12 000 clandestins sont arrivés sur l’île, ce qui représente une croissance démographique record de +4.7%. Rapporté à la population, c’est comme si la métropole avait accueilli plus de 3 millions de clandestins en 4 mois ! Loin des déclarations médiatiques vantant son action, le gouvernement est, à la froide lumière des faits, un gouvernement faible et pusillanime face à l’immigration illégale, surtout lorsqu’elle touche les plus faibles des français, impacte leur sérénité, leur accès aux soins et la qualité de l’éducation de leurs enfants.

    Depuis près de 4 mois (11 mars), les autorités comoriennes empêchent la réadmission sur leur territoire de leurs ressortissants arrêtés en situation irrégulière à Mayotte. Depuis près de 4 mois, une centaine de clandestins arrivent quotidiennement, de l’aveu même de la ministre des Outre-mer, et en toute impunité dans le 101ème département français. En 4 mois, 12 000 nouvelles personnes en infraction au regard du droit de séjour en France sont venues gonfler la masse des clandestins qui submerge Mayotte et ses 374 km². En 4 mois la population du département, déjà composée d’une majorité d’étrangers, a progressé de 4,7%! C’est l’équivalent d’un navire comme l’Aquarius qui déverse la misère toutes les semaines sur le territoire le plus pauvre de France. C’est comme si la métropole avait accueilli plus de 3 millions de clandestins en 4 mois. Voilà ce que nous vivons à Mayotte ! Quel territoire de la République supporterait une telle pression migratoire ?

    En réponse à l’inadmissible instrumentalisation de Mayotte par le gouvernement comorien, le gouvernement français a réagi mollement avant de suspendre tardivement, le 4 mai, la délivrance des visas d’accès à l’espace Schengen pour les ressortissants comoriens. Cette mesure de rétorsion n’a malheureusement pas été accompagnée des autres mesures qui auraient pu être prise pour faire revenir les autorités comoriennes à la raison et au respect du droit international (suspension de nos appuis politiques et financiers, dénonciation internationale des dérives dictatoriales du régime en place à Moroni).

    Car le Gouvernement français est faible. Pire il est pusillanime. En effet, nous venons d’apprendre que la suspension de la délivrance des visas est partiellement levée, rendant caduc toute pression auprès des fauteurs de trouble basés Moroni.Finalement, le gouvernement français a fait le choix de « donner un coup de main » aux tentatives de tripatouillage constitutionnel des autorités comoriennes dans le but de favoriser leur maintien au pouvoir, et cela au détriment des français du 101ème département.

    Dans les faits, derrière une façade de fermeté et de détermination, se cache la mollesse, la faiblesse, la lâcheté et l’impuissance de nos dirigeants actuels à protéger le territoire national, à garantir le contrôle des frontières et à protéger nos compatriotes, en particulier les plus pauvres d’entre eux. Les Français de Mayotte demandent que leurs enfants aient accès à une école de qualité, que l’accès aux soins soit assurer, que la sécurité soit garantie ; en réponse le pouvoir exécutif nous impose de partager notre misère avec celle d’un pays voisin. 

    L’action publique, pour retrouver de l’efficacité, n’a pas besoin d’une réforme constitutionnelle pompeusement intitulée « pour une démocratie plus représentative, responsable et efficace » mais d’hommes d’Etat, qui décident, définissent une stratégie et la mette en œuvre avec détermination au service de l’intérêt général.

    En matière de maîtrise de l’immigration clandestine, force est de constater que derrière les postures se cachent des impostures.

    J’en appelle au sursaut de conscience du Gouvernement, avant qu’il ne soit trop tard, avant que les citoyens ne décident d’assurer leur sécurité par eux même à la frontière du territoire."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • À TOULOUSE, L’IMAM PRÔNE L’ÉRADICATION DES JUIFS ET LA RESTAURATION DU CALIFAT

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    C’est en grandes pompes républicaines et l’allahïcité chevillée au corps que le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc (LR) et la présidente de la région Occitanie Carole Delga (PS) inaugurèrent, le 23 juin dernier, la Grande Mosquée de Toulouse, édifice de 2.000 m² disposé à accueillir la communauté mahométane de la Ville rose, forte de ses 40.000 pratiquants.

    À cette occasion, soutenu par la Grande Mosquée de Paris et le Conseil français du culte musulman (CFCM), Mohamed Tatai, l’imam de cette imposante mosquée-cathédrale avec dôme et minaret, financée par l’Algérie et le Koweït, avait même déclaré que cette dernière « se [voulait] un rempart contre l’extrémisme ».

    Patatras, moins d’une semaine après ce raout inaugural avec babouche et cornes de gazelle, le piteux édile n’eut d’autre choix que de faire un signalement au procureur de la République, au titre de l’article 40 du Code de procédure pénale, motif pris de ce que l’imam aurait proféré des propos à haute teneur antijuive lors d’un prêche diffusé sur la chaîne YouTube de la Grande Mosquée, en décembre 2017.

    Parmi les propos tenus par l’imprécateur, l’on trouve cette poétique exhortation : « [Le Prophète Muhammad] nous a parlé de la bataille finale et décisive : le Jour du Jugement ne viendra pas jusqu’à ce que les Musulmans combattent les Juifs, les Juifs se cacheront derrière les pierres et les arbres, et les pierres et les arbres diront : Oh musulman, oh serviteur d’Allah, il y a un Juif qui se cache derrière moi, viens le tuer. »

    Selon le journaliste Mohamed Sifaoui, qui a traduit la vidéo incriminée, « c’est un prêche antisémite de bout en bout, à vocation génocidaire ». C’est très grave, car il ne s’agit pas d’un dérapage. […] Il arme idéologiquement les futurs Merah qui vont viser la communauté juive » (en référence à Mohammed Merah qui, en 2012, s’en était pris à une école juive, faisant pas moins de sept victimes, dont trois enfants), allant même jusqu’à prophétiser la disparition d’Israël « de la surface de la Terre, soixante-seize ans après sa création », soit en 2022.

    Du temps où il n’était encore qu’adjoint au maire chargé de l’urbanisme, Moudenc, politicard invertébré prêt à toutes les compromissions communautaristes et sociétales, qui est à la cité occitane ce qu’Anne Hidalgo est à la capitale, n’a pas hésité à user de ses fonctions pour, d’une part, permettre à son protégé d’alors de réaliser une très juteuse opération immobilière en revendant un terrain dont le taux de constructibilité avait été opportunément augmenté, d’autre part en lui dégotant un terrain au cœur de Toulouse « pour la somme symbolique de 20.000 euros » (Infos Toulouse, 28 juin).

    Attitude limite, tant sur le plan du droit que sur celui de l’éthique, qui pousse tant d’élus sans scrupules, prêts à se damner pour être réélus. Si nombre de villes et de banlieues sont à la fois ethniquement explosives et gangrenées par un islamisme ayant souvent maille à partir avec une narco-criminalité endémique, c’est, certes, sans nul doute à nos élites dirigeantes qu’on le doit, mais aussi à ces féodaux parasites oscillant entre lâche démagogie et clientélisme électoral.

    Mohamed Tatai, passé maître dans l’art de la « taqîya » (dissimulation, en islam), prêchant en arabe, n’a jamais caché son vœu de voir rétablir le califat. On comprend mieux pourquoi Toulouse, comme Lyon, Marseille, Lunel ou Molenbeek-Saint Jean en Belgique sont connus pour être des fiefs djihadistes…

    http://www.bvoltaire.fr/a-toulouse-limam-prone-leradication-des-juifs-et-la-restauration-du-califat/

  • Sans surprise : la racaille (Aboubakar F.) tuée à Nantes « était un délinquant recherché, il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt »

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    Le jeune homme de 22 ans mort mardi 3 juillet soir à Nantes (Loire-Atlantique), après avoir été touché par balle par un policier lors d'un contrôle routier"était un délinquant recherché par la police et la justice française. Il faisait l'objet d'un mandat d'arrêt", a déclaré mercredi sur franceinfo Daniel Chomette, secrétaire général du syndicat Unité-SGP Police FO. Ce mandat d'arrêt a été émis à Créteil (Val-de-Marne) pour vol en bande organisée, a par ailleurs appris franceinfo de source policière. Le jeune homme était également connu de la police pour d'autres faits. Il était originaire de Garges-lès-Gonesse (Val d'Oise). 

    Lors du contrôle routier, les CRS ont constaté "un comportement bizarre de l'automobiliste qui n'avait pas ses papiers sur lui." Selon Daniel Chomette, les forces de l'ordre sur place "ont décidé de le conduire à l'hôtel de police le plus proche, pour effectuer des vérifications, c'est une démarche tout à fait normale."

    Le jeune homme a refusé de "suivre" les policiers, "il a enclenché la marche arrière, a percuté l'un des fonctionnaires sur place. Dans le cadre de ce qu'il a estimé être de la légitime défense, un autre policier a fait usage de son arme", explique Daniel Chomette. Le jeune homme n'était pas armé, mais "la légitime défense ne s'opère pas que sur le port d'arme".

    La voiture du jeune homme était surveillée, en raison de soupçons de trafic de stupéfiants, a précisé une autre source policière à franceinfo. 

    Lors des émeutes qui ont suivi, dans le quartier du Breil, où se sont déroulés les faits, les forces de l'ordre ont utilisé 25 grenades et tiré cinq fois à l'aide d'un flashball. Le calme est revenu vers 3 heures du matin.

    Source : France Info

  • Lavrov : les activités de l’OTAN en Libye sont responsables de la crise des migrants

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    Moscou: On pourrait dire que c’est de l’humour noir emballé en une langage diplomatique: le ministre russe des affaires étrangères Lavrov a commenté les résultats du dernier sommet européen sur les migrations. Il en a profité pour souligner la responsabilité de l’OTAN pour l’interminable crise des migrants. L’Union Européenne doit désormais subir les conséquences des anciennes activités de l’OTAN en Libye car telle est bien l’origine de la crise des migrants. L’Alliance atlantique est responsable du désastre car la Libye est devenue « en pratique, le principal pays de transit des immigrants illégaux ».

    Voici, littéralement, ce que Lavrov a dit lors d’un entretien accordé à la chaîne britannique Channel 4 : « Ce que j’ai constaté en analysant les dernières délibérations de l’UE sur les migrations m’a amené à réfléchir sur le rôle de l’UE et de l’OTAN. L’OTAN a bombardé la Libye et a transformé ce pays en un trou noir par lequel des flots d’immigrants illégaux pénètrent en Europe. L’UE essaie maintenant de limiter les dégâts que l’Alliance atlantique a commis ».

    Les forces de sécurité russes, elles, agissent en Syrie à l’invitation du gouvernement légitime, reconnu par la communauté internationale, a rappelé Lavrov.

    http://www.zuerst.de

  • L'immigration, l'émotionnel et l'Europe

    6a00d8341c715453ef022ad3582252200c-320wi.jpgLa quasi-crise gouvernementale allemande semble donc avoir été surmontée. Madame Merkel paraît s'être pliée aux conditions des partisans d'une politique plus restrictive de l'immigration et de l'asile. Voilà qui pourrait bien annoncer la confirmation d'une poussée continentale qu'il est de bon ton de qualifier de populiste, sans doute parce qu'elle répond au sentiment et à l'opinion des peuples.

    Dans sa chronique politique, en date du 26 juin[1], Guillaume de Thieulloy dénonçait en effet la dictature de l'émotion dans le traitement de l'immigration. Cette critique, certes justifiée dans la plupart des circonstances, n'empêche pas la possibilité d'un retournement des forces émotionnelles.

    Ainsi, trois jours plus tard, dans la nuit du 28 au 29 juin, un accord européen de type chèvre chou était intervenu, largement inattendu et curieusement commenté.

    Certains bons esprits s'étaient préoccupés, en effet, depuis l'élection législative italienne du 4 mars de savoir si l'Italie pouvait sortir de l'Europe. La formation, le 1er juin, du gouvernement de Giuseppe Conte a porté cette hypothèse à un haut degré de scandale et de sottise, pour ne pas parler de ridicule.

    La première question aurait dû consister plutôt à se demander d'abord si l'on peut concevoir une Europe sans l'Italie, sans Rome, sans Florence, sans Venise, etc. L'absurde mène à l'invraisemblable.

    Le questionnement même repose sur le maintien d'une confusion. Depuis la nuit des temps, l'Europe, continent dont les frontières extérieures se situent principalement à l'est, est habitée d'une famille de nations et de peuples apparentés. Elle ne s'est jamais réduite aux fragiles institutions d'un ensemble qui s'appelle, depuis 1993 c'est-à-dire depuis 25 ans, l'Union européenne.

    La chose étant impossible, y compris dans le cadre des institutions actuelles, il a bien fallu tenir compte d'une "autre" émotion, différente de celle des groupuscules subventionnaires que l'on appelle, en langue bois médiatique "les associations".

    Celle du peuple italien paraît sans doute au moins aussi partagée majoritairement par les peuples autrichien, hongrois, polonais, danois, tchèque, slovaque, bulgare, néerlandais et clairement aussi par les Bavarois. J'ai cru comprendre que l'une des causes fondamentales de la victoire du Brexit en Angleterre en 2016 tenait à une émotion du même type. D'importantes minorités la partagent y compris dans les pays bien pensants et bien pourvus.

    On aurait pu se souvenir de l'époque où Chirac et son Premier ministre Jospin en France en communion avec le gouvernement belge avaient envisagé de sanctionner l'Autriche pour avoir mal voté et laissé accéder au pouvoir, en février 2000, après 30 ans de règne social-démocrate, une coalition conservatrice dirigée par Wolfgang Schüssel démocrate-chrétien allié aux libéraux-autrichiens du FPÖ.

    Le professeur moraliste Marc Uyttendaele, s'exprimant dans l'excellent quotidien bruxellois Le Soir rappelait déjà en décembre 2017 "qu’il s’était agi de stigmatiser le réveil de la peste brune en Europe. Louis Michel avait conseillé aux Belges de ne plus aller skier en Autriche. Hervé Hasquin avait suspendu les classes de neige dans ce pays. André Flahaut avait interdit aux militaires de participer à un championnat de ski. Martine Aubry et Laurette Onkelinx avaient refusé de participer aux débats d’un sommet européen quand un ministre autrichien s’exprimait."[2]

    On ne peut s'empêcher de sourire à l'évocation de ces terribles sanctions franco-belges contre la politique de Vienne. Elles demeurèrent minoritaires au sein de l'Union européenne et se traduisirent par un gros plouf. Et, imperturbable, l'auteur de l'article de conclure tristement : "Bien sûr, la réal politique avait fini par prendre le dessus."

    Sauf erreur l'émotion, dont on prétendait et dont on prétend encore se prévaloir à Paris, n'avait guère franchi alors les limites du boulevard périphérique.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    [1] cf. Les 4 Vérités Hebdo édition papier n°1150 daté du 29 juin 2018, éditorial daté du 26.

    [2] cf. Le Soir le 22 décembre 2017

    http://www.insolent.fr/