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anti-national - Page 637

  • Comment les « Grooming Gangs » humilient le Royaume-Uni – Anthony Grange (Les Identitaires)

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    Pour quiconque sait ce qu’il s’y est passé, le nom de Telford, au Royaume-Uni, apparaît comme synonyme d’horreur. De Telford, mais aussi de Rotherham, de Rochdale, de Derby, d’Oxford, de Banbury, de Bristol, d’Aylesbury, d’Halifax, de Newcastle ou Peterborough.

    Ces villes anglaises ont connu, pendant des dizaines d’années, des viols de masses sur des adolescentes. On parle d’un total de 4 000 victimes sur toute l’Angleterre.

    Vous n’en avez pas, ou peu, entendu parler ? Ce n’est guère surprenant. Car les médias français se sont montrés d’une prudence de Sioux sur ces affaires. Eux, si prompts à dénoncer la moindre blague sexiste, évitent à tout prix d’aborder le cas de ces milliers d’adolescentes violées.

    La raison de cette prudence est simple : c’est parce que ces viols ne cadrent pas avec la grille de lecture des féministes progressistes. Car dans ces viols collectifs, les agresseurs sont des hommes issus de l’immigration (notamment pakistanaise), et leurs victimes des jeunes filles de la classe ouvrière blanche.

    Les actes commis à Telford, Rotherham ou Rochdale correspondent à ce que les Anglais appellent des « Grooming Gangs ». En français, cela correspond à des viols collectifs, ou à des tournantes, mais avec une dimension supplémentaire.

    Comment se passent un grooming ? Prenez une jeune fille de onze ou douze ans. Elle est blanche, issue d’une famille ouvrière prolétarisée par la crise des années 1980. Elle évolue dans un environnement où le chômage, l’alcoolisme, la toxicomanie se développe.

    Cette jeune fille va traîner dans la rue. S’initier à la cigarette, peut-être même frayer avec la délinquance juvénile. Et elle va entrer en contact avec un jeune homme, majeur, d’origine pakistanaise. Il va la traiter comme une grande. Lui donner des cigarettes, la faire sortir tard le soir. Lui payer un repas à McDo, lui offrir des petits cadeaux. Lui faire boire de l’alcool. La présenter à ses amis, du même âge.

    Et il va la violer.

    Et ses amis vont la violer.

    La jeune fille va rentrer chez elle, mais le lendemain, elle croisera à nouveau son violeur. Qui l’emmènera encore pour la violer. Il va la battre, pendant des heures. Lui donner de la drogue et la rendre accro au crack. La prostituer.

    Elle connaîtra les coups, l’humiliation. Elle n’est qu’une blanche, une salope, une Anglaise. Une « white cunt ». Elle mérite ce qui lui arrive, à cause de son comportement, de la façon dont elle s’habille, de sa couleur de peau.

    Elle n’est pas musulmane, elle n’est pas digne de considération. Elle n’est que de la viande. Parfois, on récite des versets du Coran en la violant.

    On la menace. « Si tu parles, je violerai ta mère devant toi. » On la force à ramener ses amies, ses sœurs, qui entreront dans le même engrenage infernal.

    Les viols se font par plusieurs hommes en même temps, pendant des heures. Les victimes subissent morsures, brûlures, étranglements. On leur urine dessus. Elles sont torturées à coups de couteau, de hachoir, de batte de base-ball, de marteaux.

     

    Une victime a eu les fesses marquées des initiales de son bourreau. Une autre a eu la langue clouée à une table.

    Une victime a été poignardée quarante fois et son cadavre jeté dans un canal. Une autre brûlée vive dans sa maison avec sa sœur et sa mère.

    Comment des faits aussi horribles ont-ils pu se produire pendant des dizaines d’années et dans tant de villes différentes sans que les autorités britanniques réagissent ? Cela paraît sidérant… et pourtant c’est arrivé. Pour deux raisons.

    Déjà, les victimes. Issues de la classe ouvrière, elles sont ignorées, méprisées par les pouvoirs publics. Elles sont perçues comme des citoyennes de seconde classe. Elles ne sont défendues ni par les élites anglaises, ni par une quelconque organisation communautaire, ni par les associations antiracistes.

    Personne ne s’occupe d’elles.

    Et puis il y a les bourreaux. Dans leur immense majorité, ils sont issus de l’immigration. Ils sont membres d’une communauté solide, soudée, qui a ses entrées au conseil municipal et au commissariat.

    S’en prendre à cette communauté, c’est être raciste.

    Entre risquer de ruiner sa carrière pour aider leurs victimes et ne rien faire, le choix a été vite fait.

    La police n’a rien fait. Des policiers qui sont tombés sur une gamine de douze ans ivre au milieu d’adultes pakistanais ont poursuivis la fille pour ivresse publique sans même relever les identités des hommes. Des adultes pris en flagrant délit de relation sexuelle avec des mineurs, qui avaient des photos d’autres actes sexuels avec d’autres mineurs sur eux, ont été relâchés. Des policiers qui ont voulu enquêter en ont été dissuadés par leur hiérarchie. Une policière qui a relevé l’origine ethnique des agresseurs a été contrainte de suivre un cours de sensibilisation antiraciste.

    Les professeurs n’ont rien fait. Leurs élèves vivaient l’enfer, et ils sont restés les bras croisés.

    Les services sociaux et de santé n’ont rien fait. Des filles allaient chercher une pilule du lendemain plusieurs fois par mois, avortaient à répétition, présentaient des traces de torture et de viols, et ils n’ont rien fait.

    Les municipalités n’ont rien fait. Certaines ont même délibérément entravé les enquêtes.

    Ils avaient peur de paraître raciste. Ils avaient peur de nuire au vivre-ensemble. Ils avaient peur de créer des tensions communautaires.

    Ils avaient peur pour leur carrière, pour le qu’en dira-t-on.

    Les viols collectifs de Telford, Rotherham, Rochdale, et de toutes ces autres villes, ont été permis par la lâcheté des institutions qui ne voulaient pas être accusées de racisme.

    Et ils ont été permis par la haine. La haine contre les Anglais, la haine contre les Européens, la haine contre les Blancs. La haine de ces populations venues d’ailleurs qui se comportent en conquérants.

    La haine qui harcèle, qui agresse, qui tabasse, qui viole, qui tue.

    La haine de la racaille, la haine des islamistes, la haine des violeurs.

    Cette même haine, que l’on retrouve partout en Europe.

    Nous avons récemment appris qu’aux Pays-Bas, 1 400 adolescentes néerlandaises étaient, tous les ans, victimes de proxénètes immigrés.

    Et en France ?

    Anthony Grange

    Texte repris du site de : Les Identitaires

    https://fr.novopress.info/211250/comment-les-grooming-gangs-humilient-le-royaume-uni-anthony-grange-les-identitaires/#more-211250

  • Nous n’avons aucun devoir envers les « réfugiés » : s’ils veulent une vie meilleure, qu’ils la construisent chez eux

    Chronique de Paysan Savoyard

    (n°201 – juin 2018)

    L’épisode de l’Aquarius offre au Système mondialiste et immigrationniste l’occasion de se livrer à une vaste opération de propagande, au service de laquelle il fait donner tous ses relais : belles âmes des associations caritatives, religieux, avocats, éditorialistes, universitaires, experts, philosophes, juristes, tous plaident pour que l’Europe reste ouverte aux migrants. Il va de soi que cette propagande est entièrement bâtie sur le mensonge et la manipulation.

    • « Les Européens ont manqué de solidarité à l’égard de l’Italie »

    Selon le Système, les Européens ont ces dernières années manqué de solidarité à l’égard de l’Italie et la Grèce, les laissant seules assumer la charge de tous les réfugiés débarquant sur leurs côtes : il est donc impératif d’organiser enfin une répartition de ces réfugiés entre les différents pays européens afin que chacun puisse prendre sa part de la charge.

    Cette propagande est doublement mensongère. Il est faux, premièrement, de prétendre que l’Italie et la Grèce aient dû prendre à leur charge la totalité du flux des réfugiés : une bonne part des immigrés débarqués dans ces deux pays ont en effet passé ensuite les frontières clandestinement et se sont installés ailleurs en Europe, en particulier en France.

    Surtout, le raisonnement fondé sur la « solidarité » et « l’obligation de se répartir la charge »  vise à faire croire que les Européens ont collectivement le devoir d’accueillir les immigrés : or ce devoir n’existe que dans l’imaginaire des immigrationnistes. Nous n’avons en réalité aucun devoir d’accueillir des migrants, quels que soient l’étiquette dont on les affuble ou le statut « bidon » qu’on leur attribue (migrants, réfugié, demandeur d’asile, exilé…). Les seuls envers qui les autorités des pays européens ont des devoirs sont les populations européennes : elles ont le devoir de les protéger et de faire cesser l’invasion en cours. Et elles font l’inverse…

    • « La solution ne peut être qu’européenne »

    Le Système affirme qu’il n’y a pas de solution nationale à la crise migratoire : la politique en ce domaine ne peut être qu’européenne. Cet élément de propagande est à la fois immigrationniste et européiste : il s’agit de renforcer l’idée selon laquelle il ne peut y avoir de salut en dehors de l’UE.

    Il s’agit là encore d’un mensonge. Si la solution consiste à fermer les frontières nationales afin de faire cesser l’immigration clandestine, ainsi que le souhaite la majorité de l’opinion publique dans tous les pays européens, la chose est tout à fait à la portée de chacun des Etats membres : la décision du gouvernement italien vient de le montrer. Si les ordres adéquats lui sont donnés, la marine italienne pourra être utilisée désormais, non pour aller chercher les immigrés en mer comme cela a été le cas ces dernières années, mais au contraire pour les empêcher d’approcher les côtes du pays.

    • « Nous devons sauver des personnes en danger »

    Selon le Système, nous devons tout faire pour sauver des personnes fragiles ou en danger, enfants, femmes enceintes, malades, tous menacés de noyade.

    Là encore le discours du Système est malhonnête. Les personnes qui entreprennent d’émigrer et d’embarquer sur des bateaux surchargés se mettent en danger de façon volontaire : ces immigrés et leurs passeurs cherchent à faire pression sur les Européens, en jouant sur les « valeurs » que ceux-ci croient devoir s’imposer.

    Les Européens doivent refuser ce chantage. S’ils cessent de recueillir les bateaux qui se présentent à leurs côtes, les immigrés cesseront d’embarquer. Au contraire, en secourant les « réfugiés », les dirigeants européens créent un appel d’air et incitent un flot sans cesse renouvelé de nouveaux migrants à tenter leur chance : ces dirigeants européens sont dès lors les premiers responsables des noyades qui se produisent en Méditerranée.

    • « Nous avons le devoir d’accueillir ces personnes qui sont des réfugiés »

    Selon le Système, conformément à leurs lois et à leurs valeurs les Européens ont le devoir d’accueillir les réfugiés, tels que ceux qui traversent la Méditerranée. De façon plus générale, ils ont le devoir d’organiser l’accueil des demandeurs d’asile, qui fuient la guerre ou les persécutions.

    Cette composante de la propagande du Système est là encore particulièrement contestable. D’abord parce que la plupart de ceux qui traversent la Méditerranée n’entrent pas en Europe pour fuir la guerre : ce sont des migrants, qui viennent profiter de la prospérité des pays européens.

    Il est de fait cependant que de nombreux pays, en particulier en Afrique et en Orient, sont en guerre avec leurs voisins ou confrontés à des violences internes, d’origine raciale, ethnique ou religieuse. Pour s’en tenir à l’Afrique, les pays actuellement en guerre sont nombreux : Libye, Soudan, Ethiopie, Somalie, Congo, Centre-Afrique, Cameroun. Il en est de même de toute la zone sahélienne, Algérie, Mauritanie, Mali, Niger, Tchad, confrontée au terrorisme islamiste. Devons-nous nous disposer à accueillir tous les ressortissants de ces différents pays en tension ou en guerre qui souhaitent venir en Europe, ainsi que l’affirme la classe dirigeante ? La réponse raisonnable est évidemment non, et la majorité des Européens de souche partagent ce point de vue 

    • « Les Européens doivent trouver une solution à cette crise migratoire »

    Selon les porte-paroles du Système, l’Europe fait face à une « crise migratoire » et doit trouver des « solutions » pour la régler. Mensonge là encore.

    Qu’est-ce en effet qu’une crise ? Une crise a un caractère ponctuel : elle peut comme telle être dépassée et réglée grâce à la mise en oeuvre de mesures idoines. Une crise a un caractère fortuit et indésirable : sa survenance n’ayant pu être évitée, il reste à s’efforcer de la surmonter.

    Or l’arrivée massive des immigrés en Europe n’a rien d’une crise ponctuelle : elle a commencé il y a maintenant cinquante ans et a pris désormais une dimension invasive. De même l’immigration massive n’a rien de fortuit : elle a été voulue, encouragée et organisée par le Système. Nulle crise donc, mais un processus, l’invasion migratoire de l’Europe, déclenché délibérément par les classes dirigeantes européennes.

    • « Les Européens doivent respecter les règles internationales de droit, conformément à leurs valeurs »

    Pour fonder sa politique, le Système multiplie les références au « droit » : droit d’asile, déclaration universelle des droits de l’homme, convention de Genève, droit international maritime… Il s’agit de convaincre les opinions publiques européens qu’il n’y a pas d’autre choix que de respecter ces différents principes et règles.

    Or il n’en est rien. Ces règles, premièrement, ne découlent pas de principes sacrés déterminés universellement et de toute éternité : elles ont été fixées, par les seuls occidentaux, en fonction de certaines valeurs et de certains objectifs. Ces valeurs et ces objectifs ne lient que ceux qui les partagent.

    Ces règles de droit, d’autre part, n’ont rien d’intangible : elles ont donné lieu à des traités et accords internationaux, dont les pays signataires peuvent librement décider de sortir.

    Il faut relever en outre que le Système viole ou travestit lui-même les règles dont il se prévaut. C’est ainsi que, depuis plus de dix ans, le droit d’asile a été détourné de son objet : ce ne sont plus des personnes menacées qui présentent une demande d’asile mais des migrants économiques par centaines de milliers. Par exemple encore, dans le cas de l’Aquarius, les propagandistes du Système ont dénoncé le non respect par l’Italie du droit international maritime, qui impose de sauver un navire en détresse : or le droit en question n’impose nullement de sauver des gens qui se mettent eux-mêmes en danger dans le but de faire pression et de créer un fait accompli. 

    • « La France a refusé d’accueillir une partie des réfugiés débarqués ces dernières années en Italie et en Grèce »

    Le Système profite de l’affaire de l’Aquarius pour souligner que la France a jusqu’ici refusé d’accueillir les réfugiés débarqués ces dernières années sur les côtes méditerranéennes de l’Europe. Il veut conduire ainsi l’opinion à accepter l’accueil en France d’une partie des réfugiés de l’Aquarius.

    Il s’agit là, une fois encore, d’un mensonge grossier : non seulement la France n’a jamais fermé la porte aux migrants, mais le nombre des arrivées sur le territoire n’a jamais été aussi élevé. Le nombre des installations légales d’immigrés non européens a atteint en 2017 le record de 267.000. Toutes les autres voies d’immigration augmentent également et atteignent des records : demandes d’asile présentées, demandes d’asile satisfaites, demandes présentées par des « dublinés », c’est à dire notamment par des personnes débarquées sur les côtes italiennes ou grecques (voir cette chronique).

    Rappelons également que les naissances issues de l’immigration non européenne sont une autre modalité majeure de l’invasion migratoire : elles représentent désormais 40 % des naissances en métropole (voir cette chronique)

    Les propagandistes du Système prennent manifestement plaisir à provoquer les Français moyens de souche : alors que, selon les sondages, la majorité de ces Français sont hostiles à la poursuite de l’immigration, les médias se félicitent eux ces jours-ci que les migrants de l’Aquarius ou ceux des campements du nord de Paris ont pu être « sauvés », « mis à l’abri », « mis en sécurité »…

    Ces gens qui se pressent en Europe, sur nos côtes, dans nos aéroports ou à nos frontières terrestres, ne sont pas des réfugiés mais des envahisseurs. Nous n’avons aucun devoir à leur égard. S’ils sont en quête d’une vie meilleure, qu’ils la construisent chez eux.

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/

  • L’immigration peut-elle faire sauter Merkel ? - Journal du Mardi 19 Juin 2018

  • L’AQUARIUS : UN MODERNE NÉGRIER

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    L’information passe inaperçue, tant elle est banale. La moitié des 630 migrants de l’Aquarius veulent s’établir en France. C’est l’annonce faite par le gouvernement espagnol le 18 juin après qu’il a accueilli le navire dans le port de Valence, conformément à l’annonce qu’il avait faite quelques jours plus tôt.

    N’en déplaise aux bonnes âmes et autres bien-pensants, professionnels de la compassion, internationaux de la pleurnicherie et spécialistes de l’accueil par les autres, l’Aquariusest un « négrier ». Un navire en provenance des côtes africaines, où il est allé chercher ces personnes qui n’étaient pas en péril au milieu des eaux internationales, mais à proximité immédiate des côtes libyennes. Un navire qui a embarqué des centaines de malheureux, à qui le voyage depuis leur pays natal a dû coûter une fortune qu’ils n’ont pas, à moins qu’ils aient gagé leurs hypothétiques revenus futurs pour rembourser leurs passeurs. Un navire qui a mené jusqu’en Europe de gens qui n’ont rien à y faire, qui ne parlent pas nos langues et qui finiront au mieux assistés sociaux, au pire semi-esclaves au profit d’entrepreneurs sans scrupules.

    C’est d’une véritable traite qu’il s’agit. Cette traite justement dénoncée de nos jours, grâce à laquelle des armateurs peu regardants se sont enrichis, il y a quelques siècles, sur le commerce du bois d’ébène. Ces « migrants » sont le bois d’ébène moderne. Et notre société n’en a pas encore conscience.

    Monsieur Macron a fustigé l’attitude de l’Italie dans cette affaire. En refusant d’accueillir ce bateau dans ses ports, la péninsule a justement rappelé que les associations pro-migrants ne se contentaient pas de secourir les naufragés en passe de se noyer. Elles vont les chercher en Afrique et les transportent en Europe. Les Italiens ont également rappelé que les secours en mer relevaient de la responsabilité des États, et que ces derniers avaient la capacité de les organiser sans avoir recours à des ONG dont les motivations sont beaucoup moins charitables. En réalité, ces navires de passeurs sont les complices des mafias qui organisent, des deux côtés de la Méditerranée, un odieux trafic d’êtres humains.

    Un trafic d’autant plus odieux que ces personnes, qui viennent et resteront en Europe, n’ont rien à y faire. Certaines passeront en France, d’autres en Grande-Bretagne. Là, elles seront alimentées par notre système de solidarité, sans aucune possibilité de travailler, faute de maîtrise de la langue et des compétences élémentaires requises. Parmi elles, quelques islamistes qu’on nous dira modérés s’égailleront dans la nature pour y préparer la subversion de nos nations, ou un attentat qui tirera de nos bon samaritains incrédules quelques larmes de crocodile et une nouvelle extinction de la tour Eiffel.

    La presse unanime a salué la décision espagnole. En réalité, dans cette affaire, tout est communication. Dès lors que nos dirigeants libéraux et démocrates peuvent pointer du doigt l’attitude « scandaleuse » de l’Italie et de son gouvernement « populo-fasciste », pourquoi se priver d’une publicité à bon compte, quitte à piétiner allègrement la volonté des peuples qui n’en peuvent plus ? Et puis, qui se soucie de la volonté des peuples ? Ni les socialistes espagnols, ni le gouvernement français.

    Dans quelques jours personne n’en parlera plus. Et d’autres Aquarius accosteront sur les quais européens, dans l’indifférence la plus totale. Anesthésiés par le foot et la société de consommation, nos compatriotes ont le sommeil lourd. Jusqu’au jour du réveil, qui tarde à venir, mais qu’il faut craindre brutal. Hélas.

    http://www.bvoltaire.fr/laquarius-moderne-negrier/

  • Manifeste pour le renouveau de la France

    2810382302.jpgGeorges Feltin-Tracol

    Un an après l’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République, Hervé Juvin publie son douzième livre, France, le moment politique (Éditions du Rocher, 2018, 285 p., 16,90 €). Il s’agit d’un vigoureux manifeste « pour que la France vive ! » selon son sous-titre.

    En témoin avisé des événements du monde, l’économiste et chef d’entreprise qui se déplace sur les cinq continents pour des motifs professionnels développe un ambitieux projet pour la France qu’il considère « comme porteuse des droits des peuples à disposer d’eux-mêmes, comme voix précieuse de ce qui dure, de ce qui résiste et de ce qui demeure (p. 278) ». Il est appréciable qu’un homme qui connaisse et comprenne les rouages de l’économie soutienne l’avènement d’une civilisation écologique en Europe. Il en explicite même les enjeux majeurs !

    Non, Hervé Juvin ne verse pas dans le moindre écolo-gauchisme. Il exprime au contraire une réalité toujours incomprise pour les petits-enfants des baba cools. « Seuls l’État et la Nation peuvent affronter la crise des ressources vitales qui vient (p.14). » Ainsi améliore-t-il l’engagement souverainiste et identitaire en annonçant que « l’union profonde des Français et des territoires de la France, c’est l’unité d’un combat pour la vie (p.20) ». Son écologie se veut nationale parce que « le combat pour les frontières, c’est le combat pour une société écologique, qui respecte chaque identité, chaque modèle social, chaque organisation économique. C’est le combat qui enrichit nos biens communs, contre leur exploitation commerciale, leur braderie touristique (pp. 21 – 22) ».

    Serait-ce pour autant la première manifestation tangible d’illibéralisme dans la République hexagonale des Lettres ? Probablement pas. « Pour que l’économie française renaisse, affirme Hervé Juvin, il faut engager une politique de nationalisme libéral (p.218). » À la suite des travaux pionniersdu Club de l’Horloge, on trouve donc des thématiques nationales-libérales républicaines, françaises et européennes, même si on relève parfois de fortes similitudes avec le programme présidentiel de Jean-Luc Mélenchon au sujet en particulier de l’inexploitation scandaleuse du deuxième domaine marin du monde. L’auteur pense que « la France bleue est un axe central de la renaissance nationale (p.28) ».

    Après Patrick Buisson, théoricien de la fameuse « droite hors les murs », ce sont de vraies munitions intellectuelles qu’offre en praticien averti Hervé Juvin. À Robert Ménard et aux « Amoureux de la France » de s’en saisir d’urgence !

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°83, diffusée sur Radio-Libertés, le 15 juin 2018.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/06/17/manifeste-pour-le-renouveau-de-la-france-6060317.html

  • Les graves accusations de Dupont-Aignan

    6a00d8341c715453ef022ad3542976200c-320wi.jpgCe 18 juin, sur l'antenne de Sud Radio, le député de l'Essonne intervenait sur le thème qu'il a clairement adopté, dès le premier jour de l'affaire de l'Aquarius. Celle-ci met évidemment mal à l'aise toute la classe politique conventionnelle de notre continent.

    Les craquements s'observent jusque chez nos cousins germains d'outre-Rhin. Ils ont commencé à se manifester dès le malencontreux "wir schaffen das" de Frau Merkel en août 2015. Mais depuis la constitution de la nouvelle grande coalition, Horst Lorenz Seehofer est parvenu à une transformation considérable de l'équilibre politique. La CSU bavaroise qu'il dirige n'est plus un simple appendice de la démocratie chrétienne. Elle constitue le troisième pilier du gouvernement fédéral à égalité avec la CDU et le SPD. Actuellement ministre de l'Intérieur son dirigeant peut se permettre, et il va jusqu'à mettre en demeure la chancelière de trouver une solution aux désaccords sur la question migratoire.

    La position restrictive de principe adoptée, sur ce sujet, par Dupont-Aignan n'est donc guère originale. Outre le gouvernement italien, tout un bloc géographique semble se dresser. Il va du Land de Bavière à la petite Slovénie en passant par la Hongrie et l'Autriche. C'est donc presqu'une Europe habsbourgeoise qui se dessine. Elle pourrait bien compter de façons significative dans le cadre de l'Europe strasbourgeoise après les élections de 2019. Et tant pis si cela doit déplaire à l'Europe bourgeoise[1].

    À l'antenne Dupont-Aignan reprenait dès lors une rhétorique qui ne détonne plus que dans les colloques et pseudo-débats officiels et artificiels de cette bien-pensance qui ne débat qu'avec elle-même. Selon les vrais sondages, le point de vue de NDA, sur ce point, agrée à quelque 80 % des Français. Il déclarait sans surprise

    Le 11 juin, déjà, il avait salué le refus par le gouvernement italien d'accueillir les 629 migrants de l'Aquarius. "Bravo Matteo Salvini !" avait-il proclamé.

    Le même jour, le parti "les républicains" avait suggéré de son côté de "poser la question de l'immigration de masse"[2]. Cette question se posant depuis quelque 40 ans, il nous semblerait grand temps d'y répondre.

    Restant dans la même logique le président de Debout la France, si le sort des migrants ne peut laisser indifférent, la France ne doit pas en accueillir davantage. "Quand on voit les pauvres migrants qui sont dans ce bateau, tout le monde a une pensée d'humanité mais on est dans du chantage humanitaire inacceptable, qui abouti à un appel d'air sans précédent en Europe", a-t-il affirmé. "Je refuse (de les accueillir), je pense qu'on devrait les renvoyer chez eux. La vraie humanité, c'est de s'occuper des pauvres qui sont dans notre pays, ceux qui n'ont pas de boulot, pas de logement, qu'ils soient Français d'ailleurs ou étrangers réguliers. Je pense qu'il y a urgence à s'occuper des malheureux qui sont sur notre sol, qu'il faut sauver le droit d'asile a-t-il encore insisté.

    On aurait été tenté de dire "rien de nouveau sous le soleil", si l'on ne tenait compte d'une accusation très grave qui mérite d'être creusée.

    Car Nicolas Dupont-Aignan ajoute : "mais là, c'est une immigration économique instrumentalisée par des passeurs et des ONG qui veulent détruire l'Europe",

    "Ces ONG, considère-t-il, sont les complices des passeurs puisqu'elles vont maintenant chercher les migrants à la limite des eaux territoriales libyennes. Ce qu'il faudrait faire, c'est tout simplement sauver ces malheureux, on ne peut pas les laisser se noyer, et les raccompagner immédiatement dans les ports les plus proches de Libye. Si on ne fait pas ça, on va alimenter les mafias qui instrumentalisent la misère humaine", a-t-il ajouté.

    Face à de telles affirmations très graves, ou bien on considère que la député de l'Essonne déraille, et alors pourquoi ne pas le faire bénéficier de la répression de la diffusion de fausses nouvelles prévue par la loi de 1881 ? Ou bien il dit vrai et alors on est en droit d'aller plus loin. On doit alors mettre en cause non seulement ces mafias. Elles ne sont pas inconnues des services de police. Il faut aussi dénoncer ceux qui les épaulent, dans la finance comme dans la classe politique de divers pays, dont deux au moins sont candidats à l'Union européenne.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    [1] On ose à peine la qualifier de luxembourgeoise par respect pour le grand duc et souverain légitime de l'affligeant Juncker.

    [2] Cf. Flash Actu du Figaro http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/06/11/97001-20180611FILWWW00178-migrants-lr-veut-poser-la-question-de-l-immigration-de-masse.php

    http://www.insolent.fr/

  • “Gros rouge qui tache”, le goût du pays réel?

    agora.jpgLe ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini a confirmé samedi qu’il entendait en finir avec le laxisme proprement  criminel consistant pour un  gouvernement   à accepter de se faire tordre le bras  pour accueillir des immigrés clandestins.  Il ne s’est pas contenté d’annoncer une campagne de recensement,  à des fins d’expulsion,   de la nombreuse population rom présente sur le sol italien, dont la présence massive est de plus en plus mal vécue par les de souche et les (vrais) touristes. Il a aussi  réitéré sur facebook sa fermeté contre les manœuvres du lobby immigrationniste : « Deux navires d’ONG battant pavillon des Pays-Bas (Lifeline et Seefuchs) sont arrivés au large des côtes libyennes, en attente de leur cargaison d’être humains abandonnés par les passeurs. » « L’Italie ne veut plus être complice du business de l’immigration clandestine, et ils devront donc chercher d’autres ports (non italiens) vers lesquels se diriger. »

    Fermeté de bon aloi  que ne contestera pas  Breizh info  qui publie un   article  sur le retour le 16 juin de l‘héroïque Malien  Mamoudou Gassama  à Bamako, la capitale de son pays. Un jeune homme élevé au rang de symbole par la macronie   mais qui est aussi celui   « de cette jeunesse africaine qui ne fuit ni la guerre, ni la faim, et qui n’était nullement menacé dans son pays (sinon il ne serait pas revenu samedi accueilli comme un prince) mais qui entend simplement  tenter l’aventure européenne  comme si chaque être humain était libre de se rendre partout dans le monde, comme si les frontières et les peuples n’existaient plus. Et l’arnaque sur les  Réfugiés qui fuient la faim et la guerre  de s’effondrer, arnaque qui sert de justificatif moral aux militants de l’ONG SOS Méditerranée pour justifier d’aller chercher des réfugiés au large des côtes africaines pour les amener en Europe comme encore dernière avec l’Aquarius. »

    L’arnaque ne fonctionne plus, ou de moins en moins, et  Le Monde le déplore vivement , la crise migratoire accélérant le délitement de l’abracadabrantesque Europe de Bruxelles: «l’errance en Méditerranée des 629 passagers de l’Aquarius (selon un sondage OpinionWay56 % des Français ne veulent pas qu’ils débarquent en France, NDLR)  illustre jusqu’à la caricature la division entre les pays membres de l’Union, l’impuissance à trouver des solutions consensuelles et le passage, en quelques années, de l’émotion à une forme d’indifférence, de la mobilisation à l’instrumentalisation. Le tout à moins d’un an des élections européennes de mai 2019, au risque d’alimenter la montée en puissance des formations d’extrême droite. »

    La crainte est bien là pour les tenants du vieux monde, de ce Système à bout de souffle,  crainte qu’exprimait  aussi la juppéiste  Virginie Calmels   hier  soir sur TF1. Elle était  invitée à réagir à son éviction  décidée par Laurent Wauquiez de son poste de numéro deux de LR , conséquence  de sa critique virulente  du tract élaboré par son parti,  Pour que la France reste la France,  qui acterait disait elle ces derniers jours une  « porosité avec le RN. »

    La bordelaise est revenue sur l’objet du délit sur le plateau de TF1: «un tract de gros rouge qui tache digne de Jean-Marie Le Pen il y a 30 ans » (sic) . « Ce qui est embêtant dans cette affaire, c’est l’image qu’on donne aux Français. J’ai essayé de croire au rassemblement tel que voulu par Alain Juppé quand il a fondé l’UMP ou par Nicolas Sarkozy qui a dynamisé Les Républicains. Et donc, je suis peinée aujourd’hui pour cette famille de droite à laquelle j’appartiens. »

    La peine de Mme Calmels est  peu partagée par les Français dont elle ne comprend pas les attentes et les  peurs légitimes. Nos compatriotes les plus au fait de l’actualité devraient aussi s’inquiéter des atteintes répétées contre les libertés d’informer et de s’exprimer.

    Le compte YouTube de la revigorante et excellente  chaîne de télévision sur internet  TV Libertés (TVL) a ainsi  été fermé sous la prétexte dilatoire d’une  « atteinte aux droits d’auteur»; «une mesure inédite et fausse. En effet, nous pouvons aisément faire valoir le droit de citation », a constaté  le directeur de la chaîne, Martial Bild.  Une décision « politique », « unilatérale, arbitraire et sans aucun avertissement préalable », qui a pour effet de priver ce média alternatif et indépendant  de 100.000 abonnés au moment même ou TVL « entamait une campagne de dons cruciale. »

    On se souviendra que les 100 000 abonnés également qui suivent  Alain Soral avaient  été eux aussi  priés d’aller voir ailleurs lorsque Youtube a fermé le compte de ce dernier le 5 juin  dernier suite  à sa condamnation  à deux peines d’emprisonnement avec sursis pour provocation à la haine. Mais le compte Youtube de l’essayiste avait été finalement  rétabli au bout de deux jours. Bruno Gollnisch s’inquiète de longue date  de cette volonté de répression  des idées dissidentes qui  s’inscrit dans un  climat plus  général de  verrouillage de l’information.    « Comptes Twitter ou Facebook suspendus ou fermés sans aucune justification, loi sur les Fake news, fermeture de la chaîne YouTube de @tvlofficiel… : le mandat de Macron marque un recul massif de nos libertés d’opinion et d’expression. Ça commence vraiment à faire peur ! » a relevé Marine.

    La présidente du RN parle d’or et cette censure de TVL  a été également dénoncée  par le président de DLF  Nicolas Dupont-Aignan ,  le président du PCD  Jean-Frédéric Poisson  ou encore  l’ex ministre LR  Thierry Mariani  qui a fustigé  un « nouvel ordre moral. »  Nouvel ordre moral dont a besoin le Nouvel ordre mondial pour nous imposer plus largement la dilution de nos souverainetés et identités  particulières.  Ce que les plus lucides à droite ont compris (ou commencent à comprendre), et il faut s’en réjouir. Lucidité rabaissée elle aussi avec mépris  au rang de ce gros rouge qui tache qui  incommode les papilles jupitériennes des élites  qui ont perdu le goût du pays réel.

    https://gollnisch.com/2018/06/19/gros-rouge-qui-tache-le-gout-du-pays-reel/

  • L’arnaque des immigrés qui fuient la faim et la guerre

    6a00d83451619c69e2022ad3544abe200c-320wi.pngLa presse ne se rend pas compte de ce qu'elle publie :

    Il n'a pas l'air si mal au Mali, notre immigré clandestin naturalisé ?

    "l’arnaque sur les « Réfugiés qui fuient la faim et la guerre » de s’effondrer, arnaque qui sert de justificatif moral aux militants de l’ONG SOS Méditerranée pour justifier d’aller chercher des réfugiés au large des côtes africaines pour les amener en Europe comme encore dernière avec l’Aquarius.

    6a00d83451619c69e2022ad39a1fb8200b-320wi.pngCar Mamoudou Gassama est le symbole de cette jeunesse africaine qui ne fuit ni la guerre, ni la faim, et qui n’était nullement menacé dans son pays (sinon il ne serait pas revenu samedi accueilli comme un Prince) mais qui entend simplement «tenter l’aventure européenne » comme si chaque être humain était libre de se rendre partout dans le monde, comme si les frontières et les peuples n’existaient plus.

    « Il y a cinq ans, le jeune homme de 22 ans a quitté son Mali natal pour tenter l’aventure européenne. Une aventure démarrée en cascade avec un périlleux voyage en Libye, puis sur la Méditerranée, et une vie de galère dans les camps de migrants en Italie avant de débarquer en France en septembre 2017.»,explique Afrika News.

    A noter qu’il a fallu plusieurs jours pour que les principaux médias mainstream en France ne reprennent l’information, signe que ce retour au pays pour faire la fête doit sérieusement ennuyer ceux qui n’ont que l’argument humanitaire pour justifier l’arrivée de millions d’Africains en Europe."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • LA MANIPULATION MÉDIATIQUE SUR "LA CRISE DES MIGRANTS"

  • Affaire Médine : l’acte de décès du « en même temps » d’Emmanuel Macron ? – Jérôme Barbet (Les Identitaires)

    gibataclanmedine-1021x580-600x341.jpg

    Une nouvelle fois, les identitaires ont joué leur rôle de lanceurs d’alerte.

    Au début du mois de juin, des militants ont révélé sur les réseaux sociaux que le rappeur islamiste « Médine » doit se produire les 19 et 20 octobre prochains au Bataclan, cette fameuse salle de concert du XIème arrondissement parisien où 90 personnes ont été froidement abattues par un commando djihadiste le 13 novembre 2015.

    Rapidement, de nombreux acteurs politiques de droite – du Front National à Laurent Wauquiez – ont protesté contre la tenue de ce concert. Ils ont été suivis par certaines associations de victimes qui ont réclamé à leur tour l’annulation du spectacle, et même par certains députés LREM.

    L’objet de la polémique est évident. Le rappeur Médine Zaouiche, qui porte le prénom d’une des villes saintes de l’islam où fut enterré Mahomet, a longtemps affiché une barbe imposante, à l’instar des compagnons du prophète.

    Le titre de son premier album évoque les attentats du 11 septembre 2001 qui avaient fait plus de 3 000 morts. Le deuxième album, sorti en 2005 et sobrement intitulé « Jihad », joue avec tous les codes de l’islam guerrier. La pochette est notamment barrée d’un imposant sabre vertical constituant le « J » de « Jihad ». On frissonne à l’idée de l’imaginer prononcer les paroles de sa chanson « Grand Médine » où il se compare à un combattant de l’Etat Islamique : « J’arrive sur tous les sites comme un djihadiste de Daesh ».

    Dans ce contexte, la programmation d’un spectacle de Médine sur une scène ensanglantée par des terroristes islamistes constitue une provocation inacceptable.

    Face à la controverse qui a pris une ampleur nationale, le gouvernement d’Emmanuel Macron se retrouve dans une posture délicate. Comme souvent dès que l’on aborde les thématiques identitaires, le pouvoir macroniste est très ennuyé. Il y a une limite à la conciliation des contraires. S’agissant du rappeur islamiste Médine et de son concert au Bataclan, il ne peut y avoir de « en même temps ».

    Ou bien ce spectacle est autorisé, ou bien il est interdit. Il faut prendre parti et trancher radicalement.

    Impossible de biaiser, de réconcilier les parties adverses, de ménager les uns et les autres.

    Mais le dilemme est sérieux.

    Faut-il interdire à Médine de se produire au Bataclan et donner raison à la « fachosphère », ou laisser faire et donner le sentiment de céder face à l’islamisme ?

    Différents signaux nous indiquent d’ores et déjà l’option privilégiée par l’exécutif.

    Sur Cnews, le porte-parole du gouvernement a adopté une position de principe : « La liberté de l’artiste est totale. » Avec ce relativisme irresponsable, le gouvernement accepterait donc que le « Djihad » soit revendiqué sur les lieux de l’attentat islamiste le plus meurtrier de l’Histoire de France.

    Ce serait profaner la mémoire des victimes et humilier notre pays au nom de « droits » extensibles à l’infini.

    Le Premier ministre Edouard Philippe, quant à lui, « assume pleinement » la subvention de la ville du Havre (attribuée lorsqu’il en était maire) au club de boxe de Médine.

    On comprend dès lors de quel côté penchent le Président et ses ministres.

    Cette fois il n’y aura pas de « en même temps ». Ou plutôt si. Avec Macron, nous aurons l’islamisation et en même temps, la soumission.

    Jérôme Barbet

    Texte repris du site de : Les Identitaires

    https://fr.novopress.info/