Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 907

  • Pour Hollande, Minute et Mohamed Merah même combat !

    Arrêtez de ricaner bêtement. Quoi qu’on en dise, François Hollande est encore président de la République.

    Lundi, interrogé sur la chaîne BFMTV aux côtés du président israélien sur les propos racistes contre la ministre de la Justice, François Hollande a assuré qu’il ne laisserait « jamais en paix ceux qui se mettent du côté de l’antisémitisme et du racisme », et fait le lien entre les attaques racistes contre Christiane Taubira et les tueries de Toulouse début 2012. Comme le rapporte Libération, « le président de la République a assuré que les tueries de Toulouse en 2012 et les attaques racistes dont a été victime Christiane Taubira participaient de la même dynamique ».

    Arrêtez de ricaner bêtement. Quoi qu’on en dise, François Hollande est encore président de la République.

    Lire la suite

  • De 1675 à 2013 : la Bretagne, une insoumission particulière ? (1ère partie)

    Un samedi de la fin du mois d’octobre dernier, quelque part en Bretagne, à Pont-de-Buis plus exactement, des manifestants hostiles à l’écotaxe et à ses portiques truffés de caméras et de boîtiers électroniques ont coiffé un bonnet rouge, comme le rappel d’une histoire lointaine qui avait durablement marqué la mémoire et la conscience de cette extrémité occidentale de la nation France… Effectivement, c’est en 1675, sous le règne du Roi-Soleil, que les premiers Bonnets rouges sont apparus à l’occasion d’une révolte qui, si elle est souvent décrite comme fiscale, ne peut être limitée à ce seul aspect, sous peine de ne pas la comprendre et de ne pas saisir aussi la particularité de l’actuel mouvement homonyme.
    Il n’est pas indifférent de noter que c’est en Bretagne, et non ailleurs alors, qu’a lieu cette jacquerie au moment où le royaume de France est en guerre, difficile, avec la Hollande, grande puissance maritime et commerciale de l’époque. La guerre, hier comme aujourd’hui, coûte cher et les caisses de l’Etat ne sont guère remplies : Colbert, maître scrupuleux des finances, est d’une grande inventivité dans la création d’impôts et de taxes, et il annonce bientôt quelques nouvelles impositions qui doivent permettre à l’Etat de retrouver quelques ressources bien nécessaires. Désormais, tout acte notarié devra être rédigé sur un papier timbré (donc fiscalisé) et le tabac sera lui aussi plus lourdement taxé… Mais la rumeur se répand en Bretagne que ce n’est rien d’autre que l’annonce de l’introduction de la gabelle, cet impôt sur le sel si impopulaire et dont la province armoricaine est exemptée depuis son Union à la France, ce que confirme la lecture du traité de 1532 signé sous le roi François Ier : rumeur fiscale pourtant sans fondement mais qui suffit à mettre, véritablement, le feu aux poudres et à provoquer des manifestations à Rennes et dans d’autres villes de Bretagne aux cris de « Vive le roi sans gabelle », accompagnées de quelques désordres encore légers par rapport à ce qui suivra, en particulier dans les campagnes de Basse-Bretagne.
    Tout cela peut paraître bien surprenant quand on sait que la Bretagne était, donc, privilégiée au regard des contributions qu’elle devait à l’Etat central et par rapport à bien d’autres provinces : mais il est d’autres facteurs qu’il faut prendre en compte pour expliquer la révolte, comme le contexte économique peu favorable et l’impression d’un appauvrissement qui n’est pas fausse, mais qui n’est pas seule réservée à la Bretagne. Une conjonction de causes économiques et fiscales, mais aussi politiques : les restes d’autonomie de la province, qui dispose d’« états » jaloux de leurs prérogatives et dominés par une noblesse d’esprit indépendant mais aussi, parfois, dure avec ses paysans, sont fort vivaces et toute taxe nouvelle apparaît aux Bretons, quelles que soient leurs conditions individuelles, comme une atteinte aux libertés bretonnes et comme un empiétement insupportable de l’Etat central qui, pourtant, n’est pas encore « jacobin »… Autre élément à noter : la révolte est la plus dure et la plus violente, voire cruelle, là où les seigneurs se comportent en petits tyranneaux, ce que, d’ailleurs, dénonce même le très impopulaire duc de Chaulnes, gouverneur de la province au nom du roi… Certains historiens, à la suite du Russe Boris Porchnev, y verront une véritable lutte des classes et, parfois, la préfiguration de la Révolution française ! Mais c’est résumer trop vite la révolte des Bonnets rouges et ne pas en comprendre les racines purement bretonnes.
    Car, ce qui est certain, c’est la réactivité de la Bretagne aux atteintes, réelles ou supposées, à ses droits historiques, mais aussi aux libertés de ses « collectivités », qu’elles soient provinciales, villageoises ou paroissiales : réactivité « régionaliste », diraient certains, ce qui n’est pas entièrement faux même s’il serait plus exact de la qualifier de « régionale », tout simplement, car au-delà des habituels clivages partisans, au risque d’ailleurs d’en créer de nouveaux, comme on le verra sous la Révolution française mais aussi en cet automne 2013…
    J.P. Chauvin (à suivre)
    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1103:de-1675-a-2013-la-bretagne-une-insoumission-particuliere-1ere-partie&catid=47:2013&Itemid=58

  • Christiane Taubira "anti-française" pour Jean-Marie Le Pen : France Inter s’est-elle transformée en machine à inventer de fausses polémiques ?

    Les déclarations de Jean-Marie Le Pen sur l'antenne de France Inter ont suscité une levée de bouclier. Des propos tenus à la marge de la présentation des candidats FN aux municipales par un personnage en retrait de la vie politique : l'ampleur de la polémique dépasse de loin son contenu.
    Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/christiane-taubira-anti-francaise-pour-jean-marie-pen-france-inter-est-transformee-en-machine-inventer-fausses-polemiques-domini-902376.html#3S2dTRZVeb2CM8Sx.99

    Les déclarations de Jean-Marie Le Pen sur l'antenne de France Inter ont suscité une levée de bouclier. Des propos tenus à la marge de la présentation des candidats FN aux municipales par un personnage en retrait de la vie politique : l'ampleur de la polémique dépasse de loin son contenu.

    Atlantico : France Inter a diffusé une intervention de Jean-Marie Le Pen (enregistrée dimanche 17 novembre) où celui-ci qualifie Christiane Taubira "d'anti-française", rajoutant "Je pense qu'elle a été choisie parce qu'on pensait que sa couleur pourrait lui servir de bouclier quand elle aurait à proposer des choses absolument inacceptables". Ces propos, présentés comme sulfureux, ont provoqué un tollé dans de nombreux médias et dans une partie de la classe politique. Y voyez-vous un dérapage ?
    Dominique Jamet : Dans le contexte actuel de l’affaire Taubira, il est évident que toute personne publique dont on entend qu’elle fait des déclarations autour de ces problèmes d’appartenance ethnique est immédiatement signalée à la collectivité et stigmatisée. L’hypothèse de Jean-Marie Le Pen que Christiane Taubira soit ministre à cause de sa couleur de peau n’est basée sur rien et elle n’est rien d’autre qu’une hypothèse, justement. Et même si ce propos peut choquer dans la période où nous sommes, ou même si on peut le trouver stupide, on voit où sont les limites assignées à la liberté d’expression. On a vraiment l’impression qu’un certain nombre d’hommes politiques et de journalistes se trompent d’époque ou de métier. Autrefois, il y avait des fonctionnaires qui travaillaient dans des bureaux de la censure, pour le théâtre ou les journaux, et il y a des gens qui ont manifestement la vocation anachronique d’être des censeurs…
    La volonté de faire intervenir Jean-Marie Le Pen – adepte des déclarations sulfureuses – alors même qu'il n'occupe plus de fonctions politiques majeures, n'est-elle pas une stratégie délibérée qui consiste à générer la polémique ? France Inter ne cherche-t-elle pas le « buzz » au détriment de l'info vraiment pertinente ?
    Lire la suite

  • Libye : explication et conséquences d’un massacre

    Vendredi 15 novembre, à Tripoli, les miliciens originaires de la ville de Misrata ont ouvert le feu sur une foule réclamant leur départ, faisant plusieurs dizaines de morts et des centaines de blessés. A la suite de ce massacre, les tireurs furent encerclés par les milices rivales qui s’emparèrent de leur quartier général.

    Samedi 16 novembre, ayant reçu des renforts ils tentaient de maintenir leurs positions.

    Ces sanglants événements traduisent la lutte pour le pouvoir qui se déroule en Libye depuis le renversement du colonel Kadhafi. Comme les Berbères (berbérophones ou arabophones) disposent d’une milice solide, si les miliciens de Misrata étaient chassés de Tripoli, ils constitueraient alors la principale force de la capitale. Clés d’explication d’une redistribution des cartes en cours :

    Pour recevoir par courriel l’intégralité de cette analyse, vous devez être abonné à l’Afrique Réelle. Pour vous abonner : cliquer ici

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Libye-explication-et-consequences

  • Barricades devant l'Hôtel de Ville à Paris

    Le tireur fou serait-il dans les parages ?

    Non, juste des Sentinelles, qui ne lâchent rien.

    0

    1

    Michel Janva

  • SOS Tout-Petits embarqué

  • République bananière

    Extrait de Minute :

    B"L’essentiel, c’est que la manoeuvre de la gardienne des seaux ait réussi : maligne comme une oie (j’espère que cette comparaison sera autorisée, sauf avis contraire des associations communautaires de producteurs de foie gras), la voilà consacrée intouchable icône de la gauche et définitivement victorieuse de Manuel Gaz. L’homme aux yeux qui lancent des matraques doit d’ailleurs en faire une hépathite A (pas une jaunisse, Jean-Vincent Placé serait fichu d’y trouver une allusion raciste). M’dame Tau-Tau n’est pas la seule à cultiver le paradoxe. Parmi les grandes voix républicaines qui se sont élevées pour demander des sanctions contre « Minute », on aura remarqué celle d’Alain Juppé, le crâne d’oeuf si fin manoeuvrier politique qu’il mena son camp au désastre en 1997 et prof de morale d’autant plus incontestable qu’il fut condamné en 2004 dans l’affaire des emplois fictifs de la Ville de Paris. En somme, un véritable homme politique à la française, qui donne des leçons à qui ne veut pas l’entendre depuis qu’il est rentré des neiges canadiennes, convaincu de s’être refait une virginité toute neuve. Hélas, comme disent les jolies fillettes des chansons de marins d’antan : « J’ai perdu mon avantage, qui s’en fut la voile au vent, il est parti vent arrière, reviendra en louvoyant… »

    L’excellent Copé aussi y a été de son coup de croc, mais sans doute ne s’en souvient-il déjà plus, car Jean-François souffre de fréquents troubles de la mémoire : ainsi a-t-il oublié qu’il s’était prononcé contre le pseudo « mariage » des homosexuels au printemps dernier. Il a aussi oublié l’existence d’Internet, ce fâcheux aide-mémoire sur lequel on retrouve aisément les photos dudit Copé participant, l’écharpe tricolore en sautoir, aux manifestations organisées contre la loi Tau-Tau. Il paraît que ses assistants parlementaires doivent lui rappeler son nom chaque matin ; il se prendrait sinon pour un certain Nicolas S., bonimenteur sur le retour. Autre exemple de politicien atteint de trouble de la personnalité, Florian Philippot, qui trouve « inadmissible » les sifflets qui ont salué Flamby-goût-banane le 11 novembre dernier et s’offusque de la une de « Minute » au moment où le fondateur du parti dont il est l’omniprésent porte-parole encourt deux mois de prison avec sursis pour une plaisanterie sur les Roms à peu près aussi insupportable. Et si papy Le Pen est condamné, sera-t-il viré du Front ou exilé dans les Ardennes ?"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Cherbourg : La France donne 200 millions d’euros au Mozambique et 16 chalutiers aux Roumains

    Tribune libre d’Anthonin

    En 30 ans, l’Agence Française de Développement a financé des projets au Mozambique pour un montant d’un milliard d’euros. 300 millions ont été donnés et le reste a été « prêté » mais la dette a été annulée lors du G8 en 2011.

    François Hollande accompagné du président Armando Guebuza (Mozambique) assistent à la découpe de la première tôle d’un chalutier

    En 2013/2014, la France a décidé de « prêter » de nouveau 200 millions d’euros au Mozambique -soit l’équivalent de 25% des aides françaises en 30 ans. Un des projets concerne l’appui à la pêche…

    Parallèlement, François Hollande -accompagné de quatre ministres dont Montebourg- s’était rendu à Cherbourg pour mettre en avant un nouveau contrat de 200 millions d’euros pour la construction de 30 chalutiers destinés au Mozambique.

    Très rapidement, le nombre de chalutiers est passé de 30 à 14, les 16 restant étant construits en Roumanie. De même, une cinquantaine d’ouvriers de l’Est sont arrivés sur les chantiers de Cherbourg alors que plus de 200 intérimaires expérimentés locaux restaient sur la touche. Au final, seulement 27 personnes de la région – deux fois moins que les ouvriers de l’Est- seront embauchées.

    La France aurait-elle financé en partie ces chalutiers qui seront construits en majorité par des Roumains ?
    Pourquoi, en période de crise, donner 200 millions d’euros sur deux ans  à un pays qui n’a bénéficié que de 800 millions en 30 ans ?

    Pourquoi le Président de la république et ses quatre ministres ont parlé d’un contrat de 30 chalutiers alors que moins de la moitié sera fabriquée en France ?

    Un scandale des chalutiers roumains en perspectives ?

    Merci à Le Général et Desouchonaute

    http://www.fdesouche.com/432395-cherbourg-la-france-donne-200-millions-deuros-au-mozambique-et-16-chalutiers-aux-roumains#more-432395

  • Réflexions sur les barbouzeries à venir…

    De Maître Frédéric Pichon, président du CARP (Comité des Avocats contre la Répression Policière) :

    "Il souffle un vent mauvais sur notre pays. Alors que le pouvoir politique doit faire face à une convergence des luttes joliment rebaptisée coagulation et a montré à plusieurs reprises son incompétence et son décalage avec la réalité (affaire Leonarda entre autres), il faut s’attendre dans les semaines à venir à des manœuvres de diversion.

    L’affaire Taubira censée illustrer une prétendue montée du racisme occupe l’espace médiatique au détriment des véritables problèmes auxquels sont confrontés de plus en plus de compatriotes (insécurité, délocalisations, chômage etc…).

    Quelques sifflets le 11 novembre à l’issue de la cérémonie et voilà Monsieur VALLS qui monopolise les antennes pour pointer du doigt le spectre d’un 6 février 34 animé par le Printemps Français et menaçant gravement la République et se fondements. Dans le même temps, les candidats du Front National aux municipales de Paris qui souhaitaient déposer une gerbe eux aussi « déplacés » préventivement et assimilés à des fauteurs de troubles.

    Bien entendu, cette oligarchie de bobos à la dérive pourra compter sur de puissants relais médiatiques qui participeront de ce gigantesque enfumage afin de justifier une répression féroce.

    Les quelques affaires judiciaires de ces dernières semaines pourtant minimes (une banderole « Hollande démission » sur le périphérique, quelques sifflets sur les champs Elysées par des jeunes étudiants coiffés de bonnets rouges) et voilà la machine judiciaire qui s’emballe. Et le parquet de Paris de placer de jeunes gens 24 heures voire 48 heures en garde à vue et requérir un mandat de dépôt comme ce fut le cas en comparution immédiate contre un jeune homme de 20 ans jamais condamné. Du jamais vu hormis la scandaleuse incarcération de Nicolas Bernard Buss. Ces procédures furent l’occasion de découvrir qu’une réquisition judiciaire permettant de contrôler tout individu portant un bonnet rouge avait bien été prise.

    Dans le même temps, confirmation a été donnée verbalement à des avocats que des instructions avaient été données de ne pas faire suite aux innombrables plaintes suite aux arrestations arbitraires des manifestants anti-Loi Taubira.

    Il serait inutile d’ajouter que ces mêmes parquetiers si prompts à ouvrir une information judiciaire pour le moindre graffiti supposé raciste ou homophobe dans une pissotière traite avec le plus grand mépris les saccages de permanence du front national ou les agressions violentes d’anti « fascistes » contre des militants anti–IVG y compris des enfants ou veilleurs, faits dont hélas, les média eux-mêmes n’ont pas cru devoir en faire l’écho.

    Il serait tout aussi vain de lister le florilège des actes de partialité du Ministère public aux ordres d’un régime à la dérive au cours de ces dernières semaines.

    Ce qu’il faut retenir est qu’il n’y a rien de plus dangereux qu’un animal blessé. Le sentiment d’isolement du pouvoir à l’ego démesuré à l’instar de Mme TAUBIRA (dont le comportement notoirement tyrannique envers son personnel est connu), est tel que celle-ci a cru devoir appeler les nations unies à la rescousse !

    On pourrait en rire. Mais l’histoire de notre pays a démontré que la négation du réel et la folie idéologique pouvait sous les oripeaux de la vertu et de la liberté, justifier les plus grands carnages.

    Il faut donc s’attendre dans les semaines à venir à des barbouzeries d’officines parallèles qui tenteront de renforcer la thèse de prétendus complots factieux menaçant la liberté, la démocratie et la tolérance. L’affaire Carpentras est de ce point de vue riche en enseignement. Il ne faudra compter dans ces moments là ni sur la justice de notre pays, ni sur les relais médiatiques. C’est notre solidarité qui sera notre rempart face à ce totalitarisme insidieux.

    Il est donc urgent que les patriotes et les hommes de bonne volonté s’arment de courage mais aussi de prudence, conscients de l’immense responsabilité qui est la leur et de garder raison face au déferlement de haine à venir.

    Celui qui résiste ne tombe pas disait Soljenitsyne, il n’y a que le fuyard qui tombe."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/r%C3%A9flexions-sur-les-barbouzeries-%C3%A0-venir.html

  • Le Grand Remplacement ne s’effectue pas assez vite : France Télévision l’encourage « par le haut »

    Nouvelle offensive des élites médiatiques à destination des Français diplômés et à fort potentiel économique ce vendredi, avec la publication d’un sondage commandé à OpinionWay.

    D’après ces derniers, « 34% des 18-34 ans déclarent avoir l’intention de s’installer à l’étranger, […] 41% assurent vouloir s’expatrier « définitivement », tandis que 59% penser quitter la France « provisoirement ». »

    Pour mémoire, OpinionWay avait défrayé la chronique sous la précédente mandature pour avoir été soupçonné de constituer ses « échantillons représentatifs » de manière à faire apparaître les résultats souhaités par ses commanditaires.

    Quant au ton employé dans l’article sur le site, il est exactement le même que celui de la tribune publiée dans Libération le 3 septembre 2012 – et republiée cette semaine par le plus grand des hasards – intitulée « Jeunes de France, votre salut est ailleurs : barrez-vous ! ». Ladite tribune avait été signée conjointement par Félix Marquardt, Mokless, et Mouloud Achour. Pour le pédigrée de ces trois acolytes,
    nous vous conseillons l’excellent travail d’Emmanuel Ratier, dans le cadre de la lettre Faits et Documents, visible ici.

    Il semble donc que cette fameuse tribune, ainsi que les multiples incitations à l’embauche d’étrangers à des postes à responsabilité, n’aient pas suffit à modifier une réalité insupportable pour ces élites cosmopolites : en France, dans l’immense majorité des cas, ce sont des Français qui occupent des postes d’encadrement et de direction.

    Non pas parce que les Français seraient favorisés – l’antiracisme institutionnel veille – ni parce qu’il n’y aurait pas assez d’étrangers en France. Parmi les 15 millions d’étrangers présents sur notre sol, il est évident que se trouve une part de leurs élites.

    Le réel problème se situe plutôt dans le fait que malgré la destruction de l’enseignement en France, la montée de la violence dans les établissements scolaires et l’effondrement du niveau, les Français restent les mieux capables et les plus à même à diriger chez eux.

    Ainsi, afin de livrer le pays aux mains de la nouvelle population que l’oligarchie a choisie pour la France, il convient de pousser les meilleurs des Français à partir, afin que leurs postes soient occupés par leurs remplaçants.

    Dans toutes les acceptions de ce mot.

    Alexandre C. http://www.contre-info.com/le-grand-remplacement-ne-seffectue-pas-assez-vite-france-television-lencourage-par-le-haut#more-30174

    Sources :

    http://www.francetvinfo.fr/france/un-jeune-francais-sur-trois-veut-quitter-la-france_459116.html

    Tribune de Libération :

    http://www.liberation.fr/societe/2012/09/03/jeunes-de-france-votre-salut-est-ailleurs-barrez-vous_843642

    Article d’Emmanuel Ratier :

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Qui-est-Felix-Marquardt-20228.html