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anti-national - Page 938

  • Yvelines : une ado voilée violée par trois hommes, mais pas d’émeute. Pourquoi ?

    D’après le Parisien, « une adolescente voilée de 17 ans a été violée, lundi soir au Mureaux (Yvelines), par trois hommes qui seraient âgés d’environ 30 ans et seraient d’origine maghrébine. Vers 17h30, la victime traverse le parc de Bécheville pour regagner son domicile.

    C’est alors que trois hommes l’agressent. Le premier lui arrache son foulard islamique, la tire par les cheveux, la projette au sol et la maintient tandis que ses deux complices la violent. Elle a perdu connaissance et s’est réveillée à l’arrivée des pompiers. La sûreté départementale des Yvelines mène l’enquête. »

    Les villes envahies des Yvelines sont le théâtre de violentes émeutes pour un oui ou pour un non, même quand une altercation verbale a lieu entre une femme voilée et des policiers…
    Là, une musulmane est violée par trois hommes mais rien ne se passe.
    L’explication est bien sûr raciale.

    http://www.contre-info.com/

  • Roms : la fausse fermeté de Manuel Valls, par Jérôme Bourbon

    « Manuel Valls a semé l’effroi au sein de la gauche dite humaniste en déclarant que les Rroms avaient « vocation à retourner en Roumanie ou en Bulgarie », qu’ils ne pouvaient “s’intégrer”. Disant cela, il ne faisait que reprendre des propos qu’il avait déjà tenus le 14 mars dans Le Figaro, où il disait : « L’insertion ne peut concerner qu’une minorité. Les occupants des campements ne souhaitent pas s’intégrer dans notre pays pour des raisons culturelles ou parce qu’ils sont entre les mains de réseaux versés dans la mendicité ou la prostitution ». 93 % des Français interrogés par BVA lui donnent raison, ce qui n’est pas une surprise puisqu’ils avaient déjà approuvé les mâles déclarations de l’UMP Christian Estrosi sur la question et n’avaient pas semblé particulièrement scandalisés par les propos du maire centriste de Cholet, Gilles Bourdouleix, selon lesquels « Hitler n’en aurait pas tué assez (de gens du voyage) », même si l’édile a contesté avoir prononcé cette phrase qui déclencha un concert d’indignations et des poursuites pénales immédiates — les media rappelèrent avec gourmandise que le fautif risquait jusqu’à cinq ans de prison ferme tandis que la formation à laquelle appartenait Bourdouleix et présidée par Borloo se joignit sur-le-champ à la meute ! —.

    Cette fois-ci l’indignation est moins unanime mais nombre de camarades socialistes de Valls dont le premier secrétaire du parti et ci-devant président de Sos-Racisme Harlem Désir, mais aussi Arnaud Montebourg (quoique ce dernier ait depuis fait machine arrière sur ordre) ou Marisol Touraine ont publiquement pris leurs distances avec le ministre de l’Intérieur.

    Daniel Cohn-Bendit évoque quant à lui un « discours idiot et dangereux », notant qu’ « il y a une soixantaine d’années, il y a des gens qui parlaient de la même façon des Rroms et des Juifs ». Décidément, on n’en sortira pas ! La très excitée Cécile Duflot s’est énervée lors des journées parlementaires des écologistes, à Angers, assénant : « On ne peut pas les stigmatiser ! » Encore ce mot magique “stigmatiser” ! Mais quand il s’agit des nationalistes et des catholiques opposés au “mariage” pour les invertis, là il est parfaitement permis et même recommandé de les stigmatiser voire de les violenter. Selon Duflot, Valls est « allé au-delà du pacte républicain » et la secrétaire nationale des Verts, par ailleurs ministre du gouvernement Ayrault (bravo la solidarité gouvernementale !), en a appelé au président de la République pour remettre le ministre dans le droit chemin. Ce qui ne fut pas le cas, Hollande, déjà très impopulaire, n’ayant aucun intérêt à désavouer son ministre le plus apprécié, qui plus est à quelques mois des élections. Quant à l’affreuse Viviane Reding, commissaire européenne à la justice, elle y est allée aussi de son petit couplet, exhortant, comme Amnesty International, la France à mettre fin aux « expulsion forcées ». Valls, qui se sait soutenu par l’opinion, n’est nullement revenu en arrière, déclarant même avec une certaine insolence : « Je n’ai rien à corriger, mes propos ne choquent que ceux qui ne connaissent pas le dossier ». On notera que ce n’est pas seulement la gauche et l’extrême gauche qui ont attaqué Valls, l’UMP Patrick Devedjian, ancien du mouvement d’extrême-droite Occident, ci-devant ministre de Fillon, a ainsi déclaré sur Beur FM : « La vraie politique, c’est de les intégrer (NDLR : les Rroms) un peu partout en Europe. Et une politique forte, forte, d’intégration, d’apprentissage, de scolarisation… Il faut leur donner du travail. Il faut leur donner un métier. » Ce qui en dit long sur l’imbécillité et la pleutrerie de ces politiciens dits de droite.

    Toutefois ces propos de Valls ne doivent nullement nous leurrer. Il ne s’agit là que d’une posture dont sont friands les ministres de l’Intérieur sous la Ve République. Lorsqu’un pouvoir est impopulaire (ce qui est très fréquent tant les régimes ploutocratiques sont incapables de satisfaire les peuples qu’ils dirigent), le titulaire de la place Beauvau est là pour multiplier des déclarations énergiques de nature à rassurer et à enthousiasmer l’électorat. Et dans cet exercice la droite et la gauche du Système excellent. On se souvient de Pasqua qui, dans les gouvernements Chirac (1986-1988) et Balladur (1993-1995), multipliaient les coups de menton et les déclarations martiales avec son compère Robert Pandraud. On se souvient encore de son fameux : « Il faut terroriser les terroristes ». Sous le second mandat de Chirac le même rôle fut dévolu à Nicolas Sarkozy qui fut ministre de l’Intérieur pendant quasiment tout le quinquennat et qui, par ses propos véhéments (nettoyer les quartiers au Karcher, se débarrasser de la racaille) mais parfaitement prémédités et sachant l’effet qu’ils ne manqueraient pas de produire sur une population en ayant assez de la délinquance et de l’immigration massive, se construisit à peu de frais une stature de présidentiable et conquit ainsi l’Elysée en 2007 dès sa première tentative. Dans le gouvernement Jospin, Jean-Pierre Chevènement avait eu recours aux mêmes méthodes, toujours aussi efficaces. Il avait ainsi évoqué les “sauvageons” pour dénoncer les Jeunes souvent issus de l’immigration et multipliant les actes dits d’incivilité, en fait de violence caractérisée. Cette fermeté apparente à l’égard des voyous mais aussi envers les séparatistes corses lui permit de bénéficier lui aussi d’un fort coefficient de sympathie dans l’opinion, ce qui le conduisit à quitter le gouvernement et à se présenter à la présidentielle en 2002 face au Premier ministre sortant. »

    Source

    http://www.contre-info.com/roms-la-fausse-fermete-de-manuel-valls-par-jerome-bourbon#more-29604

  • Epidémie d'impôts

    Lu dans Les 4 Vérités :

    "Une nouvelle maladie a fait son apparition en France et elle semble devenir endémique. Elle provoque une asphyxie du pouvoir d’achat des ménages, des caisses de retraite et de sécurité sociale, de l’industrie, et de l’économie en général. Les ministres, parlementaires et hauts fonctionnaires semblent développer une certaine immunité contre cette affection caractérisée par une accumulation de taxes. Il s’agit de la moscovicidose."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • De quoi le « contrôle au faciès » est-il le nom ?

    Aujourd’hui le tribunal de grande instance (TGI) de Paris doit rendre sa décision concernant la plainte collective déposée pour « discrimination », contre l’Etat et le ministère de l’Intérieur, par treize  personnes qui s’estiment victimes de contrôles d’identité abusifs  en raison de la couleur de leur peau.  Le Nouvel Obs rappelle que l’un des avocats des plaignants Félix de Belloy, aux côtés de son confrère Slim Ben Achour, s’était félicité en  avril 2012, depuis les marches du palais de justice de Paris ce  que cette action en justice soit   «une première en France ». Pour autant,  « à l’audience, qui s’est tenue début juillet, l’Etat, comme le parquet, ont préconisé de débouter l’ensemble des plaignants ».

     Le procureur Sylvie Kachaner  avait en effet  affirmé que « Ce n’est pas au tribunal de statuer là-dessus, mais au législateur ». «  Dans chaque dossier, le contrôle (était) justifié » et qu’il n’y a  « pas (eu)  de motif discriminatoire ».

     Elle avait demandé rapporte encore le Nouvel obs,  « à ce que les demandeurs soient déboutés. Avant que ne fasse part de sa stupéfaction et de son étonnement qu’on impute entre autres à la justice et à la police des contrôles au faciès sur des critères non démontrés et quasi imaginaires. Elle avait ajouté que « nul ici ne (pouvait) être pour le contrôle au faciès mais qu’aucun des treize cas n’échapp(ait) au cadre légal. Le parquet avait donc demandé aux juges de rejeter les demandes purement et simplement. »

     Ces personnes qui sont l’objet de contrôles d’identité «  se sentent stigmatisés en raison de leur origine, et du lien que fait la police entre l’origine et la couleur de peau et la propension à la violence », avait notamment dénoncé Slim Ben Achour à l’audience.

     Félix  de Belloy   indiquait que les plaignants    sont « des Français de tous âges et toutes catégories sociales » « qui travaillent, étudient, sont insérés, n’ont pas de casier » et sont contrôlés quand « ils marchent dans la rue, vont faire du sport, ou sont attablés en terrasse ». «  Il est temps que la République prenne la mesure et la conscience de ce que sont les contrôles d’identité pour une partie de la population » précisait encore Me de Belloy, qui est aussi romancier à ses heures perdues…

     Le candidat François Hollande, lors de la campagne présidentielle,  avait annoncé qu’il lutterait contre le «délit de faciès» lors des contrôles. Sous la pression des représentants des policiers, Manuel Valls,  soucieux de ne pas se mettre à dos ses « administrés » dés son entrée  en  fonction, avait abandonné l’idée, « un temps évoqué », d’une   « la remise d’un récépissé après un contrôle d’identité ». «  Le ministère de l’Intérieur a néanmoins annoncé le retour du matricule sur les uniformes et un nouveau code de déontologie de la police ».

     A l’appui de leurs dires, les plaignants et leurs avocats  citent une  étude menée en 2009 à Paris par une « fameuse » ONG, l’ Open Society Justice Initiative et le Centre national de la recherche scientifique (CNRS).  Selon cette étude et le rapport qui en a découlé,  intitulé «L’égalité trahie. L’impact des contrôles au faciès», «  les contrôles d’identité par la police à Paris se fondent principalement sur l’ethnicité et le style de vêtements portés par les personnes contrôlées et non sur la base d’un comportement suspect ».

     Ainsi  les personnes perçues (sic)  comme «noires» et «arabes» seraient  contrôlées respectivement six et huit fois plus que celles perçues (sic) comme «blanches».  « Dans certains endroits de France, quand on est noir, on a jusqu’à 11 fois plus de chances d’être contrôlé, jusqu’à 15 fois quand on est arabe. : «A refuser d’entendre les avertissements, on court le risque de favoriser l’éclosion d’une société plus fragilisée, plus fragmentée et plus dangereuse» était-il encore affirmé.

     Bruno Gollnisch relève de son  côté que l’on peut raisonnablement douter de la volonté des policiers effectuant des contrôles de harceler ou de stigmatiser une partie de la population sur un simple critère ethnique, bref de se livrer au « délit de faciès ». Nous allons le voir,  les raisons sont beaucoup plus prosaïques…et statistiques.

     Il convient aussi de douter de  l’impartialité de l’étude  commanditée  par Cet Open  Society Institute. Il s’agit en effet d’un des instruments  possédé par  le milliardaire mondialiste George Soros,  au rôle politique très trouble,  dont nous avons déjà fait état sur ce blog.    Très impliqué dans la défense des Roms, M. Soros est entre autres joyeusetés, un militant actif de la poursuite  d’une politique d’immigration soutenue des pays du Sud vers l’Europe.

     Rappelons aussi la polémique qui était née en mars 2010 lorsque le journaliste et essayiste Eric Zemmour qui avait été alors en but aux attaques du lobby dit « antiraciste »,   avait déclaré , invité d’une émission l de Thierry Ardisson que « Les Français issus de l’immigration sont plus contrôlés que les autres parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes… C’est un fait ».

     Un « fait «  confirmé  en « off », notions nous alors  par les magistrats et les  policiers,  notamment  par Maître Eolas sur son blog :  « Je pense en effet que les deux tiers des prévenus à une audience ordinaire sont typés noirs ou maghrébins (ce qui ne les empêche pas d’être le plus souvent français). (…) Mais il demeure ce fait : en région parisienne et dans les grandes villes, la population noire et maghrébine se taille la part du lion dans le box des prévenus, avec les gitans pour les juridictions du sud de la France. Aucune statistique fiable n’existe, puisque tout traitement de données sur des bases ethniques est interdit comme contraire à la Constitution »

     Alors avocat général à la cour d’appel de Paris, Philippe Bilger, avait pris la défense de M. Zemmour en écrivant sur son blog « je propose à un citoyen de bonne foi de venir assister aux audiences correctionnelles et parfois criminelles à Paris et il ne pourra que constater la validité de ce fait, la justesse de cette intuition qui, aujourd’hui, confirment un mouvement né il y a quelques années  années. »

     D’ailleurs  et Eric Zemmour n’avait pas manqué de le préciser dans un courrier envoyé aux chiens de garde de la LICRA, le sociologue franco-iranien Farhad Khosrokhavar de l ‘École des hautes études en sciences sociales ( EHESS),  estimait lui aussi,  dans son le livre L’Islam dans les prisons, qu’ entre 50 % et 80 % des détenus étaient  musulmans dans certaines prisons.

     Une  réalité souvent rappelée  par Bruno Gollnisch qui  lui, sans évoquer le critère religieux,  souligne plus spécifiquement la réalité du   poids  de l’immigration et des Français de papier dans le développement affolant de la criminalité.

    http://www.gollnisch.com/2013/10/02/controle-au-facies-il-nom/

  • Protégeons la liberté de conscience de nos élus

    Le Conseil Constitutionnel a été saisi le 18 septembre par le Conseil d'Etat à propos de la liberté de conscience des maires qui refusent de célébrer des mariages entre personnes de même sexe (circulaire Valls prise en application de la Loi Taubira). François hollande avait promis cette clause de conscience au congrès des maires en 2012 avant de se rétracter sous la pression du lobby LGBT.

    L'audience du Conseil Constitutionnel se tiendra mardi 8 octobre 2013. D'ici là, mobilisons-nous massivement pour aider nos élus et démontrer au Conseil Constitutionnel qu'il s'agit d'un problème de fond et non l'expression de quelques cas isolés. Soutenez vos élus par deux actions :

    En proposant à des maires et à leurs adjoints de rejoindre la procédure judiciaire en cours en signant un « mémoire en intervention » :  Plus de 300 officiers d'Etat civil ont déjà signé.

    En signant et en faisant signer autour de vous la pétition en faveur de l'objection de conscience des maires et adjoints : Déjà 80 000 signatures.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Dounia Bouzar veut déchristianiser la France ! par Éric MUTH

    On croit rêver, Jean-Marc Ayrault, premier ministre a nommé dimanche Dounia Bouzar à l'Observatoire de la laïcité. Convertie à l'islam à 27 ans, cette dame en profite pour annoncer clairement ses positions antichrétiennes. Elle propose en effet de remplacer deux fêtes chrétiennes par Yom Kippour et l'Aïd.
    Dounia Bouzar, anthropologue et spécialiste du fait religieux à ses heures, estime que la France doit continuer à montrer l'exemple d'un état assumant son crédo laïc : " Je pense que la France a montré l'exemple de la laïcité au monde en instaurant la première la liberté de conscience, d'avoir la religion de son choix ou de ne pas croire en Dieu. Elle doit donc continuer à montrer la voie. Aujourd'hui tous les Français fêtent Noël et je pense qu'il faudrait également qu'un de nos jours fériés soit celui d'une fête juive et d'une fête musulmane".
    LA FRANCE DOIT RESTER CHRETIENNE !
    Ne vous en déplaise, Madame, la France est et restera chrétienne jusqu'à la fin des temps. Cette puissance catholique issue de nos Rois a su se maintenir et prospérer plus d'un millénaire. A nous de  résister aux mensonges et aux calomnies. Ce qu'oublie de dire Dounia Bouzar c'est que l'islam s'est lancé dans la guerre sainte contre la France. Les français doivent  être conscients que l'avenir sera souffrance si rien n'est fait pour arrêter la machine infernale de l'islamisation de leur patrie. Les islamistes se placent au-dessus des lois de la république et le gouvernement socialiste ferme volontairement les yeux, pire, il y a connivence, puisque la famille ne doit plus exister.
    Mahomet n'avait-il pas dit selon Sahih Mouslin que : " J'ai été désigné pour combattre les hommes aussi longtemps qu'ils ne disent pas il n'y a de Dieu qu'Allah ". Les propositions de Dounia Bouzar sont une insulte à ceux qui ont la foi, à ceux qui vivent au quotidien les bienfaits de Jésus-Christ.
    « A FORCE DE TOUT TOLERER L'ON FINIT PAR TOUT ACCEPTER... À FORCE DE TOUT ACCEPTER L'ON FINIT PAR TOUT APPROUVER.. », disait Saint Augustin.

    http://www.francepresseinfos.com/2013/09/dounia-bouzar-veut-dechristianiser-la.html

  • L'extrême-gauchisme des Verts

    Daniel Cohn-Bendit et Noël Mamère ont quitté les Verts, regroupés depuis 2010 sous l’appellation Europe Écologie-Les Verts (EELV). Antoine Waechter a été, de 1986 à 1993, président de ce mouvement avant de le quitter pour créer le MEI (Mouvement écologiste indépendant). Il explique à Minute :

    M"Depuis la création des Verts, en 1984, il y a au sein du mouvement deux courants qui s’affrontent : un courant d’extrême gauche et un courant plus sincèrement écologiste, qui pense que l’écologie n’est ni de gauche ni de droite. Quand, de novembre 1986 à novembre 1993, j’ai été président des Verts, le courant d’extrême gauche a été mis sous l’éteignoir. Mais force est de constater qu’avec les années, avec des dirigeants comme Dominique Voynet, Noël Ma mère ou Daniel Cohn-Bendit, il est devenu majoritaire. [...]

    Dans tous les partis, il y a des tensions. Mais chez les Verts, il y a une culture d’extrême gauche qui refuse tout leader qui serait capable d’imposer une unité, de fixer une ligne de conduite. Regardez : même Daniel Cohn-Bendit, qui semblait pouvoir apporter une certaine crédibilité, a fini par partir, fatigué par les querelles intestines… Chez les Verts, c’est une règle : celui qui réussit ou peut réussir doit être dégommé ! [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • En Seine-Saint-Denis, la charte de la laïcité peine à s’appliquer

    PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) – La charte de la laïcité est une mesure cosmétique sans incidence concrète sur la réalité. Ainsi, Rachida est bien allée hier au château de Guédelon avec la classe de CM1 de sa fille, école située en Seine-Saint-Denis. Pourtant, jeudi dernier, l’institutrice avait expliqué à cette femme voilée qu’elle ne pourrait pas accompagner la sortie scolaire. Mais devant l’indignation et la mobilisation des parents d’élèves, la direction de l’établissement a fini par céder.

    Inadaptée, la charte de la laïcité semble donc condamner à rester lettre morte. Il est vrai que si l’on affirme que l’islam est compatible avec la République française, on voit assez mal pourquoi ceux qui le pratiquent devraient être mis à l’écart de certaines activités collectives.

    À force de ne pas vouloir trancher les questions de fond, on se condamne ainsi à la plus complète impuissance.

    http://fr.novopress.info/141869/en-seine-saint-denis-la-charte-de-la-laicite-peine-a-sappliquer/

  • Le « M. Contravention » du ministère de l’Intérieur fait payer les siennes par le Trésor public…

    Selon Mediapart, le haut fonctionnaire du ministère de l’Intérieur, à la tête d’une agence chargée de traiter les infractions établies par les radars routiers, aurait « fait payer par son administration -c’est-à-dire par le Trésor public- les contraventions routières du dimanche dont son véhicule de fonction, une Peugeot 508, fait l’objet ».

    Devant l’énormité de l’affaire, le ministère de l’Intérieur a du se résigner à ouvrir une enquête sur les agissements du directeur de l’Agence nationale de traitement automatisé des infractions (Antai), Jean-Jacques Debacq.

    En poste depuis avril 2011, le préfet, titulaire de la légion d’honneur selon Direct Matin, est toutefois maintenu dans ses fonctions…

    Il aurait également échappé au retrait de points sur son permis de conduire que les infractions auraient dû entraîner. Mediapart dit avoir retracé « une douzaine de contraventions » attachées au véhicule de fonction du préfet, « soit près de 700 euros » qui auraient été réglées par mandats administratifs.

    Mais faut-il s’étonner que ces gens-là, dont le métier est de racketter les citoyens, n’aient aucune morale ?

    http://www.contre-info.com/

  • Mensonges et « malaise profond »

    Au-delà de leur euromondialisme militant,  quel  est le point commun entre Valérie Pécresse et Manuel Valls ? La sincérité bien sûr ! Qui peut ainsi douter de la bonne foi de l’ex ministre UMP lorsqu’elle  s’indigne des propos «contraires aux valeurs de respect de la personne humaine qui fondent tout mon combat politique » (sic) que lui prête  son  ex collègue  Rama Yade? Dans son «livre», cette dernière  rapporte qu’en 2010 la très antiraciste Mme Pécresse,  alors tête de liste UMP en Ile-de-France, lui aurait proposé d’être candidate dans le Val d’Oise « Parce qu’il y a beaucoup d’Africains là bas qui ont zéro degré de sens politique. Et toi tu sauras leur parler » (sic). Comment douter également  de la croyance de M. Valls dans la validité de sa réponse à la montée d’une délinquance en constante progression sous son règne  comme sous  celui de  ses prédécesseurs  place Beauvau ?

     Le ministre  de l’Intérieur ne s’est pas contenté de  sermonner  hier le buraliste marseillais des quartiers sud  qui, braqué pour la seconde fois en quelques semaines,   a tiré une  balle au caoutchouc contre un de ses trois  agresseurs, lequel a été légèrement blessé. « C’est à l’Etat d’assurer la sécurité » (on ne  lui fait pas dire…)  a  grondé Manuel  Valls,   lequel a été a contrario tout miel avec les policiers  lors son deuxième discours annuel aux forces de sécurité.

     Malgré les chiffres effrayants pointant  la montée des violences et d’une  insécurité multiforme, M. Valls a vanté les « résultats obtenus ». Or selon « le nouvel outil d’analyse de la délinquance » mis en  place par le ministère  de l’Intérieur et que Le Figaro détaillait dernièrement –voir notre article en date du 10 septembre- , « sur un an, d’août 2012 à juillet 2013, tout ou presque vire à l’écarlate: les atteintes à l’intégrité physique (+2,9%) et, parmi ­celles-ci, les violences sexuelles ­(+10,4%) ; les atteintes aux biens (+3,5%), parmi lesquels les cambriolages (+9,3%) ; enfin, les infractions économiques et financières (+5,9%).

     Les policiers ne sont  en fait pas dupes et sont  sans illusions sur  le  vœu du ministre socialiste  de créer de nouvelles ZSP  (zones de sécurité prioritaires) en 2014. A l’ entendre celles-ci auraient   permis  une baisse sensible (toute relative)  des violences  urbaines.

     Dans les faits  constatent les personnels des forces de l’ordre qui nous ont contacté,   les ZSP consistent   surtout à déshabiller Paul pour habiller Pierre. En dehors de ces zones où les forces de l’ordre sont invités à s’investir, la criminalité croît partout ailleurs, les voyous commettant leur forfait dans les zones  désertées par les force de sécurité faute d’effectifs et de moyens

     Cet échec à juguler la délinquance, qui s’ajoutent aux autres, est bien sûr  une des causes  des mauvais sondages pour l’exécutif socialiste. Certes,  selon une enquête   Ifop pour le Journal du dimanche, « seulement » un Français sur quatre (26%, dix points de plus tout de même qu’en janvier 2008)  envisage de sanctionner François Hollande lors des élections municipales de mars 2014Les considérations  localesle poids des clientélismes restent des paramètres souvent  décisifs, c’est pourquoi Marine Le Pen refuse de  crier victoire trop tôt car  « ces élections sont difficiles pour le Front National » qui a toujours eu quelques difficultés  «  à s’implanter localement » note-t-elle.

     Implantation locale qui est aussi tributaire du nombre des électeurs français. Or, comme le soulignait dernièrement Julien Sanchez, candidat du FN à Beaucaire (Gard), dans beaucoup de communes c’est une véritable course contre la montre qui est engagée.  « C’est la dernière fois que le Front National peut gagner Beaucaire a-t-il dit  car dans six ans, l’immigration sera majoritaire dans cette ville »…comme elle l’est déjà dans de nombreuses communes dirigées majoritairement par la gauche socialo-communiste constate Bruno Gollnisch…

     Pour autant, comme le  souligne (s’en inquiète)  Le Monde,  «le spectre du FN n’en finit pas de planer sur la rentrée politique. Un sentiment de panique semble envahir les partis de gouvernement, du PS à l’UMP». « Au sein des partis de gouvernement, on craint particulièrement que la séquence électorale en trois temps (Municipales, européennes, puis régionales en 2015, NDLR)  qui va s’ouvrir en 2014 profite largement à l’extrême droite. »

     « L’instabilité qui saisit la majorité s’explique surtout par le fait que, pour l’instant, personne n’a trouvé le moyen de stopper l’ascension frontiste. Chacun y va donc de son plan. Ainsi, le PS subit la cacophonie des courants, clubs et autres sensibilités (…). »

     «Parallèlement, les écologistes traversent une énième crise interne entre partisans d’une sortie du gouvernement et défenseurs du statu quo. Si l’on ajoute au tableau les radicaux,  vent debout contre la loi sur le non-cumul et un Front de Gauche en proie à une lutte entre le jusqu’au-boutiste Jean-Luc Mélenchon et le communiste Pierre Laurent, plus sensible que lui aux enjeux de pouvoir municipaux, le malaise est profond au sein des formations politiques de gauche (…). »

     « Le tableau n’est pas plus réjouissant à l’UMP constate encore  Le Monde, trop affaiblie pour attirer les électeurs tentés par le FN (…).  Sans boussole, minée par les ambitions présidentielles, la droite affiche ses divisions et peine à incarner une alternative. (…) Comme le PS, l’UMP n’a pas trouvé la recette pour résister à la poussée de l’extrême droite. Pire, le parti se divise sur la stratégie à adopter face au FN. »

     Dans ces conditions comment s’étonner là aussi de l’enquête BVA-Orange pour L’Express, la Presse Régionale et France Inter publié lundi. Elle  indique que 63% des « sympathisants de droite et des sympathisants UMP »  préfèrent Marine Le Pen à François Hollande (29%). Notons encore que pour la première fois, et tous Français confondus, Marion Maréchal-Le Pen est créditée dans ce même sondage  de 18% d’opinions favorables  ( +3 points ),  devançant Cécile Duflot 16 %, – 7 points) et  Harlem Désir (12 %, -2).

     Cette cote de sympathie  dont jouissent Marine et le FN est incontestablement une pierre dans le jardin des dirigeants  de l’UMP,  du  tandem Copé-Fillon.  Ce dernier s’est  encore signalé dimanche lors d’une réunion Saint-Just-Saint-Rambert (Loire) en réaffirmant  que « le programme du Front National est économiquement absurde et politiquement dangereux ». Au vu  de la politique souvent calamiteuse  qui fut la sienne à   Matignon, les sympathisants  de droite,  comme les autres Français assure Bruno Gollnisch,  sont en droit d’attendre un peu plus de modestie et de modération dans les jugements de l’ex Premier ministre…

    http://www.gollnisch.com/2013/10/01/mensonges-malaise-profond/