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anti-national - Page 936

  • Allemagne : l’élu de gauche radicale Ruth Kampa était un agent de haut niveau de la Stasi

     

    Allemagne : l’élu de gauche radicale Ruth Kampa était un agent de haut niveau de la Stasi

    BERLIN (NOVOpress avec le site de Lionel Baland) - Ruth Kampa (ci-dessus), présidente exécutive du groupe des élus du parti post-communiste die Linke (issu de la réunion des anciens communistes d’Allemagne de l’Est et de l’aile gauche du Parti socialiste allemand, le SPD – qui plus est allié au Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon) au sein du Parlement allemand et bras droit du chef de file des députés de die Linke au sein du Parlement allemand – Gregor Gysi -, était, selon les révélations du quotidien die Welt, un agent important de la Stasi (Sécurité d’État) à l’époque de la République démocratique allemande (RDA).

    http://fr.novopress.info/141963/allemagne-lelu-de-gauche-radicale-ruth-kampa-etait-un-agent-de-haut-niveau-de-la-stasi/

  • En marche vers le néo-totalitarisme

    En ce printemps 2013, alors que l’autoritarisme étatique impose une loi destructrice de civilisation tendant à l’indifférenciation sexuelle et à la négation de la Nature, il est désormais clair que le Parti socialiste est à la pointe de l’oppression sociale et politique.

    Ce parti et ses forces supplétives (medias de propagande et groupuscules ou associations gauchistes) agissent d’une part pour renforcer  l’oppression économique des Français par leur mise en esclavage, grâce à une dette artificielle, d’autre part pour accélérer l’oppression psychologique, par le biais d’un projet chargé d’inhiber la construction de l’individu autonome. La loi de dénaturation du mariage est en effet un élément-clef d’une stratégie d’organisation d’un chaos global, portant atteinte à la subjectivité individuelle. Passivité, déracinement, perte de repères, tendance à la dépression, liens sociaux et familiaux fragilisés sont les objectifs d’une oligarchie qui souhaite sécuriser son pouvoir sur le long terme. Pour parvenir à ses fins, elle dispose désormais de la technologie et des medias de masse à un niveau de développement tel qu’elle ne peut résister à la tentation d’une oppression renforcée. Pour ces néo-totalitaires, l’individu conscient et capable d’esprit critique, nouant librement des liens avec sa collectivité, représente l’ennemi à abattre, l’éternel opposant potentiel dont il faut empêcher la naissance.

    Les totalitarismes du XXème siècle ne renaîtront pas. Ils seraient désormais d’une totale inefficacité, et seule l’imbécillité gauchiste entretenue peut encore dénoncer la fiction de leur menace, passant dès lors à côté de la nouvelle forme de totalitarisme qui se met en place insidieusement, mais implacablement. Désormais, le néo-totalitarisme vise à reprogrammer l’individu de manière à le contrôler de la naissance à la mort en altérant efficacement son individualité par l’analphabétisme, l’abrutissement médiatique, le pseudo-divertissement décérébrant, le déracinement, ou encore la perte de l’origine biologique. Le projet d’artificialisation de l’existence individuelle entame sa marche déshumanisante, de la conception par le laboratoire à la disparition par le suicide assisté et l’euthanasie. Le contrôle social totalitaire décrit par Aldous Huxley dans son « Meilleur des mondes » n’est plus du seul ressort de la fiction littéraire, mais devient progressivement réalité. De plus, ce projet d’asservissement se pare de mots et de concepts falsifiés et vidés de leur sens, comme la liberté, l’égalité, l’amour et l’épanouissement individuel. L’utilisation à outrance d’un langage dénaturé permet ainsi d’accélérer l’invasion des consciences. L’infantile « jouir sans entraves » récupéré par la publicité et les medias est revisité par l’Etat moderne et s’avère même d’une grande utilité pour ces oppresseurs d’un type nouveau.

    La société néo-totalitaire, reflet de la dictature de l’Economie sur les hommes, ne peut tolérer que la réalité objective d’une Nature persiste à lui échapper dans un quelconque secteur. La falsification s’est donc imposée partout, de la nourriture de masse à l’air que l’on respire, de la culture muséifiée à l’aménagement de l’espace et, désormais, jusqu’à la possibilité de rencontre et à la sexualité. Tout doit passer sous les fourches caudines du profit et de la marchandisation, y compris l’identité biologique et sexuelle des individus. En effet, au supermarché des pseudo-choix des êtres atomisés de l’avenir, il sera possible de choisir son sexe et d’en changer avec enthousiasme selon l’opportunité offerte par les rendez-vous festifs imposés par le Pouvoir.

    Le meilleur moyen de fabriquer en série des individus soumis consiste à leur retirer toute possibilité d’identification à une culture, à une langue, à une histoire, à un territoire, à une origine biologique avec père et mère identifiés, et même à un sexe défini. L’homme nomade vanté par un Attali, sans attaches, dénué de passé et d’avenir, socialement fragilisé, est sciemment planifié. Toujours plus en déshérence, il sera livré à son seul narcissisme, à la consommation d’images, de flux sonores en continu et d’antidépresseurs. La culture « hors sol et hors sexe » du néo-individu répond à une feuille de route rédigée par ces totalitaires d’un genre nouveau, qui se parent des attraits usés d’un hédonisme de bazar et d’une apologie de l’amour estampillé par l’Etat.

    Longtemps cible de la critique et de l’opposition aux pouvoirs en place, la famille fut perçue par certains comme l’unité de base de l’oppression, garante d’un ordre moral honni. C’est sans doute l’une des erreurs les plus absurdes des mouvements critiques du XXème siècle, et cet acharnement sur la famille constituait finalement l’expression d’une vision bornée, signe de reconnaissance pour des « petits-bourgeois » à la recherche d’une posture de révolté.  Pourtant, la famille, base naturelle de la vie en société, demeure l’unité la plus apte à protéger l’individu. En effet, malgré sa fragilisation par le divorce et l’immixtion massive du spectacle médiatique et du divertissement de masse en son sein, elle est un obstacle à l’avancée du Marché et à la formation des profits. Par conséquent, la famille doit être dénaturée, voire détruite, transformée en de nouvelles formules d’associations, microgroupes à durée de vie réduite, ersatz appauvris et dégradés de la famille originelle. Le Pouvoir, ayant bien compris que le désordre moral et le relativisme nihiliste représentaient des outils de contrôle social particulièrement efficaces, a donc tout naturellement fait de la famille sa cible privilégiée. Le projet de déconstruction va s’accélérant, élément-clef sur lequel  aucun recul n’est envisageable. Dans l’optique de tétaniser les foules placées devant le fait accompli, la production d’irréversibilité est devenue une technique de gouvernement.

    Ce projet, le Parti Socialiste est le mieux à même de le mettre en pratique, à la différence des partis de droite, qui partagent, certes, les mêmes choix économiques ultra-libéraux, mais sont encore bridés par un électorat rétif aux bouleversements nihilistes du « tout se vaut » et à la destruction programmée de toute common decency chère à George Orwell.  La Gauche use, quant à elle, d’une remise en question permanente des mœurs afin d’occulter la question sociale. Elle rencontre toujours  une complicité insolente et puérile à l’extrême-gauche, dont l’absence totale de culture politique reste la caractéristique principale. Le gauchisme des années 70, qui manifestait déjà à cette époque son incompréhension complète de l’oppression moderne, a logiquement engendré des successeurs toujours plus dérisoires, enfants du festivisme, de la banalisation des drogues et d’un relativisme libertaire de salon, aboutissant à un stade encore plus avancé d’inconscience politique et de bêtise individuelle.

    Face à cette nouvelle oppression totalitaire qui fonctionne à partir d’ingrédients tels qu’une fausse liberté sexuelle mortifère, la banalisation des drogues, le relativisme moral et la jouissance marchande instantanée, le « peuple de gauche » se retrouve totalement démuni. Gavé à l’idéologie festive pendant trois décennies, il est incapable d’opposer la moindre résistance au rouleau compresseur relativiste du politiquement correct le plus autoritaire. Alors, dans une France en décomposition, en ce printemps 2013, les familles catholiques, toutes générations confondues, solidement ancrées sur l’exigence de dignité humaine, ou encore l’ensemble des individus plutôt orientés idéologiquement à droite composent l’immense majorité des rangs  d’un mouvement de résistance lucide aux projets liberticides actuels. Si l’on ne peut que s’en féliciter, il faut espérer que cette population, d’habitude silencieuse et oubliée des medias, identifie le véritable moteur du néo-totalitarisme en marche : la marchandisation forcée de l’ensemble de la vie humaine, à des fins lucratives et répressives, de la naissance à la mort, jusqu’à l’intimité biologique et psychologique des individus.

    Le « meilleur des mondes », ce cauchemar déshumanisant actuellement en progression, peut être vaincu. Mais cette victoire suppose la perception préalable de la complémentarité étroite qui lie deux domaines en apparence séparés : d’une part l’oppression politique et économique du Capital mondialisé devenu nihiliste, d’autre part l’oppression psychologique et spirituelle qui œuvre à la dénaturation globale des mœurs et au recul de l’intelligence moyenne.

    Dette des Etats, destruction des enseignements à l’école et théorie du genre appartiennent à la même feuille de route.

    L’espoir d’un monde qui préserve la dignité humaine et s’oppose à la réification, pour le bien des générations futures, réside dans notre aptitude à saisir toutes les composantes du projet de l’adversaire afin de déjouer l’avenir funeste conçu par une oligarchie dénuée de tout scrupule.

    Peuple de France résistant, encore un effort pour devenir révolutionnaire !

    Alexandre Dunois http://www.printempsfrancais.fr/3650/en-marche-vers-le-neo-totalitarisme/

  • Paris : obligation de déclarer les regroupements de 2 vélos

    La préfecture de police de Paris refait parler d'elle

    "Comme l'appel au rassemblement (sans volonté de bloquer la circulation) n'était pas déclaré en Préfecture (il aurait sans doute été refusé), les responsables de l'association Vélorution ont été convoqués mercredi 2 octobre à la Préfecture de Police de Paris. Vélorution nous a indiqué s'être vu rappelé à l'ordre pour avoir "organiser des 'randonnées' sans les déclarer au préalable auprès de la Préfecture".

    Et pourtant, Camille Carnoz de Vélorution dénonce : "Il n'y a pas de désobéissance, car nous respectons le Code de la route. Au contraire, nous cherchons à démontrer toute notre légitimité à circuler sur cet espace public. Notre action est légale : nous avons le même droit que les voitures à constituer le trafic routier en ville".

    Du coup, l'association a demandé des précisions sur la définition exacte d'une randonnée, d'un groupe de cyclistes et les obligations de déclaration d'un parcours.

    Ils sont eu la réponse suivante :

    • une unité constituée de cyclistes commence à partir de deux
    • toute unité constituée de cycliste est une randonnée
    • toute randonnée doit faire l'objet d'une délaration préalable.

    "C'est évidemment absurde" s'insurge Camille Carnoz de Vélorution.

    Cela signifie, qu'en théorie, tout regroupement qui compte au moins deux cyclistes devrait faire l'objet d'une déclaration préalable en Préfecture..."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les veilleurs à Nantes

    Les Veilleurs nantais se réunissaient hier soir sur le thème de l'éducation. "L'éducation, c'est la famille qui la donne ; l'instruction, c'est l'état qui la doit" disait Victor Hugo.

    VL'étude de ce thème se poursuivra demain au cours d'un colloque :

    N

    Michel Janva

  • Marché juteux de l'eugénisme et de la PMA : des Américains déposent un brevet

    et des chercheurs européens critiquent la méthode, mais pas la finalité naturellement : 

    ""Il est clair que sélectionner des enfants de la manière préconisée par la méthode brevetée par la société 23andMe est hautement discutable sur le plan éthique", écrivent les quatre auteurs d'un commentaire publié jeudi par la revue Genetics in Medicine (qui fait partie du groupe Nature).

    Après cinq ans d'attente, la société 23andMe a réussi à faire breveter une méthode de sélection des gamètes des donneurs basée sur des calculs génétiques réalisées par ordinateur.

    La méthode décrite dans la demande de brevet prévoyait de sélectionner les donneurs d'ovules ou de spermes de manière à améliorer les chances de produire un bébé ressemblant aux caractéristiques souhaitées par le couple bénéficiaire.

    Parmi celles-ci, peuvent figurer la taille, le sexe, la couleur des yeux, certains traits de personnalité ou encore les risque de développer une dégénérescence maculaire liée à l'age (DMLA) et certains types de cancer.

    La société 23andMe reconnaissait toutefois que la méthode n'était pas infaillible et qu'il s'agissait seulement de faire en sorte que le bébé aient des chances "accrues" d'avoir les traits souhaités dans le cadre d'une procréation médicalement assistée (PMA).

    "L'utilisation du diagnostic préimplantatoire pour éviter l'implantation d'embryons porteurs de graves anomalies génétiques est en passe de devenir une pratique courante [sic. NDL], mais l'utilisation d'un programme informatique pour sélectionner les donneurs de gamètes afin d'aboutir à un bébé ayant les traits souhaités par ses parents semble avoir des implications beaucoup plus vastes, car ce processus implique la sélection de traits qui n'ont aucun lien avec une maladie" écrivent les chercheurs, dirigés par Sigrid Sterckx, de l'Institut de bioéthique à Gand en Belgique".

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Tony Anatrella : L’homophobie est un argument qui pénalise la pensée

    L’Éducation nationale met en place un vaste programme pour banaliser les orientations sexuelles. La dictature des moeurs arrive !

    Les activistes de la lutte contre l’homophobie s’inquiètent de l’augmentation des témoignages de personnes se plaignant de discrimination du fait de leur orientation sexuelle.

    Il faut dénoncer ces actes, mais il est injuste de prétendre que les débats autour du “mariage pour tous” en sont la cause. Elle est davantage à chercher dans le système politique qui se met en place au nom des orientations sexuelles. Depuis quand les pulsions partielles devraient-elles gouverner la société ?

    L’homophobie est un argument qui pénalise la pensée et masque les enjeux de l’homosexualité. Exemple. Un garçon de 15 ans a confié à l’un de ses copains qu’il était bisexuel et lui fait des propositions. Lors d’un match de foot, il se montre si maladroit que le copain qui a refusé ses avances révèle devant les autres son inclination, lui attirant les remarques désagréables du groupe. On peut le regretter, mais s’agit-il d’homophobie, pour autant que ce mot ait un sens ? Ou n’est-ce qu’une réaction classique d’un garçon face à un comportement aguicheur contraire à ses intérêts psychiques qui s’articulent sur l’altérité sexuelle ? L’adolescent se demande pourquoi il attire ce type de personnalité ; il en est troublé et irrité. En réalité, il réagit pour ne pas régresser dans la phase du miroir qui le collerait au même que soi, ni être entraîné dans l’indifférenciation première où l’autre n’est que le prolongement de soi, ni douter de son désir.

    Dans la psychologie sexuelle de l’enfant comme de l’adolescent, la logique qui fonde l’unité interne de son lien sexuel se réalise dans l’altérité des sexes. Cette unité concourt, dans le meilleur des cas, à affermir la confiance en soi, à donner de la cohérence au self et à être authentique.

    Cette dynamique psychique se comprend au moment où, à l’adolescence, le sujet va intégrer son corps sexué qui se modifie dans la cohérence de son identité sexuelle. Une opération psychique à un moment fragile lorsque l’enfant, à l’identité pubertaire hésitante, cherche à consolider son inscription dans la différence sexuelle. La fixation infantile aux premières identifications narcissiques peut être la cause d’incertitudes identitaires à travers la bisexualité, d’échec du remaniement de ces identifications qui achemine vers l’homosexualité ou encore du refus d’intérioriser son corps sexué en valorisant le corps de l’autre sexe. La recherche de l’égalité est un leurre : au lieu de penser la sexualité en termes d’identité, sous l’influence de la théorie du genre, on l’impose en termes d’orientations sexuelles, ce qui n’est pas la même chose. [...]

    La suite sur Valeurs Actuelles

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Tony-Anatrella-L-homophobie-est-un

  • Visage pâles en danger, cachez ce racisme que je ne saurais voir…

    Dans son ouvrage Sale Blanc ! Gérald Pichon livre une enquête sur ce qu’il considère être aujourd’hui la haine raciale la plus répandue en France, et dans le même temps la plus niée. Il y décrit aussi la haine de soi-même d’une société tout entière, incapable de reconnaitre que l’autre n’est pas forcément une victime. Il y assène une démonstration rigoureuse et foisonnant de chiffres et d’exemples. Entretien avec l’auteur :

    Minute : Tout d’abord, Pourquoi avoir demandé à Pierre Sautarel de préfacer votre ouvrage ?

    Gérald Pichon : Tout simplement parce qu’il est le principal animateur du site Fdesouche, incroyablement vilipendé alors qu’il a largement contribué à faire émerger dans le débat public la question du racisme anti-Blancs et/ou anti-Français. Je pense d’ailleurs que c’est une des principales raisons de son succès.

    Et qu’est-ce qui vous a poussé à écrire cette enquête ? Avez-vous vous-même été confronté au racisme anti-blancs que vous décrivez dans votre ouvrage ?

    Ce qui m’a poussé à écrire Sale Blanc! c’est d’abord et avant tout l’envie de faire connaître cette réalité occultée par les médias et l’immense majorité de la classe politique. Ils nous ont menti pendant des décennies sur le prétendu racisme des Français de souche, dépeints le plus souvent comme d’affreux xénophobes incapables de s’ouvrir à la « diversité », alors que – comme s’efforce de le démontrer mon enquête – ce sont au contraire les « petits Blancs » qui sont les principales victimes de la haine raciale en France.

    Le plus grave, c’est que la classe politico-médiatique préfère se taire alors qu’elle est très bien informée des agressions, des meurtres, des viols ou des insultes qui touchent les Blancs à cause de leur couleur de peau! Sans doute considère-t-elle que ces milliers de victimes sont le prix à payer pour achever de transformer la France en société multiraciale. Ayant vécu dans les banlieues de l’immigration, j’ai vu comment cette fracture ethnique s’est développé et comment ils ont tout fait pour étouffer cette réalité.

    Français ou Blanc, pour les bandes ethniques, c’est pareil !

    Racismes anti-Blancs, anti-Français, anti-Occidental sont souvent traités d’un même bloc dans votre enquête, entretenant une certaine confusion. Pensez-vous que ces sentiments reposent sur les mêmes ressorts ?

    Visage pâles en danger, cachez ce racisme que je ne saurais voir...

    Gérald Pichon

    Ces trois haines, car je préfère parler de haine envers les Blancs dans mon ouvrage, n’ont pas précisément, ou pas toujours, les mêmes ressorts idéologiques. Cette confusion est plutôt entretenue par les médias, la justice et souvent les victimes elles-mêmes. Car il faut être franc: plus de trente ans d’idéologie antiraciste à la sauce Harlem Désir empêche le plus souvent les agressés de comprendre les motivations raciales de leurs agresseurs.

    Il y a un tel décalage entre la propagande quotidienne sur le mon de merveilleux du « vivre en semble » et cette réalité du racisme anti-Blancs que les victimes ont du mal parfois à se dire que la seule couleur de leur peau peut susciter la haine. Alors, elles vont broder des explications fumeuses, préférant trouver des excuses à leurs bourreaux, plutôt que de regarder la vérité en face. Les bandes ethniques, elles, voient seulement un petit Blanc, donc une proie facile car sans communauté pour le protéger et sans réflexe de préservation identitaire.

    Selon vous, pourquoi cette forme particulière de racisme est-elle si peu condamnée (moralement, politiquement, et même dans les tribunaux) ?

    Elle n’est pas condamnée car elle va à l’encontre du dogme voulant que les victimes du racisme en France, en Europe et dans le monde soient les extra-Européens, et donc que le raciste est forcément un hétérosexuel blanc, accessoirement misogyne et « beauf ».

    Il y a depuis un an, avec les déclarations de Jean-François Copé puis la « nouvelle donne » voulue par la Licra, un timide revirement sur le traitement du racisme anti-Blancs. Il faut savoir que lors de son dernier congrès, en février 2013, la Licra a affirmé vouloir prendre en compte la « nouvelle donne » antiraciste en évoquant le racisme venant des populations issues de l’immigration. Je considère cela plutôt comme une grossière tentative de récupération mais surtout, encore plus pervers, comme un moyen d’amener ce sujet sur une voie de garage.

    Puisque cette réalité est devenue si criante désormais qu’ils ne peuvent plus la nier, alors ils vont tout faire pour la minorer. Les tribunaux commencent à s’occuper, timidement aussi, de cette haine mais on est très loin de la réalité des faits. Car condamner c’est laisser une trace statistique, et si la police et la justice s’occupaient de toutes les affaires où les Blancs sont victimes de haine raciale, les rapports officiels seraient obligés d’expliquer à l’opinion publique que ce sont les « visages pâles » que l’on attaque en très grande majorité à cause de leur couleur de peau, et non l’inverse.

    Propos recueillis par Marc Bertric

    * Sale Blanc ! de Gérald Pichon, éditions IDées, 110 pp., 12 euros. A commander sur : editions-idees.com

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 2 octobre 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

    Visage pâles en danger, cachez ce racisme que je ne saurais voir...

    http://fr.novopress.info/141921/visage-pales-en-danger-cachez-ce-racisme-que-je-ne-saurais-voir/

  • Vincent Peillon interpellé

    ... par une mère de famille à Caen :

    "J’arrive au carrefour avec la rue de la Délivrande, bloquée par un cordon de CRS, mes drapeaux coincés dans mon jean et une bannière rose pliée à la main. Je reconnais un des RG et le salue. Une femme de la police, accompagnée d’un collègue, m’ordonne alors de manière très agressive de partir tout en me prenant par les épaules. Je m’indigne et tente de discuter avec eux. Rappliquent alors 5 CRS casqués qui me repoussent avec leurs boucliers. Je freine des pieds, perds mes chaussures… et prends les passants à témoin de la brutalité des forces de l’ordre. A 7 contre une, forcément…

    Je suis finalement “raccompagnée” jusqu’à ma voiture, sous le choc mais très énervée, maintenant plus déterminée que jamais à entrer dans l’amphithéâtre où V. Peillon tient sa conférence.

    Je me faufile discrètement par une entrée (oubliée ?), me repère, aperçoit le ministre en pleine interview télé. Que dois-je faire ? Un esclandre, l’aborder simplement, sortir mon drapeau de ma poche ?

    Finalement, l’arrivée du Préfet devant moi décide de la suite : je monte sur mon banc et apostrophe le ministre : “Monsieur Peillon !” Panique chez les RG… Il n’a d’autre choix que de se diriger vers moi, il me prend la main pour me faire descendre et je commence à expliquer combien la “théorie” du genre est néfaste pour les élèves, surtout en CP à l’âge de la construction de l’identité sexuelle !

    “Comment oser dire à un petit garçon : “Non, tu n’es pas un garçon” ? Ou à une petite fille : “Ton corps n’est qu’un instrument de plaisir, en relation avec d’autres corps, dont le sexe biologique ne compte pas !” ? J’explique la nécessaire complémentarité homme-femme en m’appuyant sur mon expérience de mère. Il a beau me répliquer que c’est “inexact”, je prends les étudiants à partie, tous très attentifs : “Quand vous serez père ou mère de famille, soyez très vigilants !”

    “Et vous, monsieur le ministre, écoutez les gens de La Manif Pour Tous, ils ont des choses à dire ! Pourtant il est impossible de dialoguer avec le gouvernement ou ses représentants !”

    A la fin de notre échange, resté calme et serein, je lance au ministre : “Au fait, vous me promettez que je peux rentrer chez moi sans passer par la garde à vue ?” Sourire en coin et hochement de tête du ministre…

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • 500 millions d’euros par an pour les demandeurs d’asile

    (extraits) Un rapport sur la situation des demandeurs d’asile a été rendu public sur le site du ministère de l’Intérieur. Le constat dressé est inquiétant : la France n’a plus les moyens d’assumer ses ambitions de terre d’asile. Et pour cause, entre 2007 et 2012, le nombre de réfugiés a flambé de 72 %.

    Face à cet afflux, les préfectures ne parviennent pas à tenir la cadence et à respecter les délais administratifs.

    Faute de places suffisantes dans les centres d’hébergement, l’État est contraint de louer des chambres d’hôtel. Montant de la facture en 2012 : 125 millions d’euros. Ajoutée au coût des centres d’hébergement et à celui des aides versées, elle grimpe à 500 millions d’euros.

    Pire, avec 80 % de déboutés, le système fabriquerait 37 000 sans-papiers par an.

    Le gouvernement tente de désenclaver les grandes villes en répartissant les demandeurs d’asile dans des communes rurales.

    Boulogne-sur-Gesse est un petit village tranquille de Haute-Garonne. Il accueille plusieurs familles de réfugiés politiques.

    Le maire fait part de son incompréhension : « Le sous-préfet m’a averti que des appartements vides (des HLM, NDLR) étaient réquisitionnés. »

    Le premier édile n’en saura pas plus. Tout juste se murmure-t-il que cette opération a pour objectif de faire des économies. Les familles concernées étaient jusqu’alors logées dans des hôtels.

    « Nous avons pu en savoir davantage lors des inscriptions à l’école », précise Pierre Médevielle. Au fur et à mesure des informations glanées ici et là, le maire apprend que sa commune accueille une mère israélienne et son enfant, une famille togolaise et une famille serbe.

    À Hauteville-Lompnes (dans l’Ain), l’afflux de demandeurs d’asile a conduit à la démission du maire PS Bernard Maclet. En octobre 2012, le Préfet de l’Ain, réquisitionne un immeuble pour accueillir 120 demandeurs d’asile dans le cadre du plan hivernal. (…)

    Au coeur de l’hiver, Hauteville-Lompnes accueille 200 demandeurs d’asile, soit 5 % de sa population.

    Dans une lettre adressée aux conseillers municipaux, Bernard Maclet livre la réaction de certains de ses administrés. En voici quelques bribes :

    « Moi Français, j’en ai marre de toute cette invasion », « Je pense qu’il y aurait beaucoup moins de chômage, d’insécurité, sans tous ces étrangers en France qui POURRISSES (sic) NOTRE PAYS »,  » C’est bien triste de voir notre pays partir en vrille ».

    Craignant une rupture des équilibres humains et sociaux, Bernard Maclet démissionne de ses fonctions.  (…)

    Le Point

    http://www.fdesouche.com/412543-le-maire-ps-moi-francais-jen-ai-marre-de-toute-cette-invasion-et-des-etrangers-qui-pourrissent-notre-pays#more-412543

  • Des enseignants dénoncent le lobbyisme LGBT à l'intérieur de l'Education nationale

    Dans notre pays en pleine déliquescence, où le pouvoir politique socialiste croit pouvoir régner en maître en détruisant nos traditions séculaires contre la volonté du peuple, il arrive parfois quelques signes : les enseignants, soutien traditionnel des socialistes et de leurs alliés, semblent se réveiller. 3 exemples nous montrent qu'il subsiste, parmi les professeurs, des consciences et des résistances à faire connaître :

     

    1. La bronca qu'a déclenchée la réforme des rythmes scolaires montre que les enseignants ne sont plus prêts à subir n'importe quoi de la part du PS, même si ce dernier leur offre des dizaines de milliers de postes pour tenter d'acheter leur coopération dans des réformes délirantes,
    2. Le "Collectif Racine", qui rassemble "les enseignants avec Marine Le Pen", connaît un succès de plus en plus important. Henri Dubost, dans son émission "Le libre journal de l’Identité" sur Radio Courtoisie, a même rappelé que les enseignants constituent "un vivier" de voix important pour Marine Le Pen.
    3. Un syndicat, le Snalc, appelle à lutter contre la théorie du genre, et va jusqu'à mettre en cause nommément Thomas Hollande, le fils du président. Emmanuel Protin, qui est l'attaché de presse du syndicat, membre du bureau national, et ancien vice-président du Snalc-Créteil, a en effet fustigé la théorie du gender sur Radio Courtoisie. Il a dénoncé "le lobbyisme à l'intérieur de l'éducation nationale" de la part des LGBT et de leurs soutiens, qui cherchent à imposer à nos enfants des théories comme celle du gender.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/