En 2024, notre combat sera encore et toujours d’actualité… Inscription de l’avortement dans la Constitution et légalisation de l’euthanasie ou du suicide assisté sont les deux menaces qui pèsent sur la protection de la vie humaine en France. Nous devons inlassablement rappeler que chaque vie humaine n’a pas de prix, qu’elle est unique et irremplaçable, et non un produit à prendre ou à jeter.
avortement et euthanasie - Page 4
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Marche pour la Vie 21 JANVIER 2024 à Paris
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Une femme sur trois souffre de dépression après avoir avorté
C’est le résultat d’une étude scientifique publiée dans la revue BMC Psychiatry :
Dans une étude publiée le 26 octobre 2023 dans la revue BMC Psychiatry, les chercheurs ont démontré que « la prévalence mondiale de la dépression post-avortement est estimée à 34,5% ». Ainsi, une femme sur trois souffrirait de dépression après avoir avorté.
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L’avortement : une « nécessité » pour réussir sa vie selon un rapport de l’ONU
Cité à vingt-sept reprises dans une déclaration du Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes (CEDAW)[1], l’avortement est présenté comme le facteur le plus important du développement et du bien-être des jeunes filles.
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« Vive la mort ! »
L’éditorial de François Marcilhac
Emmanuel Macron a le sens des priorités, surtout lorsque ce messager international de la paix, que personne n’écoute, daigne se pencher sur les affaires intérieures. Courageusement absent de la réforme des retraites, pourtant la seule mesure phare de son programme de 2022, toutes affaires cessantes, il vient de décider que la « liberté » (plutôt que le « droit ») d’avorter — la formulation courageusement trouvée au Sénat afin d’obtenir le consensus du pays légal — doit être inscrite « le plus tôt possible » dans la Constitution afin de la rendre « irréversible ».
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En 20 ans, 30% des maternités ont fermé et le nombre d’avortements n’a jamais été aussi élevé
Macron veut faire entrer l’avortement dans la Constitution et continue de fermer des maternités. Prochainement, celle des Lilas dans le 93.
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La légende du roi Arthur
Le Livre « La légende du roi Arthur » de Martin Aurell analyse la littérature arthurienne, qualifiée de « matière de Bretagne », au cours des années 550 à 1250, dans un voyage menant du Pays de Galles à la France du Nord, du paganisme celtique à l’ascétisme chrétien.
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Les femmes n’avortent pas “librement et par choix”
Réaction d’Alliance Vita à l’annonce du président de la République :
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IVG dans la Constitution : quand l’idéologie vient contaminer notre norme suprême
Guillaume Drago *
Le président de la République vient de confirmer sa volonté de « graver dans notre Constitution la liberté des femmes de recourir à l’IVG », selon ses propres termes, de façon à la rendre « irréversible ». Cette volonté déjà affirmée le 8 mars dernier lors de la Journée de la femme intervient à un curieux moment, à l’heure de deux conflits majeurs, en Europe et au Moyen-Orient, suscitant une tension mondiale et décuplant le risque terroriste. Le citoyen peut légitimement s’interroger sur l’ordre des priorités présidentielles. Il existe pourtant une raison conjoncturelle qui explique la parole dominicale du président.
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Le droit à la vie est de plus en plus menacé en France
Communiqué de la Marche pour la vie :
Les chiffres viennent d’être publiés, l’année 2022 a compté 234 300 avortements.
234 300 enfants à naître à qui on a retiré le droit de vivre : 234 300 drames.
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Le gouvernement n’aide pas la femme qui n’a pas les moyens d’avoir un enfant à avoir une autre option que celle de l’avortement
Aliette Espieux, porte-parole de “La Marche pour la Vie”, est interrogée sur Boulevard Voltaire, concernant le triste record en 2022 du nombre d’avortements pratiqués en France.
Il n’y a jamais eu autant d’avortements en France depuis 1990. À quoi attribuez-vous l’explosion du nombre d’avortements ?
Cette explosion est assez dramatique et je l’attribue à plusieurs choses. On se rend compte de l’hypocrisie des parlementaires qui nous expliquent que le droit à l’avortement est menacé en France, or ce n’est pas le cas. En réalité, la question que l’on doit se poser derrière ce chiffre record depuis 1990, est de savoir pourquoi c’est aussi compliqué pour une femme en France de garder un enfant. En réalité, quand on discute avec une femme qui a avorté, elle vous dit qu’il y avait une raison, elle est souvent dans une situation de forte précarité, elle n’a pas les moyens, elle subit une pression sociale. Aujourd’hui, globalement, cela concerne les personnes entre 20 et 29 ans, qui commencent à travailler. Il faut se poser des questions. Pourquoi, en France ,en 2023, une femme n’a-t-elle pas la possibilité de garder son enfant ? La France est un pays qui se tiers-mondise de plus en plus et je pense que cette hausse du nombre d’avortements en est une preuve directe.