Le projet de loi macroniste pour graver le droit à l’avortement dans le marbre de la Constitution a été présenté en Conseil des ministres, ce 13 décembre. Il devrait être ensuite débattu à l’Assemblée nationale puis au Sénat à partir du 24 janvier. Aurore Bergé, le ministre des Solidarités et des Familles, a dévoilé, ce mercredi matin, sur Sud Radio, le calendrier de cette démarche : « L'idée, c'est que le Congrès soit convoqué le 5 mars prochain. Le Président nous l'a annoncé en Conseil des ministres. »
avortement et euthanasie - Page 6
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Une obsession macroniste : constitutionnaliser l’IVG, quoi qu’il en coûte !
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Marche pour la Vie 21 JANVIER 2024 à Paris
En 2024, notre combat sera encore et toujours d’actualité… Inscription de l’avortement dans la Constitution et légalisation de l’euthanasie ou du suicide assisté sont les deux menaces qui pèsent sur la protection de la vie humaine en France. Nous devons inlassablement rappeler que chaque vie humaine n’a pas de prix, qu’elle est unique et irremplaçable, et non un produit à prendre ou à jeter.
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Une femme sur trois souffre de dépression après avoir avorté
C’est le résultat d’une étude scientifique publiée dans la revue BMC Psychiatry :
Dans une étude publiée le 26 octobre 2023 dans la revue BMC Psychiatry, les chercheurs ont démontré que « la prévalence mondiale de la dépression post-avortement est estimée à 34,5% ». Ainsi, une femme sur trois souffrirait de dépression après avoir avorté.
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L’avortement : une « nécessité » pour réussir sa vie selon un rapport de l’ONU
Cité à vingt-sept reprises dans une déclaration du Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes (CEDAW)[1], l’avortement est présenté comme le facteur le plus important du développement et du bien-être des jeunes filles.
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« Vive la mort ! »
L’éditorial de François Marcilhac
Emmanuel Macron a le sens des priorités, surtout lorsque ce messager international de la paix, que personne n’écoute, daigne se pencher sur les affaires intérieures. Courageusement absent de la réforme des retraites, pourtant la seule mesure phare de son programme de 2022, toutes affaires cessantes, il vient de décider que la « liberté » (plutôt que le « droit ») d’avorter — la formulation courageusement trouvée au Sénat afin d’obtenir le consensus du pays légal — doit être inscrite « le plus tôt possible » dans la Constitution afin de la rendre « irréversible ».
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En 20 ans, 30% des maternités ont fermé et le nombre d’avortements n’a jamais été aussi élevé
Macron veut faire entrer l’avortement dans la Constitution et continue de fermer des maternités. Prochainement, celle des Lilas dans le 93.
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La légende du roi Arthur
Le Livre « La légende du roi Arthur » de Martin Aurell analyse la littérature arthurienne, qualifiée de « matière de Bretagne », au cours des années 550 à 1250, dans un voyage menant du Pays de Galles à la France du Nord, du paganisme celtique à l’ascétisme chrétien.
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Les femmes n’avortent pas “librement et par choix”
Réaction d’Alliance Vita à l’annonce du président de la République :
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IVG dans la Constitution : quand l’idéologie vient contaminer notre norme suprême
Guillaume Drago *
Le président de la République vient de confirmer sa volonté de « graver dans notre Constitution la liberté des femmes de recourir à l’IVG », selon ses propres termes, de façon à la rendre « irréversible ». Cette volonté déjà affirmée le 8 mars dernier lors de la Journée de la femme intervient à un curieux moment, à l’heure de deux conflits majeurs, en Europe et au Moyen-Orient, suscitant une tension mondiale et décuplant le risque terroriste. Le citoyen peut légitimement s’interroger sur l’ordre des priorités présidentielles. Il existe pourtant une raison conjoncturelle qui explique la parole dominicale du président.
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Le droit à la vie est de plus en plus menacé en France
Communiqué de la Marche pour la vie :
Les chiffres viennent d’être publiés, l’année 2022 a compté 234 300 avortements.
234 300 enfants à naître à qui on a retiré le droit de vivre : 234 300 drames.