Trois femmes, trois visages, trois parcours de vie mais une même douloureuse souffrance. Ce mardi 27 février, dans un restaurant parisien, Ophélie, Virginie et Sylvie (*), la voix enrouée et les yeux embués, témoignent à cœur ouvert. Toutes les trois ont subi un avortement, poussées par leur entourage, il y a plusieurs années. Et toutes les trois le regrettent aujourd’hui. Alors que le Sénat doit débattre de l'inscription de l'IVG dans la Constitution, ce 28 février, ces femmes, rassemblées par le Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ), acceptent de raconter leurs histoires personnelles aux parlementaires qu’elles rencontrent cette semaine. Objectif : leur ouvrir les yeux sur les angles morts, bien souvent négligés, de l'avortement.
avortement et euthanasie - Page 6
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Le cri de souffrance de ces femmes qui ont subi une IVG sous la contrainte
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Avortement : « T’es plus dans l’coup papa ! »
Par Olivier Perceval
Le problème de Pascal Praud, l’animateur fétiche de CNews, c’est qu’il évolue dans des certitudes très variées, parfois fondées et parfois incertaines. Lui qui avec courage est capable de combattre de faux moulins à vent qui sont en fait de vrais géants, est capable aussi de s’enfermer dans une sécularisation intellectuelle et culturelle confondante de médiocrité.
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Enceinte d’un viol à 15 ans elle garde son bébé
Ayala Isenberg, 20 ans, a donné son témoignage sur le fait de devenir défenseur de la vie suite à une conception par viol. En tant que jeune adolescente et en choisissant de ne pas avorter.
« Honnêtement, je trouve assez insultant d’utiliser des femmes comme moi et nos enfants comme aliment politique pour le discours [pro-avortement], et surtout pour un gain économique pour l’industrie de l’avortement ». «Je trouve cela insultant parce que je pense que c’est parler au nom de femmes comme moi et de nos enfants.»
La jeune mère engagée de Charlotte, en Caroline du Nord, que les animateurs du podcast ont décrite comme « féroce » et « en pétard », a partagé son histoire dévastatrice d’avoir été « violée plus de fois que je ne peux en compter » au cours de quatre années d’abus commençant quand elle était juste une petite fille.
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L’avortement, première cause de décès dans le monde
Selon les statistiques compilées par Worldometer, le nombre d’avortements dans le monde en 2022 dépasse les 73 millions, ce qui en fait la première cause de décès – 52% sur un total de 140 millions de décès – et dépasse ainsi toutes les autres causes additionnées. Worldometer est une organisation indépendante qui recueille et publie des données reçues de gouvernements et diverses organisations, et établit des estimations et des projections basées sur ces chiffres.
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Dimanche 21 janvier, à Paris : MARCHE POUR LA VIE
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Le ministre de la Santé visite l’Institut Lejeune et découvre la haine des militants pro-mort
Ayant visité l’Institut Jérôme Lejeune, Agnès Firmin Le Bodo a vu, sous son tweet, un déferlement de haine :
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Le 21 janvier 2023 : montrer que tous ne se sont pas tus
D’Elisabeth Geoffroy dans La Nef, à propos de la constitutionnalisation de l’avortement :
[…] C’est peut-être là que nous avons un rôle à jouer. Un rôle tout modeste, tout petit, minuscule. Un rôle qui ne peut pas même s’enorgueillir d’avoir du panache et fière allure. Un rôle sans atours, sans séduction, qui a le goût tranchant de la juste chose à faire et la froideur austère du devoir à accomplir. Un rôle qui touche à l’élémentaire : témoigner que la France ne se partageait pas seulement entre les partisans de la constitutionnalisation et les indifférents, montrer que tous ne se sont pas tus. C’est cela que permettra la Marche pour la vie du 21 janvier prochain, empêcher que les livres d’histoire puissent raconter sans nuance aucune : « Et le combat cessa faute de combattants. »
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Une obsession macroniste : constitutionnaliser l’IVG, quoi qu’il en coûte !
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Marche pour la Vie 21 JANVIER 2024 à Paris
En 2024, notre combat sera encore et toujours d’actualité… Inscription de l’avortement dans la Constitution et légalisation de l’euthanasie ou du suicide assisté sont les deux menaces qui pèsent sur la protection de la vie humaine en France. Nous devons inlassablement rappeler que chaque vie humaine n’a pas de prix, qu’elle est unique et irremplaçable, et non un produit à prendre ou à jeter.
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Une femme sur trois souffre de dépression après avoir avorté
C’est le résultat d’une étude scientifique publiée dans la revue BMC Psychiatry :
Dans une étude publiée le 26 octobre 2023 dans la revue BMC Psychiatry, les chercheurs ont démontré que « la prévalence mondiale de la dépression post-avortement est estimée à 34,5% ». Ainsi, une femme sur trois souffrirait de dépression après avoir avorté.