Le 16 janvier, se disant « interpellé » par le faible taux de fécondité de 1,8 enfant par femme cependant que « le taux de désir d’enfant s’établit à 2,3 », Emmanuel Macron avait déjà évoqué sa volonté de « générer une natalité dynamique » et d’ainsi renverser la tendance puisque, en 2022, l’INSEE n’avait enregistré que 490 973 naissances enfants présentés comme « nés de parents français » contre 626 821 en 2000. Le 8 mai dans le magazine Elle, le même président qui rêve d’envoyer de jeunes Français (et futurs pères) se faire tuer en Ukraine est revenu sur cette situation catastrophique, qu’il impute en priorité au fait que nous aurions « structurellement un problème d’offre médicale » car, a-t-il déclaré, « il ne faut pas culpabiliser celles qui ne veulent pas avoir d’enfants, mais il ne faut pas que la mauvaise organisation de notre société empêche des femmes, des familles d’en avoir si elles le souhaitent ».
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Humour noir : comment Macron prétend relancer la natalité française
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Euthanasie : les franc-maçons à la manœuvre
Un article du Figaro et un autre du Parisien soulignent l’activisme des frères obscurs dans la mise en place d’une légalisation de l’euthanasie.
Les loges maçonniques, qui réclament une libéralisation de l’aide à mourir depuis de longues années, entendent peser sur les débats à venir malgré des nuances entre les obédiences. -
Elle était avec les antifas, elle rejoint les catholiques priant le chapelet à Metz
Beaucoup parmi vous se souviendront de l’agression commise il y a un mois par des antifas sur des catholiques qui sortaient de la cathédrale de Metz après un chapelet récité en réparation de la constitutionnalisation de l’avortement. Un mois plus tard, le petit groupe de catholiques est revenu prier le chapelet au même endroit. Avec toujours des antifas menaçants à l’extérieur, cette fois contenus par des policiers. Mais la nouveauté inattendue, c’est une jeune femme, Daphné, qui le mois dernier était parmi les antifas, et qui a changé de camp et a rejoint cette fois les priants !
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Canada : l’euthanasie pour réduire les dépenses de santé publique
Le sinistre calcul du suivi du coût de l’aide médicale à mourir (AMM) montre que les médecins au Canada reçoivent 283,85 $ canadiens pour chaque « préparation et procédure d’aide médicale à mourir » qu’ils effectuent. La culture de mort est aussi un business.
Le calendrier de paiement du ministère de la Santé énumère six services spécifiques liés à l’euthanasie pour lesquels les médecins peuvent être payés, depuis les « Frais d’évaluation de l’AMM – Évaluateur prescripteur » (43,24 $) jusqu’à « Récupération et dépôt des médicaments de l’AMM » (126,72 $).
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Douze femmes ayant avorté ont témoigné des souffrances que cet acte leur a infligées
Douze femmes ayant avorté ont témoigné en février dernier des souffrances que cet acte leur a infligées devant des députés et sénateurs, y compris «progressistes» et «engagés pour les droits des femmes». C’est la première fois que certains semblaient entendre cette réalité violente, en contradiction avec leur idéologie.
À l’issue de ces rendez-vous, trois de ces femmes ont témoigné dans cette vidéo.
Les échanges avec les parlementaires ont porté sur trois angles morts des politiques publiques :
- les conséquences de l’IVG pour les femmes,
- les pressions fortes subies par certaines, notamment de la part du père de l’enfant,
- l’information sur les alternatives à l’IVG.
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BFM TV : Ludovine de la Rochère débat sur l'IVG dans la Constitution
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Aide à mourir, la question de méthode
Voilà, disons le franchement, j’ai beaucoup d’idées sur de nombreux sujets mais je n’ai pas de position arrêtée sur l’aide à mourir en soi. Dans certains cas de paralysie totale sans pouvoir bouger le petit doigt, et de souffrance indicible, d’asphyxie progressive, sans aucun espoir de rémission (c’est du vécu pour un proche) pouvoir apporter une aide à mourir au patient qui le demande instamment me paraît être le bon sens. Mais d’un autre côté, le risque de dérive est évident par exemple des pressions familiales pour pousser à une demande d’euthanasie ou des recours à l’aide à mourir en toute autre circonstances comme une grave dépression. L’expérience montre que ce type de circonstances existe aux Pays-Bas ou en Belgique.
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[EDITO] Après l’IVG, l’euthanasie : le piège machiavélique d’Emmanuel Macron pour l’opposition
À peine terminée la grand-messe solennelle de la Sainte-Ivégée - Éric Dupond-Moretti, offrant son grand livre rouge, place Vendôme, aux applaudissements de la foule ressemblait furieusement à un curé seventies montrant l’Évangile aux fidèles : « Acclamons la parole du Seigneur ! » -, voici une nouvelle fête votive : l’euthanasie, annoncée dimanche par Emmanuel Macron. Ce n’est plus un programme de gouvernement, c’est un funérarium.
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Alain Escada : la république française est un Moloch
Enregistrement vidéo du message d’Alain Escada, président de Civitas International, à la suite de la constitutionnalisation du “droit” à l’avortement par la république française.
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Panthéonisation, constitutionnalisation, guignolisation
Le vote du Congrès de Versailles , le 4 mars, constitutionnalisant l’IVG, a quelque chose de fascinant du point de vue de l’observateur. Acquis par 780 voix contre 74, les superlatifs n’ont pas manqué: emblématique, historique, une page de l’histoire, la France renoue avec l’universalité, un événement bouleversant, un tournant dans l’histoire de l’humanité etc.