Franck Tanguy reçoit François Martin, Jacques Georges, Laurent Izard et Ghislain Benhessa.
Au programme des débats :
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Franck Tanguy reçoit François Martin, Jacques Georges, Laurent Izard et Ghislain Benhessa.
Au programme des débats :
Lucile Strauch-Hausser, présidente du « Collectif Un gros risque en plus », dénonce dans le JDD la volonté d’euthanasier des personnes handicapées :
Alors que la proposition de loi sur les soins palliatifs fait l’unanimité, du moins dans son principe, tel n’est pas le cas de celle sur la fin de vie légalisant l’euthanasie et le suicide assisté.
La Clinique Sainte-Elisabeth, à Marseille, est l’un des deux établissements spécialisés en soins palliatifs de la région Sud. Elle a envoyé un argumentaire aux parlementaires pour les informer sur la fin de vie et les soins palliatifs et répondre à quelques idées reçues :
Le vendredi 2 mai dernier, en Commission des Affaires Sociales, les députés ont validé la loi sur l’euthanasie et le suicide assisté en l’aggravant. Handicapés, pauvres et seuls sont en ligne de mire, et 1,4 milliards d’économie par an attendus. La marchandisation de l’humain s’amplifie.
Voici la lettre du collectif “Notre humanité en péril” aux parlementaires sur la “loi fin de vie” :
« Donner la mort n’est pas un soin » : la formule résume l’opposition à l’euthanasie et au suicide assisté manifestée par de très nombreux médecins, soignants, juristes, psychiatres et acteurs des politiques de prévention du suicide, ainsi que par beaucoup d’associations au service des plus vulnérables, dont récemment le Collectif Démocratie, Ethique et Solidarités, qui analyse lumineusement la lettre et l’esprit du projet de loi.
La grandeur d’une civilisation se mesure à la technicité de ce qu’elle produit, au rayonnement qu’elle diffuse par sa pensée, ses innovations. Plus elle s’élève, plus elle s’éloigne de la barbarie. Mais pour se hisser vers de tels sommets, elle doit avoir la conscience de ce qu’elle dit et fait, du sens et du poids des mots, de celui de l’honnêteté et garder, voire consolider, des repères qui la différencie des sociétés cruelles, archaïques et sans éthique, pour lesquelles la vie n’a aucune valeur.
« Le véritable progrès, c’est le soin, pas la mort ».
Bardella, agnostique déclaré, et pour qui nous avons à MPI plus que des doutes quant à sa ligne politique, fait un pas dans la direction du respect de la vie.
Dans une « tribune libre » du JDD n° 4086 de 4 et 5mai, il affirme haut et fort son opposition à la légalisation de l’euthanasie.
Ne boudons pas notre plaisir et lisons – avec un œil positif mais prudent – cette prise de position qui, nous l’espérons, en appellera d’autres :
En transportant des pilules abortives en Pologne, où l’aide à l’avortement est passible de prison, deux élues LFI défient ouvertement un État souverain, posant la question d’un trafic international de médicaments et d’une forme d’ingérence politique.
Les habitants de Hamilton découvrent la réalité de l’avortement alors qu’une camionnette présentant des photographies de victimes d’avortement circule dans la ville.
Cette semaine, le Centre canadien pour la réforme bioéthique (CCBR) a installé un grand écran à l’arrière d’une camionnette qui diffuse des vidéos montrant l’horrible réalité de l’avortement alors qu’elle circule dans Hamilton.