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divers - Page 463

  • Interview exclusive de Tony O’Neill, leader du Parti du Peuple Celte, 1/5 : la politique

    Alors que les provinces françaises se battent pour sauver leurs langues et traditions régionales, NOVOpress vous propose une interview exclusive du fondateur irlandais du Parti du Peuple Celte – PPC —. Nous publions cet entretien-fleuve en cinq parties afin de vous en offrir une lecture plus agréable. La première est consacrée à la naissance du mouvement et aux questions politiques. La seconde est axée sur la défense de la culture celte, le monde celtique et les liens que noue le PPC avec la diaspora celte dans le monde. La troisième traite des questions liées à l’Union Européenne. Les deux dernières sont consacrées à l’immigration.

    NOVOpress : Tony O’Neill, vous êtes le fondateur et leader du Parti du Peuple Celte. D’où est venue votre motivation pour vous lancer dans un tel défi ?
    Tony O’Neill : J’ai lancé le PPC Irlandais pour sauver notre peuple, sa culture et notre pays de la dévastation amenée par une dette internationale illimitée et une invasion massive venue d’Afrique et du Moyen-Orient, organisée par l’Europe.

    NOVOpress : L’Irlande est politiquement divisée entre le Fianna Fail et Fine Gael, deux partis pro-Union Européenne et ultra-libéraux. Le parti travailliste et le Sinn Fein mettent plus en avant les questions sociales, soutenant la « modernité », quelle qu’elle soit. Mais globalement tous soutiennent le multiculturalisme, l’immigration de masse et le lobby homosexuel. Où se situe le PPC ?
    Tony O’Neill : Le PPC n’est pas conçu pour s’intégrer à l’establishment. Tous ces partis sont nos ennemis politiques et ce sont aussi les ennemis du peuple puisqu’ils mènent notre peuple et notre pays à la ruine avec leur folie « l’égalitariste ». Le PPC est le seul parti politique irlandais à affirmer que notre pays est un pays celtique avec un peuple celte et nous n’hésitons pas non plus à affirmer que la promotion de l’homosexualité comme un « mode de vie alternatif » est destructeur pour notre peuple — surtout vis-à-vis de nos enfants.

    NOVOpress : le Sinn Fein devrait logiquement être très proche de vous : ils ont combattu l’occupation anglaise et poussent la culture irlandaise, ils sont bien organisés et implantés partout : vous ne risquez pas de faire double-emploi ?
    Tony O’Neill : Le Sinn Fein porte le masque de « républicains », mais ils sont en réalité marxistes. Ils sont en faveur du multiculturalisme et soutiennent par conséquent une immigration massive en Irlande. C’est pourquoi ce sont des traîtres au peuple celtique irlandais.

    NOVOpress : Quels types d’action politique pratiquez-vous ? Vous voyez-vous plus comme des militants de terrain ou des lobbyistes culturels ?
    Tony O’Neill : Notre plan est simple. Depuis notre création en janvier 2015, nous avons travaillé pour recruter les membres de notre parti. Quand nous aurons assez de militants, nous irons devant les urnes. Notre but est de gagner le pouvoir par les élections pour sauver notre pays d’une disparition certaine.

    NOVOpress : Est-il possible pour un parti jeune et différent comme la vôtre d’avoir accès aux médias nationaux comme la télévision ou les journaux ? On pourrait penser que TV4 (NDLR Chaîne en langue gaélique) sera intéressée par votre projet. En France, par exemple, tous les médias appartiennent à des groupes industriels ou financiers et il y a de facto une censure totale.
    Tony O’Neill : Lorsque nous présenterons des candidats à une élection, nous aurons droit par la loi à un certain niveau d’accès à la télévision et à la radio. D’ici là, que je suis sûr que les médias officiels nous ignoreront et espérons nous voir simplement disparaître. Cependant, nous ne dépendons pas de la télé ou de la radio pour exister et nous avons l’internet pour faire connaître notre action et diffuser notre message ; pour le moment cela nous réussit. Nous avons maintenant un parti politique frère en France, le Parti du Peuple Celte Breton et un autre aux États-Unis : le PPC USA. Nous avons également des sympathisants en Angleterre, Écosse et au pays de Galles, qui tous œuvrent à la création de partis similaires dans ces pays. Comprenez que nous sommes un mouvement politique ethnique. Nous ne sommes pas axés sur la vieille idée du nationalisme ou du républicanisme. Ce sont là des idées de l’âge du rationalisme. Nous sommes passés à la phase suivante du développement culturel européen qui repose sur l’autorité.

    NOVOpress : Avez-vous en Irlande des milices « politiquement certifiées » une sorte de Police de la Pensée comme dirait Orwell, du genre associations et lobbies extrémistes entièrement financés par des subventions publiques ou des entreprises travaillant pour l’État, qui ont pour mission de vous attaquer systématiquement, verbalement, légalement ou même physiquement, pour étouffer votre message ? Car comme le disait aussi Orwell, dans un temps de tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire. Vous voyez-vous comme un vrai révolutionnaire ?
    Tony O’Neill : Changer le destin d’un pays est un acte révolutionnaire en soi. Comme de nombreux autres pays occidentaux, l’Irlande se dirige vers une catastrophe. Nous avons l’intention de sauver notre pays. En faisant cela, nous serons révolutionnaires, mais nous le ferons d’une manière légale en remportant le pouvoir dans les urnes. Il existe de nombreux groupes officiels et officieux qui sont nos ennemis politiques. Mais nous sommes une organisation privée avec des règles strictes pour les nouveaux membres. Nous sommes très vigilants à qui nous permettons de devenir membre de notre parti. De cette façon nous nous protégeons nous-mêmes de toute provocation extérieure.

    http://fr.novopress.info/194287/interview-exclusive-de-tony-oneill-leader-du-parti-du-peuple-celte-15-la-politique/#more-194287

  • L'identité blanche dans la postmodernité

    On commence à s’interroger sur son identité quand on est sur le point de la perdre. Nos grands-parents ne se sont jamais posé de question sur le sens de l’identité ; ils ne se sont jamais préoccupés de savoir qui ils étaient. Ils considéraient comme allant de soi leur appartenance à leur religion, à leur tribu et à leur race. C’est avec la montée du multiculturalisme, suivie du déclin de la notion traditionnelle d’Etat-nation que l’identité est devenue un problème. 
    Le terme « identité » est devenu à la mode, car il peut signifier tout et rien en même temps. Ce n’est pas par hasard qu’il est aujourd’hui très en vogue, parce que, comme on l’a vu dans une récente livraison de l’Institut für Staatspolitik, « il a une résonance plus scientifique que les termes “conscience nationale” ou “âme nationale” ». 
    Depuis la tragique expérience des Européens affichant leurs nationalismes durant la deuxième guerre mondiale, et son prolongement de moindre importance lors de la récente guerre de Yougoslavie, la classe politique européenne préfère employer des termes neutres comme « identité nationale ». La vieille expression « national consciousness », qui dans la langue allemande a une résonance particulèrement forte (c-à-d Volksbewusstsein) ou en français conscience nationale [en français dans le texte], a des relents de vocabulaire fasciste et doit être prudemment évitée.
    En revanche, l’expression « identité nationale » semble neutre. Tout le monde peut l’employer – même ceux qui renient leur identité nationale ou rejettent la notion de fierté raciale. Même les figures emblématiques de la gauche parlent souvent, avec hypocrisie, de fierté nationale et s’affichent avec des symboles patriotiques. 
    Il est vrai que lorsqu’un Européen blanc ou un Américain blanc parle de « conscience nationale » au sein de son groupe, les grands médias dénonceront automatiquement la montée du spectre du racisme. Dans le monde postmoderne, le terme neutre d’ « identité » fait office de certificat de bonne conscience civique, excluant tout soupçon de xénophobie ou de rejet de l’Autre.  
    La plupart des Européens ou Américains blancs ont recours aux identités « fonctionnelles », sans aucun lien avec leur identité raciale ou culturelle. Des études en psychologie montrent que les Blancs, au niveau de l’inconscient, éprouvent un assez fort sentiment identitaire en tant que Blancs – ce que Kevin MacDonald appelle « la blanchitude implicite » ; mais, au niveau du conscient, de l’explicite, ils s’identifient comme Américains ou chrétiens ou passionnés de musique classique. 
    En effet, pour beaucoup de Blancs, dans ce monde postmoderne, l’identité s’exprime par le choix entre divers modes de vie ou par l’adhésion à des mœurs exotiques. Ces nouvelles identités postmodernes à la mode remplacent les vieilles identités qui étaient liées à notre héritage racial et culturel. 
    Par exemple, de plus en plus de Blancs, alors qu’ils font état avec jubilation de leurs racines françaises, américaines, anglaises ou allemandes, chantent les louanges d’identités bizarres supranationales ou transnationales. Ils adopteront volontiers ce besoin exotique de s’évader du réel qu’on trouve en Afrique ou en Asie, ou ils s’entichent pour le rap des villes américaines. Ils décèlent leur nouvelle identité non pas dans les environs de leur propre village d’origine de Blancs, mais dans des lieux aussi éloignés que possible de la réalité dans laquelle ils vivent.
    Alain de Benoist observe que souvent, dans la société postmoderne, les individus recherchent une identité de remplacement en s’identifiant à des marques, des logos ou des images exotiques. Si une nouvelle mode veut que l’on recherche une nouvelle identité dans la Kabbale juive ou en mimant le style de vie d’une tribu noire de Tombouctou, on l’adoptera volontiers.  
    Il est bien possible que les Américains modernes d’origine européenne ou les Européens en général ne pourront pas devenir conscients de leur race tant qu’ils n’auront pas été d’abord confrontés à l’identité bien marquée d’un autre. Il n’y a qu’à voir l’éclatement de la Yougoslavie où de nombreux Croates ont découvert une forme intense d’identité nationale grâce à l’assaut des chars communistes yougoslaves.
    Victimologie : une identité négative
    Dans une société multiethnique et muticulturelle, l’identité de différents groupes ethniques est incompatible avec l’individualisme libéral. D'une part, le libéralisme prêche le libre marché avec des consommateurs heureux comme étant l’ultime identité pour tous ; mais d’autre part, la dynamique même du libéralisme ne peut pas supprimer les conflits entre identités raciales et ethniques au sein de son propre corps politique multiculturel. 
    En réalité, aussi drôle que cela puisse paraître, le multiculturalisme (qui n’est qu’un euphémisme frauduleux pour dire multiracialisme) constitue la plus grande menace pour le système libéral. Il provoque, en effet, des sentiments de victimologie entre les différents composants ethniques et raciaux. Comme l’a montré l’ex-Yougoslavie et comme le démontrent chaque jour les Etats-Unis d’aujourd’hui, la société multiculturelle moderne est un système fragile sujet aux tensions raciales et ethniques. Pierre-André Taguieff, écrivain français de tendance de gauche et rebelle au politiquement correct, constate que « les rivalités particulièrement inter-ethniques peuvent s’enflammer à la plus petite étincelle (un événement mineur) et engendrer un conflit s’apparentant à une guerre civile ».
    Depuis la fin de la de la Guerre froide, la classe politique affirme son identité en faisant constamment ressurgir l’épouvantail fasciste et la menace permanente de l’Antisémite. Même si ce croquemitaine antisémite n’existe pas, il faut le réinventer afin de fournir une crédibilité au système libéral. Encore et toujours.
    En ce début de troisième millénaire, on entend sur toutes les ondes d’interminables histoires d’horreur à propos de cet Hitler incarnation du mal – un homme certainement voué à vivre à jamais dans l’infamie. Il semble que la démocratie libérale ne puisse pas du tout fontionner sans utiliser la référence négative à l’Autre. 
    L’Holocauste juif est devenu un composant crucial de l’identité du monde occidental en mal de nouveau symbole quasi religieux – la culture de l’Holocauste. En 2005, le président de la République fédérale d’Allemagne, Horst Köhler, déclarait en pleurant à la Knesset en Israël que « la responsabilité de la Shoah faisait partie de l’identité allemande » (Die Verantwortung für die Schoa ist Teil der deutschen Identität). De la même façon, l’ancien chancelier allemand Gerhard Schröder proclamait que « le souvenir de la Shoah appartient à notre identité ».
    Qu’on y réfléchisse : si l’on prend ces mots à la lettre, cela voudrait dire qu’un Allemand ne peut pas se considérer comme allemand sans avoir à l’esprit le rôle joué par les Allemands dans l’Holocauste. Etre allemand, c’est porter au front la marque de Caïn.
    En Europe, cette culture de l’Holocauste est fermement encadrée par le système judiciaire. La perception d’une identité antisémite réelle ou surréaliste déclenche les foudres judiciaires. Tout universitaire qui met en doute la version juive moderne peut facilement se retrouver dans les griffes du Code pénal – le redoutable StGB, Section 130 allemand ou la « loi Fabius-Gayssot » française.
    Il est évident qu’en la matière il y a deux poids deux mesures. Il est tout à fait permis d’afficher sa propre identité en faisant des plaisanteries sur les « gros Boches » ou sur les « grenouilles puantes » ou bien encore sur les « hypocrites Wasps [protestants anglo-saxons blancs, NDT] ». On peut même forcer la dose et aller jusqu’à lancer la douce plaisanterie contre les proverbiaux « chameliers ». Mais la moindre blague contre les juifs est impensable dans les médias et les cercles politiques américains et européens. On peut critiquer l’Autre en invoquant la liberté d’expression, à condition que l’Autre ne soit pas juif.
    Identités de substitution-Ersatz d’identité
    Dans leur recherche désespérée d’une identité non raciale, les Européens blancs ont recours à des ersatz d’identité. Par exemple, ils embrassent l’identité palestinienne ou tibétaine ou l’identité de quelque tribu éloignée du tiers-monde comme si c’était leur propre identité. Ils iront repérer quelque tribu indienne perdue dans la forêt de l’Amazonie et alors, avec toute la passion vécue par procuration, ils s'efforceront de la protéger et de la préserver.
    Mais quand il s’agit de définir et de préserver leur propre identité raciale – et sans parler de préserver leur race – ils se taisent. Dire à haute voix « Je suis fier d’être un Européen blanc » a des relents de racisme.
    Une telle substitution d’identité ou un tel ersatz d’identité d’inspiration étrangère est particulièrement marqué quand il s’exprime dans un contexte de victimologie. Les Européens ne manquent pas de zèle pour ériger des monuments à des tribus exotiques dont ils n’ont jamais entendu parler jusqu’à l’avant-veille – en particulier celles qui ont été victimes des Européens. Les journées consacrées aux expiations s’accumulent sur le calendrier. Chaque homme politique américain ou européen blanc est tenu de payer un tribut moral et financier à des peuples dont l’identité n’a rien de commun avec la sienne.  
    Alors que les médias occidentaux et les faiseurs d’opinion nous assurent que l’histoire touche à sa fin, nous assistons à un besoin frappant de renouveau de micro-identités non européennes, souvent formulées sous la forme d’un statut de victime nombriliste. Et chacun de ces statuts de victimes non européennes nécessite un nombre croissant de morts chez elles et de coupables chez les étrangers. Les coupables sont toujours des Européens blancs, qui sont obligés de pratiquer la repentance rituelle.
    Le vieux sens du tragique, qui, jusqu’à il y a peu en Europe, était le pilier fondamental de la vieille mémoire historique gréco-romaine, cède la place aux jérémiades d’inspiration levantine en faveur des « victimes » des tribus d’Asie et d’Afrique. Lentement mais sûrement, le sens européen du tragique est supplanté par une obsession des identités non européennes.  
    Quel scandale, si un homme d’Etat européen ou américain blanc oublie de manifester des remords à l’égard de la souffrance passée d’un peuple non européen ! Ce qui compte, c’est l’énumération sans fin des victimes non européennes du passé européen.
    Dans cette « bataille des mémoires » postmoderne, les « victimes » ne sont pas toutes sur un plan d’égalité. Certaines ont la préséance sur d’autres, et il est tout à fait évident que l’Holocauste des juifs détient, dans l’Occident postmoderne, le statut de victime par excellence.
    Mais il y a un grave danger pour tout le monde. Compte tenu de l’atmosphère de victimologie qui prévaut aujourd’hui dans l’Occident multiracial, chaque tribu non européenne, chaque race ou communauté est amenée à croire que sa propre victimologie est unique. C’est un phénomène dangereux parce que chaque victimologie rivalise avec d’autres pour détenir la place d’honneur.
    L’histoire du XXe siècle montre que les plus grands meurtres de masse de l’histoire – les meurtres de masse du communisme – ont été rendus possibles par l’idéologie marxiste de la victimisation et ils ont été rationalisés au nom de la tolérance et des prétendus droits de l’homme. L’idéologie communiste de la victimisation a abouti à la déshumanisation des intellectuels dissidents et des opposants politiques, et même de groupes entiers de personnes – avec des conséquences monstrueuses.
    Ce besoin d’être considéré comme victime oblige à rechercher une identité négative dans la négation et la suppression de l’Autre, qui est dès lors perçu non plus comme un être humain mais comme un monstre. L’esprit de victimologie ne sert pas à prévenir le conflit : il rend le conflit inévitable.
    La diversité des identités dans l’Occident multiculturel est un grave problème. D’un côté, les sociétés occidentales libérales modernes veulent que chaque groupe ethnique non européen reçoive une identité appropriée et ait le droit de se présenter en victime d’injustices historiques ; mais d’un autre côté, les sociétés libérales sont incapables de bien fonctionner dans un environnement en proie à une balkanisation ethnique.
    En particulier, le combat entre les diverses victimologies rend le fonctionnement du système libéral extrêmement précaire. Par essence, dans une société multiraciale chaque philosophie victimologique est source de conflit et de discrimination. Elle crée un climat qui favorise la division dans la société. Le seul moyen pour que ces sociétés puissent fonctionner est d’exercer sur elles un niveau élevé de contrôle social. Nul doute que cette perspective est vue d’une façon très positive chez les intellectuels postmodernes. Mais elle conduira à l’aliénation et au détachement chez la grande majorité des gens – spécialement chez les Blancs qui ne peuvent pas prétendre à un statut de victime et qui sont contraints d’assister à la désintégration de leurs communautés autrefois homogènes.
    Les sociétés américaines et européennes sont confrontées à une situation schizophrénique. D’une part, elles sont submergées par la rhétorique de leurs identités négatives dérivant de leur sentiment de culpabilité – les différentes victimologies anticoloniales et les palabres interminables sur les crimes fascistes européens du passé – mais, d’autre part, c’est à peine si l’on entend le moindre mot sur les crimes gigantesques commis par les communistes et leurs alliés libéraux pendant et après la deuxième guerre mondiale – des crimes commis pour venger la victimologie marxiste de la lutte des classes.
    Les Blancs en Europe et en Amérique se doivent de surmonter leur sentiment d’enracinement territorial ainsi que les querelles intra-ethniques : l’identité raciale et culturelle européenne va de l’Argentine à la Suède et de la Russie à bien d’autres coins du globe.
    Plus important encore : les Blancs doivent clairement accepter leur identité de Blancs. Revendiquer explicitement son identité blanche ne signifie pas que les Blancs soient supérieurs aux autres peuples ou que les autres peuples ne soient pas eux aussi uniques, avec le droit de conserver ce caractère unique. Cela veut dire simplement que nous sommes un peuple unique, avec une culture unique, et qu’à la fois notre peuple et notre culture méritent d’être préservés. 
    C’est dans la sphère transcendentale de sa propre unicité que l’identité blanche sera le mieux préservée. Mais l’unicité blanche n’a pas besoin et ne doit pas se faire au prix de la négation de l’unicité des autres peuples et des autres races.
    Par Tom Sunic, 24/04/05
    http://theoccidentalobserver.net/authors/Sunic-Identity.html
    Traduction de l'anglais : René Schleiter pour Polémia
    (http://www.tomsunic.info/; http://doctorsunic.netfirms.com/) est un auteur, ancien professeur des sciences politiques aux Etats-Unis, traducteur croate et ancien diplomate. Il est l'auteur de Homo americanus: Child of the Postmodern Age (2007). 

    http://archives.polemia.com/article.php?id=2184

  • Baisse du chômage, grève des avocats, intervention russe en Syrie, front républicain…

  • «Le Kenya est un pays de quelle race ?»

    Extraits d'un entretien d'Alain Delon à TV Mag :

    En parlant de migrants, Nadine Morano a dit récemment que la France était un pays de race blanche. Qu'en pensez-vous ?

    Images-8Je n'ai pas envie de juger ou d'en discuter. Juste une question : « Le Kenya est un pays de quelle race ? ». Les gens sont noirs. C'est une polémique ridicule, grotesque, qui n'a aucun sens. Elle a des c... de tenir comme elle tient et de dire : « Je vous emmerde tous, je dis ce que je pense et je continuerai à le dire ». Chapeau!

    Que pensez-vous de la politique menée par François Hollande et Manuel Valls ?

    J'ai connu la France du général de Gaulle et c'était autre chose. Depuis, elle a été plutôt en se dégradant. Gauche, droite, tous les coups sont permis. Ce qui se passe est dégueulasse, d'où le désintérêt des Français pour la politique.

    Vous vous étiez déjà exprimé sur la montée de Front national. Aujourd'hui, qu'en pensez-vous ?

    Img19910Je suis un ami de Jean-Marie Le Pen depuis cinquante ans. Mais, sur le Front national, j'ai simplement dit que je trouvais ça normal que les gens se rapproche de ce parti parce qu'ils en ont marre. Marre de tout ! Et c'est pour ça qu'ils sont prêts à aller n'importe où. Je le confirme: les gens ne savent plus où ils en sont, alors pourquoi pas le Front national... [...]

    Regardez-vous la télévision?

    Plus maintenant. Elle m'emmerde et on n'apprend rien. J'ai l'impression qu'il n'y a plus que l'audience qui compte. Il m'arrive de regarder un bon documentaire et, lorsque l'actualité l'impose, je me rabats sur BFMTV. J'étais accro à la télévision, mais maintenant c'est terminé. [...]

    Vous avez été exclu du comité Miss France. C'est un regret?

    Et on revient sur le Front national. À la suite d'une réflexion, qui a été transformée par la presse, on m'a viré de Miss France! Comment peut-on agir de la sorte ? Et tout cas, cette décision m'a privé d'une excellente soirée où je me trouvais entouré de jolies filles (sourire). 

    Mais vous êtes proche du Front national ?

    Non. Et, si je l'étais, pourquoi n'en aurais-je pas le droit ? L'extrême gauche et Mélenchon, c'est valable, mais l'extrême droite, non ? Le Front national représente quand même 6 millions de personnes. C'est 6 millions de cons ? On a le droit de ne pas aimer, mais on doit le respecter."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 7 novembre à Nantes : Colloque Ca†holiques en Action

    « Il est triste de rencontrer des chrétiens qui ne sont plus le sel de la terre…parce qu’ils s’en sont remis à l’esprit du monde, c’est-à-dire qu’ils sont devenus mondains»
    Pape François – Angélus du 31 août 2014

    Agir en Catholique dans nos Engagements sociaux, culturels, et politiques ?

    Colloque des AFC 44 en partenariat avec :

    Sans-titre (2)   Sans-titre (3)Sans-titre (4)

    & l'Institut nantais historique et littéraire

    Affiche-Catho-Action-VDLe programme du colloque et les inscriptions : c'est ici.

    Marie Bethanie