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divers - Page 461

  • La France en 2030 : la faillite des élites mortes

    En 2030, la France se relève à peine d'un effondrement économique majeur. Une dette insoutenable s'est abattue sur l'économie française telle une épée de Damoclès. Certes, le problème était connu, identifié, mais rien n'avait été fait pour tenter d'en atténuer les effets destructeurs. Qu'il s'agisse de boucler un exercice budgétaire prévisible ou de pallier les conséquences de la crise économique et financière de 2008, l'Etat français n'aura eu recours qu'au seul expédient de l'endettement. Là où il aurait fallu réformer, tailler dans le vif, économiser, relancer l'activité économique, la France, en situation de déficit incessant depuis 1981, aura préféré recourir à l'emprunt et à la taxation, c'est-à-dire hypothéquer l'avenir pour sauver temporairement des privilèges devenus injustifiables ou insoutenables.
         En dépit des dénégations rassurantes de ses gouvernants, seulement le seuil fatidique des 100% du PIB est dépassé, mais le service de la dette est devenu le premier budget de l'Etat. Quoi qu'insoutenable sur le long terme, l'illusion de l'endettement perpétuel aurait pu se maintenir encore quelques années en raison de très faibles taux d'intérêt et d'un euro solide. Mais une telle situation ne pouvait perdurer...
         Différant éternellement la réforme de l'Etat afin de ne pas attenter à un confort devenu le dernier privilège des masses, des gouvernements mal élus à la légitimité populaire très faibles et victimes de la démocratie d'opinion préfèrent jouer la politique de l'autruche, comprenant très bien qu'en promettant "du sang, de la sueur et des larmes", ils n'encourent que le risque d'une baisse dans les sondages et la défaite lors de la prochaine échéance électorale.
         L'implosion économique entraîne dans sa chute la part morte des élites, composée de technocrates incapables de donner du sens à l'existence face aux effondrements successifs. Les classes dirigeantes connaissent la même évolution que les corps des officiers au début de la guerre de 1914-1918 : celle d'une brusque recomposition. Les élites vivantes qui émergent du chaos rassemblent à la fois des Français issus de l'immigration, ayant pris des responsabilités malgré la crise durable d'identité occidentale qui rend leur intégration improbable, et la partie la plus créatrice des anciens dirigeants. Le chantier est d'autant plus important qu'en 2030, l'Etat failli est placé sous tutelle financière extérieure. Les inégalités se sont creusées, y compris au sein des populations issues de l'immigration. Quant aux régions, elles tentent de suppléer de façon pragmatique aux carences d'un Etat paralysé par les transferts de souveraineté successifs vers le vide supranational.
    Thomas Flichy de la Neuville, Gregor Mathias, 2030. Le monde que la CIA n'imagine pas

  • La France en 2030 : la faillite des élites mortes

    En 2030, la France se relève à peine d'un effondrement économique majeur. Une dette insoutenable s'est abattue sur l'économie française telle une épée de Damoclès. Certes, le problème était connu, identifié, mais rien n'avait été fait pour tenter d'en atténuer les effets destructeurs. Qu'il s'agisse de boucler un exercice budgétaire prévisible ou de pallier les conséquences de la crise économique et financière de 2008, l'Etat français n'aura eu recours qu'au seul expédient de l'endettement. Là où il aurait fallu réformer, tailler dans le vif, économiser, relancer l'activité économique, la France, en situation de déficit incessant depuis 1981, aura préféré recourir à l'emprunt et à la taxation, c'est-à-dire hypothéquer l'avenir pour sauver temporairement des privilèges devenus injustifiables ou insoutenables.
         En dépit des dénégations rassurantes de ses gouvernants, seulement le seuil fatidique des 100% du PIB est dépassé, mais le service de la dette est devenu le premier budget de l'Etat. Quoi qu'insoutenable sur le long terme, l'illusion de l'endettement perpétuel aurait pu se maintenir encore quelques années en raison de très faibles taux d'intérêt et d'un euro solide. Mais une telle situation ne pouvait perdurer...
         Différant éternellement la réforme de l'Etat afin de ne pas attenter à un confort devenu le dernier privilège des masses, des gouvernements mal élus à la légitimité populaire très faibles et victimes de la démocratie d'opinion préfèrent jouer la politique de l'autruche, comprenant très bien qu'en promettant "du sang, de la sueur et des larmes", ils n'encourent que le risque d'une baisse dans les sondages et la défaite lors de la prochaine échéance électorale.
         L'implosion économique entraîne dans sa chute la part morte des élites, composée de technocrates incapables de donner du sens à l'existence face aux effondrements successifs. Les classes dirigeantes connaissent la même évolution que les corps des officiers au début de la guerre de 1914-1918 : celle d'une brusque recomposition. Les élites vivantes qui émergent du chaos rassemblent à la fois des Français issus de l'immigration, ayant pris des responsabilités malgré la crise durable d'identité occidentale qui rend leur intégration improbable, et la partie la plus créatrice des anciens dirigeants. Le chantier est d'autant plus important qu'en 2030, l'Etat failli est placé sous tutelle financière extérieure. Les inégalités se sont creusées, y compris au sein des populations issues de l'immigration. Quant aux régions, elles tentent de suppléer de façon pragmatique aux carences d'un Etat paralysé par les transferts de souveraineté successifs vers le vide supranational.
    Thomas Flichy de la Neuville, Gregor Mathias, 2030. Le monde que la CIA n'imagine pas

  • Justice : mieux vaut taper dans un ballon que d’avoir risqué sa vie pour la France

    Convocation à 9 heures pour M. Benzema… Débarquement d’une escouade de gendarmes avant 8 heures à leurs domiciles pour deux anciens pilotes de chasse ayant porté l’arme nucléaire pour la France !
     
    Existerait-il des juges qui se font un malin plaisir de faire plaquer leurs prévenus contre un « mur dès qu’on » leur présente d’anciens militaires ayant levé haut les valeurs de la France au péril de leur vie tandis que d’autres sont pleins d’attentions lorsqu’il s’agit d’une (sacrée) vedette qui, par le passé, n’a pas fait que donner des coups avec ses pieds dans un ballon ?

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  • Jean-Pierre Stirbois, militant nationaliste exemplaire...

    Par Robert Spieler

    Article publié dans Rivarol

    (n°3010, août 2011)

    Après avoir consacré, il y a quelques semaines, un long article à François Duprat, Le Monde Magazine du 16 juillet réserve sa « une » à « Jean-Pierre Stirbois, l’apparatchik ». C’est le 11 septembre 1983 qu’une liste de rassemblement qui compte des chiraquiens, des centristes et des frontistes, dont le numéro deux du Front national, emporte la mairie de Dreux. La foule scande : « Stirbois, fasciste, assassin ! Stirbois, salaud, le peuple aura ta peau ! ». Une semaine auparavant, avait eu lieu le « coup de tonnerre de Dreux », où la liste Stirbois obtenait près de 17% des suffrages au premier tour, obligeant les droites à fusionner avec le FN. L’aventure débuta à Dreux. Le Pen ne s’était pas déplacé pour soutenir Stirbois. Il était en vacances. Cette victoire fut celle de Stirbois…

    Jean-Pierre Stirbois est un fils d’ouvrier, né en 1945. Adolescent, il est proche de l’OAS-Métro-Jeunes et participe en 1965 à la campagne présidentielle de Jean-Louis Tixier-Vignancour, dont Jean-Marie Le Pen est l’animateur. L’échec de Tixier va entraîner une lutte fratricide entre ce dernier et Le Pen. Stirbois choisit Tixier et va contribuer à créer le mouvement Jeune Révolution, mouvement « solidariste », dont l’idole est Pierre Sergent. L’Union solidariste adhérera en bloc, en 1977, au Front national, dont Stirbois prendra rapidement et efficacement la charge du secrétariat général. Près de 35 ans plus tard, cela suscite encore des rancoeurs chez ceux qui avaient été mis en touche, rancoeurs qui s’expriment aujourd’hui, dans un récent courrier des lecteurs à Rivarol, où Stirbois est accusé d’être un agent sioniste, son vrai nom étant Stirnbaum ! Notre ami David Veyssere m’a envoyé ce commentaire :« Voir dans le patronyme de Stirbois une origine juive, c’est de la billevesée pure. Cet anthroponyme est authentiquement un patronyme du Nord des Gaules, mélange de franc et de gallo-romain, qui signifie « taureau des bois », stir signifiant taureau dans les langues franques et germaniques. Le Monde reprend quelques assertions tout à fait mensongères et hautement fantaisistes en prétendant que Stirbois était pro-israélien et récusait toute connotation fascisante. Ayant été très proche de Jean-Pierre Stirbois, quand nous siégeâmes ensemble sur les bancs de l’Assemblée nationale, et ayant passé maintes soirées avec lui, je puis témoigner que ces accusations sont totalement absurdes. Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, qui fut l'un de ses plus proches amis, en une période difficile de la vie privée de Stirbois, peut en témoigner amplement. Non, Jean-Pierre Stirbois n’était ni sioniste, ni au demeurant pro-arabe, il était nationaliste français, entouré de cadres radicaux, issus pour beaucoup du PFN (Parti des Forces Nouvelles), du GRECE, et bien sûr du mouvement solidariste. Voilà la vérité.

    Stirbois, nationaliste populaire

    Stirbois exécrait le bourgeoisisme et l’esprit de collaboration. Aux élections cantonales de 1985, il avait défendu l’idée que le Front n’appelle pas à voter pour la droite au second tour. En 1988, au second tour de l’élection présidentielle, où Le Pen avait obtenu 14% des voix, il prône le vote Mitterrand, suivant l’adage : « National au premier tour, socialiste au second ». Le Pen, qui voulait appeler à voter Chirac, finit par prôner l’abstention ou…le vote Chirac.

    Une anecdote : Au lendemain de notre élection, en 1986, à l’Assemblée nationale, Le Pen a une riche idée. Celle d’organiser une réception au pavillon d’Ermenonville, au Bois de Boulogne. Dans le registre somptueux, feux d’artifice, et tout le reste. Toutes les personnalités, tous les ambassadeurs y sont invités. Tenue de soirée, c'est-à-dire smoking, de rigueur. Cela nous scandalisa. Quoi ? Nous qui affirmions représenter la droite sociale et populaire auprès de nos électeurs, nous plier aux simagrées de la bourgeoisie bling-bling ? De ces parvenus ? Pas question ! Aucun ambassadeur, au demeurant, sauf celui d’Uruguay, proche de la secte Moon, ne fit une apparition. Il est vrai que Le Pen avait établi d’étroites relations avec la secte Moon, dont il fit élire le dirigeant français, Ceyrac, le neveu de l’ancien patron du patronat, à l’Assemblée nationale. Comme seule personnalité, le Bao Daï, l’antique empereur du Vietnam… Jean-Pierre Stirbois, ainsi que les députés de la sensibilité nationale et sociale refusèrent de s’y rendre. Pour ma part, jamais avare d’une provocation, je m’y rendis … en costume et non en smoking. J’étais le seul. Fureur de Le Pen qui m’envoya le lendemain un mot manuscrit : « Tu aurais du m’en parler ; il existe au groupe (parlementaire) une petite caisse pour députés nécessiteux ». Je lui répondis derechef : « Je suis désolé, mais ayant été élevé à la bière et à la choucroute en Alsace, je ne connais pas les mœurs de la bourgeoisie parisienne. »Ambiance…

    Mégret et Stirbois

    Le Pen ne pouvait pas tolérer un Etat dans l’Etat, un militant pur et dur, insensible au découragement, qui ralliait une grande partie des militants du FN. Stirbois était un remarquable organisateur, qui savait galvaniser ses fidèles, des fidèles prêts à le suivre jusqu’au bout. Ce n’était sans doute pas un chef de peuple, mais nous n’en étions pas là… Le Pen, qui voyait d’un mauvais œil son influence grandissante (Stirbois était sans doute le seul que Le Pen craignait), eut l’idée de créer la grande zizanie en nommant Bruno Mégret, délégué général chargé de sa campagne présidentielle. Bruno Mégret est un homme de grande valeur, excellent organisateur, avec une capacité conceptuelle que n’avait sans doute pas Stirbois. Les deux étaient faits pour se compléter. Ce ne fut pas le cas. Sous l’œil attendri de Le Pen, qui ne faisait évidemment rien pour arranger la situation, les tensions prirent de l’ampleur. Le Pen régnait, ou du moins voulait régner en maître… J’avais essayé, très naïvement, de rapprocher les deux hommes. Peine perdue. Stirbois m’en avait même tenu grief.

    La mort de Stirbois

    Stirbois s’était lancé à corps perdu dans la campagne pour le « non » au référendum sur le statut de la Nouvelle-Calédonie. A peine de retour d’un voyage éreintant, début novembre 1988, il tient un meeting à Dreux. Il déclare être prêt à retourner en Nouvelle-Calédonie « mettre sa peau au bout de ses idées. »Tard dans la nuit, il reprend la route dans sa Golf GTI et, s’étant sans doute endormi au volant, percute un arbre. Les complotistes y verront bien sûr un assassinat. Absurde. En tout cas, le lecteur me pardonnera de ne pas donner de détails, ce fut un honteux soulagement chez certains proches de Le Pen, qui sablèrent le champagne. Restait à décider rapidement qui serait le secrétaire général qui remplacerait Jean-Pierre Stirbois. Deux candidats étaient en lice : Bruno Gollnisch et Carl Lang. C’est dans les toilettes du funérarium que Le Pen annonça aux deux candidats potentiels son choix. C’était Carl Lang, qui était plus jeune, et dans son esprit plus malléable (la suite prouvera le contraire), Bruno Gollnisch étant considéré comme trop proche de Stirbois. Le Pen voulait tourner la page et éviter que se constitue au sein du FN un groupe de pression des amis de Stirbois…

    Les obsèques eurent lieu à l’église Saint Augustin, en présence de tous ses fidèles, et de ceux qui ne l’étaient pas. Et de ceux et surtout celle qui trahirent honteusement sa mémoire. Mais ceci est une autre histoire… Les amis de Jean-Pierre Stirbois, dont Christian Baeckeroot, Jean-Pierre Revaud, Bernard Antony, voulaient porter son cercueil. Le Pen s’y opposa. Marie-France Stirbois se jeta en larmes aux pieds de le Pen pour le supplier d’accepter. Il finit par y consentir…

    Le 27 novembre 1988, 20 jours après le décès de Stirbois,National Hebdo organisa une grande réunion en hommage à Jean-Pierre Stirbois, à la Mutualité. Les organisateurs en étaient Roland Gaucher, directeur de NH et Roland Hélie. Le Pen y était totalement opposé, et fit tout pour empêcher les militants de s’y rendre, interdisant aux permanents du FN de participer à cette manifestation. Roland Gaucher ne plia pas, de même qu’un nombre considérable de militants. La Mutualité était bondée. Une émotion indescriptible… Roger Holeindre salua celui qui a« chassé du FN les incapables et les voyous pour bâtir un parti pur et dur ». Le Pen n’y vint pas… Et les incapables et les voyous revinrent au Parti…

    Et si Stirbois avait vécu ?

    L’uchronie, c'est-à-dire la tentation de refaire l’histoire, est évidemment une tentation absurde. Mais tellement tentante…Que se serait-il passé si Stirbois avait vécu ? Je fais le pari qu’il y aurait eu une guerre, instrumentalisée par Le Pen, entre lui et Mégret. Quel que soit celui qui l’aurait emporté, les conséquences auraient été les mêmes. Si Stirbois l’avait emporté, il aurait fini par subir les mêmes humiliations, les mêmes avanies que celles que Bruno Mégret eut à subir. Et il aurait réagi de la même façon. Jacques Doriot avait écrit un livre dont le titre est Nous ne sommes pas un peuple d’esclaves. Stirbois n’avait pas un tempérament d’esclave. Et ceux qui le suivaient, pas davantage. Jamais Stirbois n’aurait accepté cet épouvantable népotisme, cette ambiance monégasque, décadente, orientale dans laquelle se complait Le Pen. Et pourtant, quel talent d’orateur, quel charisme, quel courage ! Quel dommage ! Il est vrai qu’il est rare qu’un chef de peuple apparaisse. Peut-être tous les siècles, ou tous les deux siècles ? Un chef de peuple milliardaire, cela n’existe au demeurant pas. Lorsqu’il fut officiellement l’héritier de Lambert, qui lui léguait sa fortune pour poursuivre et amplifier le combat nationaliste, des cadres de son mouvement, heureux, lui proposèrent diverses actions de propagande et de militantisme. Un des dirigeants présents me l’a raconté. Le Pen répondit, pointant les index de ses deux mains sur sa poitrine : « Cet argent est à moi, à moi… »

    J’avais suivi avec une grande attention la révolte des militants qui suivaient Bruno Mégret. Pouvait-il réussir ? Avait-il raison de se lancer dans cette aventure ? Jean-Pierre Stirbois, si cela avait été lui, aurait sans doute subi les mêmes conséquences. Première étape : Elimination des fidèles au sein du Mouvement. Les salariés fidèles au futur « traître » sont virés. Que faire ? L’accepter, c’est passer pour un salaud et un lâche qui ne défend pas ses hommes. Alors ? Tenter de prendre le contrôle d’un parti statutairement ultra verrouillé ? Cà ne marche pas. Et puis, se soumettre, et se retrouver en douzième place, celle de Judas, sur la liste européenne ? Ridicule. Seconde solution : quitter avec les meilleurs, les plus déterminés, les plus combatifs, les plus nombreux le mouvement, mais, l’expérience l’a prouvé, cela ne marche pas davantage, car la marque prime le talent. Bruno Mégret n’avait le choix qu’entre deux décisions désastreuses. Ce fut le talent de Le Pen de le pousser ainsi à une faute impossible à éviter. Jean-Pierre Stirbois, nonobstant son talent, se fût retrouvé dans la même nasse…

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Numéro de novembre de Politique magazine : « L'EMPIRE CONTRE-ATTAQUE

    Découvrez le numéro de novembre ! 

    L’empire contre-attaque

    Dossier spécial Russie

    Rares étaient ceux qui pensaient que les Russes oseraient intervenir en Syrie. C’est désormais chose faite. Au Proche-Orient, les cartes sont rebattues et c’est Vladimir Poutine qui dicte désormais le tempo du jeu diplomatique. Il aura suffit de quinze années au chef du Kremlin pour refaire de son pays l’une des principales puissances mondiales. En regard, où est passée la France ?

    > Grand entretien avec Pierre Manent, philosophe : « il faut créer une amitié civique avec les musulmans » 

    Sommaire 

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • 45 veillées pour la vie

    De nombreuses régions de France n'ont pas encore programmé de veillées pour la vie en la vigile du 1er dimanche de l'Avant : Vendée, Basse-Normandie, Pyrénées, Corse, Auvergne, Limousin, Alpes, Vosges, les Charentes...

    "Peut-être que vous vous posez une question : pourquoi prier alors qu’il y a urgence d’agir ?

    Il est vrai qu’en cette période où nous comptons presque 230 000 avortements en France, nous devons agir, nous ne pouvons pas rester attentiste devant ce désastre ! Nombreux sont les Saints qui nous interpellent, comme la bienheureuse Mère Téresa :

    « Le plus grand destructeur de la paix, aujourd’hui, est le crime commis contre l’innocent enfant à naître. Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu’est-­ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres ? »

    C’est à l’occasion de la remise du Prix Nobel de la Paix en décembre 1979 que Mère Térésa s’exprimait ainsi. Elle nous alertait sur l’incohérence fondamentale d’une conception de la paix qui oublierait les plus petits d’entre nous. Le pape Jean-Paul II insistera plus tard dans son encyclique Evangelium Vitae sur l’urgence « de se livrer à une mobilisation générale des consciences et à un effort commun d’ordre éthique, pour mettre en œuvre une grande stratégie pour le service de la vie. » Il nous exhortait à «renouveler la culture de la vie à l’intérieur des communautés chrétiennes elles-mêmes» (EV 95).

    Alors comment agir ?

    Souvenons-nous des bons conseils de Mère Térésa : « Plus nous recevons dans le silence de la prière, plus nous donnerons dans la vie active. » Nous voulons nous donner activement pour protéger et accueillir la vie naissante, alors commençons par prier !

    Dans l’évangile de Saint Jean, au chapitre quinze, le Christ nous dit : « Demeurez dans mon amour ». Il prend ensuite une comparaison :

    « Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là donne beaucoup de fruit, car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire. » 

    Nous sommes avertis que nous ne porteront pas de fruits si nous ne sommes pas connectés à la Vigne, c’est à dire fidèle à ce cœur à cœur dans la prière avec le Christ. Ainsi, nous avons conscience de la force de la prière qui nous aidera à agir pour mieux accueillir et protéger la Vie !

    En attendant les veillées pour toute vie naissante, cette neuvaine est le moyen idéal pour confier à Dieu notre désir de voir renaître une culture de la Vie au sein de notre société. Elle vous permettra de prendre « 9 jours pour 9 mois » comme un symbole de votre volonté de soutenir toute Vie naissante. Mais c’est plus qu’une simple neuvaine, c’est un cocktail de formation Spi & Bioéthique qui alliera la prière et la formation en vu de l’action.

    Et pour agir, créez dès maintenant votre veillée et retrouvez-les près de chez vous sur notre site :  www.veilleespourlavie.com/  Ces veillées ont été lancé par Benoît XVI et bénies et encouragées par le Pape François, alors n’hésitez pas à les rejoindre et à aider votre curé à l’organiser dans votre paroisse !

     « En ce temps de l’Avent où l’Église veille et prie dans l’attente aimante de la venue du Seigneur et tourne ses regards avec espérance vers la crèche de Bethléem, le Saint-Père vous encourage à persévérer dans la prière. » Extrait de la lettre de bénédiction apostolique du Pape François."

    Michel Janva

  • RÉINFO DU 2 NOVEMBRE 2015

    Réinfo, journal d’information bimensuel du Parti de la France, présenté par Sylvie Collet.


    Bienvenue pour ce nouveau numéro de Réinfo, journal d’information bimensuel du Parti de la France, du 2 novembre 2015.
     
    Au sommaire de ce vingt-huitième numéro :
     
    Politique de la ville. Et surtout opération communication pour le premier Ministre, Manuel Vals, en ballade avec 18 ministres dans le département d’où sont partie les émeutes de 2005. L’occasion pour nous de rappeler l’inefficacité de cette politique, le gouffre financier qu’elle a entrainé et son résultat le plus emblématique : la création de ghettos et de zone de non droit, où l’Etat et ses représentants, sont interdits de séjour.
     
    • Pour une politique de défense plus indépendante.  C’est le sujet du dernier livre du Général Desportes. Ses analyses sur la réalité de l’état de l’armée française et l’effet délétère des coupes budgétaires, donnent un éclairage réaliste sur la dépendance de l’armée française à l’OTAN ou aux Etats Unis, mais également sur les dangers immédiats pour la sécurité des Français.
     
    • Internet et la surveillance généralisée. Le rapport de l’ONG Freedom House, confirme les analyses que nous avions faites, sur le recul de la démocratie et la fin de nos libertés. Notamment avec la mise en place par Manuel Vals, du Patriot Act à la française. Petit rappel sur cette loi et ses conséquences.
     
    • Les langues régionales ont eu chaud et la langue française aussi. Le Sénat a enterré la ratification de la Charte des langues régionales. Cette charte, adoptée sous les auspices du Conseil de l’Europe pour protéger et pour favoriser, je cite, « les langues historiques régionales et les langues des minorités » en Europe, était un véritable Cheval de Troie qui aurait facilité la colonisation linguistique et culturelle au détriment de l’identité de la France et de notre culture nationale.
     
    et, pour finir, le rappel des rendez-vous du Parti de la France, avec notamment le rassemblement de Pouilly-en-Auxois, contre l’immigration-invasion, mais aussi une réunion à Limoges et la réunion patriotique du CNC à Paris. Et une date à noter dans vos agendas dès maintenant, celle du IIIe Congrès national du Parti de la France, le 7 mai 2016.